Quinçay

Quinçay est une commune du Centre-Ouest de la France, située dans le département de la Vienne en région Nouvelle-Aquitaine.

Quinçay

L'église de Quinçay.
Administration
Pays France
Région Nouvelle-Aquitaine
Département Vienne
Arrondissement Poitiers
Intercommunalité Communauté de communes du Haut-Poitou
Maire
Mandat
Philippe Brault
2020-2026
Code postal 86190
Code commune 86204
Démographie
Population
municipale
2 187 hab. (2018 )
Densité 74 hab./km2
Géographie
Coordonnées 46° 36′ 26″ nord, 0° 14′ 14″ est
Altitude Min. 82 m
Max. 146 m
Superficie 29,66 km2
Type Commune rurale
Unité urbaine Quinçay
(ville isolée)
Aire d'attraction Poitiers
(commune de la couronne)
Élections
Départementales Canton de Vouneuil-sous-Biard
Législatives Deuxième circonscription
Localisation
Géolocalisation sur la carte : Nouvelle-Aquitaine
Quinçay
Géolocalisation sur la carte : Vienne
Quinçay
Géolocalisation sur la carte : France
Quinçay
Géolocalisation sur la carte : France
Quinçay

    Située au nord-ouest de Poitiers, cette commune fait partie de la communauté de communes du Haut-Poitou. La commune est traversée par l’Auxances, surplombée par endroits de coteaux escarpés, et jouxte la forêt domaniale de Vouillé Saint-Hilaire.

    Géographie

    Localisation

    Traversée par l'Auxances, la commune est dotée d'un riche patrimoine naturel. Le circuit de la vallée de l'Auxances à Quinçay[1] permet de découvrir la vallée encaissée, longue de 12 km. Les méandres isolent des presqu'îles étroites (Chambon, Sencret) parfois bordées de falaises abruptes. Cette vallée fait la frontière entre plaine céréalière sur la rive gauche et polyculture sur la rive droite[2].

    Cet itinéraire permet de longer l'Auxances et de profiter de la fraîcheur de la forêt. Il fait découvrir le patrimoine architectural local, tels que le château de Masseuil ou le lavoir de Ringère. Également à voir autour de cet itinéraire : Site antique de Sénere't, Château de Masseuil, Château-Gaillard, Logis du Pré-Bernard, les lavoirs, moulins à eau, église Saint-Eleusippe et l'ensemble des rives de l'Auxances.

    La commune s'étend sur près de 30 km2.

    Communes limitrophes

    Communes limitrophes de Quinçay
    Cissé Migné-Auxances
    Vouillé Vouneuil-sous-Biard
    Béruges

    Géologie et relief

    Les différents types de sols de la commune[3] de Quinçay sont :

    • Plaines calcaires
      • Groies moyennement profondes (15 %)
      • Groies profondes (moins de 1 %) (Les groies sont des terres du sud-ouest de la France, argilo-calcaires, peu profondes - en général de moins de 50 cm d’épaisseur – et plus ou moins riches en cailloux. Elles sont fertiles et saines et donc, propices à la polyculture céréalière mais elles s’assèchent vite)
    • Plateaux du seuil du Poitou
      • Argile à silex peu profonde (49 %)
      • Bornais (23 %) ce sont des sols brun clair sur limons, profonds et humides, à tendance siliceuse
    • Vallées et terrasses alluviales
      • Vallées calcaires (12 %)

    Hydrographie

    Traversée par l'Auxances sur une longueur de km.

    Climat

    Le climat qui caractérise la commune est qualifié, en 2010, de « climat océanique altéré », selon la typologie des climats de la France qui compte alors huit grands types de climats en métropole[4]. En 2020, la commune ressort du même type de climat dans la classification établie par Météo-France, qui ne compte désormais, en première approche, que cinq grands types de climats en métropole. Il s’agit d’une zone de transition entre le climat océanique, le climat de montagne et le climat semi-continental. Les écarts de température entre hiver et été augmentent avec l'éloignement de la mer. La pluviométrie est plus faible qu'en bord de mer, sauf aux abords des reliefs[5].

    Les paramètres climatiques qui ont permis d’établir la typologie de 2010 comportent six variables pour les températures et huit pour les précipitations, dont les valeurs correspondent aux données mensuelles sur la normale 1971-2000[6]. Les sept principales variables caractérisant la commune sont présentées dans l'encadré ci-après.

