Montredon (Lot)
Montredon est une commune française, située dans le département du Lot en région Occitanie.
Pour les articles homonymes, voir Montredon.
Montredon | |||||
![]() Montredon - Vue d'ensemble. | |||||
Administration | |||||
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Pays | ![]() |
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Région | Occitanie | ||||
Département | Lot | ||||
Arrondissement | Figeac | ||||
Intercommunalité | Communauté de communes Grand-Figeac | ||||
Maire Mandat |
Michel Delbos 2020-2026 |
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Code postal | 46270 | ||||
Code commune | 46207 | ||||
Démographie | |||||
Population municipale |
300 hab. (2018 ![]() |
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Densité | 25 hab./km2 | ||||
Géographie | |||||
Coordonnées | 44° 37′ 09″ nord, 2° 11′ 32″ est | ||||
Altitude | Min. 240 m Max. 505 m |
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Superficie | 11,78 km2 | ||||
Type | Commune rurale | ||||
Aire d'attraction | Figeac (commune de la couronne) |
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Élections | |||||
Départementales | Canton de Figeac-2 | ||||
Législatives | Deuxième circonscription | ||||
Localisation | |||||
Géolocalisation sur la carte : région Occitanie
Géolocalisation sur la carte : Lot
Géolocalisation sur la carte : France
Géolocalisation sur la carte : France
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Géographie
Montredon est un petit village pittoresque étagé sur un mamelon et dominé par l'église Saint-Michel. C'est l'emplacement d'un prieuré Saint-Michel qui dépendait de l'abbaye de La Chaise-Dieu.
Climat
Le climat qui caractérise la commune est qualifié, en 2010, de « climat océanique altéré », selon la typologie des climats de la France qui compte alors huit grands types de climats en métropole[2]. En 2020, la commune ressort du même type de climat dans la classification établie par Météo-France, qui ne compte désormais, en première approche, que cinq grands types de climats en métropole. Ce type de climat, Il s’agit d’une zone de transition entre le climat océanique et les climats de montagne et le climat semi-continental. Les écarts de température entre hiver et été augmentent avec l'éloignement de la mer. La pluviométrie est plus faible qu'en bord de mer, sauf aux abords des reliefs[3].
Les paramètres climatiques qui ont permis d’établir la typologie de 2010 comportent six variables pour les températures et huit pour les précipitations, dont les valeurs correspondent aux données mensuelles sur la normale 1971-2000[4]. Les sept principales variables caractérisant la commune sont présentées dans l'encadré ci-après.
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Avec le changement climatique, ces variables ont évolué. Une étude réalisée en 2014 par la Direction générale de l'Énergie et du Climat[5] complétée par des études régionales[6] prévoit en effet que la température moyenne devrait croître et la pluviométrie moyenne baisser, avec toutefois de fortes variations régionales. Ces changements peuvent être constatés sur la station météorologique de Météo-France la plus proche, « Saint-Constant », sur la commune de Saint-Constant-Fournoulès, mise en service en 1984[7]et qui se trouve à 8 km à vol d'oiseau[8],[Note 2], où la température moyenne annuelle est de 12,3 °C et la hauteur de précipitations de 1 049 mm pour la période 1981-2010[9]. Sur la station météorologique historique la plus proche, « Rodez-Aveyron », sur la commune de Salles-la-Source, dans le département de l'Aveyron, mise en service en 1972 et à 33 km[10], la température moyenne annuelle évolue de 10,7 °C pour la période 1971-2000[11], à 10,7 °C pour 1981-2010[12], puis à 11,1 °C pour 1991-2020[13].
Milieux naturels et biodiversité
L’inventaire des zones naturelles d'intérêt écologique, faunistique et floristique (ZNIEFF) a pour objectif de réaliser une couverture des zones les plus intéressantes sur le plan écologique, essentiellement dans la perspective d’améliorer la connaissance du patrimoine naturel national et de fournir aux différents décideurs un outil d’aide à la prise en compte de l’environnement dans l’aménagement du territoire. Une ZNIEFF de type 1[Note 3] est recensée sur la commune[14] : les « buttes calcaires du bassin de Maurs » (1 193 ha), couvrant 4 communes dont une dans l'Aveyron, deux dans le Cantal et une dans le Lot[15] et trois ZNIEFF de type 2[Note 4],[14] :
- le « bassin de Maurs et sud de la chataîgneraie » (21 399 ha), couvrant 23 communes dont une dans l'Aveyron, 21 dans le Cantal et une dans le Lot[16] ;
- le « Ségala lotois : bassin versant du Célé » (12 535 ha), couvrant 28 communes dont six dans le Cantal et 22 dans le Lot[17] ;
- la « vallée du Lot (partie Aveyron) » (19 239 ha), couvrant 47 communes dont 39 dans l'Aveyron, cinq dans le Cantal, deux dans le Lot et une dans la Lozère[18].
Urbanisme
Typologie
Montredon est une commune rurale, car elle fait partie des communes peu ou très peu denses, au sens de la grille communale de densité de l'Insee[Note 5],[19],[20],[21].
Par ailleurs la commune fait partie de l'aire d'attraction de Figeac, dont elle est une commune de la couronne[Note 6]. Cette aire, qui regroupe 59 communes, est catégorisée dans les aires de moins de 50 000 habitants[22],[23].
Occupation des sols

