Plouguernével
Plouguernével [pluɡɛʁnevɛl] est une commune du département des Côtes-d'Armor, dans la région Bretagne, en France.
Plouguernével | |||||
L'église Saint-Pierre. | |||||
Administration | |||||
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Pays | France | ||||
Région | Bretagne | ||||
Département | Côtes-d'Armor | ||||
Arrondissement | Guingamp | ||||
Intercommunalité | Communauté de communes du Kreiz-Breizh | ||||
Maire Mandat |
Alain Guéguen 2020-2026 |
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Code postal | 22110 | ||||
Code commune | 22220 | ||||
Démographie | |||||
Gentilé | Plouguiste | ||||
Population municipale |
1 676 hab. (2018 ) | ||||
Densité | 40 hab./km2 | ||||
Géographie | |||||
Coordonnées | 48° 14′ 27″ nord, 3° 15′ 17″ ouest | ||||
Altitude | 218 m Min. 132 m Max. 235 m |
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Superficie | 41,60 km2 | ||||
Unité urbaine | Commune rurale | ||||
Aire d'attraction | Rostrenen (commune de la couronne) |
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Élections | |||||
Départementales | Canton de Rostrenen | ||||
Législatives | Quatrième circonscription | ||||
Localisation | |||||
Géolocalisation sur la carte : Bretagne
Géolocalisation sur la carte : Côtes-d'Armor
Géolocalisation sur la carte : France
Géolocalisation sur la carte : France
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Géographie
La paroisse fait partie du territoire breton traditionnel du pays Fañch.
La RN 164 se situe à proximité de Plouguernével .
Climat
Le climat qui caractérise la commune est qualifié, en 2010, de « climat océanique franc », selon la typologie des climats de la France qui compte alors huit grands types de climats en métropole[1]. En 2020, la commune ressort du type « climat océanique » dans la classification établie par Météo-France, qui ne compte désormais, en première approche, que cinq grands types de climats en métropole. Ce type de climat se traduit par des températures douces et une pluviométrie relativement abondante (en liaison avec les perturbations venant de l'Atlantique), répartie tout au long de l'année avec un léger maximum d'octobre à février[2].
Les paramètres climatiques qui ont permis d’établir la typologie de 2010 comportent six variables pour les températures et huit pour les précipitations, dont les valeurs correspondent aux données mensuelles sur la normale 1971-2000[3]. Les sept principales variables caractérisant la commune sont présentées dans l'encadré ci-après.
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Avec le changement climatique, ces variables ont évolué. Une étude réalisée en 2014 par la Direction générale de l'Énergie et du Climat[5] complétée par des études régionales[6] prévoit en effet que la température moyenne devrait croître et la pluviométrie moyenne baisser, avec toutefois de fortes variations régionales. Ces changements peuvent être constatés sur la station météorologique de Météo-France la plus proche, « Rostrenen », sur la commune de Rostrenen, mise en service en 1954[7] et qui se trouve à 5 km à vol d'oiseau[8],[Note 3], où la température moyenne annuelle est de 10,7 °C et la hauteur de précipitations de 1 145,7 mm pour la période 1981-2010[9]. Sur la station météorologique historique la plus proche[Note 4], « Saint-Brieuc », sur la commune de Trémuson, mise en service en 1985 et à 44 km[10], la température moyenne annuelle évolue de 11 °C pour la période 1971-2000[11] à 11,2 °C pour 1981-2010[12], puis à 11,4 °C pour 1991-2020[13].
Urbanisme
Typologie
Plouguernével est une commune rurale, car elle fait partie des communes peu ou très peu denses, au sens de la grille communale de densité de l'Insee[Note 5],[14],[15],[16].
Par ailleurs la commune fait partie de l'aire d'attraction de Rostrenen, dont elle est une commune de la couronne[Note 6]. Cette aire, qui regroupe 10 communes, est catégorisée dans les aires de moins de 50 000 habitants[17],[18].
Occupation des sols
Le tableau ci-dessous présente l'occupation des sols de la commune en 2018, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC).
