Puimichel

Puimichel est une commune française, située dans le département des Alpes-de-Haute-Provence en région Provence-Alpes-Côte d'Azur.

Puimichel

Village de Puimichel

Blason
Administration
Pays France
Région Provence-Alpes-Côte d’Azur
Département Alpes-de-Haute-Provence
Arrondissement Forcalquier
Intercommunalité Durance-Luberon-Verdon Agglomération
Maire
Mandat
Pierre Bonnafoux
2020-2026
Code postal 04700
Code commune 04156
Démographie
Gentilé Puimicheliens
Population
municipale
257 hab. (2018 )
Densité hab./km2
Géographie
Coordonnées 43° 58′ 29″ nord, 6° 01′ 15″ est
Altitude Min. 486 m
Max. 884 m
Superficie 36,81 km2
Unité urbaine Commune rurale
Aire d'attraction Manosque
(commune de la couronne)
Élections
Départementales Canton de Riez
Législatives Première circonscription
Localisation
Géolocalisation sur la carte : Provence-Alpes-Côte d'Azur
Puimichel
Géolocalisation sur la carte : Alpes-de-Haute-Provence
Puimichel
Géolocalisation sur la carte : France
Puimichel
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Puimichel
Liens
Site web puimichel.dlva.fr

    Le nom de ses habitants est Puimicheliens[1].

    Géographie

    Localisation

    Il est situé entre Malijai et Le Castellet[2].

    Puimichel et les communes voisines (Cliquez sur la carte pour accéder à une grande carte avec la légende).

    Géologie et relief

    Col de Puimichel.

    Comme son nom l’indique, le village est sur un site perché, à 700 m d’altitude[1].

    la commune est située sur le Plateau de Valensole.

    Environnement

    La commune compte 477 ha de bois et forêts, soit seulement 13 % de sa superficie[1].

    Hydrographie et les eaux souterraines

    Cours d'eau sur la commune ou à son aval[3] :

    • La commune est traversée par le torrent de Puimichel, affluent du Rancure, le plus souvent à sec tous les deux,
    • ruisseaux de la roumegière,
    • ravin de val richard.

    Puimichel dispose d'une station d'épuration d'une capacité de 400 équivalent-habitants[4].

    Climat

    Climat classé Cfb dans la classification de Köppen et Geiger[5].

    Voies routières

    Le col de Puimichel, à 811 m d'altitude, est emprunté par la RD 12 qui relie Puimichel à Malijai.

    Lignes intercommunales
    Logo du réseau Trans'agglo
    • Transport en Provence-Alpes-Côte d'Azur

    La ville est aussi reliée par 1 ligne intercommunale, réseau Trans'Agglo[6] :

    Ligne Tracé
    125BrunetEntrevennes ↔ Puimichel ↔ Le CastelletOraison (Transport à la demande)
    Lignes scolaires

    Des lignes de transports scolaires ont été mises en place pour rallier le collège d'Oraison. Ces lignes sont financées par la Communauté d'agglomération Durance Luberon Verdon au travers du réseau Trans'Agglo. En plus des lignes existantes du réseau, une autre a été rajoutée.

    Ligne Tracé
    166 SEntrevennes ↔ Puimichel ↔ Le CastelletOraison

    Risques majeurs

    Aucune des 200 communes du département n'est en zone de risque sismique nul. Le canton des Mées auquel appartient Puimichel est en zone 2 (sismicité moyenne, la maximale en métropole) selon la classification déterministe de 1991, basée sur les séismes historiques[7], et en zone 4 (risque moyen) selon la classification probabiliste EC8 de 2011[8]. La commune de Puimichel est également exposée à trois autres risques naturels[8] :

    • feu de forêt ;
    • inondation ;
    • mouvement de terrain : la commune est presque entièrement concernée par un aléa moyen à fort[9].

    La commune de Puimichel n’est exposée à aucun des risques d’origine technologique recensés par la préfecture[10].

    Le plan de prévention des risques naturels prévisibles (PPR) de la commune a été approuvé en 2008 pour le risque de mouvement de terrain[10] mais le Dicrim n’existe pas[11].

