Musée de l'Armée (Paris)
Le musée de l’Armée est un musée national français situé dans l’Hôtel national des Invalides dans le 7e arrondissement de Paris. Le musée de l'Armée est un musée d'histoire dont la vocation est de présenter l'histoire des conflits sous le prisme de l'histoire militaire de la France.
Ce site est desservi par les stations de métro Invalides, Varenne et La Tour-Maubourg.
Histoire
Création
Le musée fut créé en 1905 par la fusion du musée d’Artillerie et du musée historique de l’Armée qui étaient tous deux déjà situés dans l’hôtel des Invalides.
- Le musée d’Artillerie est créé sous la Révolution et fut installé aux Invalides en 1871. Il a été constitué sur deux collections d’armement : la collection du garde-meuble de la Couronne et la collection des princes de Condé. Sont venus s’y ajouter des fonds provenant du Louvre, de l’artillerie de Vincennes, du château de Pierrefonds et des acquisitions ou dons.
- Le musée historique de l’Armée fut créé en 1896 par la société privée La Sabretache. Le peintre Édouard Detaille, qui la présidait, possédait ses propres collections et voulait créer un musée militaire similaire aux salles rétrospectives de l’Exposition universelle de Paris de 1889.
- À l'époque, les collections étaient alors installées et réparties en deux sections :
- La Section des armes et armures, qui comportait la galerie Joffre (fortifications et tranchées), la salle Kléber (collections orientales), la salle Massena (infanterie), la salle Richelieu (armes de luxe), la salle Douay (infanterie coloniale et armements étrangers), la salle Murat (cavalerie), la salle Margueritte (cavalerie d’Afrique, artillerie et harnachement), la salle Gribeauval (artillerie), la galerie Pétain (Souvenirs de la Grande Guerre, drapeaux pris aux Allemands) et la galerie Foch (souvenirs des armées alliées).
- La Section Historique, qui comportait la salle Turenne ou “salle des Drapeaux” (s’y trouvaient plus de 700 drapeaux ou étendards[1]); la salle Bugeaud (collection Détaillé : tableaux, costumes militaires, armes), la salle Louis XIV (costumes et souvenirs de l’ancienne monarchie), la salle Napoléon, la salle La Fayette, la salle d’Aumale (campagnes coloniales), la salle Mac Mahon (guerres de 1825 à 1870), la salle Chanzy (1870 à 1914), la salle des médailles, la salle Charlemagne (collection d’uniformes grecs et romains et des Gaulois), la salle d’Assas, la salle La Tour d’Auvergne.
Plan de rénovation ATHENA
- À partir de 1994, le musée fit l’objet de différents aménagements réalisés par l’architecte Christian Menu, puis à partir de l’an 2000 de l'important plan de rénovation ATHENA, avec la réouverture du département Armes et armures anciennes en 2005, celle du département des deux guerres mondiales entre 2003 et 2006 et celle du département moderne (De Louis XIV à Napoléon III) en 2010[2].[réf. souhaitée]
- L’historial Charles-de-Gaulle, commandé par le musée et la Fondation Charles-de-Gaulle aux architectes Alain Moatti et Henri Rivière[3], fut inauguré le et rénové le . Il s’articule autour d’une salle multi-écrans qui commence par la diffusion d’un film d’archives biographique de 25 minutes en plusieurs langues. L’exposition se poursuit dans un espace multimédia et interactif dans lequel le visiteur, muni d’un audioguide, découvre la vie du Général de Gaulle à travers 400 documents audiovisuels[4].
- Le , le musée de l’ordre de la Libération a été totalement réhabilité par Benjamin Mouton, architecte en chef des monuments historiques, et la muséographie entièrement repensée par Philippe Maffre et Marion Rivolier de l'agence [MAW][5].
- Le a ouvert une nouvelle section permanente au sein du musée, les Cabinets Insolites, consacrés dans une première partie aux figurines militaires (5 000 petits soldats de carte, plomb, étain et plastique sur un total de 140 000) et aux modèles d’artillerie (l’une des plus importantes collections au monde, comprenant 1 000 pièces du XVIe siècle au XIXe siècle) et dans une autre partie aux instruments de musique militaire, choisis parmi les 350 de la collection et les 30 déposés par le musée de la musique[6].