Type d’occupation | Pourcentage | Superficie (en hectares) |
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Tissu urbain discontinu | 4,0 % | 168 |
Terres arables hors périmètres d'irrigation | 48,4 % | 2020 |
Prairies et autres surfaces toujours en herbe | 11,5 % | 482 |
Systèmes culturaux et parcellaires complexes | 23,0 % | 959 |
Surfaces essentiellement agricoles interrompues par des espaces naturels importants | 4,0 % | 166 |
Forêts de feuillus | 6,8 % | 282 |
Forêts mélangées | 1,2 % | 51 |
Landes et broussailles | 1,1 % | 47 |
Source : Corine Land Cover[19] |
L'oocupation des sols montre la prédominances des terres arables (48,4%) sur les zones agricoles hétérogènes (27,0 %), les prairies (11,5 %), les forêts (8,0 %), les zones urbanisées ( 4,0 %) et la végétation arbustive et/ou herbacée (1,1%).
Toponymie
Le nom de Plouguernével vient du mot breton ploe qui veut dire paroisse, de kêr qui veut dire village et de nevez qui veut dire nouveau, ou plus douteusement de plou, de ker et newel (noyal) utilisé pour indiquer une terre nouvellement défrichée[20], ou de plou, de ker et d'une corruption linguistique ou plutôt d'une forme archaïque du prénom Neñvel (Numel<>Nemel<>Nevel) qui signifie céleste ou plus vraisemblablement de ploue et de l'anthroponyme Kernével ou encore de ploue et Kernev-uhel qui veut dire paroisse de Haute-Cornouaille.
Précédemment, la paroisse était nommée Ploekerneguell, 1246 ; Ploe Kernevel, 1267, 1268 ; par. de Ploekernevel, 1279 ; Ploeguernevel, 1285 ; Ploekerneguel, vers 1330 ; Ploekaergnevell, 1368 ; Plouguernevel, 1370 ; Ploguernevel, 1387 ; Ploekervenel, 1395, 1448, 1535-1536 ; Pluguernevel, 1536 ; Plouguernevez, 1679 ; en breton : Pludjerneu[21].
Histoire
Époque moderne
Cette commune est citée pour avoir participé à la Révolte des Bonnets Rouges survenue en 1675 en Bretagne.
Révolution française
Le « prêtre du diable » (le curé constitutionnel) fut traîné dans la boue pendant que le curé réfractaire confessait tranquillement dans l'église paroissiale[22].
Le XIXe siècle
L'épidémie de choléra de novembre 1856 frappa à Plouguernével 464 personnes (sur 3 164 habitants), dont 80 moururent[23].
Jusqu'en 1863, pour compléter ses maigres ressources, le petit séminaire de Plouguernével possédait une ferme. Selon un ancien élève, les salles d'études n'étaient séparées de la crèche des animaux que par une simple cloison. Ce petit séminaire fut reconstruit après 1870[24].
Le une croix est solennellement placée sur le menhir de Kerallain, le clergé précisant même que quarante jours d'indulgences sont assurés à ceux qui récitent un Pater et un Ave devant ce monument[25].
Les guerres du XXe siècle
Le monument aux Morts porte les noms de 220 soldats morts pour la Patrie :
- 216 sont morts durant la Première Guerre mondiale.
- 2 sont morts durant la Seconde Guerre mondiale.
- 2 sont morts durant la Guerre d'Algérie.
Le maquis de Berzoc'h
Le maquis de Berzoc'h, un lieu-dit de Plouguernével, formé en partie de maquisards FTP, dit "groupe René Rolland"[26] s'étendait aussi sur les communes voisines de Sainte-Tréphine (notamment à Notheret) et Plounévez-Quintin (son état-major était caché au moulin de Quérou). Son chef, Albert Torquéau, fut arrêté par les Allemands le et exécuté à Garzonval en Plougonver, ainsi que plusieurs membres de ce maquis[27] et François-Marie Le Berre[28]; trois membres de ce maquis (Henri Rivoal, Marcel Le Floc'h [de Rostrenen] et Marcel Le Floc'h [un homonyme, de Plouguernével] furent tués à Saint-Nicolas-du-Pélem[29].
Politique et administration
Liste des maires
Démographie
L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. À partir de 2006, les populations légales des communes sont publiées annuellement par l'Insee. Le recensement repose désormais sur une collecte d'information annuelle, concernant successivement tous les territoires communaux au cours d'une période de cinq ans. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[32]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2005[33].
