Rue Mage

La rue Mage (en occitan : carrièra Màger dels Afachadors) est une rue du centre historique de Toulouse, en France. Elle se situe au cœur du quartier Saint-Étienne, dans le secteur 1 de la ville. Elle appartient au secteur sauvegardé de Toulouse.

Rue Mage
(oc) Carrièra Màger dels Afachadors

La rue Mage vue depuis la place Mage.
Situation
Coordonnées 43° 35′ 52″ nord, 1° 26′ 50″ est
Pays France
Région Occitanie
Ville Toulouse
Quartier(s) Saint-Étienne
Début no 49 Grande-rue Nazareth et no 1 rue Perchepinte
Fin no 12 rue du Canard et no 30 place Mage
Morphologie
Type rue
Longueur 151 m
Largeur entre 3 et 8 m
Histoire
Anciens noms Rue de la Place-Mage-des-Affachadoux (milieu du XIVe siècle)
Rue de la Place-Mage (XVe siècle)
Rue des Affachadoux (milieu du XVe siècle)
Rue Mage (XVIIIe siècle)
Grande-rue Saint-Étienne (XVIIIe siècle)
Protection  Site inscrit (1944, façades et toitures des immeubles bordant la rue Mage)
Secteur sauvegardé (1986)
Géolocalisation sur la carte : France
Géolocalisation sur la carte : Toulouse
La rue Mage vue depuis la place Perchepinte.

Cette rue étroite, peuplée à la fin du Moyen Âge de bouchers qui lui ont donné son nom, a été envahie par les parlementaires toulousains à partir du milieu du XVIe siècle. Elle a conservé l'aspect qu'elle avait à la fin du XVIIIe siècle, avec les façades classiques de ses hôtels particuliers, parmi lesquels sont signalés l'hôtel d'Espie, l'hôtel Bernard ou l'hôtel Davasse. Depuis le , les façades et les toits des immeubles et des hôtels de la rue sont protégés par une inscription sur la liste des sites protégés.

Toponymie

La rue Mage portait, au milieu du XIVe siècle, le nom de rue de la Place-Mage-des-Affachadoux, c'est-à-dire « rue de la grande place des boucheries » (plaça màger dels afachadors en occitan toulousain). Au Moyen Âge, on trouvait effectivement de nombreux artisans bouchers dans cette rue. Le nom de la rue s'est progressivement contracté : au XVe siècle, on la désigne comme la rue de la Place-Mage, puis elle est simplement appelée rue Mage au XVIIIe siècle. On note cependant la survivance du nom de rue des Affachadoux à cette période. On lui connaît également, à la même époque, l'appellation de Grande-rue Saint-Étienne, car elle est voisine de la cathédrale Saint-Étienne. Pendant la Révolution française, en 1794, elle prit le nom de rue des Droits-de-l'Homme[1].

Description

La rue Mage naît au croisement de la Grande-rue Nazareth, de la rue de la Pleau et de la rue Perchepinte, qui forment une petite place triangulaire connue populairement comme la place Perchepinte. Relativement étroite, la rue Mage n'est large que de 3 mètres dans les parties les plus anciennes. Elle est longue de 151 mètres, pratiquement rectiligne et d’orientation nord-sud. Elle reçoit la rue d'Aussargues, puis se termine en s'élargissant pour donner naissance à la place Mage, au carrefour de la rue du Canard. Elle est poursuivie au nord par la rue Tolosane, la rue des Arts et la rue de la Pomme jusqu'à la place du Capitole.

Voies rencontrées

La rue Mage rencontre les voies suivantes, dans l'ordre des numéros croissants (« g » indique que la rue se situe à gauche, « d » à droite) :

  1. Grande-rue Nazareth (g)
  2. Rue Perchepinte (d)
  3. Rue d'Aussargues (g)
  4. Place Mage (d)
  5. Rue du Canard (g)

Histoire

Au Moyen Âge, la rue de la Place-Mage-des-Affachadoux appartient, du côté est, au capitoulat de la Pierre, et, du côté ouest, au capitoulat de Saint-Barthélémy[1]. Elle se trouve sur le tracé d'une des principales voies qui traversent Toulouse, depuis la Porte narbonnaise au sud à la Porterie au nord. Elle est alors principalement peuplée d'artisans bouchers, qui lui ont donné son nom : les « affachadoux » (afachador en occitan) sont les bouchers spécialisés dans l’abattage des bêtes de boucherie. On trouve également de nombreux autres artisans[2].

