Pont-d'Ouilly

Pont-d'Ouilly est une commune française, située dans le département du Calvados en région Normandie, peuplée de 985 habitants[Note 1].

Pour les articles homonymes, voir Pont (toponyme).

Pont-d'Ouilly

Les bords de l'Orne.

Blason
Administration
Pays France
Région Normandie
Département Calvados
Arrondissement Caen
Intercommunalité Communauté de communes du pays de Falaise
Maire
Mandat
Maryvonne Guibout
2020-2026
Code postal 14690
Code commune 14764
Démographie
Gentilé Ouillypontains
Population
municipale
985 hab. (2018 )
Densité 51 hab./km2
Géographie
Coordonnées 48° 52′ 26″ nord, 0° 24′ 31″ ouest
Altitude Min. 42 m
Max. 251 m
Superficie 19,50 km2
Unité urbaine Commune rurale
Aire d'attraction Commune hors attraction des villes
Élections
Départementales Canton de Falaise
Législatives Troisième circonscription
Localisation
Géolocalisation sur la carte : Normandie
Pont-d'Ouilly
Géolocalisation sur la carte : Calvados
Pont-d'Ouilly
Géolocalisation sur la carte : France
Pont-d'Ouilly
Géolocalisation sur la carte : France
Pont-d'Ouilly

    Située sur l'Orne, au cœur de la Suisse normande, Pont-d'Ouilly est une commune de tourisme et de loisirs.

    Géographie

    Pont-d'Ouilly est située au confluent de l'Orne et du Noireau, sur la route reliant Falaise à Condé-sur-Noireau.

    Le territoire comprend une enclave au sein de la commune ornaise de Cahan au nord du Noireau.

    Communes limitrophes de Pont-d'Ouilly[1]
    Clécy Cossesseville, Pierrefitte-en-Cinglais Tréprel
    Clécy,
    Saint-Denis-de-Méré
    Le Détroit
    Cahan (Orne, une enclave y est incluse) Ménil-Hubert-sur-Orne (Orne) Le Mesnil-Villement

    Climat

    Le climat qui caractérise la commune est qualifié, en 2010, de « climat océanique altéré », selon la typologie des climats de la France qui compte alors huit grands types de climats en métropole[3]. En 2020, la commune ressort du même type de climat dans la classification établie par Météo-France, qui ne compte désormais, en première approche, que cinq grands types de climats en métropole. Il s’agit d’une zone de transition entre le climat océanique, le climat de montagne et le climat semi-continental. Les écarts de température entre hiver et été augmentent avec l'éloignement de la mer. La pluviométrie est plus faible qu'en bord de mer, sauf aux abords des reliefs[4].

    Les paramètres climatiques qui ont permis d’établir la typologie de 2010 comportent six variables pour les températures et huit pour les précipitations, dont les valeurs correspondent aux données mensuelles sur la normale 1971-2000[5]. Les sept principales variables caractérisant la commune sont présentées dans l'encadré ci-après.

    Paramètres climatiques communaux sur la période 1971-2000[3]

    • Moyenne annuelle de température : 10,5 °C
    • Nombre de jours avec une température inférieure à −5 °C : 3 j
    • Nombre de jours avec une température supérieure à 30 °C : 1,2 j
    • Amplitude thermique annuelle[Note 2] : 12,3 °C
    • Cumuls annuels de précipitation[Note 3] : 777 mm
    • Nombre de jours de précipitation en janvier : 11,8 j
    • Nombre de jours de précipitation en juillet : 7,6 j

    Avec le changement climatique, ces variables ont évolué. Une étude réalisée en 2014 par la Direction générale de l'Énergie et du Climat[7] complétée par des études régionales[8] prévoit en effet que la température moyenne devrait croître et la pluviométrie moyenne baisser, avec toutefois de fortes variations régionales. Ces changements peuvent être constatés sur la station météorologique de Météo-France la plus proche, « Pierrefitte Cin_sapc », sur la commune de Pierrefitte-en-Cinglais, mise en service en 1997[9] et qui se trouve à km à vol d'oiseau[10],[Note 4], où la température moyenne annuelle est de 11 °C et la hauteur de précipitations de 839,2 mm pour la période 1981-2010[11]. Sur la station météorologique historique la plus proche[Note 5], « Caen-Carpiquet », sur la commune de Carpiquet, mise en service en 1945 et à 35 km[12], la température moyenne annuelle évolue de 10,9 °C pour la période 1971-2000[13] à 11,2 °C pour 1981-2010[14], puis à 11,5 °C pour 1991-2020[15].

