Navès (Tarn)

Navès est une commune française située dans le département du Tarn, en région Occitanie.

Pour les articles homonymes, voir Naves.

Navès

Château de Montespieu à Navès.

Blason
Administration
Pays France
Région Occitanie
Département Tarn
Arrondissement Castres
Intercommunalité Communauté d'agglomération de Castres - Mazamet
Maire
Mandat
Pierre Calmels
2020-2026
Code postal 81710
Code commune 81195
Démographie
Population
municipale
690 hab. (2018 )
Densité 71 hab./km2
Géographie
Coordonnées 43° 34′ 01″ nord, 2° 13′ 28″ est
Altitude Min. 158 m
Max. 286 m
Superficie 9,75 km2
Type Commune rurale
Aire d'attraction Castres
(commune de la couronne)
Élections
Départementales Canton de Castres-3
Législatives Troisième circonscription
Localisation
Géolocalisation sur la carte : région Occitanie
Navès
Géolocalisation sur la carte : Tarn
Navès
Géolocalisation sur la carte : France
Navès
Géolocalisation sur la carte : France
Navès

    Géographie

    Localisation

    Navès est une petite commune rurale du sud-ouest de la France située à km à l'ouest de Castres[1]. Le village fait face à la montagne Noire. Navès fait partie de l'aire urbaine de Castres.

    Carte de la commune de Navès et des communes à proximité.

    Communes limitrophes

    Navès est limitrophe de cinq autres communes.

    Voies de communication et transports

    La ligne 761 du réseau régional liO assure la desserte de la commune, en la reliant à Castres et à Revel[3]. Un service de transport à la demande du réseau urbain Libellus assure également la desserte, en reliant Navès au centre-ville de Castres.

    Climat

    Paramètres climatiques communaux sur la période 1971-2000

    • Moyenne annuelle de température : 13,1 °C
    • Nombre de jours avec une température inférieure à −5 °C : 1,9 j
    • Nombre de jours avec une température supérieure à 30 °C : 11,5 j
    • Amplitude thermique annuelle[Note 1] : 16 °C
    • Cumuls annuels de précipitation : 774 mm
    • Nombre de jours de précipitation en janvier : 10,3 j
    • Nombre de jours de précipitation en juillet : 5,4 j

    Le climat qui caractérise la commune est qualifié, en 2010, de « climat du Bassin du Sud-Ouest », selon la typologie des climats de la France qui compte alors huit grands types de climats en métropole[4]. En 2020, la commune ressort du type « climat océanique altéré » dans la classification établie par Météo-France, qui ne compte désormais, en première approche, que cinq grands types de climats en métropole. Pour ce type de climat, il s’agit d’une zone de transition entre le climat océanique et les climats de montagne et le climat semi-continental. Les écarts de température entre hiver et été augmentent avec l'éloignement de la mer. La pluviométrie est plus faible qu'en bord de mer, sauf aux abords des reliefs[5].

    Les paramètres climatiques qui ont permis d’établir la typologie de 2010 comportent six variables pour les températures et huit pour les précipitations, dont les valeurs correspondent aux données mensuelles sur la normale 1971-2000[6]. Les sept principales variables caractérisant la commune sont présentées dans l'encadré ci-contre[4].

    Avec le changement climatique, ces variables ont évolué. Une étude réalisée en 2014 par la Direction générale de l'Énergie et du Climat[7] complétée par des études régionales[8] prévoit en effet que la température moyenne devrait croître et la pluviométrie moyenne baisser, avec toutefois de fortes variations régionales. Ces changements peuvent être constatés sur la station météorologique de Météo-France la plus proche, « Castres », sur la commune de Castres, mise en service en 1992[9]et qui se trouve à km à vol d'oiseau[10],[Note 2], où la température moyenne annuelle est de 14,4 °C et la hauteur de précipitations de 849,1 mm pour la période 1981-2010[11]. Sur la station météorologique historique la plus proche, « Albi », sur la commune du Sequestre, mise en service en 1976 et à 40 km[12], la température moyenne annuelle évolue de 13,4 °C pour 1981-2010[13] à 13,8 °C pour 1991-2020[14].

    Urbanisme

    Typologie

    Navès est une commune rurale, car elle fait partie des communes peu ou très peu denses, au sens de la grille communale de densité de l'Insee[Note 3],[15],[16],[17].

    Par ailleurs la commune fait partie de l'aire d'attraction de Castres, dont elle est une commune de la couronne[Note 4]. Cette aire, qui regroupe 55 communes, est catégorisée dans les aires de 50 000 à moins de 200 000 habitants[18],[19].

