Onoz (Jura)

Onoz est une commune française située dans le département du Jura, en région Bourgogne-Franche-Comté.

Pour les articles homonymes, voir Onoz.

Onoz

Portail de la chartreuse de Vaucluse à Onoz.
Administration
Pays France
Région Bourgogne-Franche-Comté
Département Jura
Arrondissement Lons-le-Saunier
Intercommunalité Terre d'Émeraude Communauté
Maire
Mandat
Jean-Noël Rassau
2020-2026
Code postal 39270
Code commune 39394
Démographie
Gentilé Hagonien/Hagonienne
Population
municipale
71 hab. (2018 )
Densité 4,8 hab./km2
Géographie
Coordonnées 46° 27′ 23″ nord, 5° 39′ 12″ est
Altitude Min. 425 m
Max. 740 m
Superficie 14,85 km2
Type Commune rurale et littorale
Aire d'attraction Commune hors attraction des villes
Élections
Départementales Canton de Moirans-en-Montagne
Législatives Première circonscription
Localisation
Géolocalisation sur la carte : Bourgogne-Franche-Comté
Onoz
Géolocalisation sur la carte : Jura
Onoz
Géolocalisation sur la carte : France
Onoz
Géolocalisation sur la carte : France
Onoz
Liens
Site web http://www.mairie-onoz.fr

    Géographie

    Communes limitrophes

    Urbanisme

    Typologie

    Onoz est une commune rurale, car elle fait partie des communes peu ou très peu denses, au sens de la grille communale de densité de l'Insee[Note 1],[1],[2],[3]. La commune est en outre hors attraction des villes[4],[5].

    La commune, bordée par un plan d’eau intérieur d’une superficie supérieure à 1 000 hectares, le lac de Vouglans, est également une commune littorale au sens de la loi du , dite loi littoral[6]. Des dispositions spécifiques d’urbanisme s’y appliquent dès lors afin de préserver les espaces naturels, les sites, les paysages et l’équilibre écologique du littoral, comme par exemple le principe d'inconstructibilité, en dehors des espaces urbanisés, sur la bande littorale des 100 mètres, ou plus si le plan local d’urbanisme le prévoit[7],[8].

    Occupation des sols

    Carte des infrastructures et de l'occupation des sols de la commune en 2018 (CLC).

    L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des forêts et milieux semi-naturels (70,4 % en 2018), une proportion identique à celle de 1990 (70,4 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : forêts (70,4 %), eaux continentales[Note 2] (14 %), prairies (11,1 %), terres arables (2,8 %), zones humides intérieures (1,7 %)[9].

    L'IGN met par ailleurs à disposition un outil en ligne permettant de comparer l’évolution dans le temps de l’occupation des sols de la commune (ou de territoires à des échelles différentes). Plusieurs époques sont accessibles sous forme de cartes ou photos aériennes : la carte de Cassini (XVIIIe siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[10].

    Histoire

    Le village est mentionné sous le nom de Hagonoscum dès le IXe siècle, mais Onoz aurait entre 1600 et 2000 ans[réf. nécessaire], et aurait été le domaine d’Hago, chef germain (Hago, le nom du Germain, et oscum, le domaine). C'est pourquoi les habitants du village s'appellent des Hagoniens.

    En 1822, Onoz fusionne avec la commune de Chaviat[11].

    Politique et administration

    Liste des maires successifs
    Période Identité Étiquette Qualité
        Xavier Michaud    
        André Poulet    
        Noël Grandclément    
      mars 2001 Marcel Gentelet    
    mars 2001 mars 2014 Jean-François Tonnaire    
    mars 2014 En cours Jean-Noël Rassau DVD  

    Démographie

    L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. À partir de 2006, les populations légales des communes sont publiées annuellement par l'Insee. Le recensement repose désormais sur une collecte d'information annuelle, concernant successivement tous les territoires communaux au cours d'une période de cinq ans. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[12]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2005[13].

    En 2018, la commune comptait 71 habitants[Note 3], en diminution de 18,39 % par rapport à 2013 (Jura : −0,29 %, France hors Mayotte : +1,78 %).

