Pompignan (Gard)

Pompignan est une commune française située dans le département du Gard, en région Occitanie.

Pour les articles homonymes, voir Pompignan.

Pompignan

Vue générale.

Blason
Administration
Pays France
Région Occitanie
Département Gard
Arrondissement Le Vigan
Intercommunalité Communauté de communes du Piémont Cévenol
Maire
Mandat
Michel Fougairolle
2020-2026
Code postal 30170
Code commune 30200
Démographie
Population
municipale
954 hab. (2018 )
Densité 23 hab./km2
Géographie
Coordonnées 43° 53′ 42″ nord, 3° 51′ 24″ est
Altitude Min. 153 m
Max. 522 m
Superficie 41,31 km2
Type Commune rurale
Aire d'attraction Montpellier
(commune de la couronne)
Élections
Départementales Canton du Vigan
Législatives Cinquième circonscription
Localisation
Géolocalisation sur la carte : région Occitanie
Pompignan
Géolocalisation sur la carte : Gard
Pompignan
Géolocalisation sur la carte : France
Pompignan
Géolocalisation sur la carte : France
Pompignan

    Géographie

    Carte du territoire communal.

    Limitrophe avec le département de l'Hérault, la commune de Pompignan est à l'interface entre le causse de l'Hortus (au sud) et les premiers reliefs cévenols de Saint-Hippolyte-du-Fort (au nord). La commune est encadrée par les massifs du Bois de Monnier (à l'ouest) et du Coutach (à l'est), reliefs qui soulignent la vaste dépression au sein de laquelle est implanté le village, à 170 mètres d'altitude.

    Les principaux points hauts du secteur sont :

    • le Mont Haut (522 m), situé dans le Bois de Monnier avec son ermitage proche du sommet ;
    • le Puech Camp (471 m), sur le massif de Coutach ;
    • la Crête de Taillade (420 m), qui constitue le rebord septentrional du Causse de l'Hortus ;
    • la Montagne Saint-Jean (402 m), siège des ruines du château fort et d'une ancienne chapelle romane.

    Hydrographie

    Pompignan est traversée par sept ruisseaux principaux, tous à cours intermittent (oueds) et qui appartient au bassin versant du Vidourle :

    • le Rieumassel, principal cours d'eau, collecteur de tous les ruisseaux de la commune et affluent du Vidourle ;
    • le ruisseau des Crozes ;
    • le ruisseau d'Enval ;
    • le ruisseau d'Artigues ;
    • le ruisseau de Groussanne ;
    • le ruisseau du Valadas ;
    • le ruisseau du Lauzas.

    On y trouve également plusieurs avens, dont les plus spectaculaires sont le Trou fumant et l'Aven de Monnier.

    Climat

    Paramètres climatiques communaux sur la période 1971-2000

    • Moyenne annuelle de température : 13,6 °C
    • Nombre de jours avec une température inférieure à −5 °C : 2,7 j
    • Nombre de jours avec une température supérieure à 30 °C : 16 j
    • Amplitude thermique annuelle[Note 1] : 16,7 °C
    • Cumuls annuels de précipitation : 1 118 mm
    • Nombre de jours de précipitation en janvier : 7,3 j
    • Nombre de jours de précipitation en juillet : 3,1 j

    Le climat qui caractérise la commune est qualifié, en 2010, de « climat méditerranéen franc », selon la typologie des climats de la France qui compte alors huit grands types de climats en métropole[1]. En 2020, la commune ressort du type « climat méditerranéen » dans la classification établie par Météo-France, qui ne compte désormais, en première approche, que cinq grands types de climats en métropole. Pour ce type de climat, les hivers sont doux et les étés chauds, avec un ensoleillement important et des vents violents fréquents[2].

    Les paramètres climatiques qui ont permis d’établir la typologie de 2010 comportent six variables pour les températures et huit pour les précipitations, dont les valeurs correspondent aux données mensuelles sur la normale 1971-2000[3]. Les sept principales variables caractérisant la commune sont présentées dans l'encadré ci-contre[1].

