Rocky 4
Rocky 4 (Rocky IV) est un film américain écrit et réalisé par Sylvester Stallone et sorti en 1985.
Pour les articles homonymes, voir Rocky.
Titre original | Rocky IV |
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Réalisation | Sylvester Stallone |
Scénario | Sylvester Stallone |
Musique | Vince DiCola |
Acteurs principaux | |
Sociétés de production |
Irwin Winkler Robert Chartoff |
Pays d’origine | États-Unis |
Genre | Drame sportif |
Durée | 88 minutes |
Sortie | 1985 |
Série Rocky
Pour plus de détails, voir Fiche technique et Distribution
Plus grand succès de la série de films Rocky, ce volet fit beaucoup parler de lui pour son message manichéen et ses relents de guerre froide pendant les années de présidence de Ronald Reagan.
Synopsis
En 1985, Ivan Drago, un boxeur originaire d'URSS, débarque aux États-Unis pour une série de matchs d'exhibition. Lors d'une conférence de presse, il affirme n'avoir aucun intérêt à boxer contre Apollo Creed, le grand ami de Rocky, car il le battrait facilement ce qui ne représenterait aucun challenge. Vexé et agacé de cette arrogance, Apollo sur le point de prendre sa retraite, le défie officiellement, malgré les réticences de Rocky qui s'inquiète de la carrure et de la forme du Soviétique.
Sûr de sa force, Apollo prend l'affrontement à la légère et tourne son adversaire en dérision dans le show d'avant-match. Mais très vite, le match d'exhibition tourne au massacre, le Soviétique martelant Apollo d'une série de coups surpuissants. Dès la fin du premier round, Apollo est épuisé et en sang. Rocky lui demande d'abandonner, mais Apollo refuse, lui interdisant même de jeter l'éponge, quoi qu'il arrive. Mais le second round voit Apollo encaisser les coups les uns après les autres avant de s'écrouler KO après un ultime uppercut de Drago. Apollo ne se relèvera pas et meurt dans les bras de Rocky d'un arrêt cardiaque, face à un adversaire imperturbable qui prononce devant ce dernier : « S'il meurt, il meurt. »
Se reprochant de n'avoir pu sauver son ami, Rocky demande à affronter Drago hors du circuit officiel, ce qui lui vaudra une suspension de deux ans. Les Russes acceptent à la condition que la confrontation se fasse sur le sol soviétique et le soir de Noël. Adrian désapprouve ce combat et ne peut convaincre Rocky de rester. Rocky quitte donc les États-Unis pour l'URSS avec Paulie et Duke. Pendant que Drago s'entraîne en intérieur avec un matériel de haute technologie, Rocky s'installe en Sibérie et repousse ses limites dans une nature hostile et sauvage. Finalement, Adrian rejoint son mari en Russie pour le soutenir.
Le soir du match, Rocky réalise qu'il doit affronter Drago en plus de l'hostilité du public soviétique pour qui une victoire rapide de leur champion ne fait aucun doute. Le combat débute effectivement mal pour l'Américain qui reçoit une pluie de coups de Drago et ne parvient pas à entamer la défense du Soviétique. Le second round est analogue au premier mais lors d'une de ses rares contre-offensives, Rocky blesse Drago à l'arcade. Ce dernier, d'abord surpris, tente de riposter mais Rocky en profite et frappe avec force son adversaire. Le gong n'arrête pas les deux protagonistes qui veulent continuer à en découdre et cette seconde manche se termine par une bagarre sur le ring entre boxeurs et entraîneurs.
Drago constate alors l'endurance de son adversaire tandis que Rocky lui, reprend confiance, tout comme Duke et Paulie. La suite du combat voit tout de même Drago maintenir son avantage sur Rocky jusqu'à la moitié du match. Ce dernier est plusieurs fois à terre, mais se relève continuellement sous le regard du Russe incrédule. Les rounds défilent ainsi et l'issue du combat devient incertaine car Rocky parvient plusieurs fois à contre-attaquer. Le public jusque là hostile à Rocky finit par soutenir de plus en plus le boxeur américain, admiratif de son courage et de sa résistance. Les politiques eux s'énervent et l'un d'eux menace même leur boxeur. Mais Drago le repousse violemment en criant à la tribune des officiels qu'il se bat pour lui-même et en tant que boxeur avant tout. Au 15e round, les deux boxeurs sont toujours au coude à coude mais fatigué par ce long combat, Drago ne peut plus répliquer et Rocky se met à frapper sans interruption. Drago est finalement envoyé au tapis pour la première fois et ne se relèvera pas avant la fin du décompte. Rocky est déclaré vainqueur du match.
