Saint-Germain-du-Salembre
Saint-Germain-du-Salembre est une commune française située dans le département de la Dordogne, en région Nouvelle-Aquitaine.
Pour les articles homonymes, voir Saint-Germain.
Saint-Germain-du-Salembre | |||||
Le château de Saint-Germain-du Salembre. | |||||
Administration | |||||
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Pays | France | ||||
Région | Nouvelle-Aquitaine | ||||
Département | Dordogne | ||||
Arrondissement | Périgueux | ||||
Intercommunalité | Communauté de communes Isle Vern Salembre en Périgord | ||||
Maire Mandat |
Sandra Pinheiro Paillot 2020-2026 |
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Code postal | 24190 | ||||
Code commune | 24418 | ||||
Démographie | |||||
Gentilé | Salembrais | ||||
Population municipale |
943 hab. (2018 ) | ||||
Densité | 48 hab./km2 | ||||
Géographie | |||||
Coordonnées | 45° 08′ 16″ nord, 0° 26′ 51″ est | ||||
Altitude | Min. 55 m Max. 184 m |
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Superficie | 19,55 km2 | ||||
Unité urbaine | Commune rurale | ||||
Aire d'attraction | Commune hors attraction des villes | ||||
Élections | |||||
Départementales | Canton de la Vallée de l'Isle | ||||
Législatives | Première circonscription | ||||
Localisation | |||||
Géolocalisation sur la carte : Nouvelle-Aquitaine
Géolocalisation sur la carte : Dordogne
Géolocalisation sur la carte : France
Géolocalisation sur la carte : France
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Liens | |||||
Site web | http://www.saintgermaindusalembre.fr/ | ||||
Géographie
Généralités
Localisée au centre-ouest du département de la Dordogne, la commune de Saint-Germain-du-Salembre s'étend sur 19,55 km2. Elle est traversée du nord-est au sud par un affluent de l'Isle, le Salembre, ruisseau qui en deux tronçons lui sert de limite naturelle avec Chantérac au nord et Neuvic au sud.
Au niveau géologique, toute une moitié ouest de la commune, située en forêt de la Double[1], est recouverte de sables, d'argiles et de graviers éocènes et oligocènes. Les hauteurs orientales, en limite de Saint-Astier, Saint-Léon-sur-l'Isle et Neuvic, sont également composées de terrains éocènes. Le reste de la commune, dans sa partie orientale, est composé de calcaires du Crétacé[2].
L'altitude minimale, 55 mètres, se situe au sud, à proximité de Neuvic-Gare, là où le Salembre quitte la commune pour entrer sur celle de Neuvic. Le point culminant avec 184 mètres se trouve à l'extrême nord-est, près du lieu-dit Puymarsou, en limite de Saint-Astier.
Le bourg de Saint-Germain-du-Salembre est situé, en distances orthodromiques, six kilomètres à l'ouest de Saint-Astier et quatorze kilomètres au nord-est de Mussidan, en rive droite du Salembre et au croisement des routes départementales 39, 41, 44 et 104.
Entre Douzillac et Neuvic, le sentier de grande randonnée GR 646 borde le territoire communal à l'est sur un kilomètre et demi et le traverse au sud sur deux kilomètres et demi.
Communes limitrophes
Saint-Germain-du-Salembre est limitrophe de six autres communes.
Climat
Le climat qui caractérise la commune est qualifié, en 2010, de « climat océanique altéré », selon la typologie des climats de la France qui compte alors huit grands types de climats en métropole[3]. En 2020, la commune ressort du même type de climat dans la classification établie par Météo-France, qui ne compte désormais, en première approche, que cinq grands types de climats en métropole. Il s’agit d’une zone de transition entre le climat océanique, le climat de montagne et le climat semi-continental. Les écarts de température entre hiver et été augmentent avec l'éloignement de la mer. La pluviométrie est plus faible qu'en bord de mer, sauf aux abords des reliefs[4].
Les paramètres climatiques qui ont permis d’établir la typologie de 2010 comportent six variables pour les températures et huit pour les précipitations, dont les valeurs correspondent aux données mensuelles sur la normale 1971-2000[5]. Les sept principales variables caractérisant la commune sont présentées dans l'encadré ci-après.
