Saint-Alban-d'Ay

Saint-Alban-d'Ay est une commune française du département de l'Ardèche, en région Auvergne-Rhône-Alpes. Au dernier recensement de 2018, la commune comptait 1 406 habitants.

Pour les articles homonymes, voir Saint-Alban.

Saint-Alban-d'Ay

Vue générale vers le nord.
Administration
Pays France
Région Auvergne-Rhône-Alpes
Département Ardèche
Arrondissement Tournon-sur-Rhône
Intercommunalité Communauté de communes du Val d'Ay
Maire
Mandat
André Joseph Maurice Ferrand
2020-2026
Code postal 07790
Code commune 07205
Démographie
Gentilé Saintalbanais
Population
municipale
1 406 hab. (2018 )
Densité 59 hab./km2
Géographie
Coordonnées 45° 11′ 19″ nord, 4° 38′ 20″ est
Altitude Min. 369 m
Max. 1 181 m
Superficie 23,73 km2
Unité urbaine Commune rurale
Aire d'attraction Annonay
(commune de la couronne)
Élections
Départementales Canton du Haut-Vivarais
Législatives Deuxième circonscription
Localisation
Géolocalisation sur la carte : Auvergne-Rhône-Alpes
Saint-Alban-d'Ay
Géolocalisation sur la carte : Ardèche
Saint-Alban-d'Ay
Géolocalisation sur la carte : France
Saint-Alban-d'Ay
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Saint-Alban-d'Ay
Liens
Site web mairie-saintalbanday.fr

    Géographie

    La commune de Saint-Alban-d'Ay occupe une assez vaste superficie de 23 km2 « entre montagne et vallée », selon le slogan qu'elle s'est choisi : depuis les 380 m de la rivière d'Ay aux 1 191 m du Suc de Vent. Côté montagne, les plis du relief abritent plus de trente hameaux, encore tous habités. Au-delà, c'est la forêt, qui occupe un tiers de la superficie communale.

    Communes limitrophes

    Saint-Alban-d'Ay est limitrophe de cinq communes[1], toutes situées dans le département de l'Ardèche et réparties géographiquement de la manière suivante :

    Roiffieux
    Vocance N Quintenas
    O    Saint-Alban-d'Ay    E
    S
    Satillieu Saint-Romain-d'Ay

    Urbanisme

    Typologie

    Saint-Alban-d'Ay est une commune rurale[Note 1],[2]. Elle fait en effet partie des communes peu ou très peu denses, au sens de la grille communale de densité de l'Insee[3],[4].

    Par ailleurs la commune fait partie de l'aire d'attraction d'Annonay, dont elle est une commune de la couronne[Note 2]. Cette aire, qui regroupe 37 communes, est catégorisée dans les aires de 50 000 à moins de 200 000 habitants[5],[6].

    Occupation des sols

    Carte des infrastructures et de l'occupation des sols de la commune en 2018 (CLC).

    L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des territoires agricoles (48,5 % en 2018), une proportion sensiblement équivalente à celle de 1990 (50,1 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : forêts (48,2 %), prairies (24,4 %), zones agricoles hétérogènes (20,7 %), terres arables (3,4 %), zones urbanisées (3,2 %)[7].

    L'IGN met par ailleurs à disposition un outil en ligne permettant de comparer l’évolution dans le temps de l’occupation des sols de la commune (ou de territoires à des échelles différentes). Plusieurs époques sont accessibles sous forme de cartes ou photos aériennes : la carte de Cassini (XVIIIe siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[8].

    Histoire

    La source restaurée et le lavoir, sous le bâtiment de la mairie.