Le , le musée de l’Armée a lancé une opération de financement participatif dans le but de restaurer Vizir, le seul cheval naturalisé de Napoléon Ier, qui était exposé depuis le dans le département moderne (De Louis XIV à Napoléon III). Après un mois de restauration, la monture a retrouvé son emplacement d’origine dans une nouvelle vitrine à atmosphère contrôlée pour mieux la préserver[7].
Une extension des collections permanentes est prévue en deux temps. En 2024, les espaces d’accueil et d’expositions temporaires, seront reconfigurés avec la création de lieux dédiés à l’histoire du site, ainsi qu’à l’actualité des engagements militaires français ; tandis qu'un nouveau bâtiment de réserves sera aménagé en banlieue. Le second volet démarrera en 2025 et concernera la création de deux nouveaux parcours consacrés à l’histoire de la colonisation et de la décolonisation du XVIe siècle aux années 1960, ainsi qu'à l’histoire militaire de l’après 1945 et à la Guerre froide jusqu’à la période consécutive à la chute du rideau de fer[8].
Exposition spéciale pour le bicentenaire de la mort de Napoléon
À l'occasion du bicentenaire de la mort de Napoléon Ier, une grande exposition intitulée « Napoléon n’est plus», est organisée au Musée de l'Armée en 2021[9].
Réalisée en partenariat avec la Fondation Napoléon, celle-ci revient sur les grands sujets qui entourent la mort de Napoléon (maladie, conséquences, retour des cendres...). À cette occasion, le testament original de Napoléon, conservé aux Archives Nationales sera également présenté au public[10].
Planifiée initialement le 31 mars, l'ouverture de l'exposition a été reportée à une date ultérieure, en raison de la crise sanitaire. Le musée a néanmoins organisé le 30 mars une inauguration virtuelle afin de faire découvrir au public les œuvres phares de l’exposition[11],[12].
« Notre sujet à nous est de savoir comment et pourquoi à travers sa mort l’image de Napoléon a considérablement évolué et c’est durablement dans la mort qu’il est devenu celui qu’il est aujourd’hui» explique Emilie Robbe, conservatrice en chef du patrimoine au Musée de l’Armée[13].
Plusieurs musées et collections
L'hôtel national des Invalides héberge sur ses 15 hectares plusieurs musées, qui cohabitent avec l'hôpital militaire toujours en activité.
Le musée de l'armée occupe les ailes Est et Ouest autour de la cour d’honneur ainsi qu'une aile à l’ouest de l’église Saint-Louis et l’historial Charles de Gaulle une construction souterraine sous la cour de la Valeur, soit 32% des bâtiments et une surface de près de 10 000 m2 augmentée de 600 m2 pour les expositions temporaires.
Le musée comprend :
- Le Département Ancien, Armes et Armures anciennes XIIIe - XVIIe siècles, dont la collection est la 3e en importance au monde, exposé sur 2 500 m2 ;
- Le Département Moderne, couvrant la période de Louis XIV à Napoléon III, période 1643–1870 ;
- Le Département contemporain, les deux guerres mondiales, période de 1871 à 1945 ;
- L’Historial Charles-de-Gaulle, espace multimédia de 2 500 m2 qui retrace la vie et l’œuvre de Charles de Gaulle, principalement avec des documents audiovisuels ;
- Les Cabinets Insolites, comprenant une partie consacrée aux figurines anciennes et modèles réduits de pièces d’artillerie, et une autre partie aux instruments de musique militaire[5].
- Des départements thématiques et de recherche[14] :
- le département des Peintures et Sculptures, comprenant 2 500 peintures et 950 sculptures[15].
- le cabinet des dessins, estampes et photographies. Ce département conserve les collections d'arts graphiques et photographiques, regroupant 9 000 dessins, 20 000 estampes et affiches et environ 60 000 photographies (30 000 tirages, 20 000 plaques de verre, 4 500 négatifs souples et 400 albums photographiques). Les collections se sont ouvertes récemment à la photographie contemporaine par des acquisitions auprès de photojournalistes ou d'artistes plasticiens tels que Éric Bouvet, Yan Morvan, Philippe de Poulpiquet, José Nicolas, Willy Rizzo, Emeric Lhuisset, Édouard Elias, Carole Fékété, etc.