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Avec le changement climatique, ces variables ont évolué. Une étude réalisée en 2014 par la Direction générale de l'Énergie et du Climat[7] complétée par des études régionales[8] prévoit en effet que la température moyenne devrait croître et la pluviométrie moyenne baisser, avec toutefois de fortes variations régionales. Ces changements peuvent être constatés sur la station météorologique de Météo-France la plus proche, « Saint-Martin Rib. », sur la commune de Saint-Martin-de-Ribérac, mise en service en 1993[9] et qui se trouve à 12 km à vol d'oiseau[10],[Note 3], où la température moyenne annuelle est de 13,3 °C et la hauteur de précipitations de 914,3 mm pour la période 1981-2010[11]. Sur la station météorologique historique la plus proche, « Bergerac », sur la commune de Bergerac, mise en service en 1988 et à 32 km[12], la température moyenne annuelle évolue de 13,2 °C pour la période 1971-2000[13], à 13,1 °C pour 1981-2010[14], puis à 13,3 °C pour 1991-2020[15].
Urbanisme
Typologie
Saint-Germain-du-Salembre est une commune rurale, car elle fait partie des communes peu ou très peu denses, au sens de la grille communale de densité de l'Insee[Note 4],[16],[17],[18]. La commune est en outre hors attraction des villes[19],[20].
Occupation des sols
L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des forêts et milieux semi-naturels (73,4 % en 2018), une proportion identique à celle de 1990 (73,4 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : forêts (70,9 %), zones agricoles hétérogènes (23,2 %), zones urbanisées (3,2 %), milieux à végétation arbustive et/ou herbacée (2,5 %), prairies (0,2 %)[21].
L'IGN met par ailleurs à disposition un outil en ligne permettant de comparer l’évolution dans le temps de l’occupation des sols de la commune (ou de territoires à des échelles différentes). Plusieurs époques sont accessibles sous forme de cartes ou photos aériennes : la carte de Cassini (XVIIIe siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[Carte 1].
Villages, hameaux et lieux-dits
Outre le bourg de Saint-Germain-du-Salembre proprement dit, le territoire se compose d'autres villages ou hameaux, ainsi que de lieux-dits[22] :
- Auriac
- les Bernis
- le Bignac
- les Bombichoux
- la Boureille
- les Brandes
- les Bruyères
- la Cabane
- les Carrefours
- le Cavalot
- la Champelonie
- Château Merle
- Château Vert
- Clauds de Jaumarie
- les Clèdes
- les Combes
- la Confénerie
- la Côte
- la Croix du Maine
- l'Épinassou
- Espinasse
- les Essaynes
- l'Étang de l'Huile
- Étang de Taillefer
- Eygas-Vivas
- Fonclause
- la Font de Maillepot
- les Goudeix
- le Gounaud
- le Grand Bois
- les Grandes Terres
- la Grave
- les Jarissades
- le Jartouneix
- Jaumarie
- le Lac Canadier
- Lacaud
- le Maine
- la Maligne
- le Meynard
- la Mondille
- le Moulin de Faucheyroux
- le Moulin de Puyguiller
- la Pépinette
- les Peyrières
- Peyvieux
- Puyguiller
- Puymarsou
- Puynaugier
- Rens
- la Sablière
- la Servantie
- Soulet
- le Tauriac
- le Terme
- le Touron
- Touvent
- la Tranchée des Américains
- le Trou du Renard
- les Vignes de Capiteau
Toponymie
La première mention écrite connue du lieu date de l'an 1104 et se rapporte à son église, sous la forme Sanctus Germanus de Salembre[23].
Sur la carte de Cassini représentant la France entre 1756 et 1789, le village est identifié sous le nom de Saint Germain du Salambre[24].
La première partie du nom de la commune fait référence à saint Germain d'Auxerre[25]. La seconde partie correspond au Salembre, le cours d'eau qui arrose le territoire communal du nord-est au sud.
En occitan, la commune se nomme Sent Gèrman de Salembre[26].
Histoire
Le territoire communal a été occupé dès la Préhistoire comme le prouvent plusieurs gisements[23]. Des traces d'une villa gallo-romaine y ont également été mis au jour[23]. Le lieu pourrait correspondre au Calembrio de la table de Peutinger[1].