    Avec le changement climatique, ces variables ont évolué. Une étude réalisée en 2014 par la Direction générale de l'Énergie et du Climat[4] complétée par des études régionales[5] prévoit en effet que la température moyenne devrait croître et la pluviométrie moyenne baisser, avec toutefois de fortes variations régionales. Ces changements peuvent être constatés sur la station météorologique de Météo-France la plus proche, « Conqueyrac », sur la commune de Conqueyrac, mise en service en 1991[6] et qui se trouve à km à vol d'oiseau[7],[Note 2], où la température moyenne annuelle est de 14,9 °C et la hauteur de précipitations de 1 123,2 mm pour la période 1981-2010[8]. Sur la station météorologique historique la plus proche, « Montpellier-Aéroport », sur la commune de Mauguio, dans le département de l'Hérault, mise en service en 1946 et à 33 km[9], la température moyenne annuelle évolue de 14,7 °C pour la période 1971-2000[10], à 15,1 °C pour 1981-2010[11], puis à 15,5 °C pour 1991-2020[12].

    Urbanisme

    Typologie

    Pompignan est une commune rurale, car elle fait partie des communes peu ou très peu denses, au sens de la grille communale de densité de l'Insee[Note 3],[13],[14],[15].

    Par ailleurs la commune fait partie de l'aire d'attraction de Montpellier, dont elle est une commune de la couronne[Note 4]. Cette aire, qui regroupe 161 communes, est catégorisée dans les aires de 700 000 habitants ou plus (hors Paris)[16],[17].

    Occupation des sols

    Carte des infrastructures et de l'occupation des sols de la commune en 2018 (CLC).

    L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des forêts et milieux semi-naturels (72,6 % en 2018), une proportion sensiblement équivalente à celle de 1990 (72,2 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : milieux à végétation arbustive et/ou herbacée (52,6 %), forêts (18,7 %), cultures permanentes (14,8 %), zones agricoles hétérogènes (11,8 %), espaces ouverts, sans ou avec peu de végétation (1,3 %) et zones urbanisées (0,8 %)[18].

    L'IGN met par ailleurs à disposition un outil en ligne permettant de comparer l’évolution dans le temps de l’occupation des sols de la commune (ou de territoires à des échelles différentes). Plusieurs époques sont accessibles sous forme de cartes ou photos aériennes : la carte de Cassini (XVIIIe siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[Carte 1].

    Environnement

    La plaine de Pompignan constitue un point chaud de biodiversité très connu des naturalistes, de par la présence de belles garrigues, de canyons marneux, d'oueds et de nombreuses lavognes. Les garrigues de Pompignan, visibles depuis la RD25 et la RD181, prennent par endroits des teintes de savane africaine, en raison de leurs vastes étendues herbeuses parsemées d'arbustes épineux. Les principaux arbustes épineux sont le Poirier à feuilles d'amandiers Pyrus spinosa et le Paliure épine-du-Christ Paliurus spina-christi. Ces garrigues sont pâturées par des troupeaux transhumants de moutons depuis des siècles.

    150 espèces d'oiseaux, 500 espèces de plantes et autant d'insectes sont présents dans cet ensemble de garrigues qui a été classé site Natura 2000 en , au sein d'une Zone de Protection Spéciale Gorges du Rieutord, Fage et Cagnasses de 13 000 hectares[19].

    Histoire

    Premiers peuplements

    Sur la commune de Pompignan, deux tumulus de la nécropole du Sadoulet datant approximativement de la seconde moitié du VIIe siècle av. J.-C. ou début du VIe siècle av. J.-C. ont fait l'objet de fouilles dans les années 1980[20],[21]. Pompignan est un lieu de peuplement très ancien : plusieurs grottes étaient occupés par les hommes du néolithique. Plusieurs dolmens, nécropoles et même un cromlech de 100 mètres de diamètre est à signaler. Les peuples gaulois étaient déjà largement établis localement, en témoigne le grand nombre de sépultures de cette époque encore visibles et disséminées dans toute la plaine.

    Pompignan provient de Pompignanus, sans doute le premier romain venu s'installer sur ce territoire pour y fonder une villa. Les peuples autochtones étant des sociétés orales, c'est le nom de la villa Pompignanus qui fut utilisé ensuite dans les textes ultérieurs.

    Le prieuré

    En 1267, le 8 des Ides de mars, le pape Clément IV charge Bernard, abbé de Montmajour en Provence de mettre l'abbaye de Saint-Guilhem en possession du prieuré de Saint-Saturnin, situation qui perdurera jusqu'à la Révolution. En 1384, un dénombrement de la sénéchaussée cite le prieuré Sanctus Saturninus vallis Pompignanae, première mention connue de Pompignan[réf. nécessaire].

