Piégut-Pluviers

Piégut-Pluviers est une commune française située dans le département de la Dordogne, en région Nouvelle-Aquitaine. Elle est intégrée au parc naturel régional Périgord-Limousin.

Pour l’article homonyme, voir Piégut (homonymie).

Pour l’article ayant un titre homophone, voir Pluvier.

Piégut-Pluviers

Le bourg de Piégut vu depuis la tour qui le domine.

Blason
Administration
Pays France
Région Nouvelle-Aquitaine
Département Dordogne
Arrondissement Nontron
Intercommunalité Communauté de communes du Périgord Nontronnais
Maire
Mandat
Alain Marzat
2020-2026
Code postal 24360
Code commune 24328
Démographie
Population
municipale
1 171 hab. (2018 )
Densité 65 hab./km2
Géographie
Coordonnées 45° 37′ 25″ nord, 0° 41′ 25″ est
Altitude Min. 216 m
Max. 310 m
Superficie 18,11 km2
Unité urbaine Commune rurale
Aire d'attraction Nontron
(commune de la couronne)
Élections
Départementales Canton du Périgord vert nontronnais
Législatives Troisième circonscription
Localisation
Géolocalisation sur la carte : Nouvelle-Aquitaine
Piégut-Pluviers
Géolocalisation sur la carte : Dordogne
Piégut-Pluviers
Géolocalisation sur la carte : France
Piégut-Pluviers
Géolocalisation sur la carte : France
Piégut-Pluviers
Liens
Site web piegut-pluviers.fr

    Géographie

    Généralités

    granodiorite de Piégut.

    La commune de Piégut-Pluviers est située à 45 km au sud-est d'Angoulême, à environ 65 km de Périgueux comme de Limoges et 200 km de Bordeaux.

    Communes limitrophes

    Carte de Piégut-Pluviers et des communes avoisinantes.

    Piégut-Pluviers est limitrophe de six autres communes.

    Climat

    Le climat qui caractérise la commune est qualifié, en 2010, de « climat océanique altéré », selon la typologie des climats de la France qui compte alors huit grands types de climats en métropole[1]. En 2020, la commune ressort du même type de climat dans la classification établie par Météo-France, qui ne compte désormais, en première approche, que cinq grands types de climats en métropole. Il s’agit d’une zone de transition entre le climat océanique, le climat de montagne et le climat semi-continental. Les écarts de température entre hiver et été augmentent avec l'éloignement de la mer. La pluviométrie est plus faible qu'en bord de mer, sauf aux abords des reliefs[2].

    Les paramètres climatiques qui ont permis d’établir la typologie de 2010 comportent six variables pour les températures et huit pour les précipitations, dont les valeurs correspondent aux données mensuelles sur la normale 1971-2000[3]. Les sept principales variables caractérisant la commune sont présentées dans l'encadré ci-après.

    Paramètres climatiques communaux sur la période 1971-2000[1]

    • Moyenne annuelle de température : 11,5 °C
    • Nombre de jours avec une température inférieure à −5 °C : 1,8 j
    • Nombre de jours avec une température supérieure à 30 °C : 4,8 j
    • Amplitude thermique annuelle[Note 1] : 14,8 °C
    • Cumuls annuels de précipitation[Note 2] : 1 029 mm
    • Nombre de jours de précipitation en janvier : 12,4 j
    • Nombre de jours de précipitation en juillet : 7,7 j

    Avec le changement climatique, ces variables ont évolué. Une étude réalisée en 2014 par la Direction générale de l'Énergie et du Climat[5] complétée par des études régionales[6] prévoit en effet que la température moyenne devrait croître et la pluviométrie moyenne baisser, avec toutefois de fortes variations régionales. Ces changements peuvent être constatés sur la station météorologique de Météo-France la plus proche, « Cheronnac_sapc », sur la commune de Chéronnac, mise en service en 1995[7] et qui se trouve à 16 km à vol d'oiseau[8],[Note 3], où la température moyenne annuelle est de 12,2 °C et la hauteur de précipitations de 1 107,3 mm pour la période 1981-2010[9]. Sur la station météorologique historique la plus proche, « Limoges-Bellegarde », sur la commune de Limoges, dans le département de la Haute-Vienne, mise en service en 1973 et à 50 km[10], la température moyenne annuelle évolue de 11,2 °C pour la période 1971-2000[11], à 11,4 °C pour 1981-2010[12], puis à 11,8 °C pour 1991-2020[13].

