Pierre Gilles (peintre)
Pierre Gilles, né le à Ménéac et mort le à Rennes, est un peintre français.
Pour l’article homonyme, voir Pierre Gilles.
Ne doit pas être confondu avec Pierre et Gilles.
Naissance |
Ménéac |
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Décès |
(à 80 ans) Rennes |
Nationalité | Française |
Pays de résidence | France |
Profession | |
Formation |
Après avoir exercé le métier de peintre en bâtiment, décide en 1946 de se consacrer exclusivement à l'art pictural.
Entre 1943 et 1991, ses œuvres sont exposées en France, notamment à Rennes où il vit, et à Pont-Aven où il effectue de très nombreux séjours et où il côtoie de nombreux peintres. Il est sélectionné pour participer à des salons parisiens où il est remarqué.
Très impliqué dans la vie culturelle rennaise, il crée en 1965 une académie libre de peinture, l'Escabeau, qu'il dirige et anime jusqu'en 1976. Cet atelier ayant cessé son activité en 1978, il interviendra auprès de la municipalité d'Edmond Hervé pour qu'elle soutienne la création de l'Atelier du Thabor en 1979.
Il est également un des membres fondateurs de l'Association Maison de la Culture de Rennes qui ouvre en 1968.
Il fait partie du groupe Combat des Trente, association fondée en 1970 par un groupe d'artistes bretons.
Biographie
Pierre Gilles est né à Ménéac dans le Morbihan le , deuxième d'une famille de cinq enfants. Son père exerce la profession de voiturier[1].
Après son certificat d'études primaires obtenu en 1926, il travaille pendant deux années comme employé de magasin d'alimentation à Ménéac, avant de commencer l'apprentissage du métier de peintre en bâtiment[1].
Durant l'année 1932, ouvrier peintre à Rennes, il suit les cours du soir de dessin à l'école des beaux-arts de Rennes[1].
Peu après son mariage en 1936 avec Anne Bedel — le couple aura cinq enfants — il part à Bruxelles durant une année pour suivre les cours de l'école supérieure de peinture décorative Logelain, et il y obtient le diplôme de décorateur[1].
Mobilisé et blessé en , il est prisonnier de guerre en Allemagne jusqu'en 1941. Rapatrié il reprend alors un travail salarié dans le bâtiment à Rennes. En 1943, réfractaire au service du travail obligatoire, il se réfugie avec sa femme et ses trois enfants à Ménéac. Durant trois années d'inactivité forcée, il travaille à la ferme pour avoir un revenu de subsistance et mène une réflexion sur lui-même et son besoin de peindre d'après son œil et son imagination. Il s'adonne alors assidûment à la peinture de chevalet en réalisant des portraits de famille ou d'amis, des natures mortes, et reçoit quelques commandes[1].
En 1943, ses œuvres sont exposées au Salon des provinces françaises au palais des musées à Rennes[2].
Sa première exposition personnelle a lieu en 1944 à la galerie Perdriel à Rennes[3] puis à Ploërmel[4].
De retour à Rennes en 1946 où il se fixe définitivement, il refuse une offre de travail salarié et se consacre entièrement à son art. La galerie Perdriel à Rennes lui consacre une exposition dès cette année-là[5].
Entre 1951 et 1956, en raison d'une situation matérielle difficile il est contraint de reprendre une activité salariée intermittente dans une entreprise de décoration, puis dans un atelier de publicité[1].
En 1951, il adhère à la Fraternité laïque franciscaine[1].
En 1953, il illustre un texte d'Henri Terrière sur la vie de Paul Gauguin pour le journal Ouest-France[1].
Dès les commencements de sa nouvelle vie d'artiste peintre, Pierre Gilles a abordé tous les genres qu'il pratiquera durant toute sa vie : portraits, natures mortes, paysages, marines, scènes de la vie familiale, de l'atelier du peintre, ou de la vie contemporaine, nus, compositions inspirées de l'Ancien et du Nouveau Testament. Ses sources d'inspiration pour les paysages se situent en Bretagne, qu'il a largement parcourue, en Normandie, en Ile-de-France, en Brière et sur la Côte d'Azur. Il effectue un voyage d'études au Danemark en 1948 et entreprend la découverte de Tolède en 1956[1].
Dès 1947, son travail est sélectionné dans des Salons parisiens et obtient des prix nationaux et régionaux[1].
Les années 1966 à 1971 sont des années charnières durant lesquelles Pierre Gilles renouvelle sa manière de peindre et sa technique, à la fois dans les paysages et dans les compositions de figures. C'est une période de remise en cause de son métier, de recherches et d'échanges très nombreux avec ses confrères ou ses élèves. En effet c'est à cette époque qu'il fonde l'académie libre de peinture l'Escabeau, où il invitera notamment d'autres artistes à venir débattre avec les adhérents professionnels ou amateurs de cet atelier. Il adhère également au groupe Combat des Trente qu'il préside de 1969 à 1971. Il trouve son inspiration en Corse, en Espagne (Murcie et Andalousie), en Provence, et toujours en Bretagne (île Molène et les grèves du Finistère Nord)[1].