L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des forêts et milieux semi-naturels (50,4 % en 2018), néanmoins en diminution par rapport à 1990 (53,3 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : milieux à végétation arbustive et/ou herbacée (35,4 %), zones agricoles hétérogènes (26,6 %), prairies (18,9 %), forêts (15 %), terres arables (4,1 %)[24].
L'IGN met par ailleurs à disposition un outil en ligne permettant de comparer l’évolution dans le temps de l’occupation des sols de la commune (ou de territoires à des échelles différentes). Plusieurs époques sont accessibles sous forme de cartes ou photos aériennes : la carte de Cassini (XVIIIe siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[Carte 1].
Toponymie
Le toponyme Montredon (en occitan Montredond) est basé sur le mot latin montem qui désigne un endroit élevé et sur redond qui qualifie une forme arrondie : le mont arrondi[25].
Le Pèlerinage de Compostelle
Sur la via Podiensis du pèlerinage de Saint-Jacques-de-Compostelle, on vient de Livinhac-le-Haut ; la prochaine commune est Saint-Félix, et son église romane Sainte-Radegonde.
Histoire
Le carrefour était autrefois le croisement de la route Bourges-Toulouse et du chemin de Figeac à Rodez, celui de Cahors à Rodez portait le nom de chemin Romipête.
Politique et administration
La famille Gatacap a tenu la mairie pendant très longtemps : 100 ans d'affilée de père en fils entre 1834 et 1935 ! Pour commémorer cet événement, une plaque a été apposée sur la maison familiale, où elle est toujours visible aujourd'hui.

Démographie
L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. À partir de 2006, les populations légales des communes sont publiées annuellement par l'Insee. Le recensement repose désormais sur une collecte d'information annuelle, concernant successivement tous les territoires communaux au cours d'une période de cinq ans. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[27]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2006[28].
En 2018, la commune comptait 300 habitants[Note 7], en augmentation de 7,53 % par rapport à 2013 (Lot : +0,1 %, France hors Mayotte : +1,78 %).
Lieux et monuments
Église Saint-Michel
L'église actuelle n'a été construite qu'entre 1876 et 1883 par l'architecte Poujade de Figeac (46) mais elle a remplacé un édifice plus ancien qui portait la même dédicace à saint Michel. Le bâtiment apparaît très dégradé dans tous les documents où on le trouve mentionné. L'ancienne église occupait le même terrain que le bâtiment actuel sur la place du village mais elle était entourée du cimetière tel qu'il apparaît sur le cadastre de 1833. Celui-ci a été déplacé en 1856 à son emplacement actuel.

La chapelle Notre-Dame-de-Pitié
Au bas du village, la chapelle Notre-Dame-de-Pitié, dite du carrefour, rebâtie en 1958, remplace une chapelle plus ancienne dont on conserve une statue de pierre fin XVe siècle, et classée en 1910.



Il existe un pèlerinage dédié à N.D de Pitié ou plutôt à la statue qu'elle abrite : une Piéta en pierre polychrome du XVIe siècle. Sa manière de parvenir en possession de la paroisse est on-ne-peut-plus rocambolesque : Elle appartenait à l'origine à la paroisse de Laroque, commune de Livinhac le Haut. Voici le récit de son acquisition tel qu'il a été transcrit par l'abbé Fau dans le cahier-journal de la paroisse :
« Ce village bâti sur la rive droite du Lot remonte à plusieurs siècles. Il a été remarquable par son château seigneurial et par une belle « Mater Dolorosa », statue en pierre de 75cm de haut et de 78cm à la base, placée dans son église. Les habitants du village de Laroque reçoivent aujourd'hui en abondance l'or des usines toutes voisines. Il n'en était pas de même avant la Révolution. La montagne à pic qui domine les maisons est à peu près aride. Du côté du levant seulement elle est propice à la vigne et peut nourrir quelques maigres châtaigniers.
Quand la France était affamée les habitants de Laroque devaient être dans une misère extrême.
Telle était leur situation quelques années avant le mouvement révolutionnaire. Poussés par la faim, les paroissiens de Laroque vinrent trouver les habitants de Montredon, leurs voisins et leur dirent : « Donnez-nous du blé nous vous livrerons notre statue de la Vierge » Le marché fut conclu. Les Montredonais prenant la précieuse madone la portèrent en triomphe et la placèrent dans un rustique oratoire érigé au carrefour sur le chemin de Figeac à Livinhac. Le grand nombre des paroissiens de Laroque accueillirent fort mal ce contrat. Cinglés de quolibets […], les vendeurs n'y tenant plus allèrent durant la nuit reprendre leur ancienne statue, mais ils ne purent rendre le blé et leur acte fut regardé par leurs voisins comme un vol sacrilège. Dans leur indignation les habitants de Montredon tinrent conseil et envoyèrent un explorateur à Laroque. Celui-ci vit la statue sur un socle adossé très haut au mur intérieur de la nef de l'église du côté des rochers de la montagne. Quelques jours après quatre courageux chrétiens de Montredon partent la nuit pour Laroque, descendent la montagne de roche en roche, percent le mur de l'église et remontent péniblement emportant leur précieux fardeau [qui pèse tout de même 94 kg].
Cette fois la Vierge fut mise en sûreté dans l'église paroissiale et y resta jusqu'après la Révolution. Quand le culte fut rétabli on replaça la statue en son premier endroit mais dans un oratoire plus digne de la Vierge […]. »