    L'habitat s'est installé il y a sans doute très longtemps aux abords du plateau. On trouve par exemple des pierres à cupules sur la colline de Peyre-Bœuf qui domine le village actuel. Ce dernier était sans doute situé sur une ancienne voie d'Annonay au Velay. Une agglomération s'est formée autour du château actuel des Rieux, qui existe depuis au moins depuis 1280. À la fin du XVIe siècle, le village s'est réorganisé à sa place actuelle, sous l'église, où l'on trouve de belles façades traditionnelles. Une de ces maisons a abrité la famille du compositeur ardéchois Vincent d'Indy. Saint-Alban-d'Ay a compté jusqu'à 1 404 habitants en 1851, et son activité agricole a favorisé l'installation de grandes propriétés, avec encore quatre châteaux sur son territoire. Mais la commune a connu ensuite un déclin, avec seulement 738 habitants en 1968. Depuis, la construction de maisons individuelles a ramené la population à son niveau maximum d'autrefois. L'activité agricole s'est assez bien maintenue, avec encore une dizaine d'agriculteurs à plein temps. Des commerces et des services essentiels se réinstallent progressivement. L'activité associative est importante avec une vingtaine d'associations :

    • Fnaca, jeunes AAJSA, Ogec Saint-Roch, Apel Saint-Roch, Amicale laïque, Le Sou des Écoles, cantine Les petits croque-tout, aînés Rencontres Albanaises.
    • ACCA, Amicale Boule, AAJSA Section foot.
    • Batterie fanfare L'Avenir, chorale Chant'Ay.
    • Comité des fêtes, Syndicat agricole.
    • Bibliothèque, Les Amis de la Truffole (1995), La Truffole fonds historique, Aidons le Burkina Faso.

    Politique et administration

    Liste des maires successifs[9]
    Période Identité Étiquette Qualité
    Les données manquantes sont à compléter.
        Jean de Missolz CD Conseiller général du canton de Satillieu
    Initiateur et président du SIVM du canton (1964-1975)[10]
        Lucien Brunel   Président du SIVM du canton (1987-2001)[10]
    mars 2001 mars 2008 Bernard Riffard    
    mars 2008 En cours
    (au )
    André [Joseph Maurice] Ferrand[11],[12]  ? puis LR Administrateur de sociétés

    Population et société

    Démographie

    L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. À partir de 2006, les populations légales des communes sont publiées annuellement par l'Insee. Le recensement repose désormais sur une collecte d'information annuelle, concernant successivement tous les territoires communaux au cours d'une période de cinq ans. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[13]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2007[14].

    En 2018, la commune comptait 1 406 habitants[Note 3], en augmentation de 7,74 % par rapport à 2013 (Ardèche : +1,94 %, France hors Mayotte : +1,78 %).

    Évolution de la population  [modifier]
    1793 1800 1806 1821 1831 1836 1841 1846 1851
    1 2159601 1631 2291 1821 2091 2111 3321 404
    1856 1861 1866 1872 1876 1881 1886 1891 1896
    1 3361 3771 3711 3301 2901 2211 2131 2571 218
    1901 1906 1911 1921 1926 1931 1936 1946 1954
    1 1361 1381 004892877846840798779
    1962 1968 1975 1982 1990 1999 2006 2007 2012
    7697387828891 0051 1181 2481 2661 316
    2017 2018 - - - - - - -
    1 3971 406-------
    De 1962 à 1999 : population sans doubles comptes ; pour les dates suivantes : population municipale.
    (Sources : Ldh/EHESS/Cassini jusqu'en 1999[15] puis Insee à partir de 2006[16].)
    Histogramme de l'évolution démographique

    Enseignement

    Saint-Alban-d'Ay dépend de l'académie de Grenoble. Elle gère une école primaire publique nommée « du Petit Prince », comprenant quatre classes[réf. souhaitée] et 82 élèves scolarisés en 2015-2016[17] ; il existe aussi une école élémentaire privée Saint-Roch[18] comprenant trois classes[réf. souhaitée].