- la bibliothèque - centre de documentation Général Niox, a rouvert au public dans de nouveaux espaces le . Créée en 1905, elle abrite le cabinet des dessins, estampes et photographies, ainsi que 30 000 ouvrages et 600 périodiques, dont 250 titres vivants et des livres et manuscrits anciens, rares et précieux du XVIe siècle à nos jours, en couvrant principalement le domaine des armes, des armures, de l’artillerie, des uniformes et équipements, des emblèmes, de la musique militaire et de l’iconographie du fait militaire.
- L’église du Dôme. Sous la responsabilité du musée, elle abrite la sépulture de Napoléon Ier, de ses deux frères, de son fils (l’Aiglon), des maréchaux Vauban et Turenne, et celles plus récentes des maréchaux Foch et Lyautey.
Le musée de l’Armée dispose également de trois ateliers de restauration et de conservation préventive des collections depuis 1977 : atelier textile, atelier métal et atelier cuir[16].
Deux autres musées sont présents sur le site des Invalides. Ils possèdent une billetterie commune avec le musée de l'Armée :
- le Musée des Plans-reliefs, présentant 28 des 112 maquettes monumentales de villes fortifiées de la collection, qui retracent 300 ans d’histoire et de stratégie militaires. Il dépend du Ministère de la Culture ;
- le Musée de l’Ordre de la Libération, créé en 1967 puis rénové entre 2012 et 2016, il est consacré à l’ordre fondé par de Gaulle en 1940 et aux compagnons de la Libération. Les collections se divisent en trois parties : la France libre, la Résistance intérieure et la Déportation[17].
- Tête féminine ornant la culasse du canon en bronze dit du cardinal Richelieu (1630).
- Bourguignotte du roi Henri II.
- Mortier à âmes multiples, modèle réduit.
- Cent-gardes, figurine.
- Zoom sur l’armure aux lions de François Ier.
- Taxi de la Marne, Renaut AG-1 (G-7).
Œuvres
Peintures
La collection comprend notamment 2 500 tableaux, dont 164 exposés en salle, tels que[18] :
- Portrait équestre du roi Henri IV devant le siège d’une ville, huile sur bois, par Marin Le Bourgeois vers 1594[19].
- La Défaite des Anglais en l’île de Ré par l’armée française le , huile sur toile, par Laurent de La Hyre vers 1627-1628[20].
- Louis II de Bourbon, duc d’Enghien, devant Rocroi, huile sur toile, par Juste d'Egmont en 1645[21].
- Louis II de Bourbon, duc d’Enghien, reçoit la reddition de Dunkerque, en , huile sur toile, par Jean Tassel vers 1646-1647[22].
- La Bataille de Seneffe, huile sur toile, par Adam François van der Meulen dernier quart du XVIIe siècle[23].
- Louis XIV, roi de France et de Navarre, huile sur toile, par Hyacinthe Rigaud vers 1701[24].
- Saint Louis déposant son épée aux pieds du Christ, huile sur toile (esquisse ou riccordo), par Charles de La Fosse vers 1702-1705
- Établissement de l'hôtel royal des Invalides, 1674, huile sur toile (carton de tapisserie), par Pierre Dulin vers 1710-1715[25].
- La Bataille de Fontenoy, le , huile sur toile, par Pierre Lenfant vers 1750-1760.
- Joachim Murat en maréchal de l’Empire, huile sur toile, 243,4 x 168,5 cm, par François Gérard en 1805[26].
- Napoléon Ier sur le trône impérial, huile sur toile, par Jean-Auguste-Dominique Ingres en 1806[27].
- Le Mamelouk Roustam Raza (1780-1845), huile sur toile, par Jacques-Nicolas Paillot de Montabert en 1806[28].
- Le Général Lasalle recevant la capitulation de la garnison de Stettin le , huile sur toile, par Antoine-Jean Gros en 1808[29].
- Marie Laczinska (1786-1817), comtesse Waleska, puis comtesse d’Ornano, huile sur toile, par François Gérard vers 1810[30].
- Le Général de Lariboisière faisant ses adieux à son fils, lieutenant au 1er régiment de carabiniers, au début de la bataille de la Moskowa le , huile sur toile, par Antoine-Jean Gros en 1814.
- Nicolas Joseph Maison (1771-1840), maréchal de France, huile sur toile, par Léon Cogniet en 1830.