    Urbanisme

    Typologie

    Pont-d'Ouilly est une commune rurale[Note 6],[16]. Elle fait en effet partie des communes peu ou très peu denses, au sens de la grille communale de densité de l'Insee[17],[18]. La commune est en outre hors attraction des villes[19],[20].

    Occupation des sols

    Carte des infrastructures et de l'occupation des sols de la commune en 2018 (CLC).

    L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des territoires agricoles (85,2 % en 2018), une proportion identique à celle de 1990 (85,2 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : prairies (60,3 %), zones agricoles hétérogènes (15,3 %), forêts (12,8 %), terres arables (9,6 %), zones urbanisées (1,9 %)[21].

    L'IGN met par ailleurs à disposition un outil en ligne permettant de comparer l’évolution dans le temps de l’occupation des sols de la commune (ou de territoires à des échelles différentes). Plusieurs époques sont accessibles sous forme de cartes ou photos aériennes : la carte de Cassini (XVIIIe siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[22].

    Toponymie

    Le nom de Pont-d'Ouilly symbolise l'union en 1947 des deux communes de chaque côté de l'Orne : Saint-Marc-d'Ouilly en rive gauche et Ouilly-le-Basset en rive droite. Le nom cette dernière localité est attesté sous la forme Oilliacus vers 1034[23].

    Ouilly est une formation toponymique gallo-romaine, basée sur un anthroponyme latin ou roman tel qu'Olius[23],[24] ou Aulius[25], suivi du suffixe d'origine gauloise -acum, marquant la localisation ou la propriété.

    Les Saint-Marc peuvent vénérer l'évangéliste Marc mais aussi parfois, tout comme les Saint-Mars, Médard de Noyon, évêque du VIe siècle[23], ce qui est le cas pour cette commune comme l'atteste le vocable Saint-Médard de son église.

    Le gentilé est Ouillypontain.

    Histoire

    Depuis le temps des diligences, Pont-d'Ouilly est reconnue comme ville étape. Dès le XIIe siècle, son pont de pierre aux sept arches était l'un des rares passages sur l'Orne permettant de relier Paris et Rouen à la Bretagne et au mont Saint-Michel. C'est un lieu de passage obligé pour franchir le fleuve et un véritable carrefour commercial. Au XXe siècle, la halle de Pont-d'Ouilly est l'une des plus prospères de la région.

    Jusqu'en 1826, le secteur communal actuel est réparti sur trois communes distinctes : Saint-Marc-d'Ouilly, Saint-Christophe et Ouilly-le-Basset. À la création des cantons, Ouilly-le-Basset est chef-lieu de canton. Ce canton est supprimé lors du redécoupage cantonal de l'an IX (1801)[26].

    Ainsi jusqu'en 1947, la rive droite de l'actuel bourg de Pont-d'Ouilly dépend donc de la commune d'Ouilly-le-Basset, alors que la rive gauche dépend de celle de Saint-Marc-d'Ouilly, Saint-Christophe (89 habitants en 1821[27]), en aval du pont, ayant été absorbé en 1826 par Ouilly-le-Basset (766 habitants[26]).

    La Deuxième Guerre mondiale est très douloureuse pour l'agglomération de Pont-d'Ouilly. Les bombardements, dont le but est de détruire le pont, atteignent de nombreuses habitations aux alentours, et les deux communes d'Ouilly-le-Basset (588 habitants en 1946[26]) et de Saint-Marc-d'Ouilly (601 habitants[28]) sont déclarées sinistrées. Face aux difficultés administratives et financières pour la reconstruction, elles décident de fusionner pour former la commune de Pont-d'Ouilly créée par décret en date du .

    Politique et administration

    Liste des maires
    Période Identité Étiquette Qualité
    octobre 1947 mai 1953 Marcel Guyon    
    mai 1953 mars 1965 Roger Cornu    
    mars 1965 mars 1971 René Vallée    
    mars 1971 mars 1973 Roger Cornu    
    mars 1973 mars 1977 Pierre Froger    
    mars 1977 mars 2001 Alain Thomas    
    mars 2001[29] mars 2008 Gérard Bisson    
    mars 2008[30] mars 2014 Marcel Lecoq SE Agent de maîtrise
    mars 2014[31] En cours Maryvonne Guibout[32] SE Retraitée
    Les données manquantes sont à compléter.

    Le conseil municipal est composé de quinze membres dont le maire et deux adjoints[32].

    Démographie

    L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. À partir de 2006, les populations légales des communes sont publiées annuellement par l'Insee. Le recensement repose désormais sur une collecte d'information annuelle, concernant successivement tous les territoires communaux au cours d'une période de cinq ans. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[33]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2007[34].