    Urbanisme

    Typologie

    Piégut-Pluviers est une commune rurale, car elle fait partie des communes peu ou très peu denses, au sens de la grille communale de densité de l'Insee[Note 4],[14],[15],[16].

    Par ailleurs la commune fait partie de l'aire d'attraction de Nontron, dont elle est une commune de la couronne[Note 5]. Cette aire, qui regroupe 19 communes, est catégorisée dans les aires de moins de 50 000 habitants[17],[18].

    Occupation des sols

    Carte des infrastructures et de l'occupation des sols de la commune en 2018 (CLC).

    L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des forêts et milieux semi-naturels (49,8 % en 2018), une proportion sensiblement équivalente à celle de 1990 (49,2 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : forêts (49,8 %), zones agricoles hétérogènes (37,2 %), zones urbanisées (9,8 %), prairies (2,8 %), eaux continentales[Note 6] (0,4 %)[19].

    L'IGN met par ailleurs à disposition un outil en ligne permettant de comparer l’évolution dans le temps de l’occupation des sols de la commune (ou de territoires à des échelles différentes). Plusieurs époques sont accessibles sous forme de cartes ou photos aériennes : la carte de Cassini (XVIIIe siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[Carte 1].

    Lieux-dits et écarts

    Les lieux-dits suivis d'une astérisque sont situés à l'écart de la route indiquée.

    B

    • La Bonnefond, D96, rte d'Abjat
    • Bost Gaillou*, Rte de l'étang Grolhier

    C

    • Cabaniers, Rte de l'étang Grolhier
    • Les Champs Fleuris, D91, rte de Montbron
    • Chez Noyer*, Rte de l'étang Grolhier
    • Le Cluzeau*, D112 Rte de Saint-Barthélemy

    D

    • La Domèze*, D91, rte de Marval

    F

    G

    • Les Granges*, D91, rte de Marval

    L

    • Lascaud, Rte de Maine du Bost (sud)
    • Lauterie*, D91, rte de Montbron
    • La Lègue*, D675, rte de Champniers
    • Luclas, Rte des Moulins

    M

    • La Maison Blanche*, Rte de l'étang Grolhier
    • La Malignie*, D112 Rte de Saint-Barthélemy
    • Montagut, D91, rte de Marval
    • Le Moulin de Chez Noyer*, Rte de l'étang Grolhier

    N

    • La Noche, D91, rte de Marval
    • La Nozilière*, D91, rte de Marval

    P

    • Pluviers, D675, rte de Champniers
    • Prieuraud*, Rte de Maine du Bost (sud)
    • Puygaud*, D91, rte de Montbron
    • Puyrazeau (Cheau de)*, D91, rte de Marval

    R

    • La Renaudie*, Rte de l'étang Grolhier

    S

    • Soulagnieux*, D91, rte de Marval

    T

    • Les Touilles (anc. moulin)*, D675, rte de Champniers
    • Tous Vents, D91, rte de Marval
    • La Tricherie, Rte de Maine du Bost (sud)

    V

    • La Vigne, D96, rte d'Abjat
    • Villefaix, Rte des Moulins

    Toponymie

    Le lieu est connu à l'époque gallo-romaine sous le nom de « Podium Accutum ». « Podium » désignait un endroit élevé et « Accutum » signifie en français aigu. Puis ce nom est devenu « Pic-Aigu », « Puy-Aigu » et enfin Piégut vers la fin du XVIIe siècle

    En occitan, la commune porte le nom de Puei `Gut e Pluviers[20].

    Histoire

    La mairie et le marché.

    Au XVe siècle, Piégut est une seigneurie dépendant de Limoges. 

    En 1862, la commune de Pluviers prend le nom de Piégut-Pluviers.

    Depuis 1642, le mercredi matin s'y tient un important marché.

    Politique et administration

    Intercommunalité

    Fin 2000, Piégut-Pluviers intègre dès sa création la communauté de communes du Périgord vert granitique. Celle-ci est dissoute au et remplacée au par la communauté de communes du Haut-Périgord. Au , celle-ci fusionne avec la communauté de communes du Périgord vert nontronnais pour former la communauté de communes du Périgord Nontronnais.

    Administration municipale

    La population de la commune étant comprise entre 500 et 1 499 habitants au recensement de 2017, quinze conseillers municipaux ont été élus en 2020[21],[22].

