Nouvelle Acropole

Nouvelle Acropole est un mouvement ésotérique d'inspiration théosophique fondé en 1957 en Argentine par Jorge Ángel Livraga Rizzi (1930-1991), philosophe et écrivain.

Présente dans une cinquantaine de pays, Nouvelle Acropole est juridiquement constituée sous la forme d'une association internationale à but non lucratif. Se déclarant indépendante, apolitique et non confessionnelle, elle organise des activités philosophiques, culturelles, ainsi que des actions de volontariat social, écologique et humanitaire.

Le caractère sectaire de Nouvelle Acropole, également assimilée à un mouvement fascisant aux idées politiques d'extrême droite, a suscité la polémique depuis de nombreuses années. Derrière la « façade culturelle » des activités publiques proposées par l'association, il a été pointé du doigt par plusieurs auteurs et associations anti-sectes — à partir de textes internes à l'organisation et de témoignages d'anciens membres — que l'objectif dissimulé serait de séduire pour intégrer à sa structure paramilitaire interne de nouveaux adeptes.

Organisation

Initialement fondée en 1957 en Argentine par Jorge Livraga, Nouvelle Acropole a commencé à s'implanter à l’étranger à partir de 1972[1].

Nouvelle Acropole est une organisation internationale à but non lucratif (Organisation Internationale Nouvelle Acropole, OINA[1]), inscrite au registre international des associations dont le siège est à Bruxelles (Belgique) sous le numéro 3/12-941/S[2],[3],[4]. L'organisation est dirigée à partir de 1991 (mort de son fondateur) par Delia Steinberg Guzmán, et à partir de 2020 par Carlos Adelantado Puchal[5]. Elle est présente dans une cinquantaine de pays[6].

Dans certains pays, elle collabore avec des organismes officiels internationaux, comme l'Organisation des États américains[7],[8].

En France, Nouvelle Acropole est une association loi de 1901 légalement déclarée depuis 1978[9]. Elle est dirigée par Fernand Schwarz, son fondateur[10], anthropologue et philosophe, auteur d'ouvrages et documentaires sur les philosophies et civilisations anciennes. Actuellement, l'association est une fédération qui compte 12 centres[11] (Biarritz, Bordeaux, Bordeaux Rive Droite, Lyon, Marseille, Montpellier, Paris 5, Paris 11, Paris 15, Rouen, Strasbourg, Toulouse).

La charte internationale de Nouvelle Acropole depuis sa création en 1957 est la suivante :

  1. Réunir des hommes et des femmes sans distinction de croyances, de cultures et de conditions sociales autour d'un idéal de fraternité universelle.
  2. Éveiller à une vision globale par l'étude comparée des philosophies, des sciences, des religions et des arts.
  3. Développer les aptitudes de l'individu pour qu'il puisse se relier harmonieusement à la nature et vivre selon les caractéristiques de sa propre personnalité.

Activités

Selon Nouvelle Acropole, les activités qu'elle propose concernent trois domaines : la culture, la philosophie et le volontariat.

Dans le domaine de la philosophie, elle propose un programme d’étude de « philosophie pratique » qui s'inspire des « sagesses » orientales et occidentales, avec un objectif de développement personnel[12]. Elle promeut annuellement la journée mondiale de la philosophie décrétée par l'Unesco[13]. Elle édite des publications à caractère philosophique.

Dans le domaine du volontariat, l'association propose des formations, des actions d'aide humanitaire sociales et écologiques[14] et de sauvetage dans le cadre de catastrophes naturelles[15]. Elle soutient les programmes internationaux de promotion du volontariat[16].

En France, elle organise des ateliers de philosophie, conférences, dîners-débats, diffusions de films, expositions sur des thèmes divers, des formations au volontariat, ainsi que des stages d’été à « La Cour Pétral » sur des thématiques éclectiques telles que le feng shui, la géobiologie, la taille de pierre, le chant choral ou les arts martiaux[12]. Elle publie une revue électronique mensuelle intitulée Acropolis[17], ainsi que des dossiers d'étude. L'ONG «  RAPID France » (Rescue And Preparedness In Disasters France) est une émanation de Nouvelle Acropole, ayant été fondée par certains de ses membres[18]. L'ONG organise des camps baptisés « Perseus » avec des jeunes volontaires. Ces camps ont pour but le volontariat écologique, la restauration de patrimoine[19], ou encore l'apprentissage de techniques d'intervention d'urgence et de dégagement de victimes « pour acquérir des réflexes simples pouvant sauver des vies »[20], par exemple en cas de catastrophes naturelles. L'ONG est notamment intervenue lors du séisme à Haïti en 2010[19].

