Pradines (Lot)

Pradines est une commune française, située dans le département du Lot en région Occitanie.

Pour les articles homonymes, voir Pradines.

Pradines

L'église Saint-Blaise de Flottes.

Blason
Administration
Pays France
Région Occitanie
Département Lot
Arrondissement Cahors
Intercommunalité Communauté d'agglomération du Grand Cahors
Maire
Mandat
Denis Marre
2020-2026
Code postal 46090
Code commune 46224
Démographie
Gentilé Pradinois, pradinoise
Population
municipale
3 515 hab. (2018 )
Densité 213 hab./km2
Géographie
Coordonnées 44° 28′ 47″ nord, 1° 24′ 18″ est
Altitude Min. 100 m
Max. 300 m
Superficie 16,49 km2
Type Commune urbaine
Unité urbaine Cahors
(banlieue)
Aire d'attraction Cahors
(commune de la couronne)
Élections
Départementales Canton de Cahors-1
Législatives Première circonscription
Localisation
Géolocalisation sur la carte : région Occitanie
Pradines
Géolocalisation sur la carte : Lot
Pradines
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Pradines
Géolocalisation sur la carte : France
Pradines
Liens
Site web Site officiel

    Géographie

    Commune de l'aire urbaine de Cahors située dans le Quercy.

    Communes limitrophes

    Carte de la commune de Pradines et des proches communes.

    Voies de communication et transports

    La commune est desservie par le réseau de transports en commun de Cahors, Evidence, dont plusieurs lignes desservent la commune en direction du centre-ville de Cahors.

    Climat

    Le climat qui caractérise la commune est qualifié, en 2010, de « climat du Bassin du Sud-Ouest », selon la typologie des climats de la France qui compte alors huit grands types de climats en métropole[2]. En 2020, la commune ressort du type « climat océanique altéré » dans la classification établie par Météo-France, qui ne compte désormais, en première approche, que cinq grands types de climats en métropole. Il s’agit d’une zone de transition entre le climat océanique et les climats de montagne et semi-continental. Les écarts de température entre hiver et été augmentent avec l'éloignement de la mer. La pluviométrie est plus faible qu'en bord de mer, sauf aux abords des reliefs[3].

    Les paramètres climatiques qui ont permis d’établir la typologie de 2010 comportent six variables pour les températures et huit pour les précipitations, dont les valeurs correspondent aux données mensuelles sur la normale 1971-2000[4]. Les sept principales variables caractérisant la commune sont présentées dans l'encadré ci-après.

    Paramètres climatiques communaux sur la période 1971-2000[2]

    • Moyenne annuelle de température : 13,4 °C
    • Nombre de jours avec une température inférieure à −5 °C : 3,1 j
    • Nombre de jours avec une température supérieure à 30 °C : 11,7 j
    • Amplitude thermique annuelle[Note 1] : 15,9 °C
    • Cumuls annuels de précipitation : 853 mm
    • Nombre de jours de précipitation en janvier : 10,8 j
    • Nombre de jours de précipitation en juillet : 6,2 j

    Avec le changement climatique, ces variables ont évolué. Une étude réalisée en 2014 par la Direction générale de l'Énergie et du Climat[5] complétée par des études régionales[6] prévoit en effet que la température moyenne devrait croître et la pluviométrie moyenne baisser, avec toutefois de fortes variations régionales. Ces changements peuvent être constatés sur la station météorologique de Météo-France la plus proche, « Le Montat », sur la commune du Montat, mise en service en 1986[7]et qui se trouve à 12 km à vol d'oiseau[8],[Note 2], où la température moyenne annuelle est de 13 °C et la hauteur de précipitations de 832 mm pour la période 1981-2010[9]. Sur la station météorologique historique la plus proche, « Gourdon », sur la commune de Gourdon, mise en service en 1961 et à 29 km[10], la température moyenne annuelle évolue de 12,4 °C pour la période 1971-2000[11], à 12,7 °C pour 1981-2010[12], puis à 13,1 °C pour 1991-2020[13].