    Évolution de la population  [modifier]
    1793 1800 1806 1821 1831 1836 1841 1846 1851
    390394368359517413456438413
    1856 1861 1866 1872 1876 1881 1886 1891 1896
    384382382309309299294305281
    1901 1906 1911 1921 1926 1931 1936 1946 1954
    273249234267330211192156142
    1962 1968 1975 1982 1990 1999 2005 2010 2015
    14012389796661798776
    2018 - - - - - - - -
    71--------
    De 1962 à 1999 : population sans doubles comptes ; pour les dates suivantes : population municipale.
    (Sources : Ldh/EHESS/Cassini jusqu'en 1999[11] puis Insee à partir de 2006[14].)
    Histogramme de l'évolution démographique

    Lieux et monuments

    La Chartreuse de Vaucluse est fondée en 1139, avec des jardins en terrasse construits sur des arches baignant dans l'Ain (reconstruite partiellement au-delà du barrage de Vouglans).

    L'église romane remaniée[15] : Le diplôme de Lothaire Ier du mentionne l'église d’Onoz. L'église est d'abord placée sous le vocable de saint Romain, diacre d'Antioche puis de saint Benoît. Abrite les dalles funéraires des seigneurs de Virechatel : Jean de La Palu (XVe siècle) et le baron d'Arnans, défenseur de la Franche-Comté pendant la conquête française (XVIIe siècle) ; stalles et groupe de bois sculpté provenant de la chartreuse de Vaucluse ; Vierge réputée miraculeuse (Pèlerinage à la Vierge miraculeuse le ).

    Le château de Virechâtel détruit au XVIIe siècle par Villeroy. Ses vestiges occupent l'extrémité d'une crête. L'accès qui devait être au sud, avait été détaché du reste de la montagne par un profond fossé. Il était protégé sur ses trois autres côtés par de hauts rochers. Il formait un parfait éperon barré. Ce château avait dû être bâti durant la première moitié du XIIe siècle, en effet, Hugues de Cuiseaux semble être le premier seigneur connu de Virechâtel. Vers l'an 1213, la seigneurie passa tout entière dans le giron de Jean de Monnet. Elle fut cédée par la suite, par mariage ou rachat, à diverses autres familles seigneuriales. Ce château semble avoir été occupé voire ruiné par les troupes de Louis XI, durant les guerres de Bourgogne, comme la plupart des forteresses médiévales jurassiennes en activité à cette époque. Lors de la guerre de dix ans, le château de Virechâtel servit de camp retranché au baron d'Arnans, partisan comtois qui malmenait les contingents franco-suédois. Il fut pris le de l'année 1639, et fut aussitôt démantelé et brûlé. Ce ne serait que sur les ordres de Louis XIV qu'il aurait été définitivement rasé. De nos jours, rares sont les vestiges qui nous laissent préjuger de sa grandeur passée. On y distingue cependant les soubassements du donjon, une belle bouche à feu ovale, la poterne partiellement effondrée, une belle petite fenêtre gothique et une partie de la courtine qui borde le précipice au nord / nord-ouest.

    Lac d'Onoz, Jura, France

    Le lac d'Onoz[16].

    Lac de Vouglans (429 m d'altitude), mis en eau en 1968, est, avec son volume de plus de 600 millions de m3 d’eau et sa retenue de 35 kilomètres, le troisième plus important de France.

    Pèlerinage à la Vierge

    L’origine du pèlerinage à Notre dame d’Onoz parait remonter aux premiers siècles du christianisme. Onoz, avec ses forêts, son lac, ses fontaines autour du monticule où se trouve aujourd’hui l’église était sans doute soumis à l’action druidique, et un sanctuaire fut certainement élevé à la Vierge Immaculée sur les ruines d’un temple consacré aux mystères d’une déesse du paganisme.