En 2018, la commune comptait 1 676 habitants[Note 7], en diminution de 3,79 % par rapport à 2013 (Côtes-d'Armor : +0,42 %, France hors Mayotte : +1,78 %).
Lieux et monuments
Patrimoine mégalithique
La commune comporte plusieurs menhirs encore en place. Le cromlech de Men Guen fut détruit après la Deuxième Guerre mondiale :
- Menhir de Kerallain : sur la route de Rostrenen. Une croix et une plaque commémorative ont été fixés vers 1950 sur le sommet du menhir par les étudiants de l'ancien séminaire de Plouguernével. Jusqu'à la fin des années 1950, une procession religieuse se terminait au menhir de Ker-Alain. La forme de phallus de cette pierre lui donne des pouvoirs surnaturels liés à la fécondation. Des femmes viendraient s'y frotter pour faciliter leur fécondation. Des groupes d'initiés se donnent la main et entourent la base du menhir afin de s'imprégner de son pouvoir. Ce menhir fait partie d'un groupe de pierres levées disséminées dans la campagne. Certains menhirs ont été détruits, ils gênaient les cultures, d'autres ont été remplacés par des habitations. Jean Lody, un archéologue local les a tous photographiés et répertoriés. Il ne leur attribuait pas de rôle magique, ni funéraire. À son avis, ils servaient de panneaux indicateurs pour les exploitants de minerai.[réf. nécessaire]
- Menhir de Kerauffret
- Menhirs de Saint-Jean : paire de menhirs
- Cromlech de Men Guen, appelé aussi Le Bigodou : il comportait initialement 50 pierres en quartz blanc mais dès 1896, il n'en restait plus que la moitié, l'ensemble dessinant une ellipse de 19,50 m de long sur 13 m de large qui fut détruite pour empierrer les chemins et les cours des environs[36].
- La gare en 1910.
- La gare en 2013, transformée en logements.
- L'hôpital.
Autres éléments du patrimoine
Plouguernével se traduit en breton par « la nouvelle paroisse ». La présence d'un ancien séminaire est-elle pour quelque chose dans ce nom. Le bourg de Plouguernével est aujourd'hui très calme. La principale cause est la déviation de la RN 164 qui traverse le centre de l'agglomération. Jusque dans les années 1970, Plouguernével était un bourg très animé. Deux forges accueillaient les chevaux de trait et de labour et réparaient les chars à banc, des charrettes auxquelles on avait adapté des planches sur lesquelles s'asseyaient les passagers. Trois épiceries, une dizaine de cafés, un cinéma, une salle des fêtes, des crêperies.
- L'église Saint-Pierre (au centre du bourg), et son cimetière qui lui était accolé jusque dans les années 1960. Depuis la place a été transformée en parking. Les manèges de la fête du ont disparu, ainsi que les courses cyclistes qui animaient le bourg de Plouguernével.
- L'hôpital (au centre du bourg) est l'ancien séminaire de Plouguernével, transformé. Pendant de nombreuses années, cette grande maison constituait le principal bassin d'emploi de la région. Les changements récents de la taille des établissements médicaux ont fait éclater l'hôpital en plusieurs services qui se sont implantés dans des communes voisines, comme Rostrenen. Une unité pour malades difficiles d'une capacité de 40 lits a été ouverte, début 2008, près du stade à l'est du bourg.
- Le Pont-Croix, sur la rivière du Doré, est un pont en granite sur arches. Des encoches visibles sur les arches témoignent de la présence d'anciennes vannes en bois à l'époque où le pont servait de barrage à un étang, dont on voit encore la forme entre le pont et la RN 164. Ces vannes régulaient le cours de la rivière le Doré qui alimentait les deux moulins à céréales placés plus loin sur la rivière. Ces deux moulins ont été transformés en résidence secondaire. Les roues à aubes ont disparu. Une photo ancienne parue dans le livre Souvenirs d'un séminariste de Plouguernével montre une chapelle près du Pont-Croix. Aucune trace de cette construction n'existe aujourd'hui. Pendant longtemps, les religieuses de l'école privée de Plouguernével se rendaient près du Pont-Croix pour un pèlerinage.