    Milieux naturels et biodiversité

    L’inventaire des zones naturelles d'intérêt écologique, faunistique et floristique (ZNIEFF) a pour objectif de réaliser une couverture des zones les plus intéressantes sur le plan écologique, essentiellement dans la perspective d’améliorer la connaissance du patrimoine naturel national et de fournir aux différents décideurs un outil d’aide à la prise en compte de l’environnement dans l’aménagement du territoire. Deux ZNIEFF de type 1[Note 3] sont recensées sur la commune[14] : le « cours inférieur du Lot » (1 209 ha), couvrant 25 communes dont 23 dans le Lot et deux dans le Lot-et-Garonne[15] et le « pech de Barreau, Barnac, vallées des ruisseaux de Flottes et d'Auronne et combes tributaires » (570 ha), couvrant 4 communes du département[16].

    Urbanisme

    Typologie

    Pradines est une commune urbaine, car elle fait partie des communes denses ou de densité intermédiaire, au sens de la grille communale de densité de l'Insee[Note 4],[17],[18],[19]. Elle appartient à l'unité urbaine de Cahors, une agglomération intra-départementale regroupant 3 communes[20] et 24 117 habitants en 2017, dont elle est une commune de la banlieue[21],[22].

    Par ailleurs la commune fait partie de l'aire d'attraction de Cahors dont elle est une commune de la couronne[Note 5]. Cette aire, qui regroupe 78 communes, est catégorisée dans les aires de 50 000 à moins de 200 000 habitants[23],[24].

    Occupation des sols

    Carte des infrastructures et de l'occupation des sols de la commune en 2018 (CLC).

    L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des forêts et milieux semi-naturels (62,2 % en 2018), en augmentation par rapport à 1990 (58,5 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : forêts (34 %), milieux à végétation arbustive et/ou herbacée (28,2 %), zones urbanisées (16,6 %), terres arables (7,5 %), cultures permanentes (5,9 %), eaux continentales[Note 6] (4,7 %), zones agricoles hétérogènes (3,1 %)[25].

    L'IGN met par ailleurs à disposition un outil en ligne permettant de comparer l’évolution dans le temps de l’occupation des sols de la commune (ou de territoires à des échelles différentes). Plusieurs époques sont accessibles sous forme de cartes ou photos aériennes : la carte de Cassini (XVIIIe siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[Carte 1].

    Toponymie

    Le toponyme Pradines est, selon André Soutou, dérivé de l'occitan prada, lui-même du latin pratum qui signifie pré. D'après F. Mistral (TDF), pradinas signifie "mauvais pré". Pour Gaston Bazalgues, une forme ancienne, Pardinas, serait issue de parietenae qui qualifie une muraille à vocation défensive, ce qui serait confirmé par le site[26], mais il s'agit en réalité d'une erreur du copiste en forme de métathèse ra => ar.

    Il y a deux autres communes françaises nommées Pradines dans la Loire et la Corrèze.