    La Vierge de Campitelli
    Sous les règnes de l'empereur Justin, à Constantinople, et de Théodoric, roi des Lombards, en Italie, vivait à Rome Galla, fille du patricien Simmaque. Un jour, le , ayant aperçu dans sa chambre une grande lumière qui demeurait suspendue, et ne pouvant comprendre cette merveille, elle courut au Vatican en faire part au saint pape Jean Ier.
    Le Pontife se transporta chez elle, accompagné de son cortège ordinaire et d'une foule du peuple. À peine est-il été introduit dans l’appartement de Galla que l’on vit, parmi les rayons de gloire, deux séraphins portant une image peinte à l'or très fin sur un saphir de grande taille représentant Jésus dans les bras de la Sainte Vierge. Les anges s’approchèrent du Pontife, et lui confièrent ce trésor comme un gage de la protection divine dans un temps où la peste dépeuplait toute l'Italie. En effet ce cruel fléau cessa dès ce jour.
    En mémoire de cette heureuse délivrance et pour honorer le don de dieu, Galla convertit son palais en une église qu’elle fit bâtir avec la dernière magnificence (sous le nom de Sainte Marie in Portieu, aujourd’hui in Campitelli). Elle fit placer l'image miraculeuse dans le lieu même où elle s’était fait voir la première fois, environnée d’une clarté céleste.
    Non contente de laisser sa maison à la sainte Vierge qui l’avait choisie pour sa demeure et celle de son divin fils, Galla lui légua encore tous ses biens, et le pape Jean Ier, ayant consacré l’église, y attacha des indulgences et de grands privilèges, confirmés depuis par nombre de ses successeurs. Ce monument de la piété de Galla étant tombé en ruines dans le XIe siècle, Grégoire VII le rétablit et le consacra de nouveau.
    La contagion qui fut chassée le jour où descendit la sainte image, reparut en Italie sous le pontificat de Saint Grégoire. Elle causa, jusque dans Rome, des ravages fort rapides. Le Pape se rendit dans l'église où reposait la Vierge miraculeuse, qu'il porta processionnellement dans la Basilique des saints apôtres. Elle en fut rapportée le lendemain, et le mal cessa entièrement. Les papes Galixte III et Adrien VI ont éprouvé le même effet en renouvelant cette pieuse cérémonie; et c’est une chose bien remarquable que Rome ait été délivrée de tous les malheurs qui la menaçaient ou qui l’affligeaient, toutes les fois qu’on s’est adressé à la sainte Vierge, dans son église favorite.
    Le révérend père Arsène Odoardy
    Né en 1652, a Pignerol (Piémont Italien, français de 1631 à 1693) d’un père militaire originaire de Valence, il est élevé à Lyon puis rentre dans les ordres. En 1702 il fit un pèlerinage à Rome aux tombeaux des apôtres. En 1706 il y fit faire une copie de l’image sainte de la vierge de Campitelli sur une tablette de cyprès de dix pouces de haut et sept et demi de large derrière laquelle on lisait les inscriptions latines suivantes "Cette image de la bienheureuse Vierge Marie in Portieu fut peinte sur une tablette de cyprès par Augustino Galpinio, à Carpigna. Elle toucha l'original dans l’église de Sainte Marie, vulgairement appelée in Campitelli, à Rome, le jour de l’Immaculée Conception huit des ides de décembre. Notre saint père le pape Clément XI la bénit y attachant une indulgence à l’article de la mort, Rome année de la Rédemption du monde MDCCV" et "Cette image que le P. André Odoarchy, pièmontais, fit exécuter à ses frais, a touché l’original et a reçu, avec la bénédiction du pape Clément XI, la faveur d’une indulgence plénière à l'article de la mort pour tous ceux qui la visiteraient pieusement, "
    Le révérend Père parcouru alors l'Europe dans l'intérêt de son ordre et pour chercher un asile pour son image. En cours de route il constata des prodiges :
    • à Vienne (Autriche), il pria l'image de sauver des nautoniers de eaux du Danube : cela se produisit ;
    • à proximité de Coblence (Allemagne), l'image dérouta des voleurs.
    Arrivé à Dole, en 1732, le marquis de Balay lui offrit un terrain à Marigna pour construire une chapelle dédiée à la Vierge de Campitelli. Le roi de France refusa cette possibilité. À Onoz, François Marie du Saix, le Seigneur de Virechâtel et baron d’Arnans (dont la famille était aussi originaire de Pignerol) l'accueillit et lui offrit l’hospitalité dans son château, siège de la mairie actuelle (le château de Virechâtel étant alors en ruine depuis presque un siècle). Le révérend père y habita et déposa sa pieuse image à l’église et vint y prier régulièrement. Le Révérend Père Arsène Odoardy décéda à Onoz le .

    Dès ce moment, le pèlerinage à Notre Dame d’Onoz acquit une grande célébrité et prit une extension extraordinaire. La réputation de sainteté du pieux anachorète s’était étendue de proche en proche jusque dans les contrées voisines. Les prodiges nombreux et éclatants opérés par l’entremise de la céleste Vierge attirèrent l’attention des populations environnantes. La Bresse, la Bourgogne, le Bugey envoyèrent de nombreuses députations à l’autel de la miraculeuse image.

    Lors de la Révolution, l'image originale fut retirée de l'église (le 24 ventouse l’an second de la république française , c-à-d le ) et brûlée à Orgelet. On la remplaça par la matrice en cuivre qui servait à réaliser des copies puis, en 1877, par un nouvel original.

    Le pèlerinage actuel
    Le pèlerinage a lieu chaque année à la date du .