    Vue aérienne du château Saint-Jean.

    Le château Saint-Jean

    Situé sur le Mont Saint-Jean, il y a été construit en 1237[réf. nécessaire]. Long d'environ 80 mètres, il est aujourd'hui totalement en ruine (visite interdite car dangereuse, site privé). Ce château a appartenu à la famille Alleman de Mirabel.

    Épisode de la guerre des Camisards

    Alors que la plupart des villages des Cévennes, protestants, n'ont pas accepté la révocation de l'Édit de Nantes, Pompignan est resté fidèle à la foi catholique (Abraham Mazel dira à propos de ses habitants qu'ils sont les plus scélérats papistes de l'univers)[réf. nécessaire]. Le , une troupe de camisards, dirigée par Pierre Laporte, dit Rolland et pourchassée par le maréchal de Montrevel, entre dans Pompignan. Le village est apparemment désert mais c'est un piège. Les camisards se retrouvent vite encerclés par les dragons de Montrevel. C'est le début de la bataille de Pompignan. Montrevel, récemment promu à la tête de l'armée et qui dispose de deux régiments, veut en finir avec Rolland qui commande environ 1 200 hommes. Les fanatiques (un des noms donnés aux Camisards par l'autre camp), tentent de se rabattre vers les bois de Monnier, mais ils sont surpris par l'infanterie qui s'y était cachée. Rolland parvient néanmoins à se dégager mais il laisse 200 hommes sur le terrain[réf. nécessaire].

    Église du village de Pompignan, dans le Gard. Un fait notable concernant cette église est que sur son fronton est gravée dans la roche la devise républicaine : « Liberté, Égalité, Fraternité ».

    Histoire paroissiale

    Édifiée durant la seconde moitié du XIXe siècle, elle se signale surtout par sa grandeur, la longueur et la hauteur de sa nef sans oublier un clocher particulièrement élancé visible de fort loin. Un fait notable concernant cette église est que sur son fronton est gravée dans la roche la devise républicaine : « Liberté, Égalité, Fraternité ».

    Saint-Saturnin est le Saint patron de la commune de Pompignan, il se fête le .

    Politique et administration

    Liste des maires successifs
    Période Identité Étiquette Qualité
    1967 mars 1979 Marcel Valat    
    mars 1979 1999 Damien Alary PS Député (1997-2004)
    Conseiller général depuis 1985
    Président du conseil général depuis 2001
    Conseiller régional depuis 1986
    Vice-président du conseil régional depuis 2004
    Vice-président du conseil général de 1990 à 1997
    mars 2001 2014 Claude Reynard PS  
    mars 2014 En cours Rémi Alary PS  
    Les données manquantes sont à compléter.

    Démographie

    L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. À partir de 2006, les populations légales des communes sont publiées annuellement par l'Insee. Le recensement repose désormais sur une collecte d'information annuelle, concernant successivement tous les territoires communaux au cours d'une période de cinq ans. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[22]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2006[23].

    En 2018, la commune comptait 954 habitants[Note 5], en augmentation de 8,66 % par rapport à 2013 (Gard : +1,67 %, France hors Mayotte : +1,78 %).

    Évolution de la population  [modifier]
    1793 1800 1806 1821 1831 1836 1841 1846 1851
    1 4601 1031 1481 2071 2161 2711 2741 3181 367
    1856 1861 1866 1872 1876 1881 1886 1891 1896
    1 3451 3681 3081 1331 0981 0801 0131 0141 079
    1901 1906 1911 1921 1926 1931 1936 1946 1954
    1 0371 0081 007907919885874765735
    1962 1968 1975 1982 1990 1999 2006 2011 2016
    716619582576611651765859944
    2018 - - - - - - - -
    954--------
    De 1962 à 1999 : population sans doubles comptes ; pour les dates suivantes : population municipale.
    (Sources : Ldh/EHESS/Cassini jusqu'en 1999[24] puis Insee à partir de 2006[25].)
    Histogramme de l'évolution démographique

    Économie

    Plaque de rue et blason de la ville.

    Anciennes industries

    Aux XVIIe et XVIIIe siècles, les verreries et les tanneries ont presque totalement déboisé la région, autrefois plantée de telle manière que l'on disait : « un singe peut aller de Pompignan à Montpellier sans toucher terre ».