    Histoire

    Après la conquête romaine, de riches habitants, devenus citoyens de Rome, édifièrent probablement à Pradines de somptueuses villas. Une légende rapporte que l’un de ces notables fut converti au christianisme par le premier apôtre du Quercy, saint Martial. L’église qui porte le nom du saint, aurait été bâtie à l’emplacement de cette maison. Pradines devint dès lors un lieu de pèlerinage très fréquenté durant plusieurs siècles. Comme Cahors, Pradines fut saccagée par les Vandales (277 et 407), les Goths (414), les Francs conduits par Théodobert, fils de Chilpéric en 574. , 118 Selon le site la ville[27], et les apports de Claude Lufeaux et de Philippe Deladerrière, historiens, source essentielle des éléments de ce chapitre, le plus ancien document où Pradines et Flaynac sont cités, est le testament d’un archidiacre de Cahors nommé Benjamin, daté de 945. Dans ce texte, ce propriétaire fait donation d’une grande partie de ses biens, dont l’église Saint-Martial et ses revenus, au chapitre de la cathédrale de Cahors. Les évêques de Cahors possédaient, à Pradines, une maison de campagne où vers la fin du XIIIe siècle ils firent bâtir un château fort qu'ils habitèrent jusqu'au XVIe siècle, avant de décider de se fixer sur l'autre rive du Lot, en face, au château de Mercuès. En 1246, l’évêque Géraud, pour se libérer d'importantes dettes qu’il avait contractées, céda à un certain Arnauld Béraldi les fiefs de Pradines et de Cessac, mais conserva son droit de justice. Le banquier Béraldi appartenait à une ancienne famille de banquiers cahorsins, qui a donné son nom au proche village de Labéraudie où il avait des biens très importants. Pendant la guerre de Cent Ans, les grandes compagnies anglo-gasconnes firent quatre fois le siège de Pradines, mais celle-ci ne tomba jamais entre leurs mains. Elles laissèrent cependant un pays ruiné. Le pape Jean XXII (1244-1334), encore Jacques Duèze, venait souvent, enfant, dans la propriété de sa famille Béraldi à Pradines.

    En 1470, l'évêque de Cahors, Antoine d'Alamand donna ses coutumes aux habitants de Pradines. L’église fut reconstruite.

    Au cours des XVIIe et XVIIIe siècles, Pradines devient la métairie des puissants (hommes de loi, magistrats de la Cour des Aides...) et des riches bourgeois de Cahors qui achètent des terres et les font produire par les agriculteurs de Pradines. (Voir à ce sujet le livre de Françoise Auricoste[28]

    Avec la Révolution, le clocher fut démoli, les biens ecclésiastiques vendus aux enchères et partagés entre les habitants.

    En 1850, l’agriculture semblait être le revenu essentiel de la commune, où ne sont mentionnés qu’un moulin à vent et deux tuileries. À Labéraudie et à Pradines, où le sol est le plus riche, on cultivait du tabac, du maïs, des légumes, du froment. À Flaynac, il y avait aussi du tabac, de « belles moissons », des bois et aussi des vignes, des arbres fruitiers, et on cultivait des melons. Flottes, en terrains calcaires sensibles à la sécheresse, exploitait des vignes, des bois de taillis, du maïs et du froment.

    Les limites de la commune ne furent arrêtées qu'en 1860. La commune est ainsi divisée en quatre sections : Pradines, Labéraudie, Flaynac, Flottes : il avait fallu plus d'un demi-siècle pour régler un point litigieux avec la commune de Douelle, dont un côté de rue et des terrains situés au sud faisaient partie de Pradines.

    Un document de 1880 présente une commune essentiellement agricole, vivant dans une relative aisance. Cette situation se maintint jusqu’à la fin du XIXe siècle, mais la population diminua, attirée par la ville et le travail qu’on y trouvait alors. La crise du phylloxéra en 1876-1877 ne fit qu'accentuer ce problème ; de 1 300 habitants en 1836, la population passe à 1 120 habitants au recensement de 1876. Il est fait état alors d’une commune sans mairie, sans maison d’école, ni logement pour l’instituteur.

    Politique et administration

    Liste des maires

    Liste des maires successifs[29]
    Période Identité Étiquette Qualité
    1792 1808 Antoine Simonis    
    1808 1814 M. Ebrard (d')    
    1814 1816 Jean Marcilhac    
    1816 1819 Antoine Carriol    
    1819 1830 Joseph Chanut    
    1830 1833 François Antonin Agou    
    1833 1852 Joseph Pillat    
    1852 1864 H. Delfraysse    
    1864 1874 François Victor Lagarrigue    
    1874 1879 François Miquel    
    1879 1894 Jean Pierre Charles Julien Pillat    
    1894 1902 Charles Pillat    
    1977 2008 Jean-Jacques Coudouin DVG  
    2008 2014 Didier Mercereau DVG  
    2014 En cours Denis Marre DVD Conseiller départemental (depuis 2015)
    Les données manquantes sont à compléter.