    La commune a été l’objet de plusieurs arrêtés de catastrophe naturelle pour des inondations et des coulées de boue en 1987 et 1994, accompagnés de glissements de terrain en 1994[8].

    Urbanisme

    Typologie

    Puimichel est une commune rurale[Note 1],[12]. Elle fait en effet partie des communes peu ou très peu denses, au sens de la grille communale de densité de l'Insee[13],[14].

    Par ailleurs la commune fait partie de l'aire d'attraction de Manosque, dont elle est une commune de la couronne[Note 2]. Cette aire, qui regroupe 30 communes, est catégorisée dans les aires de 50 000 à moins de 200 000 habitants[15],[16].

    Occupation des sols

    Carte de l'occupation des sols de la commune en 2018 (CLC).

    L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des forêts et milieux semi-naturels (53,5 % en 2018), une proportion identique à celle de 1990 (54,4 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : forêts (28,4 %), milieux à végétation arbustive et/ou herbacée (25,1 %), zones agricoles hétérogènes (22,3 %), terres arables (20,3 %), cultures permanentes (3,8 %)[17].

    L'IGN met par ailleurs à disposition un outil en ligne permettant de comparer l’évolution dans le temps de l’occupation des sols de la commune (ou de territoires à des échelles différentes). Plusieurs époques sont accessibles sous forme de cartes ou photos aériennes : la carte de Cassini (XVIIIe siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[18].

    Économie

    Aperçu général

    En 2009, la population active s’élevait à 129 personnes, dont 17 chômeurs[19] (14 fin 2011[20]). Ces travailleurs sont majoritairement salariés (77 %)[21] et travaillent majoritairement hors de la commune (69 %)[21]. Le secteur primaire est encore le principal employeur de la commune.

    Agriculture

    Cultures sur les hauteurs de Puimichel.

    Fin 2010, le secteur primaire (agriculture, sylviculture, pêche) comptait 23 établissements actifs au sens de l’Insee (exploitants non-professionnels inclus) et deux emplois salariés[22].

    Le nombre d’exploitations professionnelles, selon l’enquête Agreste du ministère de l’Agriculture, est de 19 en 2010. Il était de 25 en 2000[23], de 27 en 1988[24]. Actuellement, ces exploitants sont spécialisés dans les grandes cultures (11 exploitations), les cultures permanentes (arboriculture, oléicultures, herbes aromatiques). La commune compte également des éleveurs et des polyculteurs[23]. De 1988 à 2000, la surface agricole utile (SAU) a fortement baissé, de 1 361 à 997 ha[24]. La courbe s’est inversée lors de la dernière décennie, pour revenir au niveau des années 1980, à 1 369 ha en 2010[23].

    La culture de l’olivier est pratiquée dans la commune depuis des siècles, tout en étant limitée à certains versants. Le terroir de la commune se situe en effet à la limite altitudinale de l’arbre, qui ne peut que difficilement être exploité au-delà des 650 mètres : à Puimichel, il s’agit des versants bien exposés des vallons entaillant le plateau de Valensole. L’oliveraie de Puimichel occupait plus d’une dizaine d’hectares au début du XIXe siècle. Actuellement, elle a régressé mais reste relativement importante, avec plus de 1 000 pieds exploités[25].

    La cachaille (ou cassaille). Les premières références à ce fromage viendraient du village de Puimichel.

    Artisanat et industrie

    Fin 2010, le secteur secondaire (industrie et construction) comptait 12 établissements, employant deux salariés[22].

    Activités de service

    Fin 2010, le secteur tertiaire (commerces, services) comptait neuf établissements (avec six emplois salariés), auxquels s’ajoutent les quatre établissements du secteur administratif (regroupé avec le secteur sanitaire et social et l’enseignement), salariant quatre personnes[22].

    D'après l’Observatoire départemental du tourisme, la fonction touristique est assez importante pour la commune, avec plus entre un et cinq touristes accueillis par habitant[26], l’essentiel de la capacité d'hébergement étant non-marchande[27]. Plusieurs structures d’hébergement à finalité touristique existent dans la commune :

    Les résidences secondaires apportent un complément à la capacité d’accueil[32] : au nombre de 94, elles représentent 40 % des logements. Parmi les résidences secondaires, 11 possèdent plus d’un logement[29],[33].