Selon Jean-Pierre Bayard, Nouvelle Acropole est une « école de philosophie axée sur l’ésotérisme et le symbolisme, [qui] organise l’étude comparée des religions par des cours et des conférences sur des sujets variés : mythes, philosophies, sciences, architecture sacrée, arts traditionnels, avec souvent l’apport de conférenciers extérieurs à l’organisation. Des voyages répondent à la même préoccupation spirituelle (Égypte, Grèce, Mexique). Quinze centres en France dispensent un enseignement moral d’un haut niveau en développant la recherche intérieure, en prônant la liberté de conscience et le respect de la personne humaine[21] ». Cependant, l’ethnologue Jacques Soustelle avait pour sa part jugé que certains cours de Nouvelle Acropole étaient « totalement antiscientifiques et charlatanesques »[22].

Selon le Centre de ressources et d’observation de l’innovation religieuse de l’université Laval, Nouvelle Acropole est un groupe ésotérique d’inspiration théosophique qui « tente de renouveler un certain intérêt pour la philosophie et la culture en général, ce qui explique le large éventail des notions abordées dans les cours offerts aux membres. Les références à la philosophie grecque y sont nombreuses (Platon, stoïciens), mais abordées généralement à travers une vision ésotérique inspirée par la Société théosophique de Mme Blavatsky. Les cours dispensés aux cycles supérieurs sont davantage influencés par la théosophie (cosmogénèse, symbolisme, astrologie)[6] ».

Influences et doctrine

Influences éclectiques d'Orient et d'Occident

L'universitaire Antoine Faivre, historien de l'ésotérisme, décrit dans une étude[23] les auteurs et courants de pensée qui influencent Nouvelle Acropole :

« Jorge A. Livraga Rizzi voulait créer une « approche éclectique et rationnelle », selon ses propres termes, de différents courants pour mettre en lumière des ressemblances et des points communs entre la pensée d'Orient et celle d'Occident. Il s’agissait pour lui de définir les éléments d'une philosophie de type universel, en renouant avec toutes les racines spirituelles, y compris celles qu'a rejetées l'Occident ; par exemple, celles de l'Égypte ou de l'Asie. Fernand Schwarz a d'ailleurs, pour sa part, écrit plusieurs ouvrages sur la tradition égyptienne. Outre l'étude de sources antiques, Nouvelle Acropole tente également de favoriser celles d'auteurs contemporains comme C.G. Jung, Mircea Eliade, Joseph Campbell, Gilbert Durand, Henry Corbin, Paul Ricœur, Dane Rudhyar, Jean Chevalier ou Edgar Morin. Plusieurs parmi ceux-ci, ainsi que d'autres philosophes, scientifiques et sociologues, se sont exprimés librement dans les colonnes de la revue de l'association.

Dans le corpus de référence dont se réclament les publications françaises de Nouvelle Acropole, on retrouve la philosophie de Pythagore, de Platon, du néoplatonisme, ainsi que de l'hermétisme alexandrin et de la Renaissance. À cela s'ajoutent les deux grands courants théosophiques, celui de Jakob Böhme et celui d'Héléna Petrovna Blavatsky, ainsi que des éléments de philosophie orientale (hindouisme notamment, à travers les trois écoles purushiaques, le bouddhisme mahayana et tibétain). »

Selon l'historien Nicholas Goodrick-Clarke, « la structure, l’organisation et le symbolisme de la Nouvelle Acropole sont clairement influencés par des modèles fascistes »[24]. Jean-Marie Abgrall, spécialiste des mouvements sectaires, considère que Nouvelle Acropole a emprunté des symboles et des idées élitistes et aryanistes[25]. Antoine Faivre avait lui relevé une « approche philosophique du politique [qui] s'inspire d'une vision platonicienne selon laquelle c'est l'individu qui est moteur de la société, par sa propre amélioration et moralisation, et pas simplement le système qui, par ses lois, susciterait automatiquement des individus meilleurs. Aussi, pour eux, la clé de voûte du politique est-elle l'éducation, dont le rôle est de faire jaillir les qualités intrinsèques de l'individu et les relations de solidarité et de fraternité avec autrui »[23].