    Démographie

    L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. À partir de 2006, les populations légales des communes sont publiées annuellement par l'Insee. Le recensement repose désormais sur une collecte d'information annuelle, concernant successivement tous les territoires communaux au cours d'une période de cinq ans. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[30]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2004[31].

    En 2018, la commune comptait 3 515 habitants[Note 7], en augmentation de 1,18 % par rapport à 2013 (Lot : +0,1 %, France hors Mayotte : +1,78 %).

    Évolution de la population  [modifier]
    1793 1800 1806 1821 1831 1836 1841 1846 1851
    1 1031 1891 1661 2011 2081 3001 2981 2881 187
    1856 1861 1866 1872 1876 1881 1886 1891 1896
    1 1661 1721 1911 1381 1201 073990951864
    1901 1906 1911 1921 1926 1931 1936 1946 1954
    782767677597573543511489542
    1962 1968 1975 1982 1990 1999 2004 2009 2014
    6027031 2062 3072 9413 1253 1583 4093 433
    2018 - - - - - - - -
    3 515--------
    De 1962 à 1999 : population sans doubles comptes ; pour les dates suivantes : population municipale.
    (Sources : Ldh/EHESS/Cassini jusqu'en 1999[32] puis Insee à partir de 2006[33].)
    Histogramme de l'évolution démographique
    Évolution du rang de la commune
    selon la population municipale des années : 1968[34] 1975[34] 1982[34] 1990[34] 1999[34] 2006[35] 2009[36] 2013[37]
    Rang de la commune dans le département 34 16 7 7 7 7 7 7
    Nombre de communes du département 340 340 340 340 340 340 340 340

    Économie

    Viticulture

    Pradines est une commune viticole du vignoble du Sud-Ouest, elle se situe sur les aires géographiques de l'AOC Cahors, de l'IGP Comté Tolosan et de l'IGP Côtes du Lot[38].

    Lieux et monuments

    Pradines dispose de quatre églises historiques et d'un château :

    • L'église Saint-Martial de Pradines. L'édifice est référencé dans la base Mérimée et à l'Inventaire général de la région Occitanie[39]. La peinture monumentale référencée dans la base Palissy[39]. Cette église des XIe et XIIe siècles, a été construite sur des bases préromanes. Elle est située à l’écart du bourg, dans l’enceinte d’un cimetière planté de cyprès. L'église est orientée vers l'est. Cette église est consacré à saint Martial, ermite qui aurait vécu dans une grotte. Un pèlerinage en l'honneur de saint Martial, amenait en ces lieux de nombreux pèlerins au Moyen Âge.
    • L'église Saint-Blaise de Flottes.
    • L'église Saint-Sébastien de Flaynac.
    • L'église Sainte-Croix de Labéraudie.
    • Chapelle de Flaynac.
    • Le Château de la Roussille.

    Héraldique

    Blason
    D’or à deux lions léopardés de gueules l’un au-dessus de l’autre; à la bordure de sinople chargée de huit besants d’argent.
    Détails
    Le statut officiel du blason reste à déterminer.

    Description

    « D’or, à deux lions, passants de Gueules, à la bordure de sinople, chargée de Huit Besants d’argent » tel est le blason de Pradines. Tel était celui de la famille Beraldi. En 1246, Arnaud Béraldi, appartenait à une vieille famille cadurcienne. Ce riche banquier et sa succession devinrent co-seigneurs de Pradines avec les évêques de Cahors. Par la suite un de ses descendants, le seigneur Arnaud de Béraldi s’illustra au cours de la guerre de Cent Ans en 1345/1384. C'est cette famille qui donna son nom au village de Labéraudie où la famille possédait, des terres et deux châteaux.

    Ce blason fut adopté par délibération du conseil municipal - en 1988 ? -. Il est la quasi-reproduction des armoiries d'Arnaud de Béraldi.