Le , un incendie se déclare dans une boulangerie voisine, à l'angle des rues des Chapeliers (actuelle rue du Languedoc) et Maletache. Il provoque des destructions importantes dans le quartier[3]. Les nombreux espaces libérés par l'incendie et la proximité de la rue de la Place-Mage avec le quartier des parlementaires, qui couvre le sud de la ville, autour du Parlement, explique l'installation de membres de l'élite toulousaine et la construction des premiers hôtels particuliers : dans les premières années du XVIe siècle, Élie Reynier, capitoul en 1502-1503, fait construire un hôtel avec sa tour capitulaire (actuel no 20)[4]. L'installation de parlementaires, de capitouls et d'hommes de loi de plus en plus nombreux est particulièrement sensible à partir du milieu du XVIe siècle : la rue est progressivement bordée d'hôtels opulents construits par certaines des plus importantes familles toulousaines[2].

La rue reste attractive au XVIIe siècle et les constructions se poursuivent. En 1649, un immeuble (emplacement de l'actuel no 16) est acheté par Pons-François de Purpan, docteur-régent de l'université, qui possède déjà de nombreux biens dans la rue Bouquières, près de la place Rouaix[5]. Bernard d'Aignan, baron d'Orbessan, conseiller au Parlement de 1652 à 1677, achète vers 1652 un immeuble à Marguerite de Pins, petite-fille de Jean de Pins, et y fait bâtir son hôtel particulier (actuel no 11)[6].

Au XVIIIe siècle, les façades de plusieurs hôtels particuliers sont modifiées, tandis que d'autres hôtels sont reconstruits[7]. Vers 1750, l'architecte bordelais Hyacinthe de Labat de Savignac est chargé par le comte d'Espie d'élever un hôtel à l'emplacement du vieil hôtel d'Aussargues (actuel no 3). Les aménagements intérieurs de l'hôtel ne sont cependant terminés qu'après 1773, grâce aux travaux que fait réaliser un jacobite, réfugié irlandais en France, Justin MacCarthy Reagh[8],[9]. En 1759, l'avocat au Parlement Pierre Bernard fait élever un hôtel particulier dont la façade classique est l'une des plus intéressantes de la rue (actuel no 16)[5]. Bernard Davasse de Virvin, capitoul en 1763, acquiert le vieil hôtel Reynier et, ne conservant que la tour capitulaire gothique, il reconstruit un vaste hôtel particulier (actuel no 20)[10]. En 1764, l'hôtel Bernard est acquis par un fameux parlementaire, Jean-Jacques-Marie-Joseph de Martin d'Ayguesvives, seigneur et baron de Nogaret, Montgiscard, Ayguesvives, Pouze et Corronsac. Conseiller en 1760, président en 1767, il est exilé dans son château d'Ayguesvives en 1771, lors de la dissolution des parlements par le ministre de Louis XV, Maupeou[5].

La Révolution française apporte quelques changements. En , la rue reçoit le nom des Droits-de-l'Homme. Au même moment, la Terreur s'exerce sur de nombreux parlementaires toulousains. Jean-Jacques-Marie-Joseph de Martin d'Ayguesvives est arrêté comme suspect par les autorités révolutionnaires de la ville et emprisonné à la prison de la Visitation. Finalement jugé et condamné à Paris, il est guillotiné le [5].

Au XIXe siècle et au XXe siècle, la rue reste à l'écart des travaux de réaménagement et d'élargissement des autres rues de la ville. Les façades ont donc conservé l'aspect qu'elles avaient à la fin du XVIIIe siècle. Depuis le , les façades et les toits des immeubles et des hôtels de la rue sont d'ailleurs protégés par inscription aux monuments historiques. L'hôtel d'Espie est acheté en 1868 par la famille Courtois de Viçoze, qui installe dans un nouveau bâtiment voisin, construit dans le style néo-Renaissance (actuel no 5) une agence de sa banque. Au XXe siècle, Louis Courtois de Viçoze, puis ses successeurs, Gilbert et Jean-Louis, sont par ailleurs choisis comme consuls honoraires de Belgique, ce qui explique l'installation du consulat de ce pays dans l'hôtel d'Espie[11].