- Combat de Laubressel (Troyes), le , huile sur toile, par Jean-Charles Langlois vers 1830.
- Napoléon Ier à Fontainebleau le , huile sur toile, par Paul Delaroche en 1840[31].
- L’Empereur Napoléon III passe en revue des cuirassiers, huile sur toile, par Alfred de Dreux en 1858.
- Siège de Sébastopol, chasseurs à pied de la Garde impériale à la tranchée du Mamelon-Vert, huile sur toile, par Alphonse de Neuville vers 1861[32].
- Napoléon Ier en 1814, huile sur toile (grisaille), par Ernest Meissonnier en 1863.
- Défense de la porte de Longboyau, au château de Buzenval, le , huile sur toile, par Alphonse de Neuville en 1879.
- Remise de ses nouveaux drapeaux et étendards à l'armée française sur l'hippodrome de Longchamp, le , huile sur toile, par Édouard Detaille vers 1880-1881.
- Fantassins dans un chemin creux, fragment du panorama de la bataille de Champigny, huile sur toile, par Édouard Detaille en 1882-1883[33].
- Officiers supérieurs et généraux, et membres du gouvernement de la Défense nationale, 1870-1871, huile sur toile par Henri Gervex et Alfred Stevens en 1889[34].
- En batterie ou mise en batterie du régiment monté de l’artillerie à cheval de la Garde impériale, huile sur toile, par Édouard Detaille en 1890.
- Le Soir d’Iéna, ou La victoire est à nous !, huile sur toile, par Édouard Detaille en 1894.
- Le Factionnaire, huile sur bois, par Édouard Detaille vers 1900[35].
- L'ambulance de la gare de Poitiers, huile sur toile, par Henri Gervex en 1915[36].
- La Borne, huile sur toile, par Jean-Louis Forain en 1916.
- Verdun, huile sur toile, par Félix Vallotton en 1917[37].
- La Gare de l’Est, 1917, huile sur toile, par Maximilien Luce en 1917[38].
- Cimetière de Benay, près Saint-Quentin, huile sur toile, par Maurice Denis en 1917[39].
- Napoléon Ier sur le trône impérial peint par Jean-Auguste-Dominique Ingres (1806).
- Le Mamelouk Roustam Raza peint par Jacques-Nicolas Paillot de Montabert (1806).
- Le général Bernard Georges François Frère (1764-1826) peint par Nicolas Gosse (1808).
- La Gare de l’Est, 1917, peint par Maximilien Luce (1917).
Directeurs
- Général de division Gustave Léon Niox : 1905-1919.
- Général de brigade Gabriel Malleterre : 1919-1923.
- Général de brigade Augustin Eugène Mariaux : 1923-1944.
- Général de brigade Guy Pinon : juin-.
- Général de division Antoine Rodes : 1944-1951.
- Général de brigade Henry Blanc : 1951-1964.
- Général de brigade Maximin Maleplate : 1964-1966.
- Général de brigade Henri d’Avout d’Auerstaedt : 1966-1977.
- Général de brigade Georges Le Diberder : 1977-1984.
- Général de brigade Pierre Saint-Macary : 1984-1987.
- Général de corps d'armée Raymond Boissau : 1987-1992.
- Jacques Perot, conservateur général du patrimoine : 1992-1998.
- Général de corps d’armée Bernard Devaux : 1998-2003.
- Général de brigade Robert Bresse : 2003-2011.
- Général de division Christian Baptiste : 2011-2017.
- David Guillet (par intérim), conservateur général du Patrimoine : 2017.
- Général de division Alexandre d'Andoque de Sériège : 2017-2020.
- Général Henry de Medlege : depuis 2020[40].
Directeurs-adjoints
- Jean-Pierre Reverseau, conservateur général du Patrimoine : 2004-2009
- David Guillet, conservateur général du Patrimoine : 2009-2017
- Ariane James-Sarazin, conservatrice générale du Patrimoine : depuis 2018
- Fête de la Sainte Barbe dans la cour d'honneur des Invalides.
- Olifant en ivoire (circa. 1200 -Italie)
- Bombarde-mortier d'Aubusson, la plus importante connue au monde.