    En 2011, la municipalité a décidé d'appliquer à compter du mois de mars un nouveau logo pour la ville. Ce logo, créé par Sylvain Andraud, s'appuie sur les représentations géographiques de la vallée et du causse, le concept d'un berceau lové dans la courbe du Lot et l'idée de la nature symbolisée par la feuille de chêne. Des nervures renvoient aux trois les hameaux de Pradines. La couleur rouge illustre le dynamisme; le vert, la nature omniprésente à Pradines et dans ses alentours. "La créativité de ce logo évoque un mouvement dynamique d'ouverture vers l'environnement et l'avenir. Quant à la devise « Une ville à la campagne », elle a été conservée, gage de continuité et d'un projet urbanistique respectueux de l'environnement" expliquent les concepteurs de ce logo.

    Bibliographie

    • Histoire de Pradines. Le village devenu ville au bord du Lot de Françoise Auricoste, avec Claude Lufeaux), préface de Didier Mercereau. Avant-propos d'Agnès Sevrin-Cance. Édité par la mairie de Pradines. 2013. (ISBN 978-2-9546041-0-7)

    Personnalités liées à la commune

    Voir aussi

    Références

    1. Carte IGN sous Géoportail
    2. Daniel Joly, Thierry Brossard, Hervé Cardot, Jean Cavailhes, Mohamed Hilal et Pierre Wavresky, « Les types de climats en France, une construction spatiale », Cybergéo, revue européenne de géographie - European Journal of Geography, no 501, (DOI https://doi.org/10.4000/cybergeo.23155, lire en ligne, consulté le )
    3. « Le climat en France métropolitaine », sur http://www.meteofrance.fr/, (consulté le )
    4. « Définition d’une normale climatologique », sur http://www.meteofrance.fr/ (consulté le )
    5. « Le climat de la France au XXIe siècle - Volume 4 - Scénarios régionalisés : édition 2014 pour la métropole et les régions d’outre-mer », sur https://www.ecologie.gouv.fr/ (consulté le ).
    6. « Observatoire régional sur l'agriculture et le changement climatique (oracle) Occitanie », sur occitanie.chambre-agriculture.fr, (consulté le )
    7. « Station Météo-France Le Montat - métadonnées », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le )
    8. « Orthodromie entre Pradines et Le Montat », sur fr.distance.to (consulté le ).
    9. « Station Météo-France Le Montat - fiche climatologique - statistiques 1981-2010 et records », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le ).
    10. « Orthodromie entre Pradines et Gourdon », sur fr.distance.to (consulté le ).
    11. « Station météorologique de Gourdon - Normales pour la période 1971-2000 », sur https://www.infoclimat.fr/ (consulté le )
    12. « Station météorologique de Gourdon - Normales pour la période 1981-2010 », sur https://www.infoclimat.fr/ (consulté le )
    13. « Station météorologique de Gourdon - Normales pour la période 1991-2020 », sur https://www.infoclimat.fr/ (consulté le )
    14. « Liste des ZNIEFF de la commune de Pradines », sur le site de l'Inventaire national du patrimoine naturel (consulté le ).
    15. « ZNIEFF le « cours inférieur du Lot » - fiche descriptive », sur le site de l'inventaire national du patrimoine naturel (consulté le ).
    16. « ZNIEFF le « pech de Barreau, Barnac, vallées des ruisseaux de Flottes et d'Auronne et combes tributaires » - fiche descriptive », sur le site de l'inventaire national du patrimoine naturel (consulté le ).
    17. « Typologie urbain / rural », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
    18. « Commune urbaine - définition », sur le site de l’Insee (consulté le ).
    19. « Comprendre la grille de densité », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
    20. « Unité urbaine 2020 de Cahors », sur https://www.insee.fr/ (consulté le ).
    21. « Base des unités urbaines 2020 », sur www.insee.fr, (consulté le ).
    22. Vianney Costemalle, « Toujours plus d’habitants dans les unités urbaines », sur le site de l'Institut national de la statistique et des études économiques, (consulté le ).
    23. « Base des aires d'attraction des villes 2020. », sur le site de l'Institut national de la statistique et des études économiques, (consulté le ).
    24. Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier Pégaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans l’aire d’attraction d’une ville », sur le site de l'Institut national de la statistique et des études économiques, (consulté le ).
    25. « CORINE Land Cover (CLC) - Répartition des superficies en 15 postes d'occupation des sols (métropole). », sur le site des données et études statistiques du ministère de la Transition écologique. (consulté le )
    26. Gaston Bazalgues et Jacqueline Bazalgues, À la découverte des noms de lieux du Quercy et des communes du Lot : Toponymie lotoise, Aubenas, Gourdon : Éditions de la Bouriane et du Quercy, , 133 p. (ISBN 2-910540-16-2, notice BnF no FRBNF40220401), p. 62, 118.
    27. Pradines :;Accueil;- Commune de Pradines, Pays de Cahors, Lot 46090
      • Histoire de Pradines. Le village devenu ville au bord du Lot de Françoise Auricoste, avec Claude Lufeaux), préface de Didier Mercereau. Avant-propos d'Agnès Sevrin-Cance. Édité par la mairie de Pradines. 2013. (ISBN 978-2-9546041-0-7).
    28. « Les maires de Pradines », sur Site francegenweb, (consulté le ).
    29. L'organisation du recensement, sur insee.fr.
    30. Calendrier départemental des recensements, sur insee.fr.
    31. Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes études en sciences sociales.
    32. Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017 et 2018.
    33. INSEE, « Population selon le sexe et l'âge quinquennal de 1968 à 2012 (1990 à 2012 pour les DOM) », sur insee.fr, (consulté le ).
    34. INSEE, « Populations légales 2006 des départements et des collectivités d'outre-mer », sur insee.fr, (consulté le ).
    35. INSEE, « Populations légales 2009 des départements et des collectivités d'outre-mer », sur insee.fr, (consulté le ).
    36. INSEE, « Populations légales 2013 des départements et des collectivités d'outre-mer », sur insee.fr, (consulté le ).
    37. Placido Llorca, « La commune viticole de Pradines », sur Vin Vigne, (consulté le ).
    38. « Église paroissiale Saint-Martial », sur www.pop.culture.gouv.fr (consulté le )