    Occupation des sols

    Carte des infrastructures et de l'occupation des sols de la commune en 2018 (CLC).

    L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des territoires agricoles (94,9 % en 2018), néanmoins en diminution par rapport à 1990 (98,6 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : zones agricoles hétérogènes (47 %), terres arables (40 %), prairies (7,9 %), zones urbanisées (3,8 %), forêts (1,3 %)[20].

    L'IGN met par ailleurs à disposition un outil en ligne permettant de comparer l’évolution dans le temps de l’occupation des sols de la commune (ou de territoires à des échelles différentes). Plusieurs époques sont accessibles sous forme de cartes ou photos aériennes : la carte de Cassini (XVIIIe siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[Carte 1].

    Histoire

    En l'état actuel des connaissances, et ce depuis l'étude de Barrière Flavy, l'ensemble des terroirs de Navès, Montespieu et Sallepieussou n'entre véritablement dans l'histoire que vers le milieu du XIIIe siècle.

    Les écrits présentent donc la situation à la fin de la Croisade contre les Albigeois, et d'ailleurs les cadres juridiques demeureront pratiquement tels quels jusqu'à la Révolution : Sallepieussou appartient en propre à l'abbaye bénédictine de Castres, Navès est vendu à la famille des Tourène, bourgeois de Castres et Montespieu est sous la coupe d'une famille de chevalier, les Caudière en l'occurrence.

    À Navès, les premiers textes mentionnent déjà l'église (donc une population environnante plus ou moins proche) et peut-être le pont…

    Navès est-il une tentative de bastide qui échoue ? avec un paréage royal et surtout avec comme pièce maîtresse ce seul pont (donc un péage éventuel) facilitant les échanges entre Castres et le piémont de la Montagne Noire, voire le Toulousain.

    Mais la vente de la presque totalité de la terre à un grand seigneur (Jourdain de Saissac) puis à une famille de bourgeois de Castres, les Thourène, va faire avorter cette idée et sceller le sort de ce terroir comme terre de rapport. Les nouveaux acquéreurs, les frères Thourène, vont marquer cette terre en se la partageant, puis en construisant une maison qui portera leur nom.

    Barginac précède la fondation officielle de Navès ; il est mentionné comme fort, surveillant de sa motte le passage du Thoré. Le lieu est équidistant du passage des Fargues et de celui du pont de Navès, la vue est totale et en donnant le nom à une des gâches ou quartiers de Castres, la relation avec la ville est renforcée. Barginac sera le seul espace disponible pour de petits possédants et c'est avec Galiou les seuls points de concentrations humaines. D'ailleurs le peu de population sera pour Navès une plainte constante.

    Sallepieussou

    Sallepieussou appartient en propre à l'abbaye et à l'inverse des deux autres terroirs l'habitat et la population sont pour l'essentiel répartis en deux lieux : au lieu-dit Latour, à proximité de la petite fortification et en contrebas de celle-ci : le hameau, regroupement de petites fermes (« las bories ») qui offrait ainsi une main-d'œuvre à la disposition du château de Montespieu, dès le milieu du XVIe (à moins que ce soit la construction du château qui ait induit l'implantation de cet habitat)

    Le choix du site ne semble pas fortuit : toujours une crête avec même une vue panoramique versant Bernazobre et versant Thoré (depuis le sommet originel de la tour) et de plus à la croisée d'une route de Castres passant par le gué de Tourène et de la route de crête Labruguière-Viviers (longeant la plaine du Bernazobre et sur laquelle furent découverts il y a peu des vestiges d'un habitat gaulois au lieu de Rauly, commune de Viviers). Caraven Cachin mentionne la découverte à Latour d'une hache celtique dans sa carte archéologique ; le lieu est peut-être habité depuis « des temps immémoriaux » pour reprendre la formule classique.

    Montespieu

    L'existence sur le terroir de Montespieu d'un « fossé de la salvegarde » est un détail intéressant : il matérialise un distinguo juridique quant au partage de la justice qui subsiste jusqu'à la Révolution, il rappelle peut-être la mise en place par l'abbaye en des temps plus anciens d'une sauveté (c'est-à-dire un refuge pour les populations sur une terre d'église). Sur le terroir de Montespieu, l'habitat est peut-être dispersé ; c'est du moins ainsi qu'il apparaît dans les divers recensements - certes postérieurs à la période qui nous intéresse et dont le plus ancien est le compoix de 1585.