Applaudi par le public mais également par les hauts fonctionnaires bons perdants, Rocky prononce un discours d'apaisement des tensions entre les États-Unis et l'URSS.
Fiche technique
- Titre original : Rocky IV
- Titre français : Rocky 4
- Titre version director's cut : Rocky vs Drago - The Ultimate Director's Cut[1]
- Réalisation : Sylvester Stallone
- Scénario : Sylvester Stallone
- Photographie : Bill Butler
- Musique : Vince DiCola
- Producteurs : Irwin Winkler et Robert Chartoff
- Société de distribution : Metro Goldwyn Mayer, United Artists
- Budget : 28 000 000 $[2]
- Pays d'origine : États-Unis
- Langues originales : anglais et russe
- Genre : drame et sport
- Durée : 91 minutes
- Dates de sortie :
- États-Unis : (avant-première à Los Angeles), (sortie nationale)
- France :
Distribution
- Sylvester Stallone (VF : Alain Dorval) : Rocky Balboa
- Talia Shire (VF : Béatrice Delfe[3]) : Adrian Balboa
- Burt Young (VF : Serge Sauvion) : Paulie Pennino
- Carl Weathers (VF : Sady Rebbot[4]) : Apollo Creed
- Dolph Lundgren (VF : Jacques Frantz) : Ivan Drago
- Brigitte Nielsen (VF : Michèle Bardollet) : Ludmilla Vobet Drago
- Tony Burton (VF : Robert Liensol) : Duke
- Michael Pataki (VF : Roger Lumont) : Nikoli Koloff
- Sylvia Meals : Mary Anne Creed
- Rocky Krakoff (VF : Rachid Ferrache) : Rocky Balboa Jr.
- R. J. Adams (VF : Albert Augier) : le présentateur des sports
- Stu Nahan (VF : Michel Gudin) : le commentateur n°1 du combat Apollo vs Drago
- Warner Wolf : le commentateur n°2 du combat Apollo vs Drago
- Lou Filippo (VF : Raoul Delfosse) : l'arbitre du combat Apollo vs Drago
- Barry Tompkins (VF : Michel Paulin) : le commentateur n°1 du combat Rocky vs Drago
- Al Bandiero (VF : Jean-Claude Balard) : le commentateur n°2 du combat Rocky vs Drago
- Dominic Barto : un officiel russe
- George Rogan : Igor Rimsky
- Mark De Alessandro : un des coach de Drago
- Robert Doornick (VF : Anne Rochant) : Sico, le robot (voix)
- James Brown : lui-même (chantant Living in America)
- LeRoy Neiman (VF : Richard Leblond) : lui-même (l'annonceur du combat Apollo vs Drago)
- Mister T. : Clubber Lang (images d'archives de Rocky 3, non crédité)
Production
Genèse du projet
Pour ce quatrième volet de la saga, Sylvester Stallone décide de faire un film politique. Comme pour Rocky 3, l'argument est plutôt simple : Après la mort d'Apollo Creed, tué lors d'un match contre le russe Drago, Rocky se rend en URSS pour affronter l'« assassin » et ainsi venger son ami. En fin de compte, il gagne à sa cause un public acquis à celle de son adversaire en remportant la victoire. Le champion américain devient alors un symbole des valeurs traditionnelles de l'Ouest face à la déshumanisation imposée par les communistes (d'autant plus que Drago est un capitaine du KGB)[5].
Distribution des rôles
Arnold Schwarzenegger a été pressenti pour incarner le champion russe Drago mais fut occupé par le tournage du film Commando et allait avoir 38 ans. Sylvester Stallone porte finalement son choix sur Dolph Lundgren, un acteur suédois faisant ses débuts dans le métier (il fait parallèlement une petite apparition dans le James Bond Dangereusement vôtre).
Sylvester Stallone auditionne en catastrophe la danoise Brigitte Nielsen (sa compagne à l'époque) pour le rôle de la championne de natation Ludmilla, épouse de Drago. De plus, il lui refile les répliques qu'il avait originellement écrit pour l'entraîneur du champion russe.
