Saint-Geniès-des-Mourgues

Saint-Geniès-des-Mourgues est une commune française située dans le département de l'Hérault en région Occitanie.

Pour les articles homonymes, voir Saint-Geniès et Mourgues.

Saint-Geniès-des-Mourgues

L'église abbatiale Saint-Geniès (XIe siècle)

Blason
Administration
Pays France
Région Occitanie
Département Hérault
Arrondissement Montpellier
Intercommunalité Montpellier Méditerranée Métropole
Maire
Mandat
Yvon Pellet
2020-2026
Code postal 34160
Code commune 34256
Démographie
Gentilé Saint-geniérois
Population
municipale
1 967 hab. (2018 )
Densité 173 hab./km2
Géographie
Coordonnées 43° 41′ 52″ nord, 4° 02′ 10″ est
Altitude Min. 23 m
Max. 90[1] m
Superficie 11,37 km2
Type Commune rurale
Unité urbaine Sussargues
(banlieue)
Aire d'attraction Montpellier
(commune de la couronne)
Élections
Départementales Canton du Crès
Législatives Troisième circonscription
Localisation
Géolocalisation sur la carte : région Occitanie
Saint-Geniès-des-Mourgues
Géolocalisation sur la carte : Hérault
Saint-Geniès-des-Mourgues
Géolocalisation sur la carte : France
Saint-Geniès-des-Mourgues
Géolocalisation sur la carte : France
Saint-Geniès-des-Mourgues

    Géographie

    Carte

    Saint-Geniès-des-Mourgues est situé sur l'un des premiers plissements des Cévennes. Le village est situé à 16 kilomètres au nord-est de Montpellier et à 15 kilomètres de la Méditerranée à vol d'oiseau (face à l'étang de l'Or).

    L'origine de la commune remonte à l'an 1019 avec la fondation d'une abbaye dédiée à Saint-Geniès. Les Mourgues (nonnes) ont complété le nom du village. Les habitations se sont développées autour de ce monastère dès le XIIIe siècle. Ce monastère est rattaché à l'abbaye de Maguelone en 1236. La vie du village a perduré autour de la viticulture, des carrières, des vergers et de l'élevage de bovins.

    La commune est située sur la ligne ferroviaire de Montpellier à Nîmes via Sommières, inaugurée le . Cela permettait l'acheminement de foudres de vin à destination des marchés de Beaucaire, Marseille et vers la Bourgogne. Elle est fermée au trafic voyageurs depuis 1970 et marchandises depuis 1971.

    Le village est composé de deux parties. Le centre historique, établi sur une colline, comprend les bâtisses les plus anciennes. Le château et l'église (ancienne abbaye) datent du XIe siècle et sont entourés de maisons de maitre en pierre de taille des carrières de Saint-Geniès (pierre de Castries) et de maisons vigneronnes plus récentes. Le deuxième partie, appelée les Mourguettes, est beaucoup plus récente. La construction de ce quartier date de la fin des années soixante-dix. Vient d'être créé[Quand ?] le quartier vigneron qui complète l'offre de logements sociaux intégrés, déjà présente avec le quartier des Cagnettes. Saint-Geniès-des-Mourgues bénéficie du calme de par son isolement relatif mais aussi de la proximité de Montpellier grâce aux voies d’accès comme la nationale 110 au nord et 113 au sud.

    Le village, rattaché à Montpellier Agglomération, est ancré dans la tradition camarguaise, dans celle du vin et de la pierre. La fête votive de la Saint-Louis (fin août) met en avant la tradition avec des courses camarguaises, des abrivados, bandidos et des jeux taurins ouverts à tous.