    Paramètres climatiques communaux sur la période 1971-2000[4]

    • Moyenne annuelle de température : 11,4 °C
    • Nombre de jours avec une température inférieure à −5 °C : 2,5 j
    • Nombre de jours avec une température supérieure à 30 °C : 6,3 j
    • Amplitude thermique annuelle[Note 1] : 14,7 °C
    • Cumuls annuels de précipitation[Note 2] : 734 mm
    • Nombre de jours de précipitation en janvier : 11,1 j
    • Nombre de jours de précipitation en juillet : 6,7 j

    Avec le changement climatique, ces variables ont évolué. Une étude réalisée en 2014 par la Direction générale de l'Énergie et du Climat[8] complétée par des études régionales[9] prévoit en effet que la température moyenne devrait croître et la pluviométrie moyenne baisser, avec toutefois de fortes variations régionales. Ces changements peuvent être constatés sur la station météorologique de Météo-France la plus proche, « Poitiers-Biard », sur la commune de Biard, mise en service en 1921[10] et qui se trouve à km à vol d'oiseau[11],[Note 3], où la température moyenne annuelle évolue de 11,5 °C pour la période 1971-2000[12] à 11,7 °C pour 1981-2010[13], puis à 12,2 °C pour 1991-2020[14].

    Transports

    Le bourg ainsi que certains hameaux de la commune sont desservis par la Ligne 109 du réseau interurbain de la Vienne d'autocars Lignes en Vienne PoitiersLatilléChalandray. Cette ligne dessert la gare SNCF de Poitiers[15].

    La gare la plus proche de Quinçay se trouve à Poitiers (7,71 km ), à Ligugé (12,1 km), à Iteuil (14,86 km ),à Chasseneuil-du-Poitou (11,41 km), à Jaunay-Clan (13,8 km).

    L'aéroport de Poitiers est situé sur la commune de Biard, à 01 km de Quinçay.

    Urbanisme

    Typologie

    Quinçay est une commune rurale, car elle fait partie des communes peu ou très peu denses, au sens de la grille communale de densité de l'Insee[Note 4],[16],[17],[18]. Elle appartient à l'unité urbaine de Quinçay, une unité urbaine monocommunale[19] de 2 215 habitants en 2017, constituant une ville isolée[20],[21].

    Par ailleurs la commune fait partie de l'aire d'attraction de Poitiers, dont elle est une commune de la couronne[Note 5]. Cette aire, qui regroupe 97 communes, est catégorisée dans les aires de 200 000 à moins de 700 000 habitants[22],[23].

    Occupation des sols

    Carte des infrastructures et de l'occupation des sols de la commune en 2018 (CLC).

    L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des forêts et milieux semi-naturels (54,6 % en 2018), une proportion sensiblement équivalente à celle de 1990 (55,5 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : forêts (50,4 %), terres arables (32,8 %), zones agricoles hétérogènes (7,4 %), milieux à végétation arbustive et/ou herbacée (4,2 %), zones urbanisées (3,2 %), prairies (2 %)[24].

    L'IGN met par ailleurs à disposition un outil en ligne permettant de comparer l’évolution dans le temps de l’occupation des sols de la commune (ou de territoires à des échelles différentes). Plusieurs époques sont accessibles sous forme de cartes ou photos aériennes : la carte de Cassini (XVIIIe siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[Carte 1].

    Morphologie urbaine

    La commune de Quinçay est composée d'un bourg principal et de 11 villages et hameaux (les Roches, Pré Bernard, Rochecourbe, le Moulin de Vaux, la Gère, Bois Frémin, Guissabeau, Masseuil, le Vivier, Ringère, le Grillas).

    Toponymie

    Le nom du village proviendrait de l’anthroponyme gallo-romain Quintus avec le suffixe latin de propriété -acum devenu -ec puis -ay et signifiant domaine de[25].

    Le gentilé des habitants de Quinçay est Quincéen/Quincéenne.

    Histoire

    La Grande Roche de la Plématrie

    La grotte de la Grande Roche, aussi connue sous le nom de Grande Roche de la Plématrie, se trouve à environ 2,2 km au nord-ouest de Quinçay. Découverte en 1952, elle a livré une stratigraphie exceptionnelle de Châtelperronien[26].

    La couche supérieure du Châtelperronien a livré entre autres une série de dents de faune percées et soigneusement travaillées. Cette série a renforcé l'hypothèse de la fabrication de parures par les néandertaliens[27].