Lieux et monuments remarquables

  • no  4 : immeuble Ponsard (début du XVIIIe siècle).
    L'immeuble est construit sur une parcelle qui appartient à la famille Ponsard depuis le XVIIIe siècle. La façade est reconstruite et les intérieurs réaménagés par Antoine Ponsard après 1719, date à laquelle il en devient propriétaire avec son frère, Joseph Ponsard, capitoul en 1701. L'élévation symétrique possède cinq travées. Au rez-de-chaussée, les deux travées latérales sont encadrées de pilastres doriques et ouvertes par des portes surmontées d'une fenêtre d'imposte. Les trois arcades de boutiques sont centrales. Les arcades en plein cintre sont ornées de mascarons en pierre. Les étages, de dimensions décroissantes, sont séparés par des cordons de brique. Ils sont percés de fenêtres segmentaires ; celles du 1er étage sont dotées de garde-corps en fer forgé. La façade se termine par une large corniche moulurée[14].
  • no  5 : immeuble (2e moitié du XIXe siècle).
    L'immeuble est construit dans la 2e moitié du XIXe siècle après l'achat de l'hôtel d'Espie par la famille Courtois en 1868. Il aurait servi de banque à la banque Courtois. Il présente un riche décor néo-Renaissance. Une partie de l'édifice est en retrait par rapport à la rue, afin de dégager une cour qui sert d'entrée majestueuse, accentuée par l'avant-corps gauche. Construit en pierre de taille et en saillie, il est orné de bossages et de sculptures : vases, guirlandes de feuillage, de fleurs, de fruits, consoles feuillagées, pointe de diamant... En fond de cour, l'élévation en brique claire est également ornée de bossages continus. Une corniche à modillons surmonte les élévations[15].
  • no  6 : immeuble (XVIIIe siècle).
    Cet immeuble étroit de seulement deux travées, mais haut de trois étages, est construit au cours du XVIIIe siècle. Les fenêtres du 1er étage sont dotées de garde-corps en fer forgé[16].
  • no  7 : immeuble (1re moitié du XVIIIe siècle).
    L'immeuble est construit dans la 1re moitié du XVIIIe siècle. La façade, large de trois travées, est symétrique et encadrée de dosserets à bossages. Il s'élève sur quatre niveaux, séparés par des cordons de brique. Le rez-de-chaussée est formé de trois arcades en plein cintre dont celle de gauche renferme la porte d'entrée surmontée d'une imposte en fer forgé[17].
  • no  9 : immeuble (1re moitié du XVIIIe siècle) ; lycée professionnel et technologique privé Myriam.
    L'immeuble est construit dans la 1re moitié du XVIIIe siècle. L'édifice se compose d'un bâtiment à trois corps autour d'une cour. La façade sur rue compte trois travées et s'élève sur quatre niveaux décroissants, dont un dernier niveau de comble. Aux étages, les fenêtres sont segmentaires, surmontées d'une corniche et pourvues d'une assise en pierre. Celles des fenêtres du 1er étage sont moulurées et les fenêtres sont ornées de garde-corps en fer forgé. L'élévation de la façade est couronnée d'une corniche à denticules[18].
  • no  10 : immeuble (XVIIIe siècle).
    Cet immeuble étroit de seulement deux travées, mais haut de trois étages, est construit au cours du XVIIIe siècle. Au rez-de-chaussée, la porte bâtard est surmontée d'une imposte en fer forgé. Les fenêtres du 1er étage sont quant à elles dotées de garde-corps en fer forgé[19].
  • no  11 : hôtel d'Orbessan (milieu du XVIe siècle ; XIXe siècle ).
    L'hôtel est construit au milieu du XVIe siècle pour Bernard d'Aignan, baron d'Orbessan. Les élévations sur cour ont été remaniées au XIXe siècle avec la modification des ouvertures et l'ajout d'une véranda[20].