    Le restaurant Les Lavandins, qui porte le label Bistrot de pays[34],[35], adhère à une charte dont le but est de « contribuer à la conservation et à l’animation du tissu économique et social en milieu rural par le maintien d’un lieu de vie du village ».

    Toponymie

    Le nom du village, tel qu’il apparaît la première fois en vers 1180-1190 (podio Michaelis), est issu de l’occitan local pèch pour colline, et du nom de personne Michel, qui ont ensuite été francisés[36].

    Le village est nommé Puegmiquèu en occitan provençal.

    Histoire

    Des tombes gallo-romaines en bâtière ont été mises au jour à la ferme de Hauteval[37].

    La localité apparaît pour la première fois dans les chartes en 1189 (Podium Michaelis)[38]. Au cours de ce même siècle, l’église rurale Saint-Firmin appartenait à l’abbaye Saint-André de Villeneuve-lès-Avignon, qui en percevait les revenus[39], l’église paroissiale Notre-Dame-du-Serre relevait elle de l’archidiacre de Riez. La communauté relevait de la baillie de Digne[38].

    En 1331, de par son mariage plausible avec Sibile de Puimichel, Lambert de Launcello (Lincel) devient seigneur de Puimichel[40].

    La seigneurie appartient d’abord au Puimichel au XIIIe siècle, puis aux Lincel (XIVe), aux Berre (XVe), aux Villeneuve (XVe-XVIe siècles), et enfin aux Glandevès jusqu’à la Révolution[41]. Le village souffre beaucoup au XVIe siècle : épidémie de peste, passage des armées huguenotes et catholiques durant les guerres de religion.

    Durant la Révolution, la commune compte une société patriotique, créée à l’été 1792[42].

    Le coup d'État du 2 décembre 1851 commis par Louis-Napoléon Bonaparte contre la Deuxième République provoque un soulèvement armé dans les Basses-Alpes, en défense de la Constitution. Après l’échec de l’insurrection, une sévère répression poursuit ceux qui se sont levés pour défendre la République : 7 habitants de Puimichel sont traduits devant la commission mixte, la peine la plus courante étant la déportation en Algérie[43].

    Jusqu’au milieu du XXe siècle, la vigne était cultivée à Puimichel. Plusieurs dizaines d’hectares produisaient un vin de qualité moyenne, en liaison avec le vignoble des Mées, destiné à l’autoconsommation et à la vente sur les marchés locaux. Cette culture est aujourd’hui abandonnée[44].

    Politique et administration

    Intercommunalité

    Avant 2011, Puimichel faisait partie de la communauté de communes du Val de Rancure, puis à partir du de la communauté de communes Intercommunalité du Luberon Oriental.

    Depuis le , Puimichel fait partie de la communauté d'agglomération Durance Luberon Verdon.

    Municipalité

    Liste des maires successifs[45]
    Période Identité Étiquette Qualité
             
    août 1846 14 avril 1848 Jean-Baptiste Eyglunent   révoqué
    14 avril 1848 5 novembre 1848 Elzéar Léon Aillaud   aubergiste,
    maire au sein de la Commission municipale,
    réélu le 3 septembre 1848
    5 novembre 1848 23 novembre 1851 Auguste Roch Reynaud   démission à la suite de descentes
    de gendarmerie
    23 novembre 1851   Sébastien Amaudric    
             
    mai 1945   Henri Esmiol[46]    
    maire en 1962  ? Gervais Bonnafoux RI  
    1983 (?) mars 2008 Max Brunel DVG[47],[48]  
    mars 2008 En cours
    (au 21 octobre 2014)
    Pierre Bonnafoux[49],[50] DVG Professeur des écoles
    Les données manquantes sont à compléter.

    Budget et fiscalité 2017

    Mairie.

    En 2017, le budget de la commune était constitué ainsi[51] :

    • total des produits de fonctionnement : 442 000 , soit 2 147  par habitant ;
    • total des charges de fonctionnement : 457 000 , soit 2 218  par habitant ;
    • total des ressources d'investissement : 94 000 , soit 455  par habitant ;
    • total des emplois d'investissement : 152 000 , soit 740  par habitant ;
    • endettement : 136 000 , soit 661  par habitant.