    On pratiquait également la sériciculture, à savoir l'élevage du ver à soie, dans les magnaneraies. De nombreux vieux mûriers encore visibles dans la commune témoignent de cette époque aujourd'hui révolue.

    Industries en activité

    Les deux activités principales du village sont la viticulture et l'extraction de pierres.

    Extraction de pierres

    La pierre de Pompignan est de bonne qualité et, suivant son épaisseur, donne des dalles de sol ou bien de la pierre à bâtir. Les moyens techniques de l'époque leur permettaient seulement d'extraire des blocs de surface et de fine épaisseur. À partir du Moyen Âge, la pierre de Pompignan est utilisée pour la construction des cuves à vin, des "pilles", des plafonds, des voûtes, des planchers sur bois, des contours de fenêtre, des marches d'escalier, des balcons et des cheminées. Figurant au répertoire des carrières de pierres de taille de 1889[réf. nécessaire], la pierre de Pompignan fut massivement exploitée jusqu'au début de la Première Guerre mondiale. Par la suite, la couleur grise a été délaissée au profit du béton, moins cher. Puis, dans la seconde moitié du XXe siècle, l'exploitation de la pierre de Pompignan a progressivement repris. La pierre de Pompignan est en effet la pierre de construction traditionnelle des villages en pierres des environs, et elle peut également être polie à la manière des marbres. Trois entreprises continuent d'exploiter les carrières à ce jour.

    Viticulture

    La cave coopérative des Vignerons de Pompignan a obtenu la médaille de bronze en 2004 au concours agricole de Paris (catégorie Vin-de-pays-d'Oc Rosé)[réf. nécessaire]. La coopérative a fusionné au cours de l'année 2015 avec celle de Durfort-et-Saint-Martin-de-Sossenac. Ne bénéficiant pas d'Appellation d'Origine Contrôlée, la viticulture locale a été frappée de plein fouet par les crises à répétition du secteur. Au moins 150 ha de vignes ont ainsi été arrachés en 1989 et de nouveau 150 ha au cours de l'année 2005. Aujourd'hui, de nombreuses parcelles arrachées ne trouvent toujours pas de repreneur et le nombre de friches évoluant vers des accrues forestières est très préoccupant.

    L'église paroissiale.

    Lieux et monuments

    Personnalités liées à la commune

    • Mathias Alphonse Bourras (Pompignan, 1836 - Montpellier, 1880) - Colonel, commandant du corps-franc des Vosges en 1870-1871, où il s'illustra, notamment lors de l'affrontement de Brouvelieures. Sa statue en bronze, œuvre du sculpteur Léopold Morice[26], fut inaugurée le sur la place principale du village ; il est représenté en uniforme, portant képi, sabre au côté, bras droit tendu, avec à ses pieds un mortier, un casque prussien et un rameau de chêne. Le socle est en pierre de Pompignan.
    • Statue du colonel Bourras à Pompignan.
      Damien Alary Président du Conseil général du Gard depuis 2001, Maire de Pompignan pendant 20 ans entre 1979 et 1999, Député de la 5e circonscription du Gard entre 1997 et 2004, vice-président du Conseil Régional de Languedoc-Roussillon de 2010 à 2014 (délégué à l'Aménagement du territoire), puis président celle-ci à la fin de la mandature (2014-2015).

    Vie locale

    • Fête votive chaque année le week-end après le .

    Héraldique

    D'azur au pont de deux arches d'argent maçonné de sable.

    Le pont représente le « pont romain », pont à deux arches, plus récent que l'époque romaine, qui franchit le Rieumassel au sud de la Bergerie de Monnier. L'étymologie de Pompignan n'a rien à voir avec ce pont. C'est au cours de la seconde moitié du vingtième (date à rechercher) que le pont apparaît sur le logo de la municipalité.