Fondements théoriques et croyances

Les enseignements de Nouvelle Acropole reposent sur un certain nombre de croyances ésotériques et spirituelles héritées de la Société théosophique[6],[26], et de principes issus du pythagorisme et du néoplatonisme[27]. Au-delà de son versant philosophique, la doctrine acropolitaine véhicule ainsi des théories telles que la transmigration des âmes, les contacts médiumniques avec des Maîtres de sagesse, la conception selon laquelle des races-racines[28] se sont succédé dans l'histoire de l'humanité : hyperboréens, lémuriens, atlantes, aryens[18]. Elle est assimilée à la mouvance New Age de par l'incorporation dans sa doctrine de différents thèmes qui en sont issus, notamment l'utilisation astrologique de l’ère du Verseau, qui prédit une prise de conscience spirituelle au niveau mondial[29],[30]. Nouvelle Acropole est parfois classée parmi les nouveaux mouvements religieux[27],[31], mais comme le précise Antoine Faivre, elle ne se reconnaît pas dans ce qualificatif et ne prétend pas « détenir une révélation particulière, ni vouloir fonder ou promouvoir une quelconque religion »[23]. Ce dernier ajoute qu'il a « pu constater que l'origine des membres est multiculturelle. Y sont représentés des gens de différentes croyances »[23]. Il note que Jorge Ángel Livraga Rizzi voulait créer avec Nouvelle Acropole une « école de philosophie », qui ne se limite pas à la transmission de contenus ésotériques, mais prône une étude comparée des grandes spiritualités et traditions[23].

Selon ses propres termes, Nouvelle Acropole a pour but de créer une « famille spirituelle » pour « aider efficacement l'humanité ». Les « écoles acropolitaines [sont] comme une matrice qui permet à ceux qui ne sont pas prêts de se préparer, de se former ». Le « disciple » ou « adepte » est placé dans une position d'obéissance vis-à-vis du « maître » qui doit l'amener à abandonner son « ancienne personnalité » et vivre une « naissance intérieure »[32].

Le sociologue Gérald Bronner mentionne Nouvelle Acropole parmi les groupes qui utilisent en première approche des sujets de conférence pouvant être éloignés de la spiritualité et de leur doctrine, et qui « installent très progressivement, par étape, les disciples dans un système de croyances [et] peuvent même aller jusqu'à cacher (provisoirement) la vérité de cette doctrine »[33].

Controverse

Les utilisations alléguées de symboles, terminologie et organisation paramilitaires, ainsi que des accusations de manipulation mentale, ont provoqué de nombreuses critiques en Europe à l'encontre de Nouvelle Acropole, notamment en France, depuis le milieu des années 1970[34]. A cela s'ajoutent des écrits et déclarations controversés attribués au fondateur, en partie contestés[31].

En France, certains mouvements associatifs anti-sectes critiquent encore Nouvelle Acropole, comme le GEMPPI[26] ou l'Unadfi qui déclare qu'elle « cache un but politique »[35] et l'assimile à un mouvement « néofasciste » pointé par le rapport Vivien[36] en 1983 et souligne que « sous des apparences libérales démocratiques se profile un mouvement aux sympathies totalitaires[37] ». L'association se présente comme apolitique, laïque et comme un mouvement humaniste[38] ayant publiquement dénoncé les totalitarismes et les diverses formes de racisme[39]. Elle déclare en 2011 qu'aucune plainte n'a été déposée en France depuis sa création en 1974[40]. Cependant, d'anciens membres de sa structure ont été impliqués dans un procès à la suite du vol et de la destruction d'un gisant en 1998[41],[42],[43].

