Rocquemont (Oise)

Rocquemont est une commune française située dans le département de l'Oise en région Hauts-de-France.

Pour les articles homonymes, voir Rocquemont.

Rocquemont

L'église Saint-Laurent.
Administration
Pays France
Région Hauts-de-France
Département Oise
Arrondissement Senlis
Intercommunalité Communauté de communes du pays de Valois
Maire
Mandat
Arnaud Peters
2020-2026
Code postal 60800
Code commune 60543
Démographie
Population
municipale
120 hab. (2018 )
Densité 19 hab./km2
Géographie
Coordonnées 49° 15′ 34″ nord, 2° 49′ 09″ est
Altitude Min. 59 m
Max. 114 m
Superficie 6,26 km2
Type Commune rurale
Aire d'attraction Paris
(commune de la couronne)
Élections
Départementales Canton de Crépy-en-Valois
Législatives Cinquième circonscription
Localisation
Géolocalisation sur la carte : Hauts-de-France
Rocquemont
Géolocalisation sur la carte : Oise
Rocquemont
Géolocalisation sur la carte : France
Rocquemont
Géolocalisation sur la carte : France
Rocquemont

    Géographie

    La commune est située dans le sud du département de l'Oise, sur le plateau du Valois et non loin de la vallée de l'Automne, à 5,5 km au nord-ouest de Crépy-en-Valois. Rocquemont est un village à caractère rural en dehors de toute agglomération[1]. La distance orthodromique avec la capitale, au sud-ouest, est de 56 km[2]. Le chef-lieu de d'arrondissement de Senlis est éloigné de 18 km[3], et le chef-lieu d'arrondissement de Compiègne de 17 km[4], et l'aéroport Roissy-Charles-de-Gaulle est situé à 36 km au sud[5]. Rocquemont comporte un hameau, le Plessis-Châtelain, situé à l'extrémité nord-ouest du territoire communal. Le hameau comportait une partie habitée sise sur la commune de Néry.

    Communes limitrophes de Rocquemont (Oise)[6]
    Béthisy-Saint-Martin
    Néry Glaignes
    Trumilly Duvy Séry-Magneval

    Le territoire communal est occupé pour sa plus grande partie par des surfaces agricoles et présente un paysage dénudé, pratiquement sans arbres, à l'exception d'une toute petite parcelle boisée au nord et du vallon de Baybelle. Orienté dans un sens ouest-est, il tient son nom du ruisseau de Baybelle qui y prend sa source, pour s'écouler à Séry-Magneval dans le ruisseau Sainte-Marie, affluent de l'Automne. Le vallon présente de coteaux raids et escarpés et atteint une quarantaine de mètres de profondeur par rapport au plateau agricole. Le point le plus bas de la commune se trouve par ailleurs à la sortie du ruisseau du territoire communal, à 59 m au-dessus du niveau de la mer. Le village est bâti immédiatement au nord du vallon, près de son origine, où il s'appelle encore vallée du Mont Jouy. Ailleurs, le relief est peu accentué sur la commune. Le point culminant atteint 114 m, soit seulement dix à quinze mètres de plus que le plateau dans les environs de Rocquemont, le village lui-même étant bâti à 102 m d'altitude. Il n'y a pas d'autres cours d'eau.

    Concernant les voies de communication, Rocquemont est desservie par une seule route départementale, la RD 25 Béthisy-Saint-Martin - Duvy. En direction du nord, elle permet de rejoindre Verberie et Compiègne par la RD 200 ; en direction du sud, elle débouche à Duvy sur la RD 1324 Senlis - Crépy-en-Valois. Des voies communales relient Rocquemont à d'autres communes voisines : Néry par son hameau de Verrines, Glaignes et Trumilly. Depuis cette dernière commune, il est également possible de rejoindre la RD 1324 en direction de Senlis et de l'autoroute A1. Rocquemont ne dispose pas d'une gare sur son territoire, la gare la plus proche étant celle de Crépy-en-Valois. Elle est desservie par des trains TER Picardie et la ligne K du Transilien depuis la gare de Paris-Nord. Rocquemont n'est pas desservie par les transports en commun, l'arrêt le plus proche d'une ligne régulière se trouvant à l'église de Trumilly, à une distance routière de 1,7 km depuis la mairie. Cet arrêt est desservi du lundi au samedi par la ligne n° 62 du réseau départemental Sud-Oise, exploité par Keolis Oise à Senlis[8].