    Communes limitrophes

    Communes limitrophes de Saint-Geniès-des-Mourgues
    Sussargues Beaulieu, Restinclières
    Castries Saint-Christol, Lunel-Vieil
    Valergues, Saint-Brès

    Climat

    Paramètres climatiques communaux sur la période 1971-2000

    • Moyenne annuelle de température : 14,2 °C
    • Nombre de jours avec une température inférieure à −5 °C : 1,5 j
    • Nombre de jours avec une température supérieure à 30 °C : 15,4 j
    • Amplitude thermique annuelle[Note 1] : 17 °C
    • Cumuls annuels de précipitation : 730 mm
    • Nombre de jours de précipitation en janvier : 6 j
    • Nombre de jours de précipitation en juillet : 2,7 j

    Le climat qui caractérise la commune est qualifié, en 2010, de « climat méditerranéen franc », selon la typologie des climats de la France qui compte alors huit grands types de climats en métropole[2]. En 2020, la commune ressort du type « climat méditerranéen » dans la classification établie par Météo-France, qui ne compte désormais, en première approche, que cinq grands types de climats en métropole. Pour ce type de climat, les hivers sont doux et les étés chauds, avec un ensoleillement important et des vents violents fréquents[3].

    Les paramètres climatiques qui ont permis d’établir la typologie de 2010 comportent six variables pour les températures et huit pour les précipitations, dont les valeurs correspondent aux données mensuelles sur la normale 1971-2000[4]. Les sept principales variables caractérisant la commune sont présentées dans l'encadré ci-contre[2].

    Avec le changement climatique, ces variables ont évolué. Une étude réalisée en 2014 par la Direction générale de l'Énergie et du Climat[5] complétée par des études régionales[6] prévoit en effet que la température moyenne devrait croître et la pluviométrie moyenne baisser, avec toutefois de fortes variations régionales. Ces changements peuvent être constatés sur la station météorologique de Météo-France la plus proche, « Saint-Drezery », sur la commune de Saint-Drézéry, mise en service en 1980[7]et qui se trouve à km à vol d'oiseau[8],[Note 2], où la température moyenne annuelle est de 14,3 °C et la hauteur de précipitations de 768,4 mm pour la période 1981-2010[9]. Sur la station météorologique historique la plus proche, « Montpellier-Aéroport », sur la commune de Mauguio, mise en service en 1946 et à km[10], la température moyenne annuelle évolue de 14,7 °C pour la période 1971-2000[11], à 15,1 °C pour 1981-2010[12], puis à 15,5 °C pour 1991-2020[13].

    Milieux naturels et biodiversité

    L’inventaire des zones naturelles d'intérêt écologique, faunistique et floristique (ZNIEFF) a pour objectif de réaliser une couverture des zones les plus intéressantes sur le plan écologique, essentiellement dans la perspective d’améliorer la connaissance du patrimoine naturel national et de fournir aux différents décideurs un outil d’aide à la prise en compte de l’environnement dans l’aménagement du territoire. Trois ZNIEFF de type 1[Note 3] sont recensées sur la commune[14] :

    • les « mares et bois des carrières de Beaulieu » (260 ha), couvrant 2 communes du département[15] ;
    • les « Mas des Caves » (231 ha), couvrant 2 communes du département[16],
    • la « vallée de la rivière du Bérange » (99 ha), couvrant 4 communes du département[17] ;

    Urbanisme

    Typologie

    Saint-Geniès-des-Mourgues est une commune rurale, car elle fait partie des communes peu ou très peu denses, au sens de la grille communale de densité de l'Insee[Note 4],[18],[19],[20]. Elle appartient à l'unité urbaine de Sussargues, une agglomération intra-départementale regroupant 2 communes[21] et 4 627 habitants en 2017, dont elle est une commune de la banlieue[22],[23].

    Par ailleurs la commune fait partie de l'aire d'attraction de Montpellier dont elle est une commune de la couronne[Note 5]. Cette aire, qui regroupe 161 communes, est catégorisée dans les aires de 700 000 habitants ou plus (hors Paris)[24],[25].

    Occupation des sols

    Carte des infrastructures et de l'occupation des sols de la commune en 2018 (CLC).

    L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des territoires agricoles (78,8 % en 2018), une proportion identique à celle de 1990 (78,5 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : cultures permanentes (57 %), zones agricoles hétérogènes (12,7 %), milieux à végétation arbustive et/ou herbacée (9,9 %), zones urbanisées (8,1 %), terres arables (8,1 %), forêts (3,1 %), prairies (1 %)[26].