À partir de 1972, il va travailler à un cycle de composition de grands formats inspiré des Mystères du Nouveau Testament qu'il présentera successivement à Rennes, Redon, Brest et Paris[1].
La mairie de Rennes l'invite à exposer à la Rotonde du théâtre en 1982[1].
À partir de 1982, il travaille pour lui-même à des compositions de figures essentiellement, souvent mais pas exclusivement inspirées des textes bibliques. Ne souhaitant plus vendre ses œuvres récentes, il ne les montre que dans le cadre d'invitations personnelles à des expositions ou dans des salons[1].
Pierre Gilles meurt à Rennes le [6].
La municipalité d'Edmond Hervé lui rend hommage en attribuant son nom à une place de la Ville de Rennes le [7].
La Ville de Thorigné-Fouillard lui rend hommage lors de son 6e Salon de peinture en 1994[8], ainsi que Les estivales de Tinténiac en 1996[9].
Une rétrospective sur le thème de l'atelier est organisée en 1998 au Crédit mutuel de Brest au Relecq Kerhuon[10],[11].
L'Escabeau (1965-1972)
Pierre Gilles décide en 1965 d'ouvrir un atelier–académie, l'Escabeau, au 7, impasse Rallier du Baty à Rennes, à destination des amateurs exercés ou non qui souhaitent dessiner, peindre et graver sous ses conseils. L'inauguration de cet atelier, qui fonctionne trois jours par semaine, a lieu le en présence du maire de Rennes, Henri Fréville[12],[13],[14],[15].
Des artistes, Robert Tatin[16], Georges Breuil[17], Jean-Yves Couliou[18], Jean Mingam[19] viennent y faire des conférences-débats.
En , Pierre Gilles cesse d'animer l'atelier qu'il a fondé[20] et en confie la direction au peintre Mariano Otero jusqu'en 1976[21], date à laquelle les locaux loués sont repris par leur propriétaire[22].
L'Escabeau trouvera un lieu d'accueil à la MJC du Grand Cordel durant deux années, mais les locaux devenant insuffisants pour répondre à une demande croissante d'inscriptions, une démarche est entreprise auprès de la Ville de Rennes pour la recherche d'un local plus adapté[22]
Plus de 400 personnes fréquenteront cet atelier entre 1965 et 1972 (90 inscrits en 1971-1972)[23], certaines pendant plusieurs années de suite, voire la totalité des années d'existence de l'Escabeau.
L'Atelier du Thabor
L'Escabeau étant à l'étroit dans les locaux de la MJC, Pierre Gilles fit partie d'un groupe d'artistes comme Alain Auregan, Jean-Yves Boislève, Marcel Dinahet, Christian Tanguy, René Nogret et Janine Gislais alors conseillère municipale déléguée aux Arts plastiques à la ville de Rennes, pour réfléchir à la création d'une association dont l'objet serait de promouvoir l'expression plastique.
Cette association loi 1901 déclarée au Journal officiel du prend le nom d'Association arts recherches et techniques[24], et fonctionnera dans l'ancienne chapelle des Catéchistes alors désaffectée et mise à la disposition par la Ville de Rennes[25]. L'atelier, ouvert le , inauguré le par Edmond Hervé, maire de Rennes[26], est toujours en activité en 2018.
Pierre Gilles en sera le premier président de 1979 à 1981[27].
Groupe Combat des Trente
L'Association Combat des Trente est enregistrée le sous le no 4555 à la préfecture de Rennes. Il s'agit d'une « Amicale groupant des personnalités du monde des Lettres, des Arts, de l'Économie, librement unies en auto-sélection dans des recherches d'expressions originales personnelles ou collectives aptes à imposer une Bretagne hissée au-dessus d'elle-même […] L'action exigeant le renouvellement dans la qualité, l'effectif est limité au chiffre de 30 unités. »
La création de Combat des Trente s'est effectuée à l'initiative d'Henri Yvergniaux, artiste peintre, Jean Pol Cuguen, journaliste à l'O.R.T.F, et Pierre Le Ray, industriel du meuble. Marcel Milès, Jean Couliou, Henri Girard, Pierre Gilles, Xavier Morvan, artiste peintres, Gwen Jégou et Dodik Jégou, peintres sculpteur et céramistes, René Van de Vyver, éditeur, et Marc Bernol, cinéaste, sont les premiers adhérents[28].
Pierre Gilles en sera le président jusqu'en 1972[29].
Cette association organisera plusieurs manifestations en Bretagne : du au , 1er festival itinérant en Bretagne avec exposition et tournée théâtrale[30] ; du 3 au , exposition à la Maison de la Culture de Rennes[31] ; en , exposition au Palais des arts de Vannes[32] ; du au , exposition à la Collégiale de Lamballe[33] ; en , exposition à l'Écurie à Lanvallay[34] ; en , plusieurs manifestations dans le Morbihan[35] ; du au , exposition au Palais des Arts et de la Culture de Brest[36].