    Personnalités liées à la commune

    Le hameau et le château du Saix se trouvent à 3 km au sud de Bourg en Bresse, dans la forêt de Seillon. Le hameau d’Arnans se trouve quant à lui, à 3 km à l’Est de Chavannes sur Suran (Ain) et à 3 km au Nord de l’abbaye de St Maurice des Chasaux. La famille du Saix a occupé différentes charges tant auprès des souverains de Savoie que de France de 1150 à 1450. César épouse en 1623 Antide Hélène Morel, dame de Virechatel et vient s’établir en 1637 au château de celle-ci. César du Saix lutte contre l'invasion de la Comté par les troupes françaises de Richelieu et l’armée de mercenaires suédois commandée par Bernard de Saxe Weimar. Presque toutes les villes sont prises, pillées et incendiées par les Français. La population est décimée tant par la guerre que par la peste.

    Aux ordres du duc de Lorraine, César du Saix commande jusqu'à 1 000 cavaliers et 2 000 fantassins avec pour lieutenant le célèbre Lacuzon. César du Saix s'illustrera surtout par ses actions de guérilla contre les français
    Les Seigneurs de Virechâtel
    Nom Note(s)
    Hugues de Cuisel vit en 1139
    Ponce 1er de Cuisel
    Ponce 2 de Cuisel
    Jean de Monnet Achat en 1213
    Odon de Beauregard
    Agnès de Beauregard Sœur d'Odon
    Robert de Beauregard Achat en 1331 (Robert, fils d’Odon)
    Louis de la Palu Achat avant 1347
    Robert de la Palu
    Guigues de la Palu
    Hugues de la Palu Comte de Varax, Maréchal de Savoie en 1482 puis
    gouverneur du Dauphiné de 1485 à 1488
    Jean Philibert de la Palu Comte de Varax, Chevalier de l’Annonciade en 1519
    Fils d’Hugues en secondes noces
    Pierre Morel Achat avant 1540
    Louis Morel
    Girard Morel Seigneur de Virechatel, la Villette, Viremont
    Antide Hélène Morel Épouse en 1623 César du Saix
    François Marie du Saix Baron d’Arnans U8.12.1661
    Pierre Marie du Saix Baron d’Arnans U 1680
    Claude Guillaume du Saix Baron d’Arnans, U 4 aout 1741
    Emmanuel-Dominique du Saix Baron de Virechatel en 1766, Baron d’Arnans, U Aout 1781
    Françoise du Saix Épouse Vaucher de Grand Champ

    Voir aussi

    Articles connexes

    Liens externes

    Sources

    Bibliographie

    • l’Abbé Dalod d’Orgelet, Histoire de Notre Dame d’Onoz près d’Orgelet en Franche Comté (Jura), Macon, Imprimerie d’Émile Protat, 1875

    Notes et références

    Notes

    1. Selon le zonage des communes rurales et urbaines publié en novembre 2020, en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le en comité interministériel des ruralités.
    2. Les eaux continentales désignent toutes les eaux de surface, en général des eaux douces issues d'eau de pluie, qui se trouvent à l'intérieur des terres.
    3. Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2021, millésimée 2018, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2020, date de référence statistique : 1er janvier 2018.

    Références

    1. « Typologie urbain / rural », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
    2. « Commune rurale - définition », sur le site de l’Insee (consulté le ).
    3. « Comprendre la grille de densité », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
    4. « Base des aires d'attraction des villes 2020. », sur insee.fr, (consulté le ).
    5. Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier Pégaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans l’aire d’attraction d’une ville », sur insee.fr, (consulté le ).
    6. « Les communes soumises à la loi littoral. », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr, (consulté le ).
    7. « La loi littoral », sur www.collectivites-locales.gouv.fr (consulté le ).
    8. « Loi relative à l’aménagement, la protection et la mise en valeur du littoral. », sur www.cohesion-territoires.gouv.fr (consulté le ).
    9. « CORINE Land Cover (CLC) - Répartition des superficies en 15 postes d'occupation des sols (métropole). », sur le site des données et études statistiques du ministère de la Transition écologique. (consulté le )
    10. IGN, « Évolution de l'occupation des sols de la commune sur cartes et photos aériennes anciennes. », sur remonterletemps.ign.fr (consulté le ). Pour comparer l'évolution entre deux dates, cliquer sur le bas de la ligne séparative verticale et la déplacer à droite ou à gauche. Pour comparer deux autres cartes, choisir les cartes dans les fenêtres en haut à gauche de l'écran.
    11. Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes études en sciences sociales.
    12. L'organisation du recensement, sur insee.fr.
    13. Calendrier départemental des recensements, sur insee.fr.
    14. Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017 et 2018.
    15. « ZNIEFF 430007769 LAC D'ONOZ ».
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