    En 2018, la commune comptait 985 habitants[Note 7], en diminution de 5,47 % par rapport à 2013 (Calvados : +0,6 %, France hors Mayotte : +1,78 %). Pont-d'Ouilly a compté jusqu'à 1 279 habitants en 1968.

    Évolution de la population de Saint-Marc-d'Ouilly, puis de Pont-d'Ouilly  [modifier]
    1793 1800 1806 1821 1831 1836 1841 1846 1851
    8467639468728831 0521 0131 0751 018
    1856 1861 1866 1872 1876 1881 1886 1891 1896
    1 0049901 0341 086894909940858759
    1901 1906 1911 1921 1926 1931 1936 1946 1954
    6416055515725565415516011 150
    1962 1968 1975 1982 1990 1999 2006 2007 2012
    1 1941 2791 2301 0491 0021 0501 0401 0381 015
    2017 2018 - - - - - - -
    999985-------
    De 1962 à 1999 : population sans doubles comptes ; pour les dates suivantes : population municipale.
    (Sources : Ldh/EHESS/Cassini jusqu'en 1999[28] puis Insee à partir de 2006[35].)
    Histogramme de l'évolution démographique
    Évolution démographique d'Ouilly-le-Basset avant la fusion de 1947
    1793 1800 1806 1821 1831 1836 1841 1846 1851
    624682771766809776859845796
    1856 1861 1866 1872 1876 1881 1886 1891 1896
    780830809769802754743734741
    1901 1906 1911 1921 1926 1931 1936 1946 -
    710726615599582583600588-
    (Sources : EHESS[26])
    Évolution démographique avant la fusion de 1826
    1793 1800 1806 1821
    71677689
    (Sources : EHESS[27])

    Culture locale et patrimoine

    Lieux et monuments

    L'église Saint-Jean-Baptiste d'Ouilly-le-Basset.
    • Église Saint-Jean-Baptiste, du XIXe siècle, à Ouilly-le-Basset.
    • Église Sainte-Thérèse, néo-romane, du XXe siècle, à Pont-d'Ouilly.
    • Église Saint-Médard, du XIXe siècle, à Saint-Marc-d'Ouilly.
    • Chapelle Saint-Roch, du XVIe siècle, à Saint-Marc-d'Ouilly.
    • Ancienne halle aux grains (reconstruite en 1826).
    • Ancienne gare de Pont-d'Ouilly sur la ligne Falaise - Berjou comportant une remarquable halle à marchandises des années 1880.
    • Haras d'Ouilly, créé par le prince Pierre d'Aremberg, repris après la Première Guerre mondiale par le duc de Cazes et qui fut la propriété de Jean-Luc Lagardère avant d'être celle de l'Aga Khan depuis 2015[réf. à confirmer][36].
    • Ancienne école d'Ouilly-le-Basset (XIXe siècle), munie d'un lanternon.

    Jumelage

    Personnalités liées à la commune

    • Jean-Luc Lagardère (1928–2003), industriel et patron de presse, est enterré à Pont-d'Ouilly, dans le cimetière d'Ouilly-le-Basset.

    Héraldique

    Les armes de la commune se blasonnent ainsi :
    de gueules au léopard soutenu d'un pont isolé, voûté, de cinq arches, le tout d'or[37].

    Voir aussi

    Notes et références

    Notes

    1. Population municipale 2018.
    2. L'amplitude thermique annuelle mesure la différence entre la température moyenne de juillet et celle de janvier. Cette variable est généralement reconnue comme critère de discrimination entre climats océaniques et continentaux.
    3. Une précipitation, en météorologie, est un ensemble organisé de particules d'eau liquide ou solide tombant en chute libre au sein de l'atmosphère. La quantité de précipitation atteignant une portion de surface terrestre donnée en un intervalle de temps donné est évaluée par la hauteur de précipitation, que mesurent les pluviomètres[6].
    4. La distance est calculée à vol d'oiseau entre la station météorologique proprement dite et le chef-lieu de commune.
    5. Par station météorologique historique, il convient d'entendre la station météorologique qui a été mise en service avant 1970 et qui est la plus proche de la commune. Les données s'étendent ainsi au minimum sur trois périodes de trente ans (1971-2000, 1981-2010 et 1991-2020).
    6. Selon le zonage publié en novembre 2020, en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le en comité interministériel des ruralités.
    7. Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2021, millésimée 2018, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2020, date de référence statistique : 1er janvier 2018.