Les engagements du peintre : foi et participation à la vie religieuse
Du congrès national marial en 1950 (exécution de panneaux peints)[37] à la béatification de Marcel Callo (portrait exposé à la basilique Saint-Pierre de Rome) en 1987[38], Pierre Gilles a exécuté de nombreuses commandes pour sa paroisse ou le diocèse : réalisation de panneaux, affiches, programmes, cartes de vœux pour diverses fêtes religieuses. Il a exécuté une peinture sur toile marouflée pour le Monument aux morts des deux guerres dans l'église de Taupont en 1947[39], ainsi qu'une peinture murale pour l'église Saint-Francois-Xavier à Saint-Malo en 1968[40], restaurée à l'occasion du cinquantenaire de l'église en [41].
Des congrégations religieuses ou des paroisses lui passent également des commandes de tableaux religieux : en 1956, une Annonciation et une Fuite en Égypte pour l'ancienne chapelle des sœurs de la Providence à Saint-Brieuc ; Les Pèlerins d'Emmaüs pour le réfectoire de la communauté des sœurs des pauvres à Rennes en 1984 ; Notre-Dame de Pellevoisin pour l'église des Sacrés-Cœurs à Rennes en 1988.
Œuvres dans les collections publiques
- Moëlan-sur-Mer, Mairie : Brigneau.
- Paris, Mairie : Village breton près de Névez[42].
- Pont-Aven, Musée
- Rennes :
- archevêché.
- Frac Bretagne : Rencontre[43].
- musée des beaux-arts : Le Port de Brigneau[44].
- Mairie
- Vannes, Musée la Cohue : Saint Servan (Bateau à coque rouge) ; Bethsabée
- Saint-Brieuc : Chapelle Lamennais (ancienne chapelle des soeurs de la Providence) acquise par la Mairie[45] : Fuite en Egypte ; Annonciation
Expositions
Personnelles
Outre sa participation à de nombreuses expositions collectives en Bretagne et en France — notamment avec le groupe 7 Peintres de l'Ouest qui, outre lui-même, rassemblait Georgette Piccon, Jean Chabot, Georges Connan, Hervé Kervella, Jean Le Merdy et Paul Nassivet — Pierre Gilles a été très fréquemment sollicité pour montrer ses œuvres dans des expositions personnelles.
- Galerie Perdriel à Rennes en 1944, 1946 et 1947[46]
- Galerie Beaux Arts à Rennes en 1949, 51, 54, 56, 57, 58, 59, 61, 62, 63[47]
- Galerie La Proue à Rennes en 66, 67, 69, 71[48]
- Temple de l'Église Réformée de Rennes en 1975[49]
- Galerie Violette et Atelier PR à Rennes en 1980[50]
- Rotonde du Théâtre de Rennes en 1983 invitation et hommage officiel de la Ville de Rennes[51]
- Centre Culturel du Champ de Mars à Rennes en 1987[52]
- Narthex de la cathédrale de Rennes en 1988[53]
- Église Saint Sauveur de Redon en 1975 et 1980[54]
- 2e salon de peinture de Guipry Messac en 1991 invité d'honneur[55]
- Galerie Saluden à Brest en 1961[56]
- Galerie de l'Abbaye à Quimperlé en 1975[57]
- Église Saint Martin de Brest en 1976[58]
- Palais des Arts et de la Culture à Brest en 1978[59]
- Galerie Barbarin à Pont Aven en 54, 57[60]
- Salle d'exposition de l'Hôtel de Ville à Pont-Aven en 1958, 59, 60[61]
- Galerie des Beaux Arts à Pont-Aven en 1961, 62, 63, 66, 69, 70, 71, 72, 74, 75, 77, 79[62]
- Galerie des Ajoncs d'Or à Pont-Aven en 1967[63]
- invité d'honneur au 1er et 7e salons de printemps de Lannion en 1963 et en 69[64]
- à Ploërmel en 1944 au profit des sinistrés de Ploërmel, et en 1947[65]
- à l'Hôtel de Limur à Vannes en 1949[66]
- à Lorient salle 66 en 1962[67]
- au Centre Social de Lanester rétrospective « 25 années de peinture » en 1972[68]
- à la Maison des Jeunes et de la Culture de Gourin en 1973 avec Fabienne Le Grand[69]
- à la chapelle de la Mennais à Ploërmel exposition « Arts Sacrés » en 1981[70]
- au Palais des Arts et des Congrès de Vannes en 1987[71]
- à la chapelle de la Congrégation de Josselin en 1990[72]
- invité d'honneur à la 65e exposition du groupe artistique de Saint Nazaire en 1989[73]
- Galerie Bourlaouen à Nantes en 1962[74]
- invité d'honneur au 7e salon d'automne de Chemillé en 1991[75]
- au temple de Pentemont à Paris dans le cadre du 3e festival des instruments anciens avec Patrice Jeener en 1984[76],[77]
- invité d'honneur à la 16e exposition 4A à Alfortville et au salon « Muse 45 » à Villeneuve-Saint-Georges en 1983[78]
Expositions collectives à l'étranger (1965-1982)
- Hommage to Brittany au Breton Center de Londres en 1965[79]
- au centre universitaire de Birmingham du 6 au organisée par Ben Lowe avec le peintre Evans