En 1995, Nouvelle Acropole est citée dans le rapport d'une commission d'enquête parlementaire sur le phénomène sectaire en France, parmi 172 mouvements[44]. Cette liste est officiellement déclarée « obsolète » par une circulaire du gouvernement en mai 2005, au motif que certains critères étaient « des plus malheureux » selon les termes du député Alain Vivien[45]. Le président de la Miviludes déclare en 2005 que cette liste est « complètement caduque »[46]. Toutefois, la Nouvelle Acropole reste considérée comme un mouvement sectaire[47], certains auteurs décrivant l'association comme « une organisation militariste, sectaire, voire d'extrême droite »[48], ayant des « chefs de secteur », un « corps de sécurité », une « brigade de travail » et une « brigade féminine », et que cela « ressemble bien aux structures des SA allemands »[49]. L'association avancerait masquée et serait « l'une des sectes les plus promptes à solliciter des prêts de salles municipales » ; pour mener à bien sa « propagande » elle recommande dans une publication interne d'« annoncer les cours sans trop insister sur Nouvelle Acropole ni sur ses symboles, en la présentant simplement comme un institut culturel privé. Ce type de propagande doit être suffisamment hybride pour ne pas provoquer rejet ou suspicion prématurée »[41],[50].

En 1996, l'universitaire Antoine Faivre, reconnu au niveau européen pour ses recherches sur les mouvements ésotériques contemporains, affirme dans une étude qui lui est consacrée que Nouvelle Acropole ne présente pas les caractéristiques d'un mouvement sectaire et qu'elle a comme principe fondateur de « dénoncer les méfaits d'une pensée unique, massifiante, d'une logique d'exclusion rendue responsable de conflits, de fractures sociales, de fragmentations »[23].

En Belgique, Nouvelle Acropole est citée en 1997 dans le rapport d'une commission d'enquête parlementaire sur les groupes et mouvements sectaires[51],[52]. L'association est soupçonnée, en 2007, dans un article d'une revue anti-fasciste belge, d'affinités avec l'extrême-droite[53], ce qu'elle conteste formellement dans un droit de réponse[54]. Sous le nom de « Philo contre racisme » le centre de Bruxelles s'engage pour une « fraternité entre tous les hommes » et « une cohabitation des cultures »[55].

En 1999, le rapport parlementaire « Les sectes et l’argent » évalue les recettes annuelles de l'association Nouvelle Acropole France entre 4 et 4,6 millions de francs selon l'exercice[41],[56].

En 2011, la délégation Aquitaine du Centre Roger-Ikor « pointait du doigt » le centre de Bordeaux, en rappelant que « la Nouvelle Acropole est classée comme secte par le rapport parlementaire de 1995 » et en affirmant que les cours de philosophie dispensés sont une « façade culturelle » permettant d'éprouver l'aptitude des adhérents pour intégrer la structure hiérarchique interne[40]. Cette utilisation d'une façade culturelle séduisante est relevée par plusieurs auteurs[57],[58]. Les dirigeants de centres Nouvelle Acropole en France ont d'ailleurs créé des espaces culturels distincts qui partagent les mêmes locaux[18],[41],[59]. Pour l'ADFI Midi-Pyrénées, le mouvement possède une organisation paramilitaire composée de « forces vives »[60] qui s'appellent entre eux « Acropolitains » et utilisent le salut romain[41]. D'après Éric Lowen, directeur des cours à l'université populaire de philosophie de Toulouse, l'objectif de Nouvelle Acropole est « une prise de pouvoir politique et économique au profit d’un projet de type théosophique »[61].

En 2013, Alain Bouchard, sociologue des religions au Cégep de Sainte-Foy, « estime qu'il est erroné de présenter le mouvement ésotérique Nouvelle Acropole comme une dangereuse secte aux tendances néofascistes[62] ».

En 2018, contactée par France 3 Occitanie, la Miviludes décrit Nouvelle Acropole comme une organisation pyramidale et militairement hiérarchisée ; elle continue d’exercer sa vigilance sur l’association du fait de suspicions de dérives autoritaires et au regard de son prosélytisme vis-à-vis des milieux scolaires et estudiantins. L'association répond qu’« elle a fait l’objet de rumeurs et de mise à l’index par un rapport parlementaire en 1995, qui n’ont jamais été confirmées par aucun fait et continuent seulement d’exister, plus de vingt ans après, par le jeu des copier-coller et la permanence d’internet. En effet, Nouvelle Acropole a toujours eu pignon sur rue et n’a fait l’objet d’aucune plainte[12] ».

Dans son rapport d'activités de 2018-2020, la Miviludes déclare que malgré un message de tolérance et d'ouverture mis en avant par Nouvelle Acropole, elle a reçu, en 2020, 9 interrogations et des témoignages « inquiétants »[63].