    Climat

    Le climat qui caractérise la commune est qualifié, en 2010, de « climat océanique dégradé des plaines du Centre et du Nord », selon la typologie des climats de la France qui compte alors huit grands types de climats en métropole[9]. En 2020, la commune ressort du type « climat océanique altéré » dans la classification établie par Météo-France, qui ne compte désormais, en première approche, que cinq grands types de climats en métropole. Il s’agit d’une zone de transition entre le climat océanique, le climat de montagne et le climat semi-continental. Les écarts de température entre hiver et été augmentent avec l'éloignement de la mer. La pluviométrie est plus faible qu'en bord de mer, sauf aux abords des reliefs[10].

    Les paramètres climatiques qui ont permis d’établir la typologie de 2010 comportent six variables pour les températures et huit pour les précipitations, dont les valeurs correspondent aux données mensuelles sur la normale 1971-2000[11]. Les sept principales variables caractérisant la commune sont présentées dans l'encadré ci-après.

    Paramètres climatiques communaux sur la période 1971-2000[9]

    • Moyenne annuelle de température : 10,6 °C
    • Nombre de jours avec une température inférieure à −5 °C : 3,1 j
    • Nombre de jours avec une température supérieure à 30 °C : 3,5 j
    • Amplitude thermique annuelle[Note 1] : 15,1 °C
    • Cumuls annuels de précipitation[Note 2] : 724 mm
    • Nombre de jours de précipitation en janvier : 11,4 j
    • Nombre de jours de précipitation en juillet : 8,5 j

    Avec le changement climatique, ces variables ont évolué. Une étude réalisée en 2014 par la Direction générale de l'Énergie et du Climat[13] complétée par des études régionales[14] prévoit en effet que la température moyenne devrait croître et la pluviométrie moyenne baisser, avec toutefois de fortes variations régionales. Ces changements peuvent être constatés sur la station météorologique de Météo-France la plus proche, « Trumilly », sur la commune de Trumilly, mise en service en 1975[15] et qui se trouve à km à vol d'oiseau[16],[Note 3], où la température moyenne annuelle est de 10,9 °C et la hauteur de précipitations de 717,1 mm pour la période 1981-2010[17]. Sur la station météorologique historique la plus proche[Note 4], « Le Bourget », sur la commune de Bonneuil-en-France, dans le département du Val-d'Oise, mise en service en 1920 et à 43 km[18], la température moyenne annuelle évolue de 11,2 °C pour la période 1971-2000[19] à 11,6 °C pour 1981-2010[20], puis à 12,1 °C pour 1991-2020[21].

    Urbanisme

    Typologie

    Rocquemont est une commune rurale, car elle fait partie des communes peu ou très peu denses, au sens de la grille communale de densité de l'Insee[Note 5],[22],[23],[24].

    Par ailleurs la commune fait partie de l'aire d'attraction de Paris dont elle est une commune de la couronne[Note 6]. Cette aire regroupe 1 929 communes[25],[26].

    Occupation des sols

    Carte de l'occupation des sols de la commune en 2018 (CLC).

    L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des territoires agricoles (91,2 % en 2018), une proportion sensiblement équivalente à celle de 1990 (91,6 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : terres arables (87,2 %), forêts (8,9 %), zones agricoles hétérogènes (4 %)[27].

    L'IGN met par ailleurs à disposition un outil en ligne permettant de comparer l’évolution dans le temps de l’occupation des sols de la commune (ou de territoires à des échelles différentes). Plusieurs époques sont accessibles sous forme de cartes ou photos aériennes : la carte de Cassini (XVIIIe siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[28].

    Toponymie

    Rupimons, Roquemons, Roquemons en 1288, Rocmont, Rokemont, Roquemont[29].

    Il s'agit d'une formation médiévale en -mont. L'appellatif toponymique mont a le sens ancien de « hauteur, colline, mont » et est issu du gallo-roman MONTE, lui-même de l'accusatif singulier montem du latin mons, montis « mont, élévation de terrain, montagne ». Le premier élément roque est la forme normanno-picarde correspondant au français roche, tous deux procédant du gallo-roman ROCA, d'origine celtique (gaulois). cf. breton roc'h. Il signifie « roche » mais aussi « fortification sur une roche », puis « château ».

    Politique et administration

    Liste des maires successifs
    Période Identité Étiquette Qualité
    Les données manquantes sont à compléter.
    mars 2001 n'achève pas le mandat 2008-2014 Michel Peters   Agriculteur
    Réélu pour le mandat 2008-2014
     ? En cours
    (au 27 septembre 2014)
    Arnaud Peters   Réélu pour le mandat 2014-2020[30]

    Démographie

    Évolution démographique

    L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. À partir de 2006, les populations légales des communes sont publiées annuellement par l'Insee. Le recensement repose désormais sur une collecte d'information annuelle, concernant successivement tous les territoires communaux au cours d'une période de cinq ans. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[31]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2005[32].