- au Premio Internazionale Europa Arte à Ancône (Italie) en 1965 : parchemin d'honneur, médaille d'argent pour « Pierre et la servante »[79]
- à Louvain en 1967[80]
- salon Terres Latines à Pittsburg (Pennsylvanie) en 1969[81]
- à Rochester (États-Unis) en 1970
- au palais Stutterheim à Erlangen (Allemagne) en 1966 et 1973[82]
- à Brno (République tchèque) en 1982[79]
Salons parisiens (1946-1991)
- au 23e Salon des Tuileries au musée des beaux-arts en 1946
- au Salon des artistes français en 1947, 1948 (obtention du prix Robert de Rougé pour la composition « La famille du peintre »), 1967 (médaille d'argent prix Paul Liot)[83], 68, 69, 70[84]
- au prix Eugène Carrière en 1948, 1949, 1951, 1952 (attribution d'une mention) et en 1955 (attribution d'une mention), 1956, 1957, 1958[85]
- à la galerie Durand-Ruel à Paris au prix décerné par la revue « Le Peintre » en 1955[86]
- aux salons de la Société nationale des beaux-arts au musée d'art moderne de la ville de Paris en 1957, 58, 59, 62, 63, 64, 65, 67, 68, 69, 70[87]
- aux salons « Terres Latines » au Musée d'art moderne de la ville de Paris en 1959, 60, 61, 62, 63, 64, 69, 70[88]
- aux Salons de l'art libre au musée d'art moderne de la ville de Paris en 1957,1958,1959 (diplôme d'honneur), 60, 61, 63, 64, 65, 66[89]
- au prix des Vickings en 1957, 1959
- au prix Othon Friesz au Musée d'art moderne de la ville de Paris en 1959,1960,1961
- au 6e salon breton à la galerie Duncan en 1961[90]
- aux Prix « Signatures » du Syndicat National des Artistes Professionnels en 1961, 62, 64[91]
- à l'exposition « Les peintres témoins de leur temps »sur le thème « Le Pain et le Vin » au musée Galliéra en 1965[92]
- au Salon d'automne au Grand Palais en 1967[93]
- au prix Élysée-Bretagne en 1967[94]
- au Salon Comparaisons au Musée d'Art Moderne en 1967, 68[95]
- au 84e Salon des indépendants au Grand Palais en 1973[96]
- au concours pour les prix de portrait Paul-Louis Weiller en 1991 de L'Institut de France[97]
Distinctions
- Mention honorable au Salon des artistes français de 1947[98].
- Prix Robert de Rougé au Salon des artistes français de 1948 pour une composition La famille du peintre, et en 1967 médaille d'argent prix Paul Liot[99],[100],[101],[102].
- Mention au prix Conté-Carrière en 1952[103].
- 2e prix de la ville du Mans en 1953 à la sélection Ouest pour la Biennale de peinture de Menton de 1953 pour Ablutions[104].
- 1re mention prix Eugène Carrière, Paris en 1955[105],[106].
- Prix pour La Famille à table à la sélection Ouest de la Biennale de Menton au Mans en 1955[107].
- Prix du meilleur paysage à Quimper pour Le Port d'Etel en 1957 au 20e Salon des peintres de la Bretagne[108].
- Diplôme d'honneur du Salon de l'art libre de 1959[109],[110].
- Médaille d'argent de la ville de Saint-Brieuc en 1959[111].
- 3e prix de peinture de la ville de Saint-Brieuc au XIXe Salon en 1960[112].
- Prix de peinture de la ville de Trégastel en 1963[113],[114],[115].
- Médaille d'argent au Premio Internazionale Europa Arte à Ancône en [116],[117].
- Élu membre correspondant de l'Académia internazionale Léonard de Vinci à Rome en [118],
- Médaille d'argent, prix Paul Liot au Salon des artistes français de 1967[119],[101],.
- Mention spéciale du jury au 1er Salon régional de peinture de Vitré de 1970 pour Paysage andalou[120].
- Prix de la revue L'Amateur d'art en 1981 au 4e grand prix de peinture et de sculpture de la ville de Rennes[121].
Notes et références
Notes
Références
- Pierre Gilles catalogue en ligne du FRAC Bretagne
- Avec celles de Lucien Seevagen, Victor Boner, Emmanuel Fougerat, Jean Deyrolle, Yvonne Jean-Haffen, Joseph Savina, Ernest Guérin (cf. P. G., « L'amour de l'art Le salon de Bretagne », L'Ouest-Éclair, 27 août 1943, lire en ligne).
- F. Le R., « À la galerie Perdriel l'exposition P. Gilles », L'Ouest-Éclair, 5 avril 1944 (lire en ligne).
- « L'exposition Pierre Gilles », La Voix de l'Ouest, novembre 1944.
- René Thierry , « Pierre Gilles à la galerie Perdriel », Ouest-France, 17 janvier 1946.
- Henri Terrière, « Il avait la discrétion des grands La mort de Pierre Gilles », Ouest-France, 23 octobre 1993.
- « De nouveaux noms de rues », Ouest-France, 14 janvier 1997.
- Article de Jean-Jacques Persico in catalogue de l'exposition.
- « Exposition Pierre Gilles », Ouest-France, 10 juillet 1996.