    Avec les taux de fiscalité suivants :

    • taxe d'habitation : 6,46 % ;
    • taxe foncière sur les propriétés bâties : 16,80 % ;
    • taxe foncière sur les propriétés non bâties : 50,80 % ;
    • taxe additionnelle à la taxe foncière sur les propriétés non bâties : 0,00 % ;
    • cotisation foncière des entreprises : 0,00 %.

    Chiffres clés Revenus et pauvreté des ménages en 2015 : médiane en 2015 du revenu disponible, par unité de consommation : 20 201 [52].

    Environnement et recyclage

    La collecte et traitement des déchets des ménages et déchets assimilés et la protection et mise en valeur de l'environnement se font dans le cadre de la communauté d'agglomération Durance Luberon Verdon.

    Population et société

    Évolution démographique

    L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1765. À partir de 2006, les populations légales des communes sont publiées annuellement par l'Insee. Le recensement repose désormais sur une collecte d'information annuelle, concernant successivement tous les territoires communaux au cours d'une période de cinq ans. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[53]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2007[54].

    En 2018, la commune comptait 257 habitants[Note 3], en augmentation de 22,97 % par rapport à 2013 (Alpes-de-Haute-Provence : +1,33 %, France hors Mayotte : +1,78 %).

    Évolution de la population  [modifier]
    1765 1793 1806 1821 1831 1836 1841 1846 1851
    783600613697761792794739732
    1856 1861 1866 1872 1876 1881 1886 1891 1896
    688707724653587529466430426
    1901 1906 1911 1921 1926 1931 1936 1946 1954
    409400371309282282241185171
    1962 1968 1975 1982 1990 1999 2006 2007 2012
    152161147194203237252254220
    2017 2018 - - - - - - -
    247257-------
    De 1962 à 1999 : population sans doubles comptes ; pour les dates suivantes : population municipale.
    (Sources : Ldh/EHESS/Cassini jusqu'en 1999[55] puis Insee à partir de 2006[56].)
    Histogramme de l'évolution démographique

    L’histoire démographique de Puimichel, après la saignée des XIVe et XVe siècles et le long mouvement de croissance jusqu’au début du XIXe siècle, est marquée par une période d’« étale » où la population reste relativement stable à un niveau élevé. Cette période dure de 1831 à 1866. L’exode rural provoque ensuite un mouvement de recul démographique, rapide et de longue durée. Dès 1906, la commune a perdu plus de la moitié de sa population par rapport au maximum historique de 1841[57]. Le mouvement de baisse se poursuit jusqu’aux années 1970. Depuis, la croissance de la population a repris.

    Évolution démographique avant 1765
    1315 1471
    122 feux49 feux

    Enseignement

    Établissements d'enseignements[58] :

    • Écoles maternelles à Le Castellet, Les Mées, Malijai,
    • La commune est dotée d’une école primaire[59],[60].
    • Collèges à Oraison, Château-Arnoux-Saint-Auban,
    • Lycées à Digne-Charmejade (Le Chaffaut-Saint-Jurson), Dignes-les-Bains.

    Santé

    Professionnels et établissements de santé[61] :

    Cultes

    Héraldique

    Blasonnement :
    De gueules à une montagne d'argent surmontée de trois coquilles d'or rangées en chef[63].

    Lieux et monuments

    Dany Cardoen, astronome belge s'installe à Puimichel en 1982 et y construit un observatoire astronomique avec le plus grand télescope amateur du monde (à l'époque : 102 cm). Cet observatoire est connu dans le monde des astronomes amateurs, notamment en Belgique, en Allemagne, en Suisse, au Canada[64].

    Un observatoire amateur est également implanté sur la commune, l'observatoire de l'Alifant, avec une lunette de 3 m de long dotée d'un miroir de 233 mm et construite à la fin des années 1920[65]. Cette lunette a servi à tester le ciel des Basses-Alpes pour l'implantation de l'Observatoire de Haute-Provence à Saint-Michel-l'Observatoire[66]. Début 2016 cet observatoire a été détruit et l'intégralité de son matériel a quitté la région pour rejoindre le centre de la France (département de l'Indre).