    Manifestations culturelles et festivités

    Le Comité des Fêtes de Saint-Alban-d'Ay a été créé en 1995. Il s'agit d'une association autonome, et qui parvient à rassembler les bénévoles des autres associations dans les grandes circonstances. Actuellement, il organise quatre grandes animations dans l'année : un vide greniers en mai, le passage de l'Ardéchoise en juin, un grand marché semi-nocturne et festif début août et la Fête des Illuminations le 8 décembre. Le Comité a acquis du matériel de fête qu'il prête aux associations et aux particuliers.

    Économie

    Commerces et services

    Le village compte plusieurs commerces, ainsi que le restaurant La Truffolie.

    Culture locale et patrimoine

    L'église et le village

    La croix de peste, du XVIe siècle.

    L'église actuelle du village, bâtie sur l'emplacement de l'église primitive, date de 1882, avec son style néo-gothique qui était à la mode à cette époque. Ses vitraux sont cependant remarquables par leur qualité, réalisés par le maître-verrier lyonnais Dufrêne. Elle est dédiée à saint Alban et à saint Roch et elle fait partie de la paroisse catholique Saint-François Régis (Ay-Daronne)[19].

    Près de l'entrée de l'église, on pourra remarquer une belle croix de peste à personnages réalisée au XVIe siècle et classée monument historique en 1933.

    Les dernières équipes municipales se sont attachées à mettre en valeur les éléments les plus estimables du centre village : la source communale et le lavoir (contre le bâtiment de la mairie) et la source St-Roch (plus à l'écart au nord). Les maisons les plus anciennes se situent sous l'église. La plus remarquable a appartenu à une branche de la famille du musicien cévenol Vincent d'Indy.

    Quatre châteaux

    Le château des Rieux, le plus ancien de la commune.

    Le château des Rieux est le plus ancien, construit aux alentours de 1280. Ses réaménagements ultérieurs lui ont conservé une allure remarquable de château défensif. Ses parties les plus anciennes sont probablement la partie nord située autour du grand donjon carré. Au XIVe siècle, le site appartenait à un seigneur, André Fabry, dont le nom a évolué ensuite en Faure, puis Faure des Rieux et enfin Du Faure. Par le jeu des mariages, le nom des propriétaires a changé plusieurs fois après 1650. Fin XIXe, par exemple, les Vachon de Lestra, dont un des membres a été maire de Satillieu et conseiller général. La famille Gaspard, actuelle propriétaire, fait toujours partie de cette même lignée.

    Le château de Pierre Grosse est proche de celui des Rieux, séparé seulement par le début du ruisseau d'Embrun. Son nom vient certainement du gros rocher qui a été ensuite inclus dans une partie plus récente. Les deux tours rondes des angles Est sont les plus anciennes. Les deux tours carrées de l'ouest, plus résidentielles, datent de périodes moins troublées. En 1415, le château appartenait à un Gonon de Pierregrosse. Il a abrité plus tard des Romanet de Lestrange puis vers 1850 Auguste de la Fayolle de Mars. En 1866, Louis de la Fayolle de Mars épousait Hélène Vachon de Lestra, de la famille voisine des Rieux. Leur fils Louis a été maire de St-Alban entre 1927 et 1929. La propriété a été vendue par deux fois, en 1990 et en 1998.

    Le château de la Faurie est un grand bâtiment résidentiel construit en 1611 et plusieurs fois remanié, notamment à la fin du XVIIIe et au début du XXe siècle. Il continue d'appartenir à la famille de Romanet, qui a étendu son nom à celui des de Lestrange à l’occasion d’un mariage en 1743. Jean-Louis-Baptiste, marquis de Lestrange, a été maire de Saint-Alban d’Ay de 1802 à 1830 et conseiller général du canton de 1833 à 1851. Les descendants actuels portent le nom de Colas des Francs. La grand-mère d'Antoine de Saint-Exupéry, née de Lestrange, y a donné naissance en 1875 à la mère de l'écrivain. Ce dernier y est venu au moins une fois en vacances, en 1907.