    Notes et références

    Notes et cartes

    • Notes
    1. L'amplitude thermique annuelle mesure la différence entre la température moyenne de juillet et celle de janvier. Cette variable est généralement reconnue comme critère de discrimination entre climats océaniques et continentaux.
    2. La distance est calculée à vol d'oiseau entre la station météorologique proprement dite et le chef-lieu de commune.
    3. Selon le zonage des communes rurales et urbaines publié en novembre 2020, en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le en comité interministériel des ruralités.
    4. La notion d'aire d'attraction des villes a remplacé en octobre 2020 l'ancienne notion d'aire urbaine, pour permettre des comparaisons cohérentes avec les autres pays de l'Union européenne.
    5. Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2021, millésimée 2018, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2020, date de référence statistique : 1er janvier 2018.
    • Cartes
    1. IGN, « Évolution de l'occupation des sols de la commune sur cartes et photos aériennes anciennes », sur remonterletemps.ign.fr (consulté le ). Pour comparer l'évolution entre deux dates, cliquer sur le bas de la ligne séparative verticale et la déplacer à droite ou à gauche. Pour comparer deux autres cartes, choisir les cartes dans les fenêtres en haut à gauche de l'écran.

    Références

    1. Daniel Joly, Thierry Brossard, Hervé Cardot, Jean Cavailhes, Mohamed Hilal et Pierre Wavresky, « Les types de climats en France, une construction spatiale », Cybergéo, revue européenne de géographie - European Journal of Geography, no 501, (DOI https://doi.org/10.4000/cybergeo.23155, lire en ligne, consulté le )
    2. « Le climat en France métropolitaine », sur http://www.meteofrance.fr/, (consulté le )
    3. « Définition d’une normale climatologique », sur http://www.meteofrance.fr/ (consulté le )
    4. « Le climat de la France au XXIe siècle - Volume 4 - Scénarios régionalisés : édition 2014 pour la métropole et les régions d’outre-mer », sur https://www.ecologie.gouv.fr/ (consulté le ).
    5. « Observatoire régional sur l'agriculture et le changement climatique (oracle) Occitanie », sur occitanie.chambre-agriculture.fr, (consulté le )
    6. « Station Météo-France Conqueyrac - métadonnées », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le )
    7. « Orthodromie entre Pompignan et Conqueyrac », sur fr.distance.to (consulté le ).
    8. « Station Météo-France Conqueyrac - fiche climatologique - statistiques 1981-2010 et records », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le ).
    9. « Orthodromie entre Pompignan et Mauguio », sur fr.distance.to (consulté le ).
    10. « Station météorologique de Montpellier-Aéroport - Normales pour la période 1971-2000 », sur https://www.infoclimat.fr/ (consulté le )
    11. « Station météorologique de Montpellier-Aéroport - Normales pour la période 1981-2010 », sur https://www.infoclimat.fr/ (consulté le )
    12. « Station météorologique de Montpellier-Aéroport - Normales pour la période 1991-2020 », sur https://www.infoclimat.fr/ (consulté le )
    13. « Typologie urbain / rural », sur observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
    14. « Commune rurale - définition », sur le site de l’Insee (consulté le ).
    15. « Comprendre la grille de densité », sur observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
    16. « Base des aires d'attraction des villes 2020 », sur insee.fr, (consulté le ).
    17. Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier Pégaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans l’aire d’attraction d’une ville », sur insee.fr, (consulté le ).
    18. « CORINE Land Cover (CLC) - Répartition des superficies en 15 postes d'occupation des sols (métropole) », sur le site des données et études statistiques du ministère de la Transition écologique (consulté le ).
    19. « Études naturalistes - Gard Nature », sur Gard Nature (consulté le ).
    20. Yves Gasco, « Fouille de deux tumulus de la nécropole du Sadoulet à Pompignan (Gard) », Documents d'Archéologie Méridionale, Montpellier, vol. 3, , p. 45-64 (ISSN 1955-2432, lire en ligne, consulté le ).
    21. Michel Vaginay et Lionel Izac-Imbert, « Les âges du Fer dans le Sud-Ouest de la France : Le coffre / puits du tumulus 9 » [PDF], sur Aquitania (revue), (consulté le ), p. 12 / 31.
    22. L'organisation du recensement, sur insee.fr.
    23. Calendrier départemental des recensements, sur insee.fr.
    24. Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes études en sciences sociales.
    25. Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017 et 2018.
    26. http://www.e-monumen.net/index.php?option=com_monumen&monumenTask=monumenDetails&catid=2&monumenId=10654&Itemid=19

    Voir aussi

    Bibliographie

    • Dictionnaire étymologique des noms de lieu en France, par A Dauzat et Ch. Rostaing (librairie Guénégaud, 1978)
    • La Guerre des Camisards, par André Ducasse (éditions Hachette, 1962)

    Article connexe

    Liens externes

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