Tournage
Le tournage de ce quatrième opus se confirme davantage éreintant. Carl Weathers et Dolph Lundgren se brouillent peu avant de jouer la séquence du match Apollo vs Drago à Las Vegas. En effet, l'acteur américain s'est mis à insulter le suédois juste avant de quitter le plateau pour quatre jours, ce qui oblige Sylvester Stallone non seulement à repousser le tournage mais aussi à recadrer le géant scandinave. Finalement, pendant que la caméra tourne, Weathers et Lundgren s'échangent des coups très violents sur le ring.
La période d'entraînement de Rocky, censée se passer en Russie, a été en fait tournée au Parc du Grand Téton de Jackson Hole, dans le Wyoming. Les températures y avoisinant les 20 degrés au-dessous de 0, les techniciens et le matériel se retrouvent gelés.
Le match Rocky vs Drago, censé se produire à Moscou, a été filmé dans une arène de Vancouver. Pour éviter de paraître tel un nain face à Dolph Lundgren, qui mesure 1,96 m (6′ 5″) pour un poids de 105 kilos, Sylvester Stallone, 1,78 m (5′ 10″) pour 80 kilos, passe le tournage à faire quelques pompes entre les prises puis demande à ses maquilleurs de huiler ses muscles, gonflés par l'effort, pour les mettre plus en valeur.
Lors du tournage du combat final, Sylvester Stallone est hospitalisé à la suite des coups de Dolph Lundgren, ce qui a interrompu la production pendant deux semaines[6]. En effet, l'acteur suédois frappe l'américain sur la poitrine d'une telle puissance que le cœur de ce dernier percute la cage thoracique. D'après une interview, Sylvester Stallone aurait volontairement demandé à son ami Dolph Lundgren de le frapper réellement mais n'aurait pas supporté le choc.
Montage
À l'origine, le film atteint une durée de 150 minutes mais Sylvester Stallone le réduit à 88 minutes, dont presque un tiers est consacré au match final. Une scène supprimée révélait notamment que l'engagement de Rocky dans le combat contre Drago en Russie lui vaudrait d'être suspendu par la commission pendant deux ans. Elle sera remplacée par une coupure de presse publiant l'information, faisant une fois de plus des médias un personnage à part entière.
À force d'être mis en scène par la télévision, Rocky le boxeur devient une extension indépendante de Rocky le mari et le père de famille (alors que, depuis le début de la saga, il se regardait à la TV comme s'il était spectateur de ses propres actions). La frontière reste tout de même floue lorsque Rocky Jr. filme son père rentrant à la maison avec son caméscope. Stallone ne resserre pas pour autant la narration.
En fin de compte, l'art de l'ellipse reste au cœur de la mise en scène des combats.
Bande originale
Sortie |
1985 2006 (remasterisée) 2010 (réédition) |
---|---|
Durée | 39:24 |
Genre | Rock, pop rock, hard rock, musique de film |
Compositeur | Vince DiCola |
Label |
Scotti Brothers Records Volcano (2006) Intrada (2010) |
Critique |
Bandes originales de Rocky
Il s'agit du seul épisode de la saga pour lequel Bill Conti ne compose pas la musique car ce dernier était déjà sous contrat pour Karaté Kid[5]. La bande originale du film, par Vince DiCola, ne réutilise pratiquement aucun thème musical des 5 autres films (y compris Gonna Fly Now), et est essentiellement composée de chansons. Elle reste néanmoins très appréciée par les fans, certains la considérant comme la meilleure de la série, et a servi de musique pour la bande-annonce de Rocky 5.
L'album sera réédité et remastérisé en 2006 par BMG Entertainment avec l'ajout du titre Man Against the World du groupe Survivor, déjà à l'origine du tube Eye of the Tiger, présent dans Rocky 3. Man Against the World a été écrit pour le film, mais a été finalement coupé.
En 2008, No Easy Way Out sera reprise par le groupe Gallois Bullet for My Valentine en titre bonus de leur album Scream Aim Fire. Les Norvégiens Northern Kings reprendront quant à eux Training Montage pour l'album Rethroned. Par ailleurs, la National Football League a beaucoup utilisé War dans les années 1980-1990. En 2010, Intrada Records propose une nouvelle réédition avec des compositions jamais commercialisées de Vince DiCola.