- Christian Grente, « Pierre Gilles 1913-1993. L'art de faire simple », Arts Actualités Magazine
- Magali Guiavarch, « L'atelier du peintre, lieu vital et sensible Rétrospective Pierre Gilles à Kerhuon », Ouest-France, 15 janvier 1998.
- Le Peintre, 15 janvier 1966 : "L'atelier de dessin et de peinture " l'Escabeau" vient d'ouvrir ses portes 7 ruelle Rallier du Baty à Rennes"
- « L'inauguration de l’atelier-académie « escabeau » dirigé par le peintre Pierre Gilles », Ouest-France, octobre 1965.
- Henri Terrière, « L'atelier libre « L'Escabeau » un climat d'art et de sympathie », Ouest-France, 1967
- Jean-Yves Dubois, « Pierre Gilles et son atelier l' « Escabeau », Les Maisons de l'Ouest, mai 1967.
- Henri Terrière, « À l'Escabeau, Robert Tatin a parlé de la vision chez Rembrandt, Van Gogh, La Tour et… Tatin », Ouest-France, 10 février 1968.
- "Réunion à l'Escabeau avec le peintre Georges Breuil" Ouest-France du 6 février 1969
- "Samedi à l'Escabeau le peintre Jean Couliou traitera des problèmes de matière en art" Ouest-France du 26 février 1970.
- "Mercredi soir à l'Escabeau : entretien sur la vocation artistique avec le sculpteur et peintre Jean Mingam" Ouest-France du 22 avril 1970.
- Henri Terrière, « Le peintre Pierre Gilles quitte la direction de l'Escabeau », Ouest-France, septembre 1972.
- « Le peintre Mariano Otero prend la succession de Pierre Gilles à la tête de L’Escabeau, ouverture de l'atelier le 29 septembre » , Ouest-France, septembre 1972.
- " On déménage : L'atelier de l'Escabeau qui fonctionnait avec succès depuis 1965 dans les locaux de l'ancienne prison Saint Michel s'est vu obligé de déménager" Les nouvelles de Rennes, septembre 1976.
- Henri Terrière, « Le peintre Pierre Gilles quitte la direction de " l'Escabeau" », Ouest-France, .
- Journal officiel de la République française, 22 mai 1979.
- Henri Terrière, « L'atelier d'arts plastiques de Rennes fonctionnera place Saint Melaine », Ouest-France, 23 février 1979.
- « De nouvelles règles d'urbanisme à Rennes », Ouest-France, 7 mars 1980.
- « Deux journées des arts sous le signe de la mémoire L'atelier du Thabor fête ses 20 ans », Ouest-France, du 7 septembre 1999.
- « Quintin. Première assemblée du groupe Combat des Trente », Ouest-France, .
- « Combat des Trente Manifeste », Armor Magazine, janvier 1971.
- " Un week-end pas comme les autres avec l'Association Education et Vie sociale" Ouest-France du 31 mars 1971
- Georges Langlade, « Pour la première fois La Maison de la Culture de Rennes consacre une semaine aux artistes bretons », Bretagne Dimanche, 25 avril 1971.
- « L'exposition du groupe « Combat des Trente » au Palais des Arts », Ouest-France, 13 mars 1972.
- Pierre Duclos, « L'exposition du Combat des Trente à la collégiale Notre-Dame : Des créateurs devant le Créateur », Ouest-France, 31 mai 1972.
- Yannick Boulin, « Le point de rencontre de toutes les formes d'art », Ouest-France, 28 août 1972.
- « La quinzaine d'animation culturelle et artistique organisée par Éducation et Vie Sociale du Morbihan démarre aujourd'hui », La Liberté du Morbihan, 20 novembre 1972.
- « Exposition « Combat des Trente » à partir d'aujourd'hui au PAC », Ouest-France, 19 juin 1974.
- Catalogue de l’exposition « La Vierge dans l'art » du 22 juin au 9 juillet 1950 à l’hôtel de ville de Rennes.
- (it) Marcel Callo, Antonia Mesina, Pierina Morosini, [plaquette de la béatification], Basilica vaticana, 4 octobre 1987.
- « La Fête du 10 août à Taupont, le superbe tableau dû à l'artiste Pierre Gilles , représente Saint Golven... », Ouest-France, août 1947.
- « Une fresque de Pierre Gilles à l'église Saint François Xavier, nouvelle paroisse malouine », Ouest-France, 5 décembre 1968.
- « À Saint François Xavier, la fresque restaurée », Ouest-France, .
- « Le vernissage de l'exposition Pierre Gilles », Ouest-France, 22 octobre 1959.
- « la collection en ligne - Frac Bretagne », sur Frac Bretagne.
- Notice no 00000074538, base Joconde, ministère français de la Culture.