Notes et références

  1. « International Organization New Acropolis | UIA Yearbook Profile | Union of International Associations », sur uia.org (consulté le )
  2. Moniteur no 48, 9 mars 1990, page 4489
  3. Nouvelle Acropole en Moniteur, pour la période de 2003
  4. Nouvelle Acropole en Moniteur, pour la période de 1981 au
  5. (en-US) Kurush Dordi, « Appointment of the New International President - New Acropolis Cultural Organization », (consulté le )
  6. « Nouvelle Acropole », sur croir.ulaval.ca (consulté le )
  7. OEA Lista de más de 360 asociaciones civiles de diversos países, que presentaron una solicitud a un programa de participación civil de la OEA (Organización de Estados Americanos), en 2006.
  8. OEA «Committee on Civil Society Participation in OAS Activities» (comité de participación de la sociedad civil en las actividades de la OEA). Dice: «El Comité decidió recomendarle al Consejo Permanente que acceda en la participación de las siguientes 35 organizaciones sociales civiles en las actividades de la OEA» (The Committee decided to recommend that the Permanent Council agree to the participation of the following 35 civil society organizations in OAS activities.
  9. http://www.verif.com/societe/FEDERATION-FRANCAISE-NOUVELLE-ACROPOLE-314186479/
  10. Site personnel de Fernand Schwarz
  11. « Centres - Nouvelle Acropole France », sur www.nouvelle-acropole.fr (consulté le )
  12. « Toulouse : de l'éveil musical pour enfants dans les locaux d'une association surveillée par les organismes anti-sectes », sur France 3 Occitanie (consulté le )
  13. Journée de la Philosophie
  14. Inside, Costa Rica
  15. OWIT, Perú
  16. Engagement for Global Compact, 2014
  17. Revue Acropolis
  18. Gaëlle Cloarec, Jan-Cyril Salemi et Agnès Freschel, « Enquête sur la Nouvelle Acropole à Marseille », Zibeline, (lire en ligne)
  19. Tendance Ouest, « Orne : 100 jeunes sur le camp Perseus de l'ONG "Rapid France" à Rémalard-en-Perche », sur tendanceouest.com (consulté le )
  20. Ouest-France, « Le Camp Perseus revient du 16 au 23 juillet 2017 », sur https://www.ouest-france.fr, (consulté le )
  21. Jean-Pierre Bayard, Guide des sociétés secrètes et des sectes, Oxus, 2004.
  22. « Sécurité: Le nouvel ordre acropolitain », Le Monde, (lire en ligne, consulté le )
  23. Antoine Faivre, Pour en finir avec les sectes, Cesnur-Di Giovanni, 1996. Extraits de l’article « Les exemples de Nouvelle Acropole et de la Rose-Croix d'Or »
  24. Nicholas Goodrick-Clarke, Soleil noir : Cultes aryens, nazisme ésotérique et politiques de l'identité, Camion blanc, (ISBN 978-2-35779-353-8, lire en ligne), p. 152-153
  25. (en) Jean-Marie Abgrall, Soul Snatchers : The Mechanics of Cults, Algora Publishing, , 310 p. (ISBN 978-1-892941-38-1, lire en ligne), p.24
  26. GEMPPI, « La Nouvelle acropole est-elle une secte ? - », GEMPPI, (lire en ligne)
  27. (es) Floreal H. Forni, Luis A. Cárdenas et Fortunato Mallimaci, Guía de la diversidad religiosa de Buenos Aires, Editorial Biblos, , 430 p. (ISBN 978-950-786-389-9, lire en ligne)
  28. Conception ésotérique développée par Helena Blavatsky dans son ouvrage La Doctrine secrète.
  29. Ralph Schor, Histoire de la société française au XXe siècle, Belin, , 479 p. (ISBN 978-2-7011-3213-6, lire en ligne), p. 443
  30. « Un inventaire distingue douze familles où dominent les groupes du Nouvel Age puis les mouvements guérisseurs et psychanalytiques », Le monde, (lire en ligne, consulté le )
  31. (en) Peter Clarke, Encyclopedia of New Religious Movements, Routledge, , 720 p. (ISBN 978-1-134-49969-4, lire en ligne)
