Sussargues

Sussargues (en occitan Suçargues) est une commune française située dans le département de l'Hérault en région Occitanie.

Sussargues

Église Saint-Martin

Blason

Logo
Administration
Pays France
Région Occitanie
Département Hérault
Arrondissement Montpellier
Intercommunalité Montpellier Méditerranée Métropole
Maire
Mandat
Eliane Lloret
2020-2026
Code postal 34160
Code commune 34307
Démographie
Gentilé Sussarguois
Population
municipale
2 776 hab. (2018 )
Densité 428 hab./km2
Population
agglomération
4 545 hab. (2017)
Géographie
Coordonnées 43° 42′ 45″ nord, 4° 00′ 11″ est
Altitude Min. 35 m
Max. 126 m
Superficie 6,48 km2
Type Commune urbaine
Unité urbaine Sussargues
(ville-centre)
Aire d'attraction Montpellier
(commune de la couronne)
Élections
Départementales Canton du Crès
Législatives Troisième circonscription
Localisation
Géolocalisation sur la carte : région Occitanie
Sussargues
Géolocalisation sur la carte : Hérault
Sussargues
Géolocalisation sur la carte : France
Sussargues
Géolocalisation sur la carte : France
Sussargues
Liens
Site web ville-sussargues.fr

    Ses habitants sont appelés les Sussarguois (surnommés Rousigapotes, signifiant mangeurs de thym en occitan[réf. nécessaire]).

    Géographie

    Carte
    Plan cadastral de la section du Village, Le Plan, Les Bois et Mouticlergue (1808)

    La commune de Sussargues est située dans l'arrière pays montpelliérain à une demi-heure de la Méditerranée et une heure des hauteurs cévenoles. Elle est la ville-centre d'une unité urbaine de l'aire urbaine de Montpellier.

    Hydrographie

    La commune est arrosée par deux cours d'eau : le Bérange et le Valentibus.

    Géologie et relief

    La superficie de la commune est de 648 hectares ; son altitude varie de 35 à 126 mètres[1].

    Son paysage est légèrement vallonné de bois, de garrigues, de prés, de carrières et de vignes.

    Communes limitrophes

    Elle est limitrophe de Castries au sud-ouest, Saint-Drézéry au nord-ouest, Beaulieu au nord-est, Saint-Geniès-des-Mourgues au sud-est.

    Voies de communication et transports

    Elle est desservie via la route nationale 110 qui relie Montpellier à Sommières et par la D120 qui la relie à Campagne.

    Climat

    Paramètres climatiques communaux sur la période 1971-2000

    • Moyenne annuelle de température : 14,2 °C
    • Nombre de jours avec une température inférieure à −5 °C : 2 j
    • Nombre de jours avec une température supérieure à 30 °C : 17,3 j
    • Amplitude thermique annuelle[Note 1] : 16,8 °C
    • Cumuls annuels de précipitation : 762 mm
    • Nombre de jours de précipitation en janvier : 5,9 j
    • Nombre de jours de précipitation en juillet : 2,9 j

    Le climat qui caractérise la commune est qualifié, en 2010, de « climat méditerranéen franc », selon la typologie des climats de la France qui compte alors huit grands types de climats en métropole[2]. En 2020, la commune ressort du type « climat méditerranéen » dans la classification établie par Météo-France, qui ne compte désormais, en première approche, que cinq grands types de climats en métropole. Pour ce type de climat, les hivers sont doux et les étés chauds, avec un ensoleillement important et des vents violents fréquents[3].

    Les paramètres climatiques qui ont permis d’établir la typologie de 2010 comportent six variables pour les températures et huit pour les précipitations, dont les valeurs correspondent aux données mensuelles sur la normale 1971-2000[4]. Les sept principales variables caractérisant la commune sont présentées dans l'encadré ci-contre[2].

    Avec le changement climatique, ces variables ont évolué. Une étude réalisée en 2014 par la Direction générale de l'Énergie et du Climat[5] complétée par des études régionales[6] prévoit en effet que la température moyenne devrait croître et la pluviométrie moyenne baisser, avec toutefois de fortes variations régionales. Ces changements peuvent être constatés sur la station météorologique de Météo-France la plus proche, « Saint-Drezery », sur la commune de Saint-Drézéry, mise en service en 1980[7]et qui se trouve à km à vol d'oiseau[8],[Note 2], où la température moyenne annuelle est de 14,3 °C et la hauteur de précipitations de 768,4 mm pour la période 1981-2010[9]. Sur la station météorologique historique la plus proche, « Montpellier-Aéroport », sur la commune de Mauguio, mise en service en 1946 et à 11 km[10], la température moyenne annuelle évolue de 14,7 °C pour la période 1971-2000[11], à 15,1 °C pour 1981-2010[12], puis à 15,5 °C pour 1991-2020[13].