- Saint-Brieuc. La Ville rachète la chapelle Lamennais 562 500 € Ouest- France du 26/09/2013
- « À la galerie Perdriel L'exposition P. Gilles » article de F. Le R. dans Ouest-Eclair du 5 avril 1944 ; « Pierre Gilles à la Galerie Perdriel » articles de René Thierry dans Ouest-France du 17 janvier 1946 et du 17 décembre 1947
- « À la galerie Beaux Arts l'exposition de Gilles » article de Fernand Daucé dans Ouest Matin du 18 novembre 1949 ; catalogue de l'exposition préfacée par Robert Merle en 1951 ; « L'exposition Pierre Gilles à la Galerie Beaux Arts » article de René Thierry dans Ouest-France du 26 octobre 1954 ; « Rennes exposition Pierre Gilles » article de Prémorvan dans le Journal de l'Amateur d'art du 25 novembre 1956 ; « Le vernissage de l'exposition Pierre Gilles » article dans Ouest-France d'octobre 1957 ; « Pierre Gilles à la Galerie Beaux Arts » article de René Thierry dans Ouest-France du 7 mai 1958 ; « Pierre Gilles à la Galerie Beaux Arts » article de Henri Terrière dans Ouest-France du 23 octobre 1959 ; « Rennes Pierre Gilles » article de Prémorvan dans le Journal de l'Amateur d'art de 1961 ; « Rennes : l'itinéraire lumineux de Pierre Gilles » article de Henri Terrière dans Arts (revue) du 18 avril 1962 ; « Rennes Pierre Gilles ; la paix dans la solitude » article de Henri Terrière dans la revue Arts du 29 mai 1963
- Les Arts en France Rennes Pierre Gilles article dans Le Peintre du ; « Dessins de François Garnier et peintures de Pierre Gilles à la galerie La Proue » article d'Henri Terrière dans Ouest-France du 11 mai 1967 ; « Rennes Pierre Gilles article dans l'Amateur d'art du 27 mars 1969 ; « Pierre Gilles à la galerie La Proue » article de Henri Terrière dans Ouest-France du 13 novembre 1971
- « L'exposition Pierre Gilles Un vaste témoignage humain et sacré » article de Henri Terrière dans Ouest-France du 6 mars 1975
- « Pierre Gilles aux « Trois Soleils » Dépouillement pour un idéal » article de Henri Terrière dans 7 Jours en Ille et Vilaine du 14 novembre 1980
- « Les expositions dans la ville Pierre Gilles : « Témoigner des bonheurs et des tourments de la vie » article de Ouest-France du 18 décembre 1982
- « Pierre Gilles illustre la vie de Jésus » article de Henri Terrière dans 7 Jours en Ille et Vilaine du 13 février 1987
- « L'exposition Pierre Gilles dans le narthex de la cathédrale de Rennes »article de Henri Terrière dans 7 jours en Ille et Vilaine du 29 juillet 1988
- « Vernissage de la troisième quinzaine culturelle Pierre Gilles à Saint Sauveur » article dans Ouest-France de juin 1975 ; « Dans le cloître de l'abbaye, deux peintres Pierre Gilles et Henri Ren l'espoir et l'angoisse » article dans Ouest-France de juillet 1980
- « Salon de peinture Art et Poésie » article dans Ouest-France du 27 juin 1991
- « Une excellente exposition de Pierre Gilles » article de Jean Ollivier dans Le Télégramme du 6 octobre 1961
- « Pierre Gilles à la Galerie de l'Abbaye » article de A. Loeil dans Ouest-France du 24 juillet 1975
- « Du 11 au 25 avril : Le peintre Pierre Gilles à l'église Saint Martin » article dans Ouest France du 7 avril 1976
- « Pierre Gilles peintre humaniste » article de Jacques Crenn dans Armor Magazine no 105 d'octobre 1978
- « Pierre Gilles le peintre des « Paysages de Bretagne » expose à Pont Aven » article de Ouest-France d'août 1957
- « En marge de l'exposition Pierre Gilles qui connaît un très brillant succès » article dans Ouest-France du 11 octobre 1958 ; « Pierre Gilles est à nouveau l' hôte de Pont-Aven » article dans Le Télégramme d'octobre 1959 ; « Le peintre Pierre Gilles à Pont-Aven » article de Len dans Ouest-France du 28 septembre 1960
- « Le vernissage à Pont-Aven de l'exposition Pierre Gilles » article dans Ouest-France du 18 septembre 1961 ; « Pierre Gilles présente à Pont-Aven l'une des meilleures expositions de l'année » article de R.K. dans Ouest-France du 21 septembre 1962 ; « Le vernissage de l'Exposition Pierre Gilles à Pont-Aven » article dans Ouest-France du 15 septembre 1963 ; « Pierre Gilles et Pierre Lepage exposent à Pont-Aven » article dans Ouest-France du 17 juillet 1966 ; « Pierre Gilles : Bretagne et Corse » article du Télégramme du 6 août 1968 ; article dans la revue le Peintre du 15 septembre 1969 et du 15 septembre 1970 ; « Pierre Gilles ou la couleur et le mouvement » article du Télégramme de septembre 1971 ; « Les expositions à Pont-Aven » article de Jean Renard dans le Télégramme de septembre 1972 ; « Pierre Gilles : La peinture et la Bible » article de Morgane Guirriec dans Ouest-France du 18 juillet 1974 ; « La ronde des expos » article de Pierre Portais dans Le Télégramme du 11 août 1977 ; « Exposition Pierre Gilles à l'hôtel de ville » article dans Ouest-France du 28 juillet 1979
- Article de J.Chabanon dans la revue " Le Peintre" du 15 septembre 1967