    Le château du Plantier a été construit sur le versant exposé au sud de la vallée de l'Ay, sur la paroisse de Saint-Romain. Son origine remonte sans doute au XVe siècle avec un réaménagement important vers 1780 par Bernard de Chaves de la Chavas. Le château est resté depuis dans la même famille. Celle-ci a été aussi propriétaire du château de Notre Dame d'Ay. En 1831, Mme de Larochette, qui résidait au Plantier, s'est occupée d'agrandir la chapelle du sanctuaire. La propriété du Plantier continue d'être entretenue par les du Peloux, descendants de la même lignée.

    Ces quatre châteaux appartiennent à des propriétaires privés, qui s'appliquent à maintenir à leurs sites leurs caractères remarquables.

    Le berceau de la Truffole

    La fontaine créée en l'honneur de la truffole.

    La culture de la pomme de terre a été popularisée en France par le pharmacien agronome Antoine Parmentier à partir de 1771. Mais ce tubercule originaire d'Amérique du Sud avait été importé en Europe à partir de 1534. Saint-Alban d'Ay s'en réclame comme un berceau précoce, car un texte certifie qu'elle y a été introduite vers 1540[20]. Elle avait été apportée d'Espagne par le moine franciscain Pierre Sornas, qui était venu se retirer dans son hameau natal de Bécuse après une grande partie de sa vie passée en Espagne[21]. La pomme de terre s'est rapidement répandue, au moins dans la région d'Annonay[22]. On appelait alors ce tubercule en patois (occitan) « la(s) trifolà(s) ». Le nom générique pour désigner la pomme de terre a été francisé au XVIIIe siècle en « truffole », qui désigne toujours aujourd'hui encore la plante (la trifola).

    À partir de 1995, l'association Les Amis de la Truffole a cherché à remettre en avant ce patrimoine culturel et agricole local. Des agriculteurs en produisent actuellement en marque déposée. Le mot « truffole » est protégé auprès de l'INPI dans les secteurs de la production agricole, de la restauration et dans le domaine culturel[23].

    La forêt naturelle du Grandbeau

    La forêt du Grandbeau, à la fois naturelle et touristique.

    Cette forêt communale, située au sud du village au bord du ruisseau d'Embrun, avait subi pas mal de dommages en 1999. Son aménagement a été entrepris à partir de 2009. Ses sept hectares se répartissent entre prairie naturelle avec vieux fruitiers, zone autonome avec châtaigneraie et zone forestière. Deux sentiers ont été aménagés, l'un de 800 m, de l'entrée jusqu'au sommet, et une boucle de 200 m, accessible aux personnes à mobilité réduite à partir du parking supérieur. Des panneaux présentent les arbres et la vie de la forêt. À l'autre extrémité de la commune, la Roche des Vents est un site plus sauvage, mais moins facilement abordable.

    Les cupules de Peyreboeuf

    Le rocher de Peyreboeuf et ses deux cupules, qui dominent le village.

    Le Nord Ardèche ne manque pas de sites rocheux où il semble que d'anciennes religions païennes aient pu célébrer un culte. On trouve souvent sur ces sites des « rochers à cupules » : des trous dans le rocher, peut-être naturels au départ, mais qui semblent avoir été agrandis volontairement. Certains sont très réguliers, d'autres pourraient être naturels. Pour les cupules du rocher de Peyre-Bœuf, on peut hésiter. Une autre cupule est peut-être plus convaincante sur un autre rocher au sommet de la colline. Le site de Peyre-Bœuf, qui domine la vallée, a pu être un lieu particulier, et on y imagine sans peine des sacrifices ou des incantations aux forces de la nature. Peut-être… Pour accéder au site, on peut encore retrouver un ancien chemin qui part du haut du pré du col qui mène à la Chomotte, et qui contourne la colline à l'horizontale jusqu'aux amas rocheux. On retrouve aussi dans ce secteur des traces d'anciennes terrasses.