    L'IGN met par ailleurs à disposition un outil en ligne permettant de comparer l’évolution dans le temps de l’occupation des sols de la commune (ou de territoires à des échelles différentes). Plusieurs époques sont accessibles sous forme de cartes ou photos aériennes : la carte de Cassini (XVIIIe siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[Carte 1].

    Toponymie

    Ses habitants sont appelés les Saint-Geniérois.

    La commune se nomme en occitan Sant Ginièis de las Morgas[réf. nécessaire].

    Casdastre napoléonien : plan de la section B (1809)

    Histoire

    Dans l'Antiquité, il existe une villa romaine, Marcianicus[27].

    Sous les Carolingiens, le territoire fait partie de la seigneurie Carus-Locus, où un des seigneurs fonde, en 1019, un monastère bénédictin féminin dédiée à saint Geniès, martyr d'Arles. « Morgas » désignant les religieuses en occitan, le village qui se développe prend le nom de Saint-Geniès des Mourgues[27].

    En 1200, l'abbesse obtient du comte de Toulouse le droit de suzeraineté sur les habitants du village[28].

    Endommagée en 1622[29] par les troupes protestantes du duc de Rohan, le monastère est restaurée à partir de 1636 sur l'ordre du roi de France Louis XIII, avec installation de la première cloche en 1649 et fin des travaux en 1677. En 1736, le monastère obtient le rang d'abbaye avant d'être vendu à la Révolution française comme bien national[28].

    Le [30], Saint-Geniès prend le nom de Saint-Geniès-des-Mourgues.

    Politique et administration

    Liste des maires successifs
    Période Identité Étiquette Qualité
     ?  ? Antonin Coulougnon    
    1919 1941 Paul Coulougnon
    (1888-1974, fils du précédent)
    SFIO Viticulteur, conseiller d'arrondissement du Canton de Castries
    Révoqué par le Gouvernement de Vichy
    1941 1944      
    1945 1971 Paul Coulougnon SFIO Président du Comité de Libération (1944)
    14 mars 1971 11 juin 1995 Jean Farrusseng    
    11 juin 1995 En cours Yvon Pellet DVG Retraité, conseiller départemental depuis 2015

    Démographie

    L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. À partir de 2006, les populations légales des communes sont publiées annuellement par l'Insee. Le recensement repose désormais sur une collecte d'information annuelle, concernant successivement tous les territoires communaux au cours d'une période de cinq ans. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[31]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2007[32].

    En 2018, la commune comptait 1 967 habitants[Note 6], en augmentation de 6,96 % par rapport à 2013 (Hérault : +6,12 %, France hors Mayotte : +1,78 %).

    Évolution de la population  [modifier]
    1793 1800 1806 1821 1831 1836 1841 1846 1851
    347328378450500550603612600
    1856 1861 1866 1872 1876 1881 1886 1891 1896
    641674751819812809749748790
    1901 1906 1911 1921 1926 1931 1936 1946 1954
    860874824870850793741595624
    1962 1968 1975 1982 1990 1999 2006 2007 2012
    6948628341 1121 4151 5091 5961 6091 833
    2017 2018 - - - - - - -
    1 8761 967-------
    De 1962 à 1999 : population sans doubles comptes ; pour les dates suivantes : population municipale.
    (Sources : Ldh/EHESS/Cassini jusqu'en 1999[33] puis Insee à partir de 2006[34].)
    Histogramme de l'évolution démographique