- « La Première artistique de Lannion Peintures-Sculptures-Céramiques » article de L.-C. D. dans La Bretagne à Paris du 5 avril 1963 ; « 7e salon de Printemps » article d'avril 1969 dans La Bretagne à Paris
- « L'exposition Pierre Gilles » article dans La Voix de l'Ouest de novembre 1944 ; « L'exposition de peinture » article de Ouest-France juin 1947
- « L'exposition Pierre Gilles » article de P.Achel dans Ouest-France de juin 1949
- « Pierre Gilles peintre des sentiments » article de T. O. dans La Liberté du Morbihan du 7 juin 1962
- « La quinzaine artistique et culturelle Les peintures de Pierre Gilles au centre social » article de La Liberté du Morbihan du 30 novembre 1972
- « Exposition de peinture à la M.J.C. » Article du Télégramme du 31 juillet 1973
- « Pierre Gilles peintre du Sacré » article de L.H. dans Ouest-France d'avril 1981
- « Exposition Pierre Gilles au Palais des Arts Une peinture grave et intense » article de La Liberté du Morbihan du 4 novembre 1987
- « Exposition Pierre Gilles Un art, reflet de paix » article dans Le Ploërmelais du 6 juillet 1990
- plaquette de l’exposition
- « Pierre Gilles et la Bretagne » article de H.B. dans Presse Océan du 14 novembre 1962
- « Septième salon d'automne Invité d'honneur : Pierre Gilles » article de Ouest-France du 12 novembre 1991
- programme du IIIe festival des instruments anciens du 2 au 25 mars 1984
- « Le peintre Pierre Gilles expose dans un temple à Paris » article dans Ouest-France du 21 mars 1984
- plaquette de l'exposition ; « Villeneuve St Georges Les artistes peintres au Salon 83 » article dans Villages Val de Marne no 277 du 7 décembre 1983
- catalogue de l'exposition
- « Les peintres de Rennes exposent à Louvain » article de Ouest-France du 22 septembre 1967
- « Le peintre Pierre Gilles expose aux États-Unis » article de Ouest-France du 18 octobre 1969
- « Dix sept peintres de Rennes exposeront à l'ancien hôtel de ville d'Erlangen » article de Henri Terrière dans Ouest-France du 4 avril 1973
- « Le Peintre Pierre Gilles lauréat du Salon 1948 » article de Ouest-France du 4 juin 1948 ; courrier du 5 mai 1967 du commissaire général J.Guéris
- « Au Salon des Artistes Français » article dans La Bretagne à Paris du 10 mai 1968 ; articles dans la revue Le Peintre du 15 mai 1969 et du
- « Le peintre Pierre Gilles obtient pour la seconde fois, une mention au Concours Eugène Carrière » article de Ouest-France du 26 janvier 1955
- « Le prix du « Peintre » article de R.V. du Figaro du 18 octobre 1955
- article dans la revue le Peintre du 25 avril 1958 ; « La Bretagne au Salon de la Nationale » article du Télégramme du 26 mars 1959 ; article de J.Chabanon dans la revue Le Peintre du ; « Le Salon de la Nationale » article du Télégramme du 4 mai 1963 ; articles de J. Chabanon dans la revue Le Peintre du , du 15 février 1965, du 15 février 1967 ; article de Pierre Imbourg du Journal de l'Amateur d'art du 10 février 1968 ; article dans la revue Le Peintre du 15 février 1969 ; article dans la revue Le Peintre du
- « La vie artistique et intellectuelle à Paris » article dans La Métropole Anvers du 29 mai 1959 ; article de Pierre Imbourg dans le Journal de l'Amateur d'art du 25 juin 1961 ; articles de J.Chabanon dans la revue Le Peintre du 15 juin 1962 et du 15 mai 1963 ; article de André Weber dans le Journal de l'Amateur d'art du 25 juin 1964 ; articles dans la revue Le Peintre du et du 15 juin 1970
- "Les œuvres du peintre Pierre Gilles distinguées au salon de L'Art Libre » article dans Ouest-France du 26 janvier 1959 ; article dans La Bretagne à Paris du 8 janvier 1960 ; articles de Pierre Imbourg dans le Journal de l'Amateur d'art du 10 décembre 1960, du 25 décembre 1961, du 10 décembre 1963, du 10 décembre 1964 ; "Salon de l'Art Libre 1964" article dans Appolo défenseur des Arts Liège; "Salon de l'Art Libre" article dans Arts du 6 janvier 1965 ; article de D. Romand dans le Journal de l'Amateur d'art du 25 décembre 1965 ; article de Barnett D. Bonlon dans Pictures on exhibition New-York de février 1966
- article de J.Chabanon dans la revue Le peintre du 15 mai 1961
- article de Charles Suquet dans la revue Signatures de mai-juin 1961 ; « Le palmarès du Prix Signature 1962 » article dans Ouest-France du 5 février 1962 ; « L'exposition » Signatures de Bretagne » et l'hommage des peintres à R.-Y. Creston » article de Henri Terrière dans Ouest-France du 24 décembre 1964
- page de couverture de la revue d'art « Le peintre guide du collectionneur » du ; article dans la revue Arts (revue) du 20 janvier 1965; catalogue de l'exposition
- « D'un Salon à l'autre » article dans La Bretagne à Paris du 23 juin 1967
- « A propos du prix de peinture Élysées-Bretagne » article d'André Guégan dans La Bretagne à Paris du 22 septembre 1967
- « Le peintre Pierre Gilles au Salon « Comparaisons » article dans Ouest-France du 28 février 1967 ; « Aspects bretons des Arts » article dans La Bretagne à Paris du 19 avril 1968
- article dans la revue le Peintre du
- catalogue de l’exposition.