  • no  14 : immeuble (1751).
    L'immeuble possède trois travées et se développe sur quatre niveaux. Au rez-de-chaussée, l'ancienne porte piétonne, latérale, a été transformée en fenêtre, tandis que la porte cochère s'ouvre sous une large arcade en plein cintre. La façade est encadrée de dosserets de style dorique dont les futs sont traités en bossage. Les étages sont de dimensions décroissantes et sont séparés par un cordon de brique. Les fenêtres sont segmentaires et celles du 1er étage sont dotées de garde-corps en fer forgé. L'élévation est couronnée d'une large corniche moulurée et débordante[21].
  • no  16 : hôtel Bernard ou d'Ayguesvives (1751).
    En 1751, Pierre Bernard, avocat au Parlement, fait construire cet hôtel sur une parcelle qu'il a acquis de la famille de Purpan. En 1764, il passe au président Jean-Jacques-Marie-Joseph d'Ayguesvives.
    L'élévation, large de cinq travées, est symétrique et s'élève sur quatre niveaux décroissants. La travée centrale et les deux travées latérales sont accentuées par une légère saillie du mur. La travée centrale est tout particulièrement traitée en bossages encadrant la porte cochère au rez-de-chaussée et les fenêtres aux étages. Les clefs d'arc de la porte cochère et des fenêtres sont toutes ornées d'une sculpture en pierre : les fenêtres des trois travées centrales possèdent un mascaron représentant un visage féminin, tandis que le mascaron de la porte cochère représente Hercule couvert d'une peau de lion ; les clefs d'arc des autres fenêtres, du rez-de-chaussée au 3e étage, sont dotées de motifs végétaux. Les fenêtres des 1er et 2e étages sont également ornées de garde-corps en fer forgé. L'élévation est couronnée d'une corniche moulurée[21].
  • no  18 : immeuble (XVIIIe siècle).
    Cet immeuble est construit au XVIIIe siècle, peut-être pour Louis de Lautard, avocat et procureur du roi au Parlement de 1719 à 1752, ou pour un autre membre de la famille Lautard. L'immeuble n'est large que de deux travées, mais s'élève sur cinq niveaux, avec rez-de-chaussée, trois étages et un étage de comble postérieur à la construction de la façade. Les étages sont de dimensions décroissantes. Les fenêtres des 1er et 2e étages sont segmentaires et dotées de garde-corps en fer forgé aux motifs géométriques[22].
  • no  20 : hôtel Reynier (1re moitié du XVIe siècle) ; hôtel Davasse (2e moitié du XVIIIe siècle).  Inscrit MH (1971) et  Classé MH (1971, balcons du 1er étage)[23].
    Un premier hôtel est construit pour la famille Reynier au début du XVIe siècle. Une tour octogonale, de style gothique, témoigne de la puissance de ce capitoul toulousain. Au XVIIIe siècle, l'hôtel est profondément remanié : la spectaculaire façade déploie ses balcons en fer forgé, qui dessinent des fleurs, des feuilles, des palmettes et des volutes. Les consoles qui supportent les balcons sont ornées de feuillages dans lesquelles passent des guirlandes[24].
  • no  22 : immeuble (2e moitié du XVIIIe siècle).
    L'immeuble est construit dans la 2e moitié du XVIIIe siècle, après 1778, pour Bertrand Du Prat. L'immeuble de cinq travées s'élève sur quatre niveaux. L'élévation est symétrique, les étages de dimensions décroissantes. Les ouvertures, porte cochère et fenêtres des étages, sont rectangulaires. Celles des 1er et 2e étages sont dotées de garde-corps en fer forgé à motifs géométriques et décor végétal. Celles des 2e et 3e étages sont dotées de larges crossettes, qui encadrent des motifs de table. L'élévation est surmontée d'une large corniche moulurée[25].