    Sur la place du village, se trouve une maison seigneuriale, datant du XVIIIe siècle[67]. La mairie, construite contre l’église, le claveau central de la porte est orné d’un cœur en relief ; le bâtiment date de 1683[68].

    L’église Notre-Dame-du-Serre, qui est peut-être construite en 1547, consiste en une nef de deux travées, et une troisième qui, plus basse, abrite la tribune. Au-dessus de la tribune, se trouve le clocher-tour[69]. Ses fonts baptismaux, en fonte du XIXe siècle, sont classés monument historique au titre objet[70]. La cloche est de 1723[71].

    La chapelle Saint-Elzéar est au sommet du village. Construite autour des années 1700, a brulé en 1923 à cause d'un feu provoqué par la foudre. Elle est aujourd'hui totalement restaurée et sert de salle communale[72].

    Au hameau des Bronzets, la chapelle Saint-Joseph, est construite au XVIIIe siècle. Elle est plafonnée, et possède un porche et un clocher mur sur la façade occidentale[73].

    La chapelle Saint-Firmin, à proximité de la Bastide Neuve, est en ruines[38].

    Monuments commémoratifs :

    • Le monument aux morts. Conflits commémorés : Guerre 1914-1918[74].
    • Plaque commémorative dans l'église[75].

    Personnalités liées à la commune

    • la bienheureuse Delphine de Sabran (1283-1360), considérée comme sainte dans la région, de la famille Glandevez, née à Puimichel
    • Dany Cardoen, artisan fabriquant des miroirs de télescopes pour de grands observatoire à travers le monde. Propriétaire de l'observatoire astronomique (télescope Ritchey-Chrétien de 1,06 m) situé au sommet du village. À ce jour il existe 3 coupoles abritant chacune un instrument astronomique. L'association "Les coupoles de Puimichel" permet de découvrir le patrimoine astronomique de la commune par le biais de visites et en organisant des soirées d'observations. www.coupoles-puimichel.fr
    • Arlette Steenmans, artiste peintre[76], a été primée de nombreuses fois pour ses œuvres naturalistes.
    • Jean-Baptiste Crétaux, propriétaire de l'observatoire astronomique de l'Alifant[77], président de l'association "Objectif 230". Début 2016, avec le déménagement de la lunette et l'abandon du bâtiment où était implanté l'observatoire, cette association a cessé toute activité sur la commune.

    Pour approfondir

    Articles connexes

    Lien externe

    Sources

    Bibliographie

    Notes

    1. Selon le zonage publié en novembre 2020, en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le en comité interministériel des ruralités.
    2. La notion d'aire d'attraction des villes a remplacé en octobre 2020 l'ancienne notion d'aire urbaine, pour permettre des comparaisons cohérentes avec les autres pays de l'Union européenne.
    3. Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2021, millésimée 2018, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2020, date de référence statistique : 1er janvier 2018.