    Moyen-Âge

    Au VIe siècle, ce lieu a probablement été emprunté par les armées de Clovis (vers 465- 511), roi des Francs, lors de la bataille de Vouillé en 507[28].

    Certaines recherches mentionnent saint Achard (en latin Acardus, Aicardus, ou Aicadrus d’où aussi Aycadre), comme ayant été abbé à Quinçay au VIe siècle[29].

    Politique et administration

    Liste des maires

    Liste des maires successifs
    Période Identité Étiquette Qualité
     ? mars 2001 Jean-Marie Blanchard    
    mars 2001 mars 2014 Joseph Puaut (1948- ) DVG Retraité
    Réélu en 2008[30]
    mars 2014 En cours
    (au 28 juin 2020)
    Philippe Brault (1962- ) DVG Agent d'exploitation
    6e vice-président de la CC du Pays Vouglaisien (2014 → 2016)
    12e vice-président de la CC du Haut-Poitou (2017 → 2020)
    Réélu pour le mandat 2020-2026
    Les données manquantes sont à compléter.

    Instances judiciaires et administratives

    La commune relève du tribunal d'instance de Poitiers, du tribunal de grande instance de Poitiers, de la cour d'appel de Poitiers, du tribunal pour enfants de Poitiers, du conseil de prud'hommes de Poitiers, du tribunal de commerce de Poitiers, du tribunal administratif de Poitiers et de la cour administrative d'appel de Bordeaux, du tribunal des pensions de Poitiers, du tribunal des affaires de la Sécurité sociale de la Vienne, de la cour d’assises de la Vienne.

    Services publics

    Les réformes successives de La Poste ont conduit à la fermeture de nombreux bureaux de poste ou à leur transformation en simple relais. Toutefois, la commune a pu maintenir le sien.

    Jumelages

    Population et société

    Démographie

    L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. À partir de 2006, les populations légales des communes sont publiées annuellement par l'Insee. Le recensement repose désormais sur une collecte d'information annuelle, concernant successivement tous les territoires communaux au cours d'une période de cinq ans. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[32]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2005[33].

    En 2018, la commune comptait 2 187 habitants[Note 6], en diminution de 1,4 % par rapport à 2013 (Vienne : +1,47 %, France hors Mayotte : +1,78 %).

    Évolution de la population  [modifier]
    1793 1800 1806 1821 1831 1836 1841 1846 1851
    7777557107798128969571 0141 079
    1856 1861 1866 1872 1876 1881 1886 1891 1896
    1 0631 0691 0991 1141 1791 1401 1491 055994
    1901 1906 1911 1921 1926 1931 1936 1946 1954
    860809792755715674703722805
    1962 1968 1975 1982 1990 1999 2005 2010 2015
    7367098621 2161 5641 6632 0512 1382 217
    2018 - - - - - - - -
    2 187--------
    De 1962 à 1999 : population sans doubles comptes ; pour les dates suivantes : population municipale.
    (Sources : Ldh/EHESS/Cassini jusqu'en 1999[34] puis Insee à partir de 2006[35].)
    Histogramme de l'évolution démographique

    La densité de population de la commune est de 72 hab./km2. Celle du département est de 61 hab./km2. Elle est de 68 hab./km2 pour la région Poitou-Charentes et de 115 hab./km2 pour la France[36].

    En 2009, la part des couples mariés représente 60,2 % de la population. Les célibataires, 27,8 % et les veufs/veuves, 6,7 %.

    Économie

    Agriculture

    Selon la direction Régionale de l'Alimentation, de l'Agriculture et de la Foret de Poitou-Charentes[37], il n'y a plus que 12 exploitations agricoles en 2010 contre 19 en 2000.

    Les surfaces agricoles utilisées ont diminué et sont passées de 873 hectares en 2000 à 591 hectares en 2010. 59 % sont destinées à la culture des céréales (blé tendre essentiellement mais aussi de l'orge), 33 % pour les oléagineux (colza et navette) et 2 % restent en herbes. En 2000, deux hectares (zéro en 2010) étaient consacrés à la vigne[37].