    Références

    1. « Géoportail (IGN), couche « Limites administratives » activée »
    2. « Géoportail (IGN), couche « Limites administratives » activée »
    3. Daniel Joly, Thierry Brossard, Hervé Cardot, Jean Cavailhes, Mohamed Hilal et Pierre Wavresky, « Les types de climats en France, une construction spatiale », Cybergéo, revue européenne de géographie - European Journal of Geography, no 501, (DOI https://doi.org/10.4000/cybergeo.23155, lire en ligne, consulté le )
    4. « Le climat en France métropolitaine », sur http://www.meteofrance.fr/, (consulté le )
    5. « Définition d’une normale climatologique », sur http://www.meteofrance.fr/ (consulté le )
    6. Glossaire – Précipitation, Météo-France
    7. « Le climat de la France au XXIe siècle - Volume 4 - Scénarios régionalisés : édition 2014 pour la métropole et les régions d’outre-mer », sur https://www.ecologie.gouv.fr/ (consulté le ).
    8. [PDF]« Observatoire régional sur l'agriculture et le changement climatique (Oracle) - Normandie », sur normandie.chambres-agriculture.fr, (consulté le )
    9. « Station Météo-France Pierrefitte Cin_sapc - métadonnées », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le )
    10. « Orthodromie entre Pont-d'Ouilly et Pierrefitte-en-Cinglais », sur fr.distance.to (consulté le ).
    11. « Station Météo-France Pierrefitte Cin_sapc - fiche climatologique - statistiques 1981-2010 et records », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le ).
    12. « Orthodromie entre Pont-d'Ouilly et Carpiquet », sur fr.distance.to (consulté le ).
    13. « Station météorologique de Caen-Carpiquet - Normales pour la période 1971-2000 », sur https://www.infoclimat.fr/ (consulté le )
    14. « Station météorologique de Caen-Carpiquet - Normales pour la période 1981-2010 », sur https://www.infoclimat.fr/ (consulté le )
    15. « Station météorologique de Caen-Carpiquet - Normales pour la période 1991-2020 », sur https://www.infoclimat.fr/ (consulté le )
    16. « Zonage rural », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
    17. « Commune urbaine-définition », sur le site de l’Insee (consulté le ).
    18. « Comprendre la grille de densité », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
    19. « Base des aires d'attraction des villes 2020. », sur insee.fr, (consulté le ).
    20. Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier Pégaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans l’aire d’attraction d’une ville », sur insee.fr, (consulté le ).
    21. « CORINE Land Cover (CLC) - Répartition des superficies en 15 postes d'occupation des sols (métropole). », sur le site des données et études statistiques du ministère de la Transition écologique. (consulté le )
    22. IGN, « Évolution de l'occupation des sols de la commune sur cartes et photos aériennes anciennes. », sur remonterletemps.ign.fr (consulté le ). Pour comparer l'évolution entre deux dates, cliquer sur le bas de la ligne séparative verticale et la déplacer à droite ou à gauche. Pour comparer deux autres cartes, choisir les cartes dans les fenêtres en haut à gauche de l'écran.
    23. Albert Dauzat et Charles Rostaing, Dictionnaire étymologique des noms de lieux en France, Paris, Larousse,
    24. René Lepelley, Dictionnaire étymologique des noms de communes de Normandie, Condé-sur-Noireau, Éd. Charles Corlet, (ISBN 2-905461-80-2), p. 193
    25. Ernest Nègre, Toponymie générale de la France, t. 1 : Formations préceltique, celtiques, romanes, Genève, (lire en ligne), p. 577
    26. Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui, « Notice communale : Ouilly-le-Basset », sur ehess.fr, École des hautes études en sciences sociales (consulté le ).
    27. Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui, « Notice communale : Saint-Christophe », sur ehess.fr, École des hautes études en sciences sociales (consulté le ).
    28. Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes études en sciences sociales.
    29. « Gérard Bisson : « Place à une nouvelle équipe » », sur ouest-france.fr, Ouest-France (consulté le )
    30. « Marcel Lecoq, maire, s'entoure de trois adjoints », sur ouest-france.fr, Ouest-France (consulté le )
    31. « Maryvonne Guibout a pris ses fonctions de maire », sur ouest-france.fr, Ouest-France (consulté le )
    32. Réélection 2020 : « Municipales à Pont-d’Ouilly. Le conseil municipal a élu maire et adjoints », sur ouest-france.fr, Ouest-France (consulté le )
    33. L'organisation du recensement, sur insee.fr.
    34. Calendrier départemental des recensements, sur insee.fr.
    35. Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017 et 2018.
    36. « Histoire - Le haras d'Ouilly », sur pont-douilly.com (consulté le )
    37. http://armorialdefrance.fr/page_blason.php?ville=11963

    Liens externes

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