L'intermède musical de James Brown en introduction de la rencontre entre Apollo Creed et Ivan Drago fait référence à la présence de James Brown en tant que musical guest pour le combat mythique Rumble in the jungle organisé par Don King en 1974 à Kinshasa, au Zaïre, opposant Mohamed Ali à George Foreman, tenant du titre[8].
- Liste des titres
- Burning Heart - Survivor
- Hearts On Fire - John Cafferty
- Double or Nothing - Kenny Loggins & Gladys Knight
- Eye of the Tiger - Survivor
- War/Fanfare From Rocky - Vince DiCola
- Living in America - James Brown
- No Easy Way Out - Robert Tepper
- One Way Street - Go West
- The Sweetest Victory - Touch
- Training Montage - Vince DiCola
- Titre bonus de 2006
- Man Against the World - Survivor
Accueil
Critique
Rocky 4 reçoit des critiques mitigées. Il obtient un taux d'approbation de 40 % sur l'agrégateur de critiques américain Rotten Tomatoes, qui recense 48 critiques, indiquant des critiques mitigées. Le consensus critique est : « Rocky IV gonfle l'action à des hauteurs absurdes, mais il sonne finalement creux grâce à une histoire qui frappe les mêmes rythmes de base que les trois premières entrées de la franchise ». [9]. Sur Metacritic, il obtient une note moyenne de 40⁄100 pour 13 critiques, indiquant « avis mitigés ou moyens »[10].
La presse critique notamment les aspects caricaturaux du film[11]. Le célèbre critique Roger Ebert raille quant à lui le style « clipesque » proche de MTV et les incohérences du film (Ivan Drago qui donne des coups dépassant 2 150 PSI ce qui tuerait Rocky)[12]. L'idéologie anti-communiste est aussi dénoncée[13]. Le film sera ainsi nommé neuf fois aux Razzie Awards 1986, cérémonie parodiant les Oscars et récompensant les pires films.
Le président américain Ronald Reagan apprécie quant à lui le film, en voyant « les meilleurs combats de boxe au cinéma » et « Un très bon happy end, il bat le russe »[14].
Avec Rocky 4, Sylvester Stallone réalise une sorte de Rambo. Tout comme John Rambo et la guerre du Viêt Nam, Ivan Drago est le produit mais aussi la victime d'un système, un être programmé pour tuer mais sans ressentir la moindre haine en lui. Lorsque, au fil du match, le public initialement hostile à Rocky se met à encourager ce dernier, Drago prend peu à peu conscience de ce que vaut vraiment son adversaire. Un pouvoir qui flatte son ego en dressant une bannière avec son portrait surplombé par la faucille et le marteau au-dessus du ring et qui finalement l'injure quand il faiblit sous les assauts de l'« Étalon italien ». De ce fait, après avoir soulevé Nicoli Koloff qui vient de le rabrouer, Drago se dresse face aux membres du Politburo et affirme qu'il ne doit se battre que pour lui et rien d'autre. Drago perd le match mais retrouve son humanité. En savourant sa victoire, Rocky se lance dans un long discours qui relativise le caractère pro-US du film pour tendre vers un certain humanisme (« Ce que je veux dire c'est que si moi j'ai changé et que vous avez changé, TOUT LE MONDE PEUT ARRIVER À CHANGER ! »)[5].
Malgré son look très « années 1980 », Rocky 4 opère un véritable retour aux sources « animales » du héros. Durant son entrainement à l'ancienne, Rocky se laisse pousser la barbe et évolue dans une nature sauvage qui lui fournit tous les outils nécessaires (contrairement à Drago, entouré de toute une équipe, qui se contente de stéroïdes et de techniques de pointe). Le tigre n'est plus en cage, peu importe que l'on parle de celle du zoo dans Rocky 2 ou de celle sur le ring dans Rocky 3. En Sibérie, Rocky y retrouve son élément naturel[5].
Box-office
Rocky 4 est le meilleur film de la franchise Rocky au box-office[15]. Il est le 3e meilleur film au box-office nord-américain de 1985, juste derrière un autre film avec Sylvester Stallone, Rambo 2 : La Mission. En France, il sort l'année suivante et atteint presque les 5 millions d'entrées. Il est ainsi le 3e meilleur film au box-office France 1986.