- Le Doré, rivière dont le nom provient de la présence de paillettes d'or dans son cours. Chaque été, des chercheurs d'or se donnent rendez-vous autour des rivières de la région. Ils tamisent le sable espérant trouver le métal jaune. Les amateurs de randonnée à pied et à vélo apprécient la promenade le long du Doré avec des cascades, d'anciens moulins à eau et des voûtes d'arbres centenaires. À quelques centaines de mètres, le "Pont gaulois" constitué de grandes pierres est unique dans la région.
- La chaire de Saint-Avit[37], en réalité une pierre ayant la forme grossière d'un fauteuil et devenue dans l'imaginaire local la chaise de saint Avit. Elle se trouve sur la colline située à l'ouest du Doré, à quelques centaines de mètres du Pont-Croix.
Personnalités liées à la commune
- Armand Robin, né à Plouguernével le [38].
- François-Marie Luzel, qui a raconté une veillée au manoir de Coat-Tual en Plouguernével où vivait sa sœur (dans ses Veillées bretonnes, rééditées par Françoise Morvan aux presses universitaires de Rennes).
- Françoise Morvan, qui a publié les œuvres d'Armand Robin et de François-Marie Luzel, et qui a évoqué l'histoire des maquisards de Plouguernével dans son essai Miliciens contre maquisards.
- Pierre Le Gloan, 1913-1943, pilote de chasse et as français lors de la seconde guerre mondiale, est inhumé dans le cimetière de Plouguernével[39].
- Jean Le Dily, né en 1906 à Plouguernével décédé en cette même commune en 1981. Coureur cycliste de niveau régional, il remporta le prestigieux Grand Prix de Plouay (Bretagne Classic aujourd'hui) dans le Morbihan en 1935 après 144km d'échappée. Licencié à l'US Guéméné dans le Morbihan, c'est dans ce département qu'il remporta ses succés les plus significatifs, comme le circuit de Kernascléden en 1933 et le circuit Pourlet cette même année. Son frère Yves fut également un bon coureur régional. Passé dans la catégorie des indépendants dans l'écurie Arrows, il fut victime d'une chute sérieuse du côté d'Angers- Il ne se remit jamais de cet accident et dut se contenter d'accèsits dans les courses qu'il disputa ensuite. Après sa carrière cycliste, il reprit à plein temps son métier de charron au hameau de Lan Brugou en Plouguernével.
Notes et références
Notes
- L'amplitude thermique annuelle mesure la différence entre la température moyenne de juillet et celle de janvier. Cette variable est généralement reconnue comme critère de discrimination entre climats océaniques et continentaux.
- Une précipitation, en météorologie, est un ensemble organisé de particules d'eau liquide ou solide tombant en chute libre au sein de l'atmosphère. La quantité de précipitation atteignant une portion de surface terrestre donnée en un intervalle de temps donné est évaluée par la hauteur de précipitation, que mesurent les pluviomètres[4].
- La distance est calculée à vol d'oiseau entre la station météorologique proprement dite et le chef-lieu de commune.
- Par station météorologique historique, il convient d'entendre la station météorologique qui a été mise en service avant 1970 et qui est la plus proche de la commune. Les données s'étendent ainsi au minimum sur trois périodes de trente ans (1971-2000, 1981-2010 et 1991-2020).
- Selon le zonage des communes rurales et urbaines publié en novembre 2020, en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le en comité interministériel des ruralités.
- La notion d'aire d'attraction des villes a remplacé en octobre 2020 l'ancienne notion d'aire urbaine, pour permettre des comparaisons cohérentes avec les autres pays de l'Union européenne.
- Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2021, millésimée 2018, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2020, date de référence statistique : 1er janvier 2018.
Références
- Daniel Joly, Thierry Brossard, Hervé Cardot, Jean Cavailhes, Mohamed Hilal et Pierre Wavresky, « Les types de climats en France, une construction spatiale », Cybergéo, revue européenne de géographie - European Journal of Geography, no 501, (DOI https://doi.org/10.4000/cybergeo.23155, lire en ligne, consulté le )
- « Le climat en France métropolitaine », sur http://www.meteofrance.fr/, (consulté le )
- « Définition d’une normale climatologique », sur http://www.meteofrance.fr/ (consulté le )
- Glossaire – Précipitation, Météo-France
- « Le climat de la France au XXIe siècle - Volume 4 - Scénarios régionalisés : édition 2014 pour la métropole et les régions d’outre-mer », sur https://www.ecologie.gouv.fr/ (consulté le ).
