Rue de la Duée
La rue de la Duée est une voie située dans le quartier Saint-Fargeau du 20e arrondissement de Paris, en France.
 20e arrt Rue de la Duée
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 Rue de la Duée vue depuis la rue Pelleport. | |||
| Situation | |||
|---|---|---|---|
| Arrondissement | 20e | ||
| Quartier | Saint-Fargeau | ||
| Début | 8, rue Pixérécourt | ||
| Fin | Rue Pelleport | ||
| Morphologie | |||
| Longueur | 257 m | ||
| Largeur | 12 m | ||
| Historique | |||
| Création | Avant 1672 | ||
| Dénomination | 1827 | ||
| Géocodification | |||
| Ville de Paris | 2987 | ||
| DGI | 2960 | ||
| Géolocalisation sur la carte : 20e arrondissement de Paris
Géolocalisation sur la carte : Paris
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 Images sur Wikimedia Commons |
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Situation et accès
La rue de la Duée est desservie à proximité par la ligne 
à la station Saint-Fargeau, ainsi que par les lignes de bus 
RATP 26 60 61.
Origine du nom
Son nom provient de la « duée », une ancienne appellation définissant une source jaillissante[1],[2],[3].
Historique
Ce très ancien sentier de l'ancienne commune de Belleville, déjà présent sur le plan d'Albert Jouvin de Rochefort de 1672, prend son nom actuel en 1827 et est classé dans la voirie parisienne par un décret du .
Le 11 avril 1918, durant la première Guerre mondiale, un obus lancé par la Grosse Bertha tombe au no 8 rue de la Duée[4].
Bâtiments remarquables et lieux de mémoire
- No 2 : square des Saint-Simoniens.
- No 15 : début du passage de la Duée.
- Le no 27 abrite de 1902 à 1908 le siège de la Ligue de la régénération humaine, organisation néomalthusienne fondée par Paul Robin en 1896, puis de la revue Génération consciente, revue bimensuelle d’étude sur la question de la procréation[5].
Références
- Fédération Française de la Randonnée Pédestre, Paris… à pied, FFRandonnée, 240 p. (ISBN 9782751407512).
- « Eaux et soifs », www.des-gens.net.
- Jacques Hillairet, Dictionnaire historique des rues de Paris, Éditions de Minuit, p. 444.
- Excelsior du 9 janvier 1919 : Carte et liste officielles des obus lancés par le canon monstre et numérotés suivant leur ordre et leur date de chute
- « Quand la colère monte… à Ménilmontant », sur www.parisrevolutionnaire.com, (consulté le ).
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