Le , les Allemands, renforcés de la Légion nord-africaine, tuent vingt-neuf résistants, fusillent quatre habitants et incendient le village d'Espinasse[27].
Politique et administration
Rattachements administratifs et électoraux
Dès 1790, la commune de Saint-Germain-du-Salembre est rattachée au canton de Neuvic qui dépend du district de Montpon puis du district de Mussidan jusqu'en 1795, date de suppression des districts. En 1801, le canton est rattaché à l'arrondissement de Ribérac, puis à l'arrondissement de Périgueux en 1926[28], date à laquelle est supprimé l'arrondissement de Ribérac.
Dans le cadre de la réforme de 2014 définie par le décret du , ce canton disparaît aux élections départementales de mars 2015[29]. La commune est alors rattachée au canton de la Vallée de l'Isle.
Intercommunalité
Fin 2003, Saint-Germain-du-Salembre intègre dès sa création la communauté de communes de la Vallée du Salembre. Celle-ci est dissoute au et remplacée au par la communauté de communes Isle, Vern, Salembre en Périgord.
Administration municipale
La population de la commune étant comprise entre 500 et 1 499 habitants au recensement de 2017, quinze conseillers municipaux ont été élus en 2020[30],[31].
Liste des maires
Juridictions
Dans le domaine judiciaire, Saint-Germain-du-Salembre relève[33] :
- du tribunal judiciaire, du tribunal pour enfants, du conseil de prud'hommes, du tribunal de commerce et du tribunal paritaire des baux ruraux de Périgueux ;
- de la cour d'appel de Bordeaux.
Démographie
Les habitants de Saint-Germain-du-Salembre se nomment les Salembrais[34].
L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. À partir de 2006, les populations légales des communes sont publiées annuellement par l'Insee. Le recensement repose désormais sur une collecte d'information annuelle, concernant successivement tous les territoires communaux au cours d'une période de cinq ans. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[35]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2006[36].
En 2018, la commune comptait 943 habitants[Note 5], en augmentation de 1,51 % par rapport à 2013 (Dordogne : −0,84 %, France hors Mayotte : +1,78 %).
Économie
Emploi
En 2015[38], parmi la population communale comprise entre 15 et 64 ans, les actifs représentent 384 personnes, soit 41,2 % de la population municipale. Le nombre de chômeurs (soixante) a presque doublé par rapport à 2010 (trente-cinq) et le taux de chômage de cette population active s'établit à 15,6 %.
Établissements
Au , la commune compte cinquante-sept établissements[39], dont trente-trois au niveau des commerces, transports ou services, neuf dans la construction, six dans l'industrie, cinq dans l'agriculture, la sylviculture ou la pêche, et quatre relatifs au secteur administratif, à l'enseignement, à la santé ou à l'action sociale[40].
Entreprises
La dernière biscotterie artisanale de France, « la Chanteracoise », est implantée à Saint-Germain-du Salembre[41]. Pour s'agrandir et faire face aux demandes de ses clients (production annuelle en hausse de 25 à 30 %), elle change de site en 2011, mais reste sur la commune[42]. Pour faire face à la demande croissante de ses produits, notamment ceux issus de l'agriculture biologique, elle ouvre un deuxième site de production à Saint-Léon-sur-l'Isle en [43].
Culture locale et patrimoine
Lieux et monuments
- Propriété privée, le château de Saint-Germain-du-Salembre, XVe et XVIIe siècles, est inscrit au titre des monuments historiques depuis 1991. Il est bâti sur l'emplacement d'une ancienne villa gallo-romaine[44].
- L'église Saint-Germain[25] a la particularité de présenter deux nefs parallèles : une romane du XIIe siècle au nord, l'autre gothique du XVIe siècle au sud. Il ne reste plus de trace apparente de la partie fortifiée de cette église[45].
- L'aile ouest du château et les douves.
- La tour d'escalier et l'aile nord du château.
- Vestiges de l'ancien pigeonnier castral.
- La façade sud de l'église Saint-Germain.
- La nef sud.
- Tour à côté de l'ancienne usine Aster.