    En 2018, la commune comptait 120 habitants[Note 7], en augmentation de 14,29 % par rapport à 2013 (Oise : +1,44 %, France hors Mayotte : +1,78 %).

    Évolution de la population  [modifier]
    1793 1800 1806 1821 1831 1836 1841 1846 1851
    164177160139163166168188151
    1856 1861 1866 1872 1876 1881 1886 1891 1896
    150146110126138140134128127
    1901 1906 1911 1921 1926 1931 1936 1946 1954
    125111122116116120159107108
    1962 1968 1975 1982 1990 1999 2005 2010 2015
    8410310495104104100103115
    2018 - - - - - - - -
    120--------
    De 1962 à 1999 : population sans doubles comptes ; pour les dates suivantes : population municipale.
    (Sources : Ldh/EHESS/Cassini jusqu'en 1999[33] puis Insee à partir de 2006[34].)
    Histogramme de l'évolution démographique

    Pyramide des âges

    La population de la commune est relativement jeune. Le taux de personnes d'un âge supérieur à 60 ans (10 %) est en effet inférieur au taux national (21,6 %) et au taux départemental (17,5 %). À l'instar des répartitions nationale et départementale, la population féminine de la commune est supérieure à la population masculine. Le taux (51 %) est du même ordre de grandeur que le taux national (51,6 %).

    La répartition de la population de la commune par tranches d'âge est, en 2007, la suivante :

    • 49 % d’hommes (0 à 14 ans = 16,3 %, 15 à 29 ans = 26,5 %, 30 à 44 ans = 14,3 %, 45 à 59 ans = 30,6 %, plus de 60 ans = 12,3 %) ;
    • 51 % de femmes (0 à 14 ans = 21,6 %, 15 à 29 ans = 17,6 %, 30 à 44 ans = 21,6 %, 45 à 59 ans = 31,4 %, plus de 60 ans = 7,8 %).
    Pyramide des âges à Rocquemont en 2007 en pourcentage[35]
    HommesClasse d’âgeFemmes
    0,0 
    90  ans ou +
    0,0 
    4,1 
    75 à 89 ans
    0,0 
    8,2 
    60 à 74 ans
    7,8 
    30,6 
    45 à 59 ans
    31,4 
    14,3 
    30 à 44 ans
    21,6 
    26,5 
    15 à 29 ans
    17,6 
    16,3 
    0 à 14 ans
    21,6 
    Pyramide des âges du département de l'Oise en 2007 en pourcentage[36]
    HommesClasse d’âgeFemmes
    0,2 
    90  ans ou +
    0,8 
    4,5 
    75 à 89 ans
    7,1 
    11,0 
    60 à 74 ans
    11,5 
    21,1 
    45 à 59 ans
    20,7 
    22,0 
    30 à 44 ans
    21,6 
    20,0 
    15 à 29 ans
    18,5 
    21,3 
    0 à 14 ans
    19,9 

    Lieux et monuments

    Monuments historiques

    Vue partielle de l'église et croix de cimetière.

    Rocquemont compte deux monuments historiques sur son territoire.

    • Église Saint-Laurent (inscrite monument historique par arrêté du [37]) : elle a été construite à la fin de la période romane, vers 1130, et ne comporte à l'origine qu'un vaisseau unique. L'adjonction de bas-côtés et de croisillons à la période gothique transforme la silhouette de l'église et modifie les élévations latérales de la nef romane et de la base du clocher, mais tous leurs éléments d'origine restent visibles à l'intérieur. Il faut notamment citer les deux voûtes d'ogives précoces du chœur, qui sont parmi les premières du département. Elles sont simples et robustes, et tel est le caractère de l'ensemble de l'église, hormis le portail occidental du milieu du XIIe siècle, qui fait preuve d'une certaine recherche. L'église Saint-Laurent ne se démarque donc pas par le raffinement de son architecture, mais par sa rusticité, ce qui n'empêche pas un appareillage et des finitions soignés et des proportions harmonieuses. Elle est inscrite aux monuments historiques depuis 1951[38], et a été restaurée d'une façon intelligente à la fin du XXe siècle et au début du XXIe siècle. L'ambiance du XVIIIe siècle a ainsi pu être restituée, ce qui fait aujourd'hui le principal intérêt de l'église. Elle possède encore sa clôture du chœur en fer forgé de 1758, et des retables baroques en pierre et en bois du XVIIe siècle. Dans la nef, des peintures murales discrètes animent les murs. La sobriété de l'espace intérieur favorise le recueillement[39].
    • Croix de cimetière du XVIe siècle (inscrite monument historique par arrêté du [40]) : C'est une petite croix en pierre sculptée, dont les quatre bras sont reliés par des volutes. Le Christ ne subsiste que sous la forme de traces. La croix est montée sur un long fût sans décor, planté sur un petit socle octogonal. Ce dernier repose sur un piédestal circulaire, qui se retraite à cinq reprises à la façon d'un escalier. Un autel est aménagé dans le piédestal côté ouest.