    Si un groupement d'habitat a disparu, seule l'archéologie pourra le préciser. L'idée de translation est par contre très vivace au sujet du château de Montespieu et ce pour plusieurs raisons :

    • un texte du XVIe, pour le moment introuvable, mentionnerait les restes de l'ancien château ;
    • la situation de l'actuel château ne correspond pas trop à l'idée d'un mont et de surcroît à un mont qui épie (cf toponymie) ;
    • de plus, celui qui existe constitue certes une enclave de Montespieu mais il se situe tout de même dans le terroir de Sallepieussou ; alors comment expliquer qu'il donne son nom à une terre où il n'est pas ?
    • de plus le terme « milite » pour les Caudière peut raisonnablement impliquer un fort.

    La famille Caudière dont une tour à Castres illustre le nom est-elle en rapport avec les croisés vainqueurs ? Le nom respire pourtant les sonorités méridionales et l'on trouve des homonymes dans le Lautrécois. Castres s'est vite déclarée ville ouverte, les Caudière avec prudence… ont peut-être évité toute saisie et ainsi transmis leurs biens.

    Plusieurs tertres encore existants peuvent prétendre au titre de motte castrale et encore une fois l'archéologie pourra peut-être préciser les choses.

    En conclusion

    Du milieu du XIIIe jusqu'au milieu du XVIe, l'habitat sur les différents terroirs ne semble pas avoir beaucoup changé : quelques forts et fermes dispersés et peut-être deux lieux d'habitats groupés : Sallepieussou et Barginac. Le XVIe siècle avec l'installation de la Chambre de l'édit à Castres va impulser un nouveau mouvement d'achats, de partages et surtout la construction de nouvelles demeures pour les juristes protestants souvent originaires de contrées éloignées (les juristes catholiques étaient eux pour la plupart détachés du Parlement de Toulouse). L'habitat se densifie ou se transforme un peu plus avec Mascarenc, Puechbertou, Tourène-Bas, Gaillard, Malzac et sans doute la construction du nouveau château de Montespieu.

    Il faudra attendre le XIXe siècle pour voir d'importantes modifications : avec l'implantation au centre de la nouvelle commune de Navès (la réunification a eu lieu en 1825) de l'église, l'école mairie et quelques habitations jouxtant mais toujours clairsemées et quelques nouveaux lieux : la Grèze, Vaudricourt, le Jardinier au début du XXe.

    Le dernier tiers du XXe voit une vague de constructions d'une ampleur sans précédent permise et expliquée par la conjugaison de plusieurs facteurs : la rationalisation et l'adaptation du parcellaire aux nouvelles techniques agricoles (et par la même la mutation dans la destination de certaines terres), le morcellement de certains grands domaines, et enfin la réalisation d'un réseau d'adduction d'eau potable qui permet une liberté d'implantation par rapport au point d'eau. La population stabilisée depuis des siècles aux environs de 400 habitants a aujourd'hui pratiquement doublé[21].

    Politique et administration

    Liste des maires successifs
    Période Identité Étiquette Qualité
    mai 2008   Marc Cousinié[22]    
    Les données manquantes sont à compléter.

    Démographie

    L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. À partir de 2006, les populations légales des communes sont publiées annuellement par l'Insee. Le recensement repose désormais sur une collecte d'information annuelle, concernant successivement tous les territoires communaux au cours d'une période de cinq ans. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[23]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2007[24].

    En 2018, la commune comptait 690 habitants[Note 5], en augmentation de 1,32 % par rapport à 2013 (Tarn : +1,75 %, France hors Mayotte : +1,78 %).

    Évolution de la population  [modifier]
    1793 1800 1806 1831 1836 1841 1846 1851 1856
    154142142393413454476477444
    1861 1866 1872 1876 1881 1886 1891 1896 1901
    415428412438431447428405403
    1906 1911 1921 1926 2006 2007 2012 2017 2018
    420421371360711714691687690
    De 1962 à 1999 : population sans doubles comptes ; pour les dates suivantes : population municipale.
    (Sources : Ldh/EHESS/Cassini jusqu'en 1999[25] puis Insee à partir de 2006[26].)
    Histogramme de l'évolution démographique

    Lieux et monuments

    Personnalité liée à la commune

    Vie locale, tourisme

    • La commune s'organise autour d'une église, d'une école, d'une salle des fêtes, d'une maison des associations et d'une épicerie-presse-tabac.
    • On y trouve toute sorte d'activités : gymnastique, danses occitanes, atelier d'arts plastiques, club des Ainés Ruraux… De plus, un moto-cross est ouvert tous les 1ers et 3es dimanches du mois.
    • La fête locale a lieu fin août et se termine par une fabounade.
    • Un dimanche par mois, le club des randonneurs organise une randonnée ; il existe de nombreux chemins de randonnée pour les amateurs et de nombreux petits bourgs autour du village qui sont assez typiques.
    • Pour les amoureux des cueillettes automnales, les prés alentour regorgent de rosés des prés ou de pisse-cannettes.