- Ouest France, 13 juin 1947.
- « Le Peintre Pierre Gilles lauréat du Salon 1948 », Ouest-France, 4 juin 1948.
- Henri Héraut, « Les Artistes français font peau neuve », Le Journal de l'Amateur d'art, 10 mai 1967.
- J. Chabanon, article dans Le Peintre, 1er mai 1967.
- Vallobra, article dans Appolo Défenseur des Arts, juillet 1967.
- George Bousquet, « Avec Robert Humblot Prix Conté-Carrière 1952 », Arts (revue), janvier 1952.
- « La Vie Artistique », Ouest-France, 29 mai 1953.
- « Le peintre Pierre Gilles obtient pour la seconde fois, une mention au Concours Eugène Carrière », Ouest France, 26 juin 1955.
- « Échos », L'Humanité, 19 janvier 1955.
- « La Sélection Ouest à la Biennale de peinture de Menton », Ouest-France, 21 mai 1955.
- « La vie artistique XXe salon des peintres de la Bretagne », Ouest-France', 10 septembre 1957.
- L'Écho d'Ille-et-Vilaine, 7 février 1959.
- « Les œuvres du peintre Pierre Gilles distinguées au salon de l'Art Libre », Ouest-France, 26 janvier 1959.
- « Un pieux hommage à Seevagen rendu hier à Saint Brieuc », Ouest-France, 7 décembre 1959.
- Journal de l'Amateur d'Art, 25 décembre 1960.
- « Le prix de peinture de Trégastel attribué à Pierre Gilles pour sa toile Camaret », La Bretagne à Paris, 9 août 1963.
- Journal de l'Amateur d'Art, 25 septembre 1963.
- Arts, 16 octobre 1963.
- Catalogue de l'exposition.
- Henri Terrière, article dans Ouest-France, 10 mai 1966.
- "Les Arts : Pierre Gilles à la galerie de la Proue" article de Henri Terrière Ouest-France du 10 mai 1966
- Henri Héraut, « Les artistes français font peau neuve », Le Journal de l'Amateur d'Art, 10 mai 1967.
- L'Amateur d'art, 30 avril 1970.
- Henri Terrière, article dans Ouest-France, 15 mai 1981.
Annexes
Bibliographie
- Emmanuel Bénézit, Dictionnaire critique et documentaire des peintres, sculpteurs, dessinateurs et graveurs, tome 4, 1976, p. 728 ; édition 1999 tome 6.
- Denise Delouche, Peintres de la Bretagne et Quête spirituelle, 2006, pp. 48, 63 et 120.
- Denise Delouche, Étonnants métiers du littoral breton, 2018, pp. 14, 32 et 79. Catalogue de l'exposition organisée du 1er juillet au 2 septembre 2018 par la Ville de Perros-Guirec.
- René Le Bihan, La route des peintres en Cornouaille, Groupement Touristique de Cornouaille, , p. 102.
- Annuaire national des Beaux-Arts 1981-1982, Paris, Éditions Dany Thibaud, 1982, p. 544.
- Annuaire des notables régionaux, tome 5, Bretagne éditions, Dany Thibaud, p. 117.
- Michel Renouard, Joëlle Méar, Nathalie Merrien, Dictionnaire de Bretagne, Éditions Ouest-France, 1992, p. 115.
- Jean-Loup Avril, Mille Bretons [dictionnaire biographique], Éditions Les Portes du Large Saint Jacques de la Lande, 2002, p. 168.
- Christian Grente, « Pierre Gilles 1913-1993 L'art de faire simple », Arts actualités Magazine, no 82, , pp. 64-65.
- « Art et destin Pierre Gilles peintre rennais », Oméga, [journal des étudiants de l'université de Rennes].
- Annuaire international des Beaux-Arts, Berlin, Dr Helmut Rauschenbusch, 6e édition, 1961, p. 1066 ; 10e édition 1969-1970, p. 756.
- Repertorium Artis Guide européen des Beaux-Arts 1966-1967, Monaco, éditeur Ch.-L. Formals, p. 91.
- Histoire de l'Art International, Accademia Italia Universitta' delle Arti, 1984, p. 115.
- Paul Gilles, 56 Ménéac des évènements, des hommes, un patrimoine, Vannes, 1998, pp. 400 à 404.
- Georges Gernot, L'Atelier du Thabor Au Fil de l'Art, 2012.
Liens externes
- Pierre Gilles (Benezit Dictionary of Artists) https://doi.org/10.1093/benz/9780199773787.article.B00073911
- Pierre Gilles (site officiel)
- Pierre Gilles (page WikiRennes)
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