    Personnalités liées à la commune

    • Village natal de Marie de Fonscolombe (9 avril 1875), mère d'Antoine de Saint-Exupéry.
    • Vincent d'Indy (1851-1931), compositeur : deux branches de sa famille ont habité Saint-Alban-d'Ay, dans le village ancien et au hameau de Romanieux.

    Voir aussi

    Bibliographie

    • Charles Forot, Odeurs de forêt et Fumets de table, Aubenas, SILOE, (1re éd. 1975), 558 p. (ISBN 978-2-84206-424-2).
    • Joël Ferrand, Saint-Alban d'Ay Berceau de la Truffole, Histoire de la pomme de terre, La Truffole fonds historique, (ISBN 978-2-7466-6708-2, lire en ligne).
    • Albin Mazon, Voyage autour d'Annonay, 1901.
    • Guide officiel de l'Union Touristique Ardèche Verte (1991).
    • bulletins municipaux et archives municipales.
    • Articles du Dauphiné libéré, notamment du 17 juillet 2014 de François Bassaget.

    Articles connexes

    Liens externes

    Notes et références

    Notes

    1. Selon le zonage publié en novembre 2020, en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le en comité interministériel des ruralités.
    2. La notion d'aire d'attraction des villes a remplacé en octobre 2020 l'ancienne notion d'aire urbaine, pour permettre des comparaisons cohérentes avec les autres pays de l'Union européenne.
    3. Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2021, millésimée 2018, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2020, date de référence statistique : 1er janvier 2018.

    Références

    1. Institut national de l'information géographique et forestière (IGN), « Communes - Géoportail », sur http://www.geoportail.gouv.fr, (consulté le ).
    2. « Zonage rural », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
    3. « Commune urbaine-définition », sur le site de l’Insee (consulté le ).
    4. « Comprendre la grille de densité », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
    5. « Base des aires d'attraction des villes 2020. », sur insee.fr, (consulté le ).
    6. Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier Pégaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans l’aire d’attraction d’une ville », sur insee.fr, (consulté le ).
    7. « CORINE Land Cover (CLC) - Répartition des superficies en 15 postes d'occupation des sols (métropole). », sur le site des données et études statistiques du ministère de la Transition écologique. (consulté le )
    8. IGN, « Évolution de l'occupation des sols de la commune sur cartes et photos aériennes anciennes. », sur remonterletemps.ign.fr (consulté le ). Pour comparer l'évolution entre deux dates, cliquer sur le bas de la ligne séparative verticale et la déplacer à droite ou à gauche. Pour comparer deux autres cartes, choisir les cartes dans les fenêtres en haut à gauche de l'écran.
    9. « Historique » [archive du ], sur val-d-ay.fr, Communauté de communes du Val d'Ay (consulté le ).
    10. « Liste des maires du département de l'Ardèche » [PDF], Préfecture de l'Ardèche, (consulté le ).
    11. Liste des maires de l'Ardèche [PDF], Préfecture de l'Ardèche, (consulté le ).
    12. L'organisation du recensement, sur insee.fr.
    13. Calendrier départemental des recensements, sur insee.fr.
    14. Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes études en sciences sociales.
    15. Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017 et 2018.
    16. « École primaire publique du Petit Prince », Annuaire, sur education.gouv.fr, Ministère de l'Éducation nationale (consulté le ).
    17. « École primaire privée Saint-Roch », Annuaire, sur education.gouv.fr, Ministère de l'Éducation nationale (consulté le ).
    18. site de la paroisse Saint-François Régis (Ay, Daronne)
    19. « Truffole : histoire de la pomme de terre Truffole ».
    20. Forot 2009.
    21. Charles du Faure de Saint Sylvestre, marquis de Satillieu, La Truffole en France, .
    22. Histoire de la pomme de terre truffole.
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