    Liste des maires

    Liste des maires successifs
    Période Identité Étiquette Qualité
    Les données manquantes sont à compléter.
             
      1980 Yves Massy PS Conseiller général du canton de Bussière-Badil (1945-1980)
      1984 Jean-Louis Sussat[Note 7]    
    octobre 1984 mars 2001 André Lapeyre   Professeur de mathématiques
    mars 2001 septembre 2016 Didier Vignal[Note 8],[23] DVG[24] puis PS Pharmacien
    Conseiller général du canton de Bussière-Badil (1996-2015)
    septembre 2016
    (réélu en mai 2020)
    En cours Alain Marzat   Gestionnaire de maisons de retraite et de l'hôpital de Girac

    Juridictions

    Dans le domaine judiciaire, Piégut-Pluviers relève[25] :

    Population et société

    Démographie

    L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. À partir de 2006, les populations légales des communes sont publiées annuellement par l'Insee. Le recensement repose désormais sur une collecte d'information annuelle, concernant successivement tous les territoires communaux au cours d'une période de cinq ans. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[26]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2005[27].

    En 2018, la commune comptait 1 171 habitants[Note 9], en diminution de 4,49 % par rapport à 2013 (Dordogne : −0,84 %, France hors Mayotte : +1,78 %).

    Évolution de la population  [modifier]
    1793 1800 1806 1821 1831 1836 1841 1846 1851
    8219138621 1021 0371 1481 2201 2351 307
    1856 1861 1866 1872 1876 1881 1886 1891 1896
    1 3451 3691 5451 5951 7701 7891 8341 7801 767
    1901 1906 1911 1921 1926 1931 1936 1946 1954
    1 8401 8211 8741 6921 7141 6441 7321 5671 604
    1962 1968 1975 1982 1990 1999 2005 2010 2015
    1 5581 5451 5041 5271 4711 3131 2151 2271 182
    2018 - - - - - - - -
    1 171--------
    De 1962 à 1999 : population sans doubles comptes ; pour les dates suivantes : population municipale.
    (Sources : Ldh/EHESS/Cassini jusqu'en 1999[28] puis Insee à partir de 2006[29].)
    Histogramme de l'évolution démographique

    Manifestations culturelles et festivités

    La place du marché et la mairie lors de la félibrée 2012.

    Les et , Piégut-Pluviers a organisé la 93e félibrée, la fête de l'Occitanie qui a lieu tous les ans au début de l'été dans une commune de Dordogne[30].

    Économie

    Emploi

    En 2015[31], parmi la population communale comprise entre 15 et 64 ans, les actifs représentent 427 personnes, soit 36,1 % de la population municipale. Le nombre de chômeurs (61) a augmenté par rapport à 2010 (46) et le taux de chômage de cette population active s'établit à 14,3 %.

    Établissements

    Au , la commune compte 158 établissements[32], dont 97 au niveau des commerces, transports ou services, vingt-trois dans la construction, vingt relatifs au secteur administratif, à l'enseignement, à la santé ou à l'action sociale, seize dans l'industrie, et deux dans l'agriculture, la sylviculture ou la pêche[33].

    Entreprises

    Dans le secteur du BTP, parmi les entreprises dont le siège social est en Dordogne, la société « Confort chauffage » (travaux d'installation d'équipements thermiques et de climatisation) implantée à Piégut-Pluviers se classe en 40e position en termes de chiffre d'affaires hors taxes en 2015-2016, avec 2 894 k€[34].

    Culture locale et patrimoine

    Lieux et monuments

    La tour de Piégut est le donjon circulaire d'un château assiégé et détruit en 1199 par Richard Cœur de Lion.

    Patrimoine naturel

    La commune fait partie du parc naturel régional Périgord-Limousin[35] depuis la création de celui-ci en 1998[36], adhésion renouvelée en 2011[37].

    Sur le territoire communal, les vallées du Trieux au nord-est et de son affluent le ruisseau de l'Étang Grolhier au nord-ouest sont protégées au titre de la zone naturelle d'intérêt écologique, faunistique et floristique (ZNIEFF) de type I « Vallées du réseau hydrographique de la Tardoire et du Trieux » dont la flore est constituée de près d'une quarantaine d'espèces de plantes, dont quatre sont considérées comme déterminantes : l'adoxe musquée, ou moscatelline, ou muscatelle (Adoxa moschatellina), la corydale à bulbe plein (Corydalis solida), l'isopyre faux-pigamon (Isopyrum thalictroides) et la jacinthe des bois, ou jacinthe sauvage (Hyacinthoides non-scripta)[38],[39].