    Culture locale et patrimoine

    Lieux et monuments

    • Les carrières de Saint-Geniès : sentier didactique ;
    • L'abbatiale romane du XIe siècle fut en partie détruite à l'époque moderne et restaurée au XVIIe siècle, à l'exception de la tour du clocher. En 1841, celle-ci est rebâtie, puis élevée d'un campanile en fer en forme de flèche culminant à environ 25 mètres doté d'une horloge et d'une grosse cloche[28].
    • La route des vins de l'Agglomération de Montpellier. Le caveau de dégustation des vignerons ;
    • Les arènes où se déroulent des courses camarguaises notamment pour la fête du village à la Saint-Louis ;
    • L'ancienne gare de type « 3 travées PLM »; propriété privée et fort peu mise en valeur (notamment au niveau de l'ancien quai…), contrairement à ses voisines de Boisseron, Saint-Christol ou encore Castries ; édifiée de 1881 à 1882, inaugurée au trafic en même temps que la ligne de la Vaunage (NîmesSommières), la ligne permettait de relier Sommières à Montpellier via Le Crès. Elle fut définitivement fermée au trafic en 1969/1970 et ses rails déposés en 1980.

    Vues Aériennes

    Héraldique

    Les armoiries de Saint-Geniès-des-Mourgues se blasonnent :
    « D'or à Saint Geniès martyr de carnation habillé de gueules tenant en sa main une palme de sinople, au franc-quartier d'azur chargé d'une crosse d'argent accostée des lettres capitales d'or S à dextre et G à senestre ».

    Personnalités liées à la commune

    • Albert Ayme, peintre, sculpteur, né à Saint-Geniès-des-Mourgues.

    Notes et références

    Notes et cartes

    • Notes
    1. L'amplitude thermique annuelle mesure la différence entre la température moyenne de juillet et celle de janvier. Cette variable est généralement reconnue comme critère de discrimination entre climats océaniques et continentaux.
    2. La distance est calculée à vol d'oiseau entre la station météorologique proprement dite et le chef-lieu de commune.
    3. Les ZNIEFF de type 1 sont des secteurs d’une superficie en général limitée, caractérisés par la présence d’espèces, d’association d’espèces ou de milieux rares, remarquables, ou caractéristiques du milieu du patrimoine naturel régional ou national.
    4. Selon le zonage des communes rurales et urbaines publié en novembre 2020, en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le en comité interministériel des ruralités.
    5. La notion d'aire d'attraction des villes a remplacé, en , celle d'aire urbaine afin de permettre des comparaisons cohérentes avec les autres pays de l'Union européenne.
    6. Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2021, millésimée 2018, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2020, date de référence statistique : 1er janvier 2018.
    • Cartes
    1. IGN, « Évolution de l'occupation des sols de la commune sur cartes et photos aériennes anciennes. », sur remonterletemps.ign.fr (consulté le ). Pour comparer l'évolution entre deux dates, cliquer sur le bas de la ligne séparative verticale et la déplacer à droite ou à gauche. Pour comparer deux autres cartes, choisir les cartes dans les fenêtres en haut à gauche de l'écran.