Pays ou région | Box-office | Date d'arrêt du box-office | Nombre de semaines |
---|---|---|---|
États-Unis Canada |
127 873 716 $[16] | [17] | 12[17] |
France | 4 986 705 entrées[18] | - | - |
Total mondial | 300 473 716 $[18] | - | - |
Distinctions
Récompenses
- Napierville Cinema Festival 1985 : trophée Marshall du meilleur acteur pour Dolph Lundgren[19]
- Goldene Leinwand 1986 : meilleur film
Commentaires
Version director's cut
En septembre 2020, Sylvester Stallone annonce la sortie, en novembre 2020, d'une version director's cut de Rocky 4 pour le 35e anniversaire de la sortie du film[20]. Finalement, la sortie de cette nouvelle version est repoussée. En avril 2021, Sylvester Stallone confirme qu'il travaille toujours dessus[21]. Cette nouvelle version s'intitulera Rocky vs Drago - The Ultimate Director's Cut[1].
Clins d’œil
En 2017, Alain Dorval — voix française de Sylvester Stallone — reprend la célèbre réplique « T'as pas mal ! J'ai pas mal ! » dans le film Les As de la jungle dans lequel il double le rhinocéros Goliath.
Notes et références
- « Rocky IV s'offre un nouveau titre et un making of inédit », sur Allociné, (consulté le )
- « Rocky IV », sur Allociné (consulté le )
- (fr) RSdoublage.com (onglet doublage)
- Exceptionnellement, Med Hondo ne double pas Carl Weathers dans ce film. Il est remplacé par Sady Rebbot.
- Mad Movies Classic : ROCKY, la saga mythique de Sylvester Stallone, Collection IMPACT, 2017.
- (fr) Rocky IV, plus vrai que nature (secouchermoinsbete.fr)
- (en) Critique - AllMusic
- When We Were Kings, documentaire, 1996
- (en) « Rocky IV (1985) », sur Rotten Tomatoes, Fandango Media (consulté le )
- (en) « Rocky IV Reviews », sur Metacritic, CBS Interactive (consulté le )
- Rocky IV sur Rotten Tomatoes
- « Rocky IV », sur Roger Ebert
- « Le Combat de trop », sur Nanarland
- Ces propos, reprit dans un documentaire de 2014 pour Arte, Rocky IV - Le coup de poing américain, furent adressés à un collaborateur le 1er février 1986 avant sa prise de parole hebdomadaire à la radio (en)
- Franchise Rocky - Box Office Mojo
- (en) « Rocky IV », sur Box Office Mojo (consulté le )
- (en) « Rocky IV - weekly », sur Box Office Mojo (consulté le )
- « Rocky 4 », sur JP's box-office (consulté le )
- (en) Distinctions - Internet Movie Database
- « Sylvester Stallone a une belle surprise pour les fans de « Rocky IV » », sur 20 Minutes (consulté le )
- « Sylvester Stallone a une belle surprise pour les fans de « Rocky IV » », sur Allociné, (consulté le )
- http://www.film-documentaire.fr/4DACTION/w_fiche_film/46392_1
- « Arte revient sur Rocky IV, le coup de poing américain », sur Onlike, (consulté le ).
Annexes
Saga Rocky
- 1976 : Rocky de John G. Avildsen
- 1979 : Rocky II : La Revanche (Rocky II) de Sylvester Stallone
- 1982 : Rocky III : L'Œil du tigre (Rocky III) de Sylvester Stallone
- 1990 : Rocky V de John G. Avildsen
- 2006 : Rocky Balboa de Sylvester Stallone
- 2015 : Creed : L'Héritage de Rocky Balboa de Ryan Coogler
- 2018 : Creed 2 de Steven Caple Jr.
Liens externes
- Ressources relatives à l'audiovisuel :
- Allociné
- Ciné-Ressources
- Cinémathèque québécoise
- (en) AllMovie
- (en) American Film Institute
- (en) British Film Institute
- (en) Internet Movie Database
- (en) Metacritic
- (en) Movie Review Query Engine
- (de) OFDb
- (en) Rotten Tomatoes
- (mul) The Movie Database
- (fr) Analyse de l'esthétique du montage dans les Rocky sur Objectif Cinéma
- (fr) Article critique sur Nanarland
- (fr) Analyse par le théoricien du cinéma Jean-François Tarnowski, dans la revue Starfix
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