    Le site de la ville de Pradines est la source essentielle des informations historiques, patrimoniales, héraldiques de cette page, avec notamment le articles des historiens Claude Lufeaux et Philippe Deladerrière.

    Notes et cartes

    • Notes
    1. L'amplitude thermique annuelle mesure la différence entre la température moyenne de juillet et celle de janvier. Cette variable est généralement reconnue comme critère de discrimination entre climats océaniques et continentaux.
    2. La distance est calculée à vol d'oiseau entre la station météorologique proprement dite et le chef-lieu de commune.
    3. Les ZNIEFF de type 1 sont des secteurs d’une superficie en général limitée, caractérisés par la présence d’espèces, d’association d’espèces ou de milieux rares, remarquables, ou caractéristiques du milieu du patrimoine naturel régional ou national.
    4. Selon le zonage des communes rurales et urbaines publié en novembre 2020, en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le en comité interministériel des ruralités.
    5. La notion d'aire d'attraction des villes a remplacé, en , celle d'aire urbaine afin de permettre des comparaisons cohérentes avec les autres pays de l'Union européenne.
    6. Les eaux continentales désignent toutes les eaux de surface, en général des eaux douces issues d'eau de pluie, qui se trouvent à l'intérieur des terres.
    7. Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2021, millésimée 2018, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2020, date de référence statistique : 1er janvier 2018.
    • Cartes
    1. IGN, « Évolution de l'occupation des sols de la commune sur cartes et photos aériennes anciennes. », sur remonterletemps.ign.fr (consulté le ). Pour comparer l'évolution entre deux dates, cliquer sur le bas de la ligne séparative verticale et la déplacer à droite ou à gauche. Pour comparer deux autres cartes, choisir les cartes dans les fenêtres en haut à gauche de l'écran.

    Liens externes

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