    Références

    1. Saint-Geniès-des-Mourgues sur le site de l'Institut géographique national
    2. Daniel Joly, Thierry Brossard, Hervé Cardot, Jean Cavailhes, Mohamed Hilal et Pierre Wavresky, « Les types de climats en France, une construction spatiale », Cybergéo, revue européenne de géographie - European Journal of Geography, no 501, (DOI https://doi.org/10.4000/cybergeo.23155, lire en ligne, consulté le )
    3. « Le climat en France métropolitaine », sur http://www.meteofrance.fr/, (consulté le )
    4. « Définition d’une normale climatologique », sur http://www.meteofrance.fr/ (consulté le )
    5. « Le climat de la France au XXIe siècle - Volume 4 - Scénarios régionalisés : édition 2014 pour la métropole et les régions d’outre-mer », sur https://www.ecologie.gouv.fr/ (consulté le ).
    6. « Observatoire régional sur l'agriculture et le changement climatique (oracle) Occitanie », sur occitanie.chambre-agriculture.fr, (consulté le )
    7. « Station Météo-France Saint-Drezery - métadonnées », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le )
    8. « Orthodromie entre Saint-Geniès-des-Mourgues et Saint-Drézéry », sur fr.distance.to (consulté le ).
    9. « Station Météo-France Saint-Drezery - fiche climatologique - statistiques 1981-2010 et records », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le ).
    10. « Orthodromie entre Saint-Geniès-des-Mourgues et Mauguio », sur fr.distance.to (consulté le ).
    11. « Station météorologique de Montpellier-Aéroport - Normales pour la période 1971-2000 », sur https://www.infoclimat.fr/ (consulté le )
    12. « Station météorologique de Montpellier-Aéroport - Normales pour la période 1981-2010 », sur https://www.infoclimat.fr/ (consulté le )
    13. « Station météorologique de Montpellier-Aéroport - Normales pour la période 1991-2020 », sur https://www.infoclimat.fr/ (consulté le )
    14. « Liste des ZNIEFF de la commune de Saint-Geniès-des-Mourgues », sur le site de l'Inventaire national du patrimoine naturel (consulté le ).
    15. « ZNIEFF les « mares et bois des carrières de Beaulieu » - fiche descriptive », sur le site de l'inventaire national du patrimoine naturel (consulté le ).
    16. « ZNIEFF les « Mas des Caves » - fiche descriptive », sur le site de l'inventaire national du patrimoine naturel (consulté le ).
    17. « ZNIEFF la « vallée de la rivière du Bérange » - fiche descriptive », sur le site de l'inventaire national du patrimoine naturel (consulté le ).
    18. « Typologie urbain / rural », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
    19. « Commune rurale - définition », sur le site de l’Insee (consulté le ).
    20. « Comprendre la grille de densité », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
    21. « Unité urbaine 2020 de Sussargues », sur https://www.insee.fr/ (consulté le ).
    22. « Base des unités urbaines 2020 », sur www.insee.fr, (consulté le ).
    23. Vianney Costemalle, « Toujours plus d’habitants dans les unités urbaines », sur le site de l'Institut national de la statistique et des études économiques, (consulté le ).
    24. « Base des aires d'attraction des villes 2020. », sur le site de l'Institut national de la statistique et des études économiques, (consulté le ).
    25. Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier Pégaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans l’aire d’attraction d’une ville », sur le site de l'Institut national de la statistique et des études économiques, (consulté le ).
    26. « CORINE Land Cover (CLC) - Répartition des superficies en 15 postes d'occupation des sols (métropole). », sur le site des données et études statistiques du ministère de la Transition écologique. (consulté le )
    27. « Saint Geniès des Mourgues, 1000 ans d'histoire ! », publié le par Yvon Pellet (maire de Saint-Geniès-des-Mourgues), sur le site de Montpellier Méditerranée Métropole (consulté le ).
    28. Yvon Pellet, « Visite de l’église abbatiale », Au fil du Baladas (bulletin d'informations municipales de Saint-Geniès-des-Mourgues), no 11, , p. 17 / 20 (lire en ligne [PDF], consulté le ).
    29. Église de St Geniès des Mourgues, publié sur le site de la paroisse Saint Padre Pio et Saint François-Régis (consulté le ).
    30. Bulletin des lois, 1895, L-397
    31. L'organisation du recensement, sur insee.fr.
    32. Calendrier départemental des recensements, sur insee.fr.
    33. Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes études en sciences sociales.
    34. Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017 et 2018.

    Voir aussi

    Bibliographie

    • Martine Assenat, « Prospection et archéologique du paysage : l'exemple de Saint-Génies-des-Mourgues (Hérault) », Archéologie en Languedoc, nos 2-3, , p. 93-102
    • Club Taurin Le Trident, Taureaux à Saint-Geniès-des-Mourgues, Saint-Geniès-des-Mourgues, Club Taurin le Trident, , 387 p.
    • Émile Hollier, Abbaye de Saint-Geniès-des-Mourgues (essai historique), Avignon, éd. Aubanel fils aîné, , 177 p.
    • Jean Verdon, « Recherches sur les monastères féminins dans la France du Sud aux IXe-XIe siècles », Annales du Midi, no 127, , p. 117-138

    Fonds d'archives

    Articles connexes

    Liens externes

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