    Les élevages d'ovins et de volailles ont disparu au cours de cette décennie[37]. La disparition de l'élevage d'ovins est conforme à la tendance globale du département de la Vienne. En effet, le troupeau d’ovins, exclusivement destiné à la production de viande, a diminué de 43,7 % de 1990 à 2007[38]

    Emploi

    En 2009, le taux de chômage de la population âgée de 15 à 64 ans s'élevait à 3,7 % Le taux d'activité était à 77,4 %

    Entreprises et commerces

    Plusieurs entreprises sont implantées à Quinçay.

    Parmi les commerces, il existe une boulangerie, une épicerie, un salon de coiffure ainsi qu'un bureau de poste.

    Culture locale et patrimoine

    Patrimoine civil

    • Château de Masseuil. Ce château date du XVe siècle. Il a été construit en 1443 pour permettre au chapitre de Saint-Hilaire le Grand de Poitiers d'offrir un refuge à ses gens et à ses biens les plus vulnérables. Lors de sa construction, le château était une véritable forteresse qui comprenait une vaste enceinte entourée de douves profondes, une porte fortifiée avec un pont-levis et des bâtiments à l'intérieur pouvant accueillir les villageois en cas de danger. Le château fut démoli vers 1580 puis reconstruit peu de temps après. De l'époque médiévale, il reste les deux tours d'enceinte qui ont été inscrites comme monument historique en 1963.
    • Le logis de Pré-Bernard[39] dont les façades et les toitures sont classées comme monument historique depuis 1990 et ainsi que les pièces.
    • La fontaine de Ringère

    Patrimoine religieux

    • L'église de Quinçay (église Saint-Eleusippe): la porte de cette église a été inscrite comme monument historique en 1926. Les parties romanes datent des XIe et XIIe siècles.
    La forêt de Vouillé

    La forêt de Vouillé est située tout près de la commune de Quinçay. C'est un important massif domanial de 1 500 hectares. Elle couvre un plateau à topographie très plane et d'altitude modeste : entre 130 m et 140 m en moyenne.

    Le peuplement forestier est homogène. Il s'agit essentiellement de chênes et de hêtres. Quelques zones ouvertes sont occupées par des landes à bruyères.

    La forêt présente un intérêt biologique considérable illustré par la présence de 18 espèces de végétaux rares et/ou menacés. On peut découvrir :

    Selon l'Inventaire des arbres remarquables de Poitou-Charentes, il existe un arbre remarquable en forêt de Vouillé. Il s'agit du Pin laricio de Corse. Il est situé près du parking de la zone de silence, de la route forestière des trois chênes et de l'allée du Pianisseau[40].

    La forêt semi-ouverte et la lande offrent un abri aux rapaces et aux passereaux dont huit font l'objet d'une protection sur tout le territoire national. Il est ainsi possible de voir :

    Voir aussi

    Articles connexes

    Liens externes

    Notes et références

    Notes et cartes

    • Notes
    1. L'amplitude thermique annuelle mesure la différence entre la température moyenne de juillet et celle de janvier. Cette variable est généralement reconnue comme critère de discrimination entre climats océaniques et continentaux.
    2. Une précipitation, en météorologie, est un ensemble organisé de particules d'eau liquide ou solide tombant en chute libre au sein de l'atmosphère. La quantité de précipitation atteignant une portion de surface terrestre donnée en un intervalle de temps donné est évaluée par la hauteur de précipitation, que mesurent les pluviomètres[7].
    3. La distance est calculée à vol d'oiseau entre la station météorologique proprement dite et le chef-lieu de commune.
    4. Selon le zonage des communes rurales et urbaines publié en novembre 2020, en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le en comité interministériel des ruralités.
    5. La notion d'aire d'attraction des villes a remplacé en octobre 2020 l'ancienne notion d'aire urbaine, pour permettre des comparaisons cohérentes avec les autres pays de l'Union européenne.
    6. Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2021, millésimée 2018, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2020, date de référence statistique : 1er janvier 2018.
    • Cartes
    1. IGN, « Évolution de l'occupation des sols de la commune sur cartes et photos aériennes anciennes. », sur remonterletemps.ign.fr (consulté le ). Pour comparer l'évolution entre deux dates, cliquer sur le bas de la ligne séparative verticale et la déplacer à droite ou à gauche. Pour comparer deux autres cartes, choisir les cartes dans les fenêtres en haut à gauche de l'écran.