- Lavoir sur la Maligne, en amont du bourg.
Patrimoine naturel
Située à l'est de la forêt de la Double, et traversée par le Salembre, la commune représente un grand intérêt par sa faune et sa flore locales. Des zones de protection y sont donc délimitées.
Dans la totalité de sa traversée du territoire communal, le Salembre et sa vallée font partie de la zone naturelle d'intérêt écologique, faunistique et floristique (ZNIEFF) de type II de la « vallée de l'Isle de Périgueux à Saint-Antoine-sur-l'Isle, le Salembre, le Jouis et le Vern »[46],[47].
En bordure ouest du territoire communal, la vallée du Rieutord — affluent de la Beauronne — et celles de ses affluents sont doublement protégées : par la zone naturelle d'intérêt écologique, faunistique et floristique (ZNIEFF) de type II des « vallées et étangs de la Double »[48],[49], et par le réseau Natura 2000 pour les « vallées de la Double »[50],[51].
Personnalités liées à la commune
- François Louis Poumiès de la Siboutie (1789-1863)[52], né le à Saint-Germain-du-Salembre, médecin réputé exerçant à Paris, auteur de Mémoires publiés en 1910[53].
- Jean Cluseau-Lanauve (1914-1997), artiste peintre, est inhumé au cimetière de Saint-Germain-du-Salemnre.
Voir aussi
Bibliographie
- F. Ladevi-Roche, « Commune de Saint-Germain-du-Salembre », dans Bulletin de la Société historique et archéologique du Périgord, 1887, tome 14, p. 407-410 (lire en ligne)
Articles connexes
Notes et références
Notes et cartes
- Notes
- L'amplitude thermique annuelle mesure la différence entre la température moyenne de juillet et celle de janvier. Cette variable est généralement reconnue comme critère de discrimination entre climats océaniques et continentaux.
- Une précipitation, en météorologie, est un ensemble organisé de particules d'eau liquide ou solide tombant en chute libre au sein de l'atmosphère. La quantité de précipitation atteignant une portion de surface terrestre donnée en un intervalle de temps donné est évaluée par la hauteur de précipitation, que mesurent les pluviomètres[6].
- La distance est calculée à vol d'oiseau entre la station météorologique proprement dite et le chef-lieu de commune.
- Selon le zonage des communes rurales et urbaines publié en novembre 2020, en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le en comité interministériel des ruralités.
- Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2021, millésimée 2018, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2020, date de référence statistique : 1er janvier 2018.
- Cartes
- IGN, « Évolution de l'occupation des sols de la commune sur cartes et photos aériennes anciennes. », sur remonterletemps.ign.fr (consulté le ). Pour comparer l'évolution entre deux dates, cliquer sur le bas de la ligne séparative verticale et la déplacer à droite ou à gauche. Pour comparer deux autres cartes, choisir les cartes dans les fenêtres en haut à gauche de l'écran.
Références
- Florence Broussaud-Le Strat, La Double Un pays en Périgord, Éditions Fanlac, 2006, (ISBN 2-86577-252-7), p. 94.
- Patrick Ranoux, préface de René Pijassou, Atlas de la Dordogne-Périgord, p. 18, Ouvrage publié à compte d'auteur, Speed impression, 1996, (ISBN 978-2-9501-4761-5).
- Daniel Joly, Thierry Brossard, Hervé Cardot, Jean Cavailhes, Mohamed Hilal et Pierre Wavresky, « Les types de climats en France, une construction spatiale », Cybergéo, revue européenne de géographie - European Journal of Geography, no 501, (DOI https://doi.org/10.4000/cybergeo.23155, lire en ligne, consulté le )
- « Le climat en France métropolitaine », sur http://www.meteofrance.fr/, (consulté le )
- « Définition d’une normale climatologique », sur http://www.meteofrance.fr/ (consulté le )
- Glossaire – Précipitation, Météo-France
- « Le climat de la France au XXIe siècle - Volume 4 - Scénarios régionalisés : édition 2014 pour la métropole et les régions d’outre-mer », sur https://www.ecologie.gouv.fr/ (consulté le ).