Notes et références

  1. Jules Chalande, 1923, p. 262.
  2. Jules Chalande, 1923, p. 263.
  3. Maurice Bastide, 1968, p. 8-12.
  4. Jules Chalande, 1923, p. 272.
  5. Jules Chalande, 1923, p. 265.
  6. Jules Chalande, 1923, p. 270.
  7. Jules Chalande, 1923, p. 262-263.
  8. Jules Chalande, 1923, p. 269.
  9. Patrick Clarke de Dromantin, Les réfugiés jacobites dans la France du XVIIIe siècle, Presses universitaires de Bordeaux, Université Bordeaux-Montaigne, Pessac, 2005, p. 148-149 et 164-165.
  10. Jules Chalande, 1923, p. 271.
  11. Jean-Marie Constans, « Les Courtois de Viçose », L'Express, 25 avril 2002.
  12. Notice no PA00094543, base Mérimée, ministère français de la Culture
  13. Louise-Emmanuelle Friquart, Laure Krispin et Sonia Moussay, « Fiche d'information détaillée Patrimoine Architectural: IA31116327 », Inventaire général Région Midi-Pyrénées, Ville de Toulouse, sur le site Urban-Hist, Archives municipales de Toulouse, 2012, consulté le 7 janvier 2017.
  14. Louise-Emmanuelle Friquart et Laure Krispin, « Fiche d'information détaillée Patrimoine Architectural: IA31132779 », Inventaire général Région Midi-Pyrénées, Ville de Toulouse, sur le site Urban-Hist, Archives municipales de Toulouse, 2008, consulté le 7 janvier 2017.
  15. Louise-Emmanuelle Friquart et Laure Krispin, « Fiche d'information détaillée Patrimoine Architectural: IA31132319 », Inventaire général Région Midi-Pyrénées, Ville de Toulouse, sur le site Urban-Hist, Archives municipales de Toulouse, 2008, consulté le 7 janvier 2017.
  16. Louise-Emmanuelle Friquart et Laure Krispin, « Fiche d'information détaillée Patrimoine Architectural: IA31132809 », Inventaire général Région Midi-Pyrénées, Ville de Toulouse, sur le site Urban-Hist, Archives municipales de Toulouse, 2009, consulté le 7 janvier 2017.
  17. Louise-Emmanuelle Friquart et Laure Krispin, « Fiche d'information détaillée Patrimoine Architectural: IA31133070 », Inventaire général Région Midi-Pyrénées, Ville de Toulouse, sur le site Urban-Hist, Archives municipales de Toulouse, 2011, consulté le 7 janvier 2017.
  18. Louise-Emmanuelle Friquart et Laure Krispin, « Fiche d'information détaillée Patrimoine Architectural: IA31133071 », Inventaire général Région Midi-Pyrénées, Ville de Toulouse, sur le site Urban-Hist, Archives municipales de Toulouse, 2011, consulté le 7 janvier 2017.
  19. Louise-Emmanuelle Friquart et Laure Krispin, « Fiche d'information détaillée Patrimoine Architectural: IA31132816 », Inventaire général Région Midi-Pyrénées, Ville de Toulouse, sur le site Urban-Hist, Archives municipales de Toulouse, 2009, consulté le 7 janvier 2017.
  20. Louise-Emmanuelle Friquart et Laure Krispin, « Fiche d'information détaillée Patrimoine Architectural: IA31133068 », Inventaire général Région Midi-Pyrénées, Ville de Toulouse, sur le site Urban-Hist, Archives municipales de Toulouse, 2011, consulté le 7 janvier 2017.
  21. Louise-Emmanuelle Friquart et Laure Krispin, « Fiche d'information détaillée Patrimoine Architectural: IA31132831 », Inventaire général Région Midi-Pyrénées, Ville de Toulouse, sur le site Urban-Hist, Archives municipales de Toulouse, 2012, consulté le 7 janvier 2017.
  22. Louise-Emmanuelle Friquart et Laure Krispin, « Fiche d'information détaillée Patrimoine Architectural: IA31132832 », Inventaire général Région Midi-Pyrénées, Ville de Toulouse, sur le site Urban-Hist, Archives municipales de Toulouse, 2012, consulté le 7 janvier 2017.
  23. Notice no PA00094568, base Mérimée, ministère français de la Culture
  24. Nathalie Prat et Laure Decomble, « Fiche d'information détaillée Patrimoine Architectural: IA31116334 », Inventaire général Région Midi-Pyrénées, Ville de Toulouse, sur le site Urban-Hist, Archives municipales de Toulouse, 1996 et 2011, consulté le 7 janvier 2017.
  25. Louise-Emmanuelle Friquart et Laure Krispin, « Fiche d'information détaillée Patrimoine Architectural: IA31132833 », Inventaire général Région Midi-Pyrénées, Ville de Toulouse, sur le site Urban-Hist, Archives municipales de Toulouse, 2009, consulté le 7 janvier 2017.

Voir aussi

Bibliographie

Articles connexes

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