    Références

    1. http://www.tourisme-vienne.com/randonnee/117/pays-vouglaisien-circuit-de-la-vallee-de-l-auxance-a-quincay
    2. http://www.vouglaisien.com/communes-suite/quincay-suite
    3. Chambre régionale d'agriculture de Poitou-Charentes 2007
    4. Daniel Joly, Thierry Brossard, Hervé Cardot, Jean Cavailhes, Mohamed Hilal et Pierre Wavresky, « Les types de climats en France, une construction spatiale », Cybergéo, revue européenne de géographie - European Journal of Geography, no 501, (DOI https://doi.org/10.4000/cybergeo.23155, lire en ligne, consulté le )
    5. « Le climat en France métropolitaine », sur http://www.meteofrance.fr/, (consulté le )
    6. « Définition d’une normale climatologique », sur http://www.meteofrance.fr/ (consulté le )
    7. Glossaire – Précipitation, Météo-France
    8. « Le climat de la France au XXIe siècle - Volume 4 - Scénarios régionalisés : édition 2014 pour la métropole et les régions d’outre-mer », sur https://www.ecologie.gouv.fr/ (consulté le ).
    9. [PDF]« Observatoire régional sur l'agriculture et le changement climatique (Oracle) - Nouvelle-Aquitaine », sur nouvelle-aquitaine.chambres-agriculture.fr, (consulté le )
    10. « Station météofrance Poitiers-Biard - métadonnées », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le )
    11. « Orthodromie entre Quinçay et Biard », sur fr.distance.to (consulté le ).
    12. « Station météorologique de Poitiers-Biard - Normales pour la période 1971-2000 », sur https://www.infoclimat.fr/ (consulté le )
    13. « Station météorologique de Poitiers-Biard - Normales pour la période 1981-2010 », sur https://www.infoclimat.fr/ (consulté le )
    14. « Station météorologique de Poitiers-Biard - Normales pour la période 1991-2020 », sur https://www.infoclimat.fr/ (consulté le )
    15. http://www.cg86.fr/193-lignes-en-vienne.htm
    16. « Typologie urbain / rural », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
    17. « Commune rurale - définition », sur le site de l’Insee (consulté le ).
    18. « Comprendre la grille de densité », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
    19. « Unité urbaine 2020 de Quinçay », sur https://www.insee.fr/ (consulté le ).
    20. « Base des unités urbaines 2020 », sur www.insee.fr, (consulté le ).
    21. Vianney Costemalle, « Toujours plus d’habitants dans les unités urbaines », sur insee.fr, (consulté le ).
    22. « Liste des communes composant l'aire d'attraction de Poitiers », sur insee.fr (consulté le ).
    23. Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier Pégaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans l’aire d’attraction d’une ville », sur insee.fr, (consulté le ).
    24. « CORINE Land Cover (CLC) - Répartition des superficies en 15 postes d'occupation des sols (métropole). », sur le site des données et études statistiques du ministère de la Transition écologique. (consulté le )
    25. Le Patrimoine des communes de la Vienne en 2 tomes – Edition FLOHIC – 2002 – (ISBN 2-84234-128-7).
    26. [Primault 2003] Jérôme Primault, Exploitation et diffusion des silex de la région du Grand-Pressigny au Paléolithique (thèse de doctorat en Préhistoire), université de Paris X-Nanterre, , 358 p., sur tel.archives-ouvertes.fr (présentation en ligne, lire en ligne), p. 338.
    27. Laetitia Becq-Giraudon, « Les parures de la Préhistoire », L'Actualité Poitou-Charentes, no 42, , p. 48 (lire en ligne [sur manualzilla.com], consulté le ).
    28. « Histoire de Quinçay »(ArchiveWikiwixArchive.isGoogle • Que faire ?), sur quincaymemoire.free.fr (consulté le ).
    29. André Bigotte, « Saints patrons », sur genealegrand.pagesperso-orange.fr (consulté le ).
    30. Site de la préfecture de la Vienne, consulté le 9 mai 2008
    31. « Jumelage avec Warnant » (consulté le ).
    32. L'organisation du recensement, sur insee.fr.
    33. Calendrier départemental des recensements, sur insee.fr.
    34. Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes études en sciences sociales.
    35. Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017 et 2018.
    36. INSEE- 2008
    37. Fiches communales 2000 - 2010 de la Vienne
    38. Agreste – Bulletin n°12 de Mai 2013
    39. http://www.quincay.fr/DetailElement.aspx?numStructure=82082&numElement=97349
    40. http://sigore.observatoire-environnement.org/arbres/arbres.php?idarbre=14776
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