- [PDF]« Observatoire régional sur l'agriculture et le changement climatique (oracle) Nouvelle-Aquitaine », sur nouvelle-aquitaine.chambres-agriculture.fr, (consulté le )
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- « Station Météo-France Saint-Martin Rib. - fiche climatologique - statistiques 1981-2010 et records », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le ).
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- « Station météorologique de Bergerac - Normales pour la période 1971-2000 », sur https://www.infoclimat.fr/ (consulté le )
- « Station météorologique de Bergerac - Normales pour la période 1981-2010 », sur https://www.infoclimat.fr/ (consulté le )
- « Station météorologique de Bergerac - Normales pour la période 1991-2020 », sur https://www.infoclimat.fr/ (consulté le )
- « Typologie urbain / rural », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
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- « CORINE Land Cover (CLC) - Répartition des superficies en 15 postes d'occupation des sols (métropole). », sur le site des données et études statistiques du ministère de la Transition écologique. (consulté le )
- « Saint-Germain-du-Salembre » sur Géoportail (consulté le 30 septembre 2018)..
- Chantal Tanet et Tristan Hordé, Dictionnaire des noms de lieux du Périgord, Éditions Fanlac, 2000, (ISBN 2-86577-215-2), p. .
- « St. Germain du Salambre » sur Géoportail (consulté le 29 septembre 2018)..
- Abbé Carles, Dictionnaire des paroisses du Périgord, éditions du Roc de Bourzac, Bayac, 2004, (réédition à l'identique de celle de 1884 : Les titulaires et patrons du diocèse de Périgueux et de Sarlat), (ISBN 2-87624-125-0), p. 274.
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- Dossier complet - Commune de Saint-Germain-du-Salembre (24418) - Établissements actifs par secteur d'activité - tableau CEN T1 sur le site de l'Insee, consulté le 28 septembre 2018.
- Laetitia Bonnet, « La dernière biscotterie artisanale de France », Le Mag no 370, supplément à Sud Ouest, 4 mai 2019, p. 26-27.
- Marylin Bernet, « La Chantéracoise voit plus grand », Sud Ouest, édition Périgueux, 7 avril 2011.
- Nancy Ladde, « La biscotte a la cote », Sud Ouest édition Dordogne, 28 avril 2016, p. 13.
- « Château de Saint-Germain-du-Salembre », notice no PA00083080, base Mérimée, ministère français de la Culture. Consulté le 29 septembre 2018.
- Thierry Hourlier, Les églises fortifiées de Dordogne, p. 29, Éditions patrimoines & médias, 1997, (ISBN 2-910137-20-1).
- Vallée de l'Isle de Périgueux à St-Antoine-sur-l'Isle, le Salembre, le Jouis et le Vern sur le site de la DREAL Aquitaine, consulté le 30 septembre 2018.
- Carte de localisation de la ZNIEFF 720012842 sur le site de la DREAL Aquitaine, consulté le 30 septembre 2018. Afin de visualiser correctement la zone par rapport aux communes, dans la « Légende » (en bas à gauche), ouvrir la couche « Référentiels » et barrer la couche « Photographie IGN ».
- Vallées et étangs de la Double sur le site de la DREAL Aquitaine, consulté le 30 septembre 2018.
- Carte de localisation de la ZNIEFF 720008217 sur le site de la DREAL Aquitaine, consulté le 30 septembre 2018. Afin de visualiser correctement la zone par rapport aux communes, dans la « Légende » (en bas à gauche), ouvrir la couche « Référentiels » et barrer la couche « Photographie IGN ».
- Vallées de la Double sur le site de la DREAL Aquitaine, consulté le 30 septembre 2018.
- Carte de localisation des vallées de la Double sur le site de la DREAL Aquitaine, consulté le 30 septembre 2018. Afin de visualiser correctement la zone par rapport aux communes, dans la « Légende » (en bas à gauche), ouvrir la couche « Référentiels » et barrer la couche « Photographie IGN ».
- Guy Penaud, Dictionnaire biographique du Périgord, Éditions Fanlac, 1999, (ISBN 2-86577-214-4), p. 767.
- http://www.ruevisconti.com/Histoire/EnfantsduMarais/PoumiesdelaSiboutie.html
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