Voir aussi
- Liste des musées parisiens
- Musée des Plans-reliefs
- Musée de l'Ordre de la Libération
- Musée de la Gendarmerie nationale de Melun
- Musée national de la Marine
- Musée de l'Air et de l'Espace
Liens externes
- Site officiel
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- Ressources relatives aux beaux-arts :
- Ressource relative au tourisme :
Notes et références
- « La salle Turenne ou des drapeaux du musée de l’Armée – Anonyme – Arago », sur www.photo-arago.fr (consulté le ).
- « L'histoire du Musée », sur Musée de l'Armée (consulté le )
- Fondation Charles-de-Gaulle, « Historial », sur http://www.charles-de-gaulle.org (consulté le ).
- « Historial Charles de Gaulle – Musée de l’Armée », sur www.musee-armee.fr (consulté le ).
- L'écho du Dôme n°34, octobre 2015-janvier 2016, site musée-armée.fr.
- « Musée de l’Armée — Les Cabinets insolites », sur www.musee-armee.fr (consulté le ).
- Musée de l’Armée, « Musée de l'Armée — Sauvons “Vizir”, le dernier cheval de Napoléon », sur www.musee-armee.fr, (consulté le ).
Voir aussi : Musée de l’Armée, « Sauvons Vizir le dernier cheval de Napoléon : Restauration de Vizir au musée de l’Armée, c'est gagné merci ! », (consulté le ).
- Rapport d'activité 2019 du musée de l'armée, p. 10, site musee-armee.fr.
- Charles de Saint Sauveur, « Napoléon, le bicentenaire de la discorde », sur Le Parisien,
- Chantal Prévot, « Maintenant et à l'heure de la mort », Le Figaro Hors Série - Napoléon, l'épopée - le mythe - le procès, , p. 150
- « Visite virtuelle de l’expo “Napoléon n’est plus” », sur France Net infos (consulté le )
- Catherine Painset, « 2021, année Napoléon: une saison culturelle qui s’exile sur internet », sur La Voix du Nord,
- Dominique Bonnet, « Le Musée de l’Armée propose une visite virtuelle de "Napoléon n’est plus" », sur Paris Match,
- Ressources documentaires du musée, site musee-armee.fr.
- La collection de sculptures du Musée de l’armée. Le chantier de récolement, blog des collections, 1er décembre 2016, site musee-armee.fr. Pour la réserve des sculptures, voir le rapport d'activité 2016, p. 98.
- Les coulisses des collections, site musee-armee.fr.
- Musée de l’Ordre de la Libération, « Musée de l’Ordre de la Libération — Le Musée », sur www.ordredelaliberation.fr (consulté le ).
- Peintures sur la base des collections du musée (domaine : peinture), site musee-armee.fr.
- « Henri IV (1553-1610) devant le siège d'une ville », sur basedescollections.musee-armee.fr (consulté le )
- « La défaite des Anglais en l'Île de Ré par l'armée française le 8 novembre 1627 », sur basedescollections.musee-armee.fr (consulté le )
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- « Louis II de Bourbon (1621-1686), duc d'Enghien, reçoit la reddition de Dunkerque en octobre 1646 », sur basedescollections.musee-armee.fr (consulté le )
- « Bataille de Seneffe », sur basedescollections.musee-armee.fr (consulté le )
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- « Raza Roustam (1780-1845), mamelouk », sur basedescollections.musee-armee.fr (consulté le )
- « Antoine Charles Louis Lasalle (1775-1809), général recevant la capitulation de la garnison de Stettin, le 30 octobre 1806 », sur basedescollections.musee-armee.fr (consulté le )
- « Marie Laczinska (1789-1817) comtesse Walewska, puis comtesse d'Ornano », sur basedescollections.musee-armee.fr (consulté le )
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- « L'ambulance de la gare de Poitiers », sur basedescollections.musee-armee.fr (consulté le )
- « Verdun. Tableau de guerre interprêté (sic) projections colorées noires bleues et rouges terrains dévastés, nuées de gaz », sur basedescollections.musee-armee.fr (consulté le )
- « Gare de l'Est, 1917 », sur basedescollections.musee-armee.fr (consulté le )
- « Cimetière de Benay, près Saint-Quentin », sur basedescollections.musee-armee.fr (consulté le )
- Arrêté du 14 août 2020 portant nomination du directeur du musée de l'armée.
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