    Milieux naturels et biodiversité

    L’inventaire des zones naturelles d'intérêt écologique, faunistique et floristique (ZNIEFF) a pour objectif de réaliser une couverture des zones les plus intéressantes sur le plan écologique, essentiellement dans la perspective d’améliorer la connaissance du patrimoine naturel national et de fournir aux différents décideurs un outil d’aide à la prise en compte de l’environnement dans l’aménagement du territoire. Deux ZNIEFF de type 1[Note 3] sont recensées sur la commune[14] : les « garrigues Basses de Sussargue » (8 ha)[15] et la « vallée de la rivière du Bérange » (99 ha), couvrant 4 communes du département[16].

    Urbanisme

    Typologie

    Sussargues est une commune urbaine, car elle fait partie des communes denses ou de densité intermédiaire, au sens de la grille communale de densité de l'Insee[Note 4],[17],[18],[19]. Elle appartient à l'unité urbaine de Sussargues, une agglomération intra-départementale regroupant 2 communes[20] et 4 627 habitants en 2017, dont elle est ville-centre[21],[22].

    Par ailleurs la commune fait partie de l'aire d'attraction de Montpellier, dont elle est une commune de la couronne[Note 5]. Cette aire, qui regroupe 161 communes, est catégorisée dans les aires de 700 000 habitants ou plus (hors Paris)[23],[24].

    Occupation des sols

    Carte des infrastructures et de l'occupation des sols de la commune en 2018 (CLC).

    L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des territoires agricoles (56,7 % en 2018), une proportion sensiblement équivalente à celle de 1990 (58,4 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : cultures permanentes (49,1 %), zones urbanisées (20,9 %), forêts (15,5 %), milieux à végétation arbustive et/ou herbacée (6,9 %), zones agricoles hétérogènes (4,1 %), prairies (3,5 %)[25].

    L'IGN met par ailleurs à disposition un outil en ligne permettant de comparer l’évolution dans le temps de l’occupation des sols de la commune (ou de territoires à des échelles différentes). Plusieurs époques sont accessibles sous forme de cartes ou photos aériennes : la carte de Cassini (XVIIIe siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[Carte 1].

    Toponymie

    Sussargues, comme de beaucoup de villages languedociens, tire son nom et son emplacement des villæ (domaines) créées par les Romains. Le nom de Sussargues serait issu du nom latin Surtius auquel on rajoute le suffixe anicis et signifierait : domaine appartenant à Surtius.

    Les plus anciennes orthographes rencontrées sont les suivantes (d'après le dictionnaire topographique de Thomas) :

    • Sorcianico, 1004 (cartulaire Gellone) ;
    • Surcanico, 1011 ;
    • Sussanicis, XIIe siècle (cartulaire Maguelone) ;
    • Susargues, 1622 (Le Clerc. carte Dauph. Languedoc) ;
    • Sussargues, 1626 (De Beins. carte Bas Languedoc).

    La majorité des villages dont le nom se termine en « argues » sont situés de part et d'autre du Vidourle, sur une bande de vingt kilomètres de large environ.

    Histoire

    La commune a été rattachée au canton de Castries le .

    Héraldique

    Les armes de Sussargues se blasonnent :
    « d'azur à un saint Martin à cheval donnant la moitié de son manteau à un pauvre, le tout d'or »[26].

    Politique et administration

    La mairie.
    Liste des maires successifs
    Période Identité Étiquette Qualité
    mai 1790 novembre 1792 Ribeyrolles  ?  ?
    novembre 1792 1796 Jean Gabriel Marioge  ?  ?
    1799 1800 Jacques Ricous  ?  ?
    1800 1816 Antoine Ramond  ?  ?
    1816 1819 Jean Ricome  ?  ?
    1819 1820 Paul Aubanel  ?  ?
    1820 1827 Philippe Marioge  ?  ?
    1827 1832 André Barrandon  ?  ?
    1832 janvier 1834 Paul Coulomb  ?  ?
    janvier 1834 juin 1834 Antoine Majurel  ?  ?
    juin 1834 1835 Pierre Ramond  ?  ?
    1835 1843 Laurent Ricome  ?  ?
    1843 1852 Jean Majurel  ?  ?
    1852 1855 Théodore Gilode  ?  ?
    1855 1857 Jean Majurel  ?  ?
    1857 1862 Théodore Gilode  ?  ?
    1862 juin 1870 Laurent Jeanjean  ?  ?
    juin 1870 1874 Jean Jacques Coulomb  ?  ?
    1874 1876 André Peyre  ?  ?
    1876 1877 Jean Jacques Coulomb  ?  ?
    1877 1878 Peyre  ?  ?
    1878 1881 Jean Jacques Coulomb  ?  ?
    1881 1884 Emile Reboul  ?  ?
    1884 1888 Jean Jacques Coulomb  ?  ?
    1888 1897 Jean Jacques Coulomb fils  ? maître-carrier
    1897 1908 Eugène Boulet  ?  ?
    1908 décembre 1909 Léon Chauliac  ?  ?
    décembre 1909 1910 Alfred Reboul  ?  ?
    décembre 1909 1929 Eugène Boulet  ?  ?
    1929 1931 Guillaume Callet  ?  ?
    1931 1935 Gratien Guibert Rad.  ?
    1935 1944 Clément Majurel  ? viticulteur
    1944 1951 Félix Crouzat  ?  ?
    1951 1965 Michel Ricome  ? Viticulteur
    1965 1971 Léon Bassier  ?  ?
    1971 mars 1983 Louis Bouis  ? viticulteur
    mars 1983 mars 2014 Alain Barrandon PS retraité de l'Éducation Nationale
    mars 2014 En cours Eliane Lloret DVG[27] Attachée territoriale
    Les données manquantes sont à compléter.