    Autres éléments du patrimoine

    • Ferme du Plessis-Châtelain, au hameau du même nom : l'une des deux fermes constituant le hameau est réputée pour avoir été la résidence des premiers officiers châtelains du château royal de Béthisy. Elle comporte une chapelle de la première moitié du XIIIe siècle et un logis seigneurial assez simple. Le rez-de-chaussée est pratiquement aveugle ; une poterne donnait accès sur les jardins. L'étage comporte encore une fenêtre étroite se terminant par un trilobe, ainsi qu'une autre fenêtre agrandie au XVe siècle. Le comble est éclairé par deux fenêtres rectangulaires dans l'un des pignons. Quant aux bâtiments d'exploitation, ils datent pour l'essentiel de leur substance de l'époque moderne[41],[42].

    Personnalités liées à la commune

    • Robert Fuzier (1898-1982), dessinateur de presse et responsable politique socialiste, est mort à Rocquemont.

    Voir aussi

    Articles connexes

    Liens externes

    Notes et références

    Notes

    1. L'amplitude thermique annuelle mesure la différence entre la température moyenne de juillet et celle de janvier. Cette variable est généralement reconnue comme critère de discrimination entre climats océaniques et continentaux.
    2. Une précipitation, en météorologie, est un ensemble organisé de particules d'eau liquide ou solide tombant en chute libre au sein de l'atmosphère. La quantité de précipitation atteignant une portion de surface terrestre donnée en un intervalle de temps donné est évaluée par la hauteur de précipitation, que mesurent les pluviomètres[12].
    3. La distance est calculée à vol d'oiseau entre la station météorologique proprement dite et le chef-lieu de commune.
    4. Par station météorologique historique, il convient d'entendre la station météorologique qui a été mise en service avant 1970 et qui est la plus proche de la commune. Les données s'étendent ainsi au minimum sur trois périodes de trente ans (1971-2000, 1981-2010 et 1991-2020).
    5. Selon le zonage des communes rurales et urbaines publié en novembre 2020, en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le en comité interministériel des ruralités.
    6. La notion d'aire d'attraction des villes a remplacé, en , celle d'aire urbaine afin de permettre des comparaisons cohérentes avec les autres pays de l'Union européenne.
    7. Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2021, millésimée 2018, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2020, date de référence statistique : 1er janvier 2018.