- « Observatoire régional sur l'agriculture et le changement climatique (Oracle) - Bretagne », sur www.chambres-agriculture-bretagne.fr, (consulté le )
- « Station Météo-France Rostrenen - métadonnées », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le )
- « Orthodromie entre Plouguernével et Rostrenen », sur fr.distance.to (consulté le ).
- « Station Météo-France Rostrenen - fiche climatologique - statistiques 1981-2010 et records », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le ).
- « Orthodromie entre Plouguernével et Trémuson », sur fr.distance.to (consulté le ).
- « Station météorologique de Saint-Brieuc - Normales pour la période 1971-2000 », sur https://www.infoclimat.fr/ (consulté le )
- « Station météorologique de Saint-Brieuc - Normales pour la période 1981-2010 », sur https://www.infoclimat.fr/ (consulté le )
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- « Typologie urbain / rural », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
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- « Base des aires d'attraction des villes 2020. », sur insee.fr, (consulté le ).
- Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier Pégaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans l’aire d’attraction d’une ville », sur insee.fr, (consulté le ).
- « Données statistiques sur les communes de Métropole ; Répartition des superficies en 44 postes d'occupation des sols (métropole) », sur CORINE Land Cover, (consulté le ).
- Ernest Nègre, Toponymie générale de la France, Librairie Droz, (lire en ligne), p. 346.
- Bernard Tanguy, Dictionnaire des noms de communes, trèves et paroisses des Côtes d'Armor, Chasse-Marée, (lire en ligne).
- Jean Rohou, "Catholiques et Bretons toujours ? (essai sur l'histoire du christianisme en Bretagne)", éditions Dialogues, Brest, 2012, (ISBN 978-2-918135-37-1).
- Sylvain Le Bail, "Cœur de Breizh", Les oiseaux de papier, Ploërmel, 2009, [ (ISBN 978-2-916359-31-1)]
- Jean Rohou, "Catholiques et Bretons toujours ? (essai sur l'histoire du christianisme en Bretagne)", éditions Dialogues, Brest, 2012, [ (ISBN 978-2-918135-37-1)]
- Bernard Frelaut, "Il y a un siècle.. la Bretagne", éditions Ouest-France, 1999, (ISBN 2-7373-2532-3).
- René Rolland, né le à Rostrenen, ouvrier agricole, responsable d'un groupe de résistants FTP, tué par les Allemands le dans le hameau de Mézouet en Glomel
- http://www.memorialgenweb.org/memorial3/html/fr/resultcommune.php?idsource=55646 et http://cerp22.free.fr/Lieuxdememoire22/Belle-Isle-en-Terre/Plougonver%20Garzonval/1.html
- François-Marie Le Berre, né le à Plouguernével, arrêté le au cours d'une rafle effectuée par les Allemands à Saint-Nicolas-du-Pélem, voir http://cerp22.free.fr/Armand%20Tilly/1940-1945/Pages/Photos%20de%20Victimes/plougonver.html
- Françoise Morvan, "Miliciens contre maquisards : enquête sur un épisode de la Résistance en Centre-Bretagne", éditions Ouest-France, 2013, [ (ISBN 978-2-7373-5063-4)]
- « Commune. Le square Louis-Le Dily inauguré », Le Télégramme, (lire en ligne).
- « Pierre Le Gouez : trente-cinq ans de vie publique », Ouest-France, (lire en ligne).
- L'organisation du recensement, sur insee.fr.
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- Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes études en sciences sociales.
- Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017 et 2018.
- Loïc Langouët, Les mégalithes de l'arrondissement de Guingamp, Institut Culturel de Bretagne, , 92 p. (ISBN 9782868221018), p. 63.
- http://www.t4t35.fr/Megalithes/AfficheSite.aspx?NumSite=27921
- Daniel Kay, Tombeau de Georges Perros suivi de Armand Robin à Plouguernével, La Part commune, Rennes, 2007.
- Situation et photos de la tombe et du monument aux morts de la commune sur « aerosteles.net ».
Voir aussi
Articles connexes
Liens externes
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