    Jumelage

    Démographie

    L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. À partir de 2006, les populations légales des communes sont publiées annuellement par l'Insee. Le recensement repose désormais sur une collecte d'information annuelle, concernant successivement tous les territoires communaux au cours d'une période de cinq ans. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[29]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2004[30].

    En 2018, la commune comptait 2 776 habitants[Note 6], en augmentation de 5,67 % par rapport à 2013 (Hérault : +6,12 %, France hors Mayotte : +1,78 %).

    Évolution de la population  [modifier]
    1793 1800 1806 1821 1831 1836 1841 1846 1851
    165135172148176183194262271
    1856 1861 1866 1872 1876 1881 1886 1891 1896
    299296329323336302319406419
    1901 1906 1911 1921 1926 1931 1936 1946 1954
    412418423446338338317230245
    1962 1968 1975 1982 1990 1999 2004 2009 2014
    2542845771 0601 7182 1252 2892 4962 649
    2018 - - - - - - - -
    2 776--------
    De 1962 à 1999 : population sans doubles comptes ; pour les dates suivantes : population municipale.
    (Sources : Ldh/EHESS/Cassini jusqu'en 1999[31] puis Insee à partir de 2006[32].)
    Histogramme de l'évolution démographique

    Activités économiques

    Activités culturelles

    Des manifestations d'envergure ont lieu régulièrement sur la commune (ex : Le festival de Radio France et Montpellier). Sussargues organise sa fête votive à la mi juin. Pour la rentrée les associations de Sussargues organisent la bodega des associations. Chaque été a également lieu le festival "Les Arts des Vignes", sorte de fête votive associative organisée en plein air dans une ambiance bon enfant.

    Culture locale et patrimoine

    Lieux et monuments

    • L'église Saint-Martin est mentionnée en 1011. Une de ses cloches, datant de 1737 et classée MH a été réalisée par la maître fondeur Jean Poutingon.
      De la première église romane seul le mur sud avec son décor de colonnes est séparé par des bandeaux à damier est encore en place. L'édifice est classé aux Monuments Historiques, il n'a pas d'abside et offre un aspect insolite avec son plan rectangulaire et ses 4 épées contrefort d'angle qui cantonne le chevet plat et la façade. L'Église a été remaniée au 19e siècle, le porche d'entrée d'origine se situe sur la façade nord une petite porte étroite percé tardivement se trouve sur la façade ouest, en 1845 un campanile simple a été rajouté sur la moitié de la façade et en 1889 cette tour a été équipée d'une horloge ;
    • De remarquables carrières de pierre, où l'extraction manuelle a été pratiquée jusqu'au milieu du XXe siècle. Elles ont produit un calcaire coquiller tendre, jaune clair, utilisé dans de nombreux bâtiments de Montpellier ;
    • La carrière dite de La Font d'Armand a été aménagée comme lieu de spectacles de plein air.

    Personnalités liées à la commune

    Vues aériennes

    Notes et références

    Notes et cartes

    • Notes
    1. L'amplitude thermique annuelle mesure la différence entre la température moyenne de juillet et celle de janvier. Cette variable est généralement reconnue comme critère de discrimination entre climats océaniques et continentaux.
    2. La distance est calculée à vol d'oiseau entre la station météorologique proprement dite et le chef-lieu de commune.
    3. Les ZNIEFF de type 1 sont des secteurs d’une superficie en général limitée, caractérisés par la présence d’espèces, d’association d’espèces ou de milieux rares, remarquables, ou caractéristiques du milieu du patrimoine naturel régional ou national.
    4. Selon le zonage des communes rurales et urbaines publié en novembre 2020, en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le en comité interministériel des ruralités.
    5. La notion d'aire d'attraction des villes a remplacé en octobre 2020 l'ancienne notion d'aire urbaine, pour permettre des comparaisons cohérentes avec les autres pays de l'Union européenne.
    6. Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2021, millésimée 2018, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2020, date de référence statistique : 1er janvier 2018.
    • Cartes
    1. IGN, « Évolution de l'occupation des sols de la commune sur cartes et photos aériennes anciennes. », sur remonterletemps.ign.fr (consulté le ). Pour comparer l'évolution entre deux dates, cliquer sur le bas de la ligne séparative verticale et la déplacer à droite ou à gauche. Pour comparer deux autres cartes, choisir les cartes dans les fenêtres en haut à gauche de l'écran.