    Quatre kilomètres au nord du bourg de Piégut-Pluviers, l'étang Grolhier est partagé entre les communes de Piégut-Pluviers (7,5 hectares), Champniers-et-Reilhac (4,2 hectares) et Busserolles (10,7 hectares). L'étang est au centre d'un site inscrit de 233 hectares depuis 1979[40].

    Randonnées

    Le sentier de grande randonnée GR 4 qui va de Royan à Grasse traverse l'ouest de la commune.

    Patrimoine oral

    Plusieurs documents sonores en langue limousine enregistrés sur la commune sont accessibles sur le site des archives de l'Institut d’études occitanes du Limousin[41].

    Personnalités liées à la commune

    Héraldique

    Blason
    D’azur aux trois tours d’argent ouvertes et maçonnées de sable, à l’orle en filet cousu de gueules.
    Détails
    Le statut officiel du blason reste à déterminer.

    Voir aussi

    Bibliographie

    • Pierre Barrière, « L'exploitation métallurgique et le peuplement ancien dans la commune de Piégut- Pluviers (Dordogne) », dans Revue des Études Anciennes, 1940, tome 42, no 1-4, p. 560-566 (lire en ligne)

    Articles connexes

    Liens externes

    Notes et références

    Notes et cartes

    • Notes
    1. L'amplitude thermique annuelle mesure la différence entre la température moyenne de juillet et celle de janvier. Cette variable est généralement reconnue comme critère de discrimination entre climats océaniques et continentaux.
    2. Une précipitation, en météorologie, est un ensemble organisé de particules d'eau liquide ou solide tombant en chute libre au sein de l'atmosphère. La quantité de précipitation atteignant une portion de surface terrestre donnée en un intervalle de temps donné est évaluée par la hauteur de précipitation, que mesurent les pluviomètres[4].
    3. La distance est calculée à vol d'oiseau entre la station météorologique proprement dite et le chef-lieu de commune.
    4. Selon le zonage des communes rurales et urbaines publié en novembre 2020, en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le en comité interministériel des ruralités.
    5. La notion d'aire d'attraction des villes a remplacé en octobre 2020 l'ancienne notion d'aire urbaine, pour permettre des comparaisons cohérentes avec les autres pays de l'Union européenne.
    6. Les eaux continentales désignent toutes les eaux de surface, en général des eaux douces issues d'eau de pluie, qui se trouvent à l'intérieur des terres.
    7. Décédé en fonctions.
    8. Démissionnaire, mais reste conseiller municipal.
    9. Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2021, millésimée 2018, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2020, date de référence statistique : 1er janvier 2018.
    • Cartes
    1. IGN, « Évolution de l'occupation des sols de la commune sur cartes et photos aériennes anciennes. », sur remonterletemps.ign.fr (consulté le ). Pour comparer l'évolution entre deux dates, cliquer sur le bas de la ligne séparative verticale et la déplacer à droite ou à gauche. Pour comparer deux autres cartes, choisir les cartes dans les fenêtres en haut à gauche de l'écran.