    Héraldique

    Blason
    Taillé nuagé de trois pièces: au 1er de sinople à la tour de sable, ouverte du champ, ajouée et maçonnée d'argent, au 2e d'azur à la nef de sable[27]
    Détails
    * Il y a là non-respect de la règle de contrariété des couleurs : ces armes sont fautives (sable sur azur).
    Le statut officiel du blason reste à déterminer.

    Notes et références

    Notes et cartes

    • Notes
    1. L'amplitude thermique annuelle mesure la différence entre la température moyenne de juillet et celle de janvier. Cette variable est généralement reconnue comme critère de discrimination entre climats océaniques et continentaux.
    2. La distance est calculée à vol d'oiseau entre la station météorologique proprement dite et le chef-lieu de commune.
    3. Selon le zonage des communes rurales et urbaines publié en novembre 2020, en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le en comité interministériel des ruralités.
    4. La notion d'aire d'attraction des villes a remplacé en octobre 2020 l'ancienne notion d'aire urbaine, pour permettre des comparaisons cohérentes avec les autres pays de l'Union européenne.
    5. Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2021, millésimée 2018, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2020, date de référence statistique : 1er janvier 2018.
    • Cartes

    Références

    1. « Infos, distance et photos de Nav et Castres », sur www.voldoiseau.com (consulté le ).
    2. Carte IGN sous Géoportail
    3. « Documents - Site web de la région Occitanie » (consulté le ).
    4. Daniel Joly, Thierry Brossard, Hervé Cardot, Jean Cavailhes, Mohamed Hilal et Pierre Wavresky, « Les types de climats en France, une construction spatiale », Cybergéo, revue européenne de géographie - European Journal of Geography, no 501, (DOI https://doi.org/10.4000/cybergeo.23155, lire en ligne, consulté le )
    5. « Le climat en France métropolitaine », sur http://www.meteofrance.fr/, (consulté le )
    6. « Définition d’une normale climatologique », sur http://www.meteofrance.fr/ (consulté le )
    7. « Le climat de la France au XXIe siècle - Volume 4 - Scénarios régionalisés : édition 2014 pour la métropole et les régions d’outre-mer », sur https://www.ecologie.gouv.fr/ (consulté le ).
    8. « Observatoire régional sur l'agriculture et le changement climatique (oracle) Occitanie », sur occitanie.chambre-agriculture.fr, (consulté le )
    9. « Station météofrance Castres - métadonnées », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le )
    10. « Orthodromie entre Navès et Castres », sur fr.distance.to (consulté le ).
    11. « Station météofrance Castres - fiche climatologique - statistiques 1981-2010 et records », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le ).
    12. « Orthodromie entre Navès et Le Sequestre », sur fr.distance.to (consulté le ).
    13. « Station météorologique d'Albi - Normales pour la période 1981-2010 », sur https://www.infoclimat.fr/ (consulté le )
    14. « Station météorologique d'Albi - Normales pour la période 1991-2020 », sur https://www.infoclimat.fr/ (consulté le )
    15. « Typologie urbain / rural », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
    16. « Commune rurale - définition », sur le site de l’Insee (consulté le ).
    17. « Comprendre la grille de densité », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
    18. « Liste des communes composant l'aire d'attraction de Castres », sur insee.fr (consulté le ).
    19. Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier Pégaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans l’aire d’attraction d’une ville », sur insee.fr, (consulté le ).
    20. « CORINE Land Cover (CLC) - Répartition des superficies en 15 postes d'occupation des sols (métropole). », sur le site des données et études statistiques du ministère de la Transition écologique. (consulté le )
    21. Histoire par Alain Pauthe.
    22. Site de l'association des maires du Tarn consulté le 10 juin 2009
    23. L'organisation du recensement, sur insee.fr.
    24. Calendrier départemental des recensements, sur insee.fr.
    25. Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes études en sciences sociales.
    26. Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017 et 2018.
    27. https://armorialdefrance.fr/page_blason.php?ville=18317

    Voir aussi

    Articles connexes

    Liens externes

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