    Références

    1. Répertoire géographique des communes, publié par l'Institut national de l'information géographique et forestière, [lire en ligne].
    2. Daniel Joly, Thierry Brossard, Hervé Cardot, Jean Cavailhes, Mohamed Hilal et Pierre Wavresky, « Les types de climats en France, une construction spatiale », Cybergéo, revue européenne de géographie - European Journal of Geography, no 501, (DOI https://doi.org/10.4000/cybergeo.23155, lire en ligne, consulté le )
    3. « Le climat en France métropolitaine », sur http://www.meteofrance.fr/, (consulté le )
    4. « Définition d’une normale climatologique », sur http://www.meteofrance.fr/ (consulté le )
    5. « Le climat de la France au XXIe siècle - Volume 4 - Scénarios régionalisés : édition 2014 pour la métropole et les régions d’outre-mer », sur https://www.ecologie.gouv.fr/ (consulté le ).
    6. « Observatoire régional sur l'agriculture et le changement climatique (oracle) Occitanie », sur occitanie.chambre-agriculture.fr, (consulté le )
    7. « Station Météo-France Saint-Drezery - métadonnées », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le )
    8. « Orthodromie entre Sussargues et Saint-Drézéry », sur fr.distance.to (consulté le ).
    9. « Station Météo-France Saint-Drezery - fiche climatologique - statistiques 1981-2010 et records », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le ).
    10. « Orthodromie entre Sussargues et Mauguio », sur fr.distance.to (consulté le ).
    11. « Station météorologique de Montpellier-Aéroport - Normales pour la période 1971-2000 », sur https://www.infoclimat.fr/ (consulté le )
    12. « Station météorologique de Montpellier-Aéroport - Normales pour la période 1981-2010 », sur https://www.infoclimat.fr/ (consulté le )
    13. « Station météorologique de Montpellier-Aéroport - Normales pour la période 1991-2020 », sur https://www.infoclimat.fr/ (consulté le )
    14. « Liste des ZNIEFF de la commune de Sussargues », sur le site de l'Inventaire national du patrimoine naturel (consulté le ).
    15. « ZNIEFF les « garrigues Basses de Sussargue » - fiche descriptive », sur le site de l'inventaire national du patrimoine naturel (consulté le ).
    16. « ZNIEFF la « vallée de la rivière du Bérange » - fiche descriptive », sur le site de l'inventaire national du patrimoine naturel (consulté le ).
    17. « Typologie urbain / rural », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
    18. « Commune urbaine - définition », sur le site de l’Insee (consulté le ).
    19. « Comprendre la grille de densité », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
    20. « Unité urbaine 2020 de Sussargues », sur https://www.insee.fr/ (consulté le ).
    21. « Base des unités urbaines 2020 », sur www.insee.fr, (consulté le ).
    22. Vianney Costemalle, « Toujours plus d’habitants dans les unités urbaines », sur insee.fr, (consulté le ).
    23. « Base des aires d'attraction des villes 2020. », sur insee.fr, (consulté le ).
    24. Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier Pégaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans l’aire d’attraction d’une ville », sur insee.fr, (consulté le ).
    25. « CORINE Land Cover (CLC) - Répartition des superficies en 15 postes d'occupation des sols (métropole). », sur le site des données et études statistiques du ministère de la Transition écologique. (consulté le )
    26. Didier Catarina et Jean-Paul Fernon, Armorial des communes de l'Hérault, Artistes en Languedoc, (ISSN 1264-5354), p 70.
    27. « Résultats municipales 2020 à Sussargues », sur Le Monde.fr (consulté le ).
    28. « Gemeindepartnerschaften » Site web de la commune de Lahntal, consulté le 1er juillet 2017.
    29. L'organisation du recensement, sur insee.fr.
    30. Calendrier départemental des recensements, sur insee.fr.
    31. Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes études en sciences sociales.
    32. Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017 et 2018.

    Voir aussi

    Bibliographie

    • Jacques Robert, Sussargues : à la recherche des habitants d'un village du Languedoc à travers les siècles, Nîmes, C. Lacour, coll. « Colporteur », , 210 p.
    • Il était une fois… Sussargues - collectif - Éditions du Mistral - 2006

    Fonds d'archives

    Articles connexes

    Liens externes

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