  32. Hayat El Mountacir, Les enfants des sectes, Fayard, , 390 p. (ISBN 978-2-7062-1708-1, lire en ligne), p. 79-81
  33. Gérald Bronner, L'empire de l'erreur : Éléments de sociologie cognitive, Presses Universitaires de France, , 272 p. (ISBN 978-2-13-073944-9, lire en ligne), p. 207-208
  34. (en) J. Gordon Melton et Martin Baumann, Religions of the World: A Comprehensive Encyclopedia of Beliefs and Practices, 2nd Edition [6 volumes], ABC-CLIO, , 3200 p. (ISBN 978-1-59884-204-3, lire en ligne)
  35. Nouvelle Acropole sur le site de l'UNADFI
  36. Mathieu Cossu, « rapport Alain Vivien 1983 première partie sectes en France », sur www.prevensectes.me (consulté le )
  37. « Nouvelle Acropole. De la vitrine de la rue Daguerre aux arcanes du " niveau 2 "... », sur www.prevensectes.me (consulté le )
  38. "Un nouvel humanisme", éditorial de la revue Acropolis no 213.
  39. Fernand Schwarz, « Le Totalitarisme ou l’homme dénaturé », sur fernand.schwarz.free.fr (consulté le ).
  40. Une association culturelle décriée, article du quotidien 20minutes daté du 25 février 2011.
  41. Philippe Emery, « Une secte qui s'avance masquée : Toulouse : Nouvelle Acropole », La Dépêche, (lire en ligne)
  42. « Les sectes et l'argent », sur www.assemblee-nationale.fr (consulté le )
  43. Alain LEAUTHIER, « Quatre chevaliers et un gisant. Quatre ex-membres de la secte la Nouvelle Acropole sont jugés pour le vol d'une statue. », sur Libération (consulté le )
  44. Rapport de la Commission d'enquête sur les sectes, 20/12/1995. sur le site de l'Assemblée nationale française
  45. « La fin des listes noires », article du journal Le Point
  46. Miviludes: le nouveau président veut aider les victimes à dénoncer les sectes, AFP, 29 septembre 2005.
  47. Antoine Comte, « Enquête sur les sectes les plus actives à Lyon », La Tribune de Lyon, (lire en ligne)
  48. Cyril Le Tallec, Les Sectes politiques : 1965-1995, Éditions L'Harmattan, coll. « Questions contemporaines », , 154 p. (ISBN 978-2-296-14468-2, lire en ligne), « De la Nouvelle Acropole à Solazaref », p. 13-34
  49. Dictionnaire de la mouvance droitiste et nationale de 1945 à nos jours, Jacques Leclercq, éditions de l'Harmattan, 2008, (ISBN 978-2-296-06476-8)
  50. Gilbert Klein, Les sectes et l'ordre public, Presses universitaires de Franche-Comté, , 350 p. (ISBN 978-2-84867-109-3, lire en ligne), p. 41
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  52. « La Chambre des représentants de Belgique », sur www.lachambre.be (consulté le )
  53. « Nouvelle Acropole, les liaisons dangereuses », sur www.resistances.be (consulté le )
  54. Droit de réponse de Nouvelle Acropole in La Libre Belgique, 21/04/2007, article en ligne
  55. Discours contre le racisme en Belgique
  56. « Les sectes et l'argent », sur www.assemblee-nationale.fr (consulté le )
  57. Alain Vivien, Les Sectes, Éditions Odile Jacob, (ISBN 978-2-7381-6670-8, lire en ligne)
  58. Bernard Fillaire et Janine Tavernier, Les sectes, Le Cavalier Bleu, , 123 p. (ISBN 978-2-84670-054-2, lire en ligne)
  59. « Le centre culturel Anabab est-il sous influence ? », sur SudOuest.fr (consulté le )
  60. « Que cache la Nouvelle Acropole ? », Diselo Toulouse, avril 2013
  61. « Relation entre sectes et zététique, et spécificité de la lutte contre les dérives sectaires », sur http://zetetique-languedoc.fr (consulté le )
  62. « Nouvelle Acropole: pas une secte, selon un expert », sur Le Soleil, (consulté le )
  63. Mission interministérielle de vigilance et de lutte contre les dérives sectaires, « Rapport d'activité & études 2018-2020 », , p. 78-79

Liens externes

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