    Références

    1. Roger Brunet, « Canton des Mées », Le Trésor des régions, consultée le 10 juin 2013
    2. Lieux et itinéraires
    3. L'eau dans la commune
    4. Station d'épuration
    5. Table climatique
    6. DLVA Transports intercommunaux
    7. Préfecture des Alpes-de-Haute-Provence, Dossier départemental sur les risques majeurs dans les Alpes-de-Haute-Provence (DDRM), 2008, p. 39
    8. Ministère de l’Écologie, du développement durable, des transports et du logement, Notice communale sur la base de données Gaspar, mise à jour le 8 juillet 2011, consultée le 10 août 2012
    9. Préfecture des Alpes-de-Haute-Provence, DDRM, p. 37
    10. Préfecture des Alpes-de-Haute-Provence, DDRM, op. cit., p. 97
    11. Formulaire de recherche « Copie archivée » (version du 25 mai 2012 sur l'Internet Archive), base Dicrim, consultée le 10 août 2012
    12. « Zonage rural », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
    13. « Commune urbaine-définition », sur le site de l’Insee (consulté le ).
    14. « Comprendre la grille de densité », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
    15. « Base des aires d'attraction des villes 2020. », sur insee.fr, (consulté le ).
    16. Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier Pégaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans l’aire d’attraction d’une ville », sur insee.fr, (consulté le ).
    17. « CORINE Land Cover (CLC) - Répartition des superficies en 15 postes d'occupation des sols (métropole). », sur le site des données et études statistiques du ministère de la Transition écologique. (consulté le )
    18. IGN, « Évolution de l'occupation des sols de la commune sur cartes et photos aériennes anciennes. », sur remonterletemps.ign.fr (consulté le ). Pour comparer l'évolution entre deux dates, cliquer sur le bas de la ligne séparative verticale et la déplacer à droite ou à gauche. Pour comparer deux autres cartes, choisir les cartes dans les fenêtres en haut à gauche de l'écran.
    19. Insee, Dossier local - Commune : Puimichel, p. 5 (mis à jour le 28 juin 2012)
    20. Insee, Dossier local, p. 8
    21. Insee, Dossier local, p. 7
    22. Insee, Dossier local, p. 16
    23. Ministère de l'Agriculture, « Orientation technico-économique de l’exploitation », Recensements agricoles 2010 et 2000. (lien : attention, le fichier fait 4,4 Mio)
    24. Insee, « Exploitations agricoles en 1988 et 2000 », Insee, 2012 (fichier de 24,6 Mio)
    25. Réparaz, « Terroirs perdus, terroirs constants, terroirs conquis : vigne et olivier en Haute-Provence XIXe-XXIe siècles », Méditerranée, 109 | 2007, p. 58
    26. Observatoire départemental du tourisme, Atlas de l'hébergement touristique, décembre 2008, p. 6
    27. Atlas de l'hébergement..., op. cit., p. 7
    28. Atlas de l'hébergement..., op. cit., p. 21, 23 et 25
    29. Insee, Dossier local, op. cit., p. 17
    30. Atlas de l'hébergement..., op. cit., p. 32
    31. Atlas de l'hébergement..., op. cit., p. 36
    32. Atlas de l'hébergement..., op. cit., p. 44
    33. Insee, « Hébergements touristiques des communes, 2008, 2009 et 2012 », Insee, 2012 (fichier de 20,8 Mio)
    34. La charte Bistrot de Pays Bistrot de Pays
    35. Fédération nationale des bistrots de pays
    36. Ernest Nègre, Toponymie générale de la France : étymologie de 35 000 noms de lieux, vol. 3 : Formations dialectales (suite) ; formations françaises, Genève, Librairie Droz, coll. « Publications romanes et françaises » (no 195), , 1852 p. (lire en ligne)., § 29459, p. 1680.
    37. Raymond Collier, La Haute-Provence monumentale et artistique, Digne, Imprimerie Louis Jean, , 559 p., p 21
    38. Daniel Thiery, « Puimichel », Aux origines des églises et chapelles rurales des Alpes-de-Haute-Provence, publié le 22 décembre 2011, mis à jour le 23 décembre 2011, consulté le 10 août 2012
    39. Guy Barruol, Michèle Bois, Yann Codou, Marie-Pierre Estienne, Élizabeth Sauze, « Liste des établissements religieux relevant de l’abbaye Saint-André du Xe au XIIIe siècle », in Guy Barruol, Roseline Bacon et Alain Gérard (directeurs de publication), L’abbaye de Saint-André de Villeneuve-lès-Avignon, histoire, archéologie, rayonnement, Actes du colloque interrégional tenu en 1999 à l'occasion du millénaire de la fondation de l'abbaye Saint-André de Villeneuve-lès-Avignon, Éd. Alpes de Lumières, Cahiers de Salagon no 4, Mane, 2001, 448 p. (ISSN 1254-9371), (ISBN 2-906162-54-X), p 225