    Références

    1. Daniel Joly, Thierry Brossard, Hervé Cardot, Jean Cavailhes, Mohamed Hilal et Pierre Wavresky, « Les types de climats en France, une construction spatiale », Cybergéo, revue européenne de géographie - European Journal of Geography, no 501, (DOI https://doi.org/10.4000/cybergeo.23155, lire en ligne, consulté le )
    2. « Le climat en France métropolitaine », sur http://www.meteofrance.fr/, (consulté le )
    3. « Définition d’une normale climatologique », sur http://www.meteofrance.fr/ (consulté le )
    4. Glossaire – Précipitation, Météo-France
    5. « Le climat de la France au XXIe siècle - Volume 4 - Scénarios régionalisés : édition 2014 pour la métropole et les régions d’outre-mer », sur https://www.ecologie.gouv.fr/ (consulté le ).
    6. [PDF]« Observatoire régional sur l'agriculture et le changement climatique (oracle) Nouvelle-Aquitaine », sur nouvelle-aquitaine.chambres-agriculture.fr, (consulté le )
    7. « Station Météo-France Cheronnac_sapc - métadonnées », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le )
    8. « Orthodromie entre Piégut-Pluviers et Chéronnac », sur fr.distance.to (consulté le ).
    9. « Station Météo-France Cheronnac_sapc - fiche climatologique - statistiques 1981-2010 et records », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le ).
    10. « Orthodromie entre Piégut-Pluviers et Limoges », sur fr.distance.to (consulté le ).
    11. « Station météorologique de Limoges-Bellegarde - Normales pour la période 1971-2000 », sur https://www.infoclimat.fr/ (consulté le )
    12. « Station météorologique de Limoges-Bellegarde - Normales pour la période 1981-2010 », sur https://www.infoclimat.fr/ (consulté le )
    13. « Station météorologique de Limoges-Bellegarde - Normales pour la période 1991-2020 », sur https://www.infoclimat.fr/ (consulté le )
    14. « Typologie urbain / rural », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
    15. « Commune rurale-définition », sur le site de l’Insee (consulté le ).
    16. « Comprendre la grille de densité », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
    17. « Base des aires d'attraction des villes 2020. », sur insee.fr, (consulté le ).
    18. Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier Pégaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans l’aire d’attraction d’une ville », sur insee.fr, (consulté le ).
    19. « CORINE Land Cover (CLC) - Répartition des superficies en 15 postes d'occupation des sols (métropole). », sur le site des données et études statistiques du ministère de la Transition écologique. (consulté le )
    20. Le nom occitan des communes du Périgord - Puei `Gut e Pluviers sur le site du Conseil général de la Dordogne, consulté le 19 septembre 2021.
    21. Article L2121-2 du code général des collectivités territoriales, sur Légifrance, consulté le 7 septembre 2020.
    22. Résultats des élections municipales et communautaires 2020 sur le site du ministère de l'Intérieur, consulté le 9 novembre 2020.
    23. « Didier Vignal n'est plus maire de Piégut-Pluviers », Sud Ouest édition Dordogne, 15 septembre 2016, p. 12.
    24. « Voici vos 557 maires », édition spéciale de Sud Ouest du 3 avril 2008, p. 6.
    25. « Annuaire des juridictions d'une commune », sur le site du ministère de la Justice (consulté le ).
    26. L'organisation du recensement, sur insee.fr.
    27. Calendrier départemental des recensements, sur insee.fr.
    28. Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes études en sciences sociales.
    29. Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017 et 2018.
    30. Eurydice Baillet, « Les trois coups de la 93e félibrée », Sud Ouest édition Dordogne, 29 juin 2012.
    31. Dossier complet - Commune de Piégut-Pluviers (24328) - Activités, emploi et chômage - tableaux EMP T2 et EMP T4 sur le site de l'Insee, consulté le 12 décembre 2018.
    32. « Établissement - Définition », sur Insee (consulté le ).
    33. Dossier complet - Commune de Piégut-Pluviers (24328) - Établissements actifs par secteur d'activité - tableau CEN T1 sur le site de l'Insee, consulté le 12 décembre 2018.
    34. « BTP », Sud Ouest éco & entreprises édition Dordogne, novembre 2017, p. 37.
    35. Parc Naturel Régional Périgord - Limousin, DREAL Aquitaine, consultée le 4 mai 2019.
    36. Décret 98-150 du 9 mars 1998 sur Légifrance, consulté le 5 mai 2019.
    37. Décret 2011-998 du 24 août 2011 sur Légifrance, consulté le 5 mai 2019.
    38. [PDF] Vallées du réseau hydrographique de la Tardoire et du Trieux, INPN, consulté le 5 mai 2019.
    39. Carte de localisation de la ZNIEFF 720012831, INPN, consulté le 5 mai 2019. Afin de visualiser correctement la zone par rapport aux limites communales, cliquer en haut à gauche sur le globe terrestre bleu, descendre la valeur de la couche « Métropole : ZNIEFF1 » à 0 et augmenter l'opacité de la couche « Cartes IGN » à 1.
    40. [PDF] Étang de Grolhier sur le site de la DREAL Aquitaine, consulté le 5 mai 2019.
    41. "la Biaça"
    42. Château de Puyraseau - Visites en Aquitaine
    • Portail de la Dordogne
    • Portail des communes de France
    Cet article est issu de Wikipedia. Le texte est sous licence Creative Commons - Attribution - Partage dans les Mêmes. Des conditions supplémentaires peuvent s'appliquer aux fichiers multimédias.