    Références

    1. « Région Picardie - Liste des agglomérations de la région Picardie (liste déroulante) », sur Insee (consulté le ).
    2. « Orthodromie entre Rocquemont et Paris », sur Localisation Interactive, Orthodromie et Navigation (lion1906) (consulté le ).
    3. « Orthodromie entre Rocquemont et Senlis », sur Localisation Interactive, Orthodromie et Navigation (lion1906) (consulté le ).
    4. « Orthodromie entre Rocquemont et Compiègne », sur Localisation Interactive, Orthodromie et Navigation (lion1906) (consulté le ).
    5. « Orthodromie entre Rocquemont et Tremblay-en-France », sur Interactive, Orthodromie et Navigation (lion1906) (consulté le ).
    6. « Communes limitrophes de Rocquemont (Oise) » sur Géoportail..
    7. « Communes limitrophes de Rocquemont (Oise) » sur Géoportail..
    8. [PDF] « Horaire de la ligne 62 Senlis - Crépy-en-Valois », sur Oise Mobilité (consulté le ).
    9. Daniel Joly, Thierry Brossard, Hervé Cardot, Jean Cavailhes, Mohamed Hilal et Pierre Wavresky, « Les types de climats en France, une construction spatiale », Cybergéo, revue européenne de géographie - European Journal of Geography, no 501, (DOI https://doi.org/10.4000/cybergeo.23155, lire en ligne, consulté le )
    10. « Le climat en France métropolitaine », sur http://www.meteofrance.fr/, (consulté le )
    11. « Définition d’une normale climatologique », sur http://www.meteofrance.fr/ (consulté le )
    12. Glossaire – Précipitation, Météo-France
    13. « Le climat de la France au XXIe siècle - Volume 4 - Scénarios régionalisés : édition 2014 pour la métropole et les régions d’outre-mer », sur https://www.ecologie.gouv.fr/ (consulté le ).
    14. « Observatoire régional sur l'agriculture et le changement climatique (Oracle) - », sur www.observatoireclimat-hautsdefrance.org (consulté le )
    15. « Station Météo-France Trumilly - métadonnées », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le )
    16. « Orthodromie entre Rocquemont et Trumilly », sur fr.distance.to (consulté le ).
    17. « Station Météo-France Trumilly - fiche climatologique - statistiques 1981-2010 et records », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le ).
    18. « Orthodromie entre Rocquemont et Bonneuil-en-France », sur fr.distance.to (consulté le ).
    19. « Station météorologique de Le Bourget - Normales pour la période 1971-2000 », sur https://www.infoclimat.fr/ (consulté le )
    20. « Station météorologique de Le Bourget - Normales pour la période 1981-2010 », sur https://www.infoclimat.fr/ (consulté le )
    21. « Station météorologique de Le Bourget - Normales pour la période 1991-2020 », sur https://www.infoclimat.fr/ (consulté le )
    22. « Typologie urbain / rural », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
    23. « Commune rurale - définition », sur le site de l’Insee (consulté le ).
    24. « Comprendre la grille de densité », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
    25. « Liste des communes composant l'aire d'attraction de Paris », sur le site de l'Institut national de la statistique et des études économiques (consulté le ).
    26. Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier Pégaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans l’aire d’attraction d’une ville », sur le site de l'Institut national de la statistique et des études économiques, (consulté le ).
    27. « CORINE Land Cover (CLC) - Répartition des superficies en 15 postes d'occupation des sols (métropole). », sur le site des données et études statistiques du ministère de la Transition écologique. (consulté le )
    28. IGN, « Évolution de l'occupation des sols de la commune sur cartes et photos aériennes anciennes. », sur remonterletemps.ign.fr (consulté le ). Pour comparer l'évolution entre deux dates, cliquer sur le bas de la ligne séparative verticale et la déplacer à droite ou à gauche. Pour comparer deux autres cartes, choisir les cartes dans les fenêtres en haut à gauche de l'écran.
    29. Louis Graves, Précis statistique sur le canton de Crépy-en-Valois, arrondissement de Senlis (Oise), Beauvais, Annuaire de l'Oise, 1836, 252 p., p. 155.
    30. « Rocquemont », Cartes de France (consulté le ).
    31. L'organisation du recensement, sur insee.fr.
    32. Calendrier départemental des recensements, sur insee.fr.
    33. Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes études en sciences sociales.
    34. Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017 et 2018.
    35. « Évolution et structure de la population à Rocquemont en 2007 », sur le site de l'Insee (consulté le ).
    36. « Résultats du recensement de la population de l'Oise en 2007 », sur le site de l'Insee (consulté le ).
    37. « Église Saint-Laurent », notice no PA00114842, base Mérimée, ministère français de la Culture.
    38. « Église Saint-Laurent », notice no PA00114842, base Mérimée, ministère français de la Culture.
    39. Dominique Vermand, Rocquemont - Église Saint-Laurent, Association pour la restauration de l'église de Rocquemont, coll. « Monuments de l'Oise 9 », , 8 p..
    40. « Croix de cimetière », notice no PA60000073, base Mérimée, ministère français de la Culture.
    41. Cf. Jean Mesqui, « Maisons, maisons fortes ou châteaux ? : Les implantations nobles dans le comté de Valois et les franges occidentales du comté de Champagne au XIIIe et XIVe siècles », La maison forte au Moyen Âge, Actes de la table ronde de Nancy - Pont-à-Mousson, 31 mai - 3 juin 1984, Paris, Éditions du CNRS, , p. 185-214 (lire en ligne [PDF]) ; p. 204 et fig. 10 p. 207.
    42. Cf. Jean Mesqui, « Notes sur l'habitat noble rural dans le nord et l'est de l'Île-de-France du XIIe au XVe siècle », Manorial domestic buildings in England and Northern France (occasional papers), Londres, Society of Antiquaries of London, , p. 121-140 (lire en ligne [PDF]) ; ill. 11 p. 130.
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