    40. Marie-Zéphirin Isnard, État documentaire et féodal de la Haute-Provence : nomenclature de toutes les seigneuries de cette région et de leurs possesseurs depuis le XIIe siècle jusqu'à l'abolition de la féodalité ; état sommaire des documents d'archive communales antérieures à 1790 ; bibliographie et armoiries, Digne, Vial, 1913, p. 297
    41. Sous la direction d'Édouard Baratier, Georges Duby et Ernest Hildesheimer, Atlas historique. Provence, Comtat Venaissin, principauté d’Orange, comté de Nice, principauté de Monaco, Paris, Librairie Armand Colin, (notice BnF no FRBNF35450017), p. 191
    42. Patrice Alphand, « Les Sociétés populaires», La Révolution dans les Basses-Alpes, Annales de Haute-Provence, bulletin de la société scientifique et littéraire des Alpes-de-Haute-Provence, no 307, 1er trimestre 1989, 108e année, p 296-297
    43. Henri Joannet, Jean-Pierre Pinatel, « Arrestations-condamnations », 1851-Pour mémoire, Les Mées : Les Amis des Mées, 2001, p. 71.
    44. André de Réparaz, op. cit., p. 56 et 59
    45. Christian Blanc, Jean Vivoli (illustrateur), Les insurgés républicains d’Oraison et du Val de Rancure, décembre 1851, Oraison, Association Rancure, 2008, (ISBN 978-2-9531011-0-2), p 37, pour les maires de 1846-1848
    46. [Sébastien Thébault, Thérèse Dumont], « La Libération », Basses-Alpes 39-45, publié le 31 mars 2014, consulté le 2 avril 2014.
    47. Max Brunel est l’un des 500 élus qui ont parrainé la candidature de Pierre Juquin (candidat communiste réformateur) à l’élection présidentielle de 1988, cf Conseil constitutionnel, liste des citoyens ayant présenté les candidats à l’élection du Président de la République, Journal officiel de la République française du 12 avril 1988, page 4787, disponible en ligne, consulté le 29 juillet 2010
    48. Max Brunel est l’un des 500 élus qui ont parrainé la candidature de Jean-Pierre Chevènement à l’élection présidentielle de 2002, cf Parrainages élection présidentielle 2002, consulté le 28 juillet 2010 et Liste des citoyens ayant présenté les candidats à l'élection du Président de la République de 2002
    49. Préfecture des Alpes-de-Haute-Provence, De Montfuron à Puimichel (liste 5), consulté le 8 mars 2013
    50. Préfecture des Alpes-de-Haute-Provence, « Liste des maires « Copie archivée » (version du 22 octobre 2014 sur l'Internet Archive) », 2014, consultée le 20 octobre 2014.
    51. Les comptes de la commune
    52. Chiffres clés Évolution et structure de la population. Dossier complet
    53. L'organisation du recensement, sur insee.fr.
    54. Calendrier départemental des recensements, sur insee.fr.
    55. Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes études en sciences sociales.
    56. Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017 et 2018.
    57. Christiane Vidal, « Chronologie et rythmes du dépeuplement dans le département des Alpes-de-Haute-Provence depuis le début du XIXe siècle. », Provence historique, tome 21, no 85, 1971, p. 288.
    58. Établissements d'enseignements
    59. Inspection académique des Alpes-de-Haute-Provence, Liste des écoles de la circonscription de Sisteron-Sud, publiée le 27 avril 2010, consultée le 31 octobre 2010
    60. École maternelle et élémentaire
    61. Professionnels et établissements de santé
    62. Paroisse Puimichel - Digne - Riez - Sisteron
    63. Val de Rancure : Puimichel, Vexillologie Provençale, sur le site personnel de Dominique Cureau
    64. Le T106RC - Puimichel
    65. « La lunette du père Josset », La lunette du père Josset - Observatoire de l'Alifant, consulté le 6 juillet 2012
    66. « Découvrez les merveilles du ciel d'été à l'observatoire de l'Alifant à Puimichel », Haute-Provence Info, supplément au no 25, 22 juin 2012, p. 4
    67. Raymond Collier, op. cit., p. 271
    68. Raymond Collier, op. cit., p. 369
    69. Raymond Collier, op. cit., p. 182.
    70. Arrêté du 29 août 2002, notice de la Base Palissy, consultée le 1er décembre 2008
    71. Notice no PM04002992, base Palissy, ministère français de la Culture cloche de l'église
    72. Raymond Collier, op. cit., p 224
    73. Raymond Collier, op. cit., p. 232.
    74. Le monument aux morts
    75. Plaque commémorative
    76. Les Coupoles de Puimichel. Le village de l'astronomie des Alpes de Haute Provence
    77. Le programme de France 3 qui revisite les confins de nos territoires a fait escale à l'observatoire de l'Alifant de Jean-Baptiste Crétaux
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