Neussargues en Pinatelle

Neussargues en Pinatelle est, depuis le , une commune nouvelle française située dans le département du Cantal en région Auvergne-Rhône-Alpes.

Neussargues en Pinatelle
De haut en bas, de gauche à droite : la maison Pinatelle (mairie) ; le château de Chavagnac ; le château de Moissac ; le croix de Mons à Chalinargues ; l'église Saint-Hilaire de Moissac ; l'église de Chalinargues ; l'église de Sainte-Anastasie ; la commanderie templière de Celles ; l'église de Mouret à Chalinargues ; vue de Neussargues.
Administration
Pays France
Région Auvergne-Rhône-Alpes
Département Cantal
Arrondissement Saint-Flour
Intercommunalité Hautes Terres Communauté
Maire
Mandat
Michel Porteneuve
2020-2026
Code postal 15170 et 15300
Code commune 15141
Démographie
Population
municipale
1 811 hab. (2018)
Densité 20 hab./km2
Géographie
Coordonnées 45° 07′ 45″ nord, 2° 58′ 37″ est
Altitude Min. 738 m
Max. 1 284 m
Superficie 91,98 km2
Unité urbaine Commune rurale
Aire d'attraction Commune hors attraction des villes
Élections
Départementales Canton de Murat
Législatives Deuxième circonscription
Localisation
Géolocalisation sur la carte : Auvergne-Rhône-Alpes
Neussargues en Pinatelle
Géolocalisation sur la carte : Cantal
Neussargues en Pinatelle
Géolocalisation sur la carte : France
Neussargues en Pinatelle
Géolocalisation sur la carte : France
Neussargues en Pinatelle
Liens
Site web neussarguesenpinatelle.fr/

    Géographie

    Localisation

    Elle est située à l'est des monts du Cantal, à la confluence des rivières Alagnon et Allanche. Elle est aussi à la rencontre des planèzes de Saint-Flour et de Chalinargues, du Cézallier et de la Margeride.

    Hydrographie

    Elle est parcourue par la rivière Alagnon, issue des monts du Cantal, et par la rivière Allanche.

    Voies de communication et transports

    Elle est parcourue par la route nationale 122 qui traverse le département d'est en ouest et par la départementale 679 qui joint Bort-les-Orgues à Saint-Flour par Condat et Allanche.

    La gare ferroviaire de Neussargues est desservie par la ligne de Figeac à Arvant et par la ligne de Béziers à Neussargues.

    Urbanisme

    Typologie

    Neussargues en Pinatelle est une commune rurale[Note 1],[1]. Elle fait en effet partie des communes peu ou très peu denses, au sens de la grille communale de densité de l'Insee[2],[3]. La commune est en outre hors attraction des villes[4],[5].

    Toponymie

    Elle tire son nom de l'ancien hameau de Neussargues, devenu en 1872 chef-lieu de Neussargues-Moissac et de la forêt de la Pinatelle qui est un massif forestier important sur les communes de Chalinargues et Chavagnac et dont l'essence dominante est le pin sylvestre.

    Histoire

    Elle est issue de la fusion des communes de Celles, Chalinargues, Chavagnac, Neussargues-Moissac et Sainte-Anastasie, qui deviennent des communes déléguées, le [6],[7]. Son chef-lieu se situe à Neussargues-Moissac.

    Politique et administration

    Liste des maires

    Période Identité Étiquette Qualité
    décembre 2016 mai 2020 Ghyslaine Pradel[8] DVD Conseillère départementale (canton de Murat, 2015 → 2021)
    Présidente de Hautes Terres Communauté (2017 → 2020)
    mai 2020 En cours Michel Porteneuve[9] SE 2e vice-président de Hautes Terres Communauté chargé des travaux (2020 → )

    Communes déléguées

    Liste des communes déléguées
    Nom Code
    Insee
    Intercommunalité Superficie
    (km2)
    Population
    (dernière pop. légale)
    Densité
    (hab./km2)
    Neussargues-Moissac
    (siège)
    15141CC du Pays de Murat13,621 004 (2014)74
    Celles15031CC du Pays de Murat18,35220 (2014)12
    Chalinargues15035CC du Pays de Murat27,55421 (2014)15
    Chavagnac15047CC du Pays de Murat16,58109 (2014)6,6
    Sainte-Anastasie15171CC du Cézallier15,88143 (2014)9

    Intercommunalité

    La commune nouvelle est substituée aux communes de Celles, Chalinargues, Chavagnac, Neussargues-Moissac et Sainte-Anastasie au sein de Hautes Terres Communauté à partir du .

    Population et société

    Démographie

    L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis sa création.

    En 2018, la commune comptait 1 811 habitants[Note 2].

    Évolution de la population  [modifier]
    2015 2016 2017 2018
    1 8711 8441 8181 811
    (Sources : Insee à partir de 2015[10].)

    Économie

    Culture locale et patrimoine

    Lieux et monuments

    Voir aussi

    Articles connexes

    Liens externes

    Notes et références

    Notes

    1. Selon le zonage publié en novembre 2020, en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le en comité interministériel des ruralités.
    2. Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2021, millésimée 2018, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2020, date de référence statistique : 1er janvier 2018.

    Références

    1. « Zonage rural », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
    2. « Commune urbaine-définition », sur le site de l’Insee (consulté le ).
    3. « Comprendre la grille de densité », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
    4. « Base des aires d'attraction des villes 2020. », sur insee.fr, (consulté le ).
    5. Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier Pégaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans l’aire d’attraction d’une ville », sur insee.fr, (consulté le ).
    6. « Arrêté n°2016-1039 du 21 septembre 2016 portant création d'une commune nouvelle », sur Préfecture du Cantal, p 48-49, (consulté le ).
    7. « Arrêté n°2016-1216 du 21 octobre 2016 modifiant l'arrêté n°2016-1039 du 21 septembre 2016 portant création d'une commune nouvelle. », sur Préfecture du Cantal, p46-47, (consulté le )
    8. Joëlle Astier, « Ghyslaine Pradel a été élue maire », sur La Montagne, (consulté le ).
    9. « Michel Porteneuve élu maire », sur La Montagne, (consulté le )
    10. Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2015, 2016, 2017 et 2018.
    11. « Bordet Maître Feux valorise son process industriel », La Tribune, (lire en ligne)
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