- Chapelle de Poustan.
Le presbytère
Au presbytère, sur le linteau de la porte, on remarque une croix de Malte sculptée, souvenir d'un établissement des Hospitaliers de Saint-Jean.
Personnalités liées à la commune
- Marie Fabre
Le paraît dans le journal La Défense un article relatant la guérison de Marie Fabre, du lieu-dit Lalun :
« Il y a trois ans environ, Auguste Fabre, ouvrier de l'usine de Penchot, but par mégarde plusieurs gorgées d'un corrosif quelconque. On disait ses jours comptés. Il fut pourtant soigné à Viviez par les religieuses de l'hospice de la Vieille Montagne et se remit. Mais sa femme, totalement bouleversée d'émotion, à partir de ce jour perdit la santé. Quatre médecins furent appelés mais ne la guérirent pas. Le curé fut appelé pour lui administrer les derniers sacrements mais elle continua à vivre. Malgré ses 32 ans, elle dépérissait à vue d’œil. Désespérant des remèdes humains, elle voulu partir pour les Roches Massabielles avec le pélerinage conduit par monsieur l'abbé Fabre, curé de Viviez. Elle partit le et Albert Delbos, du Bouyssou, offrit sa voiture pour conduire la malade à la station de Penchot. Les lundi, mardi et mercredi elle fut transportée avec les autres malades à la grotte, aux piscines et sur le passage du Saint Sacrement. Mercredi soir, à la fin de la procession, elle se levait brusquement et marchait hors des rangs des malades. L'automobile de l'hospitalisation s'avançait immédiatement pour l'arracher à la foule accourue autour d'elle et la conduire au bureau médical. Invitée à y monter sans aide, elle s'y est élancée d'un bond agile aux applaudissements de 10 000 spectateurs au moins dont l'enthousiasme est indescriptible. […] Elle était donc guérie. Montredon le , Fau Curé »
Voir aussi
Articles connexes
Références
- Carte IGN sous Géoportail
- Daniel Joly, Thierry Brossard, Hervé Cardot, Jean Cavailhes, Mohamed Hilal et Pierre Wavresky, « Les types de climats en France, une construction spatiale », Cybergéo, revue européenne de géographie - European Journal of Geography, no 501, (DOI https://doi.org/10.4000/cybergeo.23155, lire en ligne, consulté le )
- « Le climat en France métropolitaine », sur http://www.meteofrance.fr/, (consulté le )
- « Définition d’une normale climatologique », sur http://www.meteofrance.fr/ (consulté le )
- « Le climat de la France au XXIe siècle - Volume 4 - Scénarios régionalisés : édition 2014 pour la métropole et les régions d’outre-mer », sur https://www.ecologie.gouv.fr/ (consulté le ).
- « Observatoire régional sur l'agriculture et le changement climatique (oracle) Occitanie », sur occitanie.chambre-agriculture.fr, (consulté le )
- « Station Météo-France Saint-Constant - métadonnées », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le )
- « Orthodromie entre Montredon et Saint-Constant-Fournoulès », sur fr.distance.to (consulté le ).
- « Station Météo-France Saint-Constant - fiche climatologique - statistiques 1981-2010 et records », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le ).
- « Orthodromie entre Montredon et Salles-la-Source », sur fr.distance.to (consulté le ).
- « Station météorologique de Rodez-Aveyron - Normales pour la période 1971-2000 », sur https://www.infoclimat.fr/ (consulté le )
- « Station météorologique de Rodez-Aveyron - Normales pour la période 1981-2010 », sur https://www.infoclimat.fr/ (consulté le )
- « Station météorologique de Rodez-Aveyron - Normales pour la période 1991-2020 », sur https://www.infoclimat.fr/ (consulté le )
- « Liste des ZNIEFF de la commune de Montredon », sur le site de l'Inventaire national du patrimoine naturel (consulté le ).
- « ZNIEFF les « buttes calcaires du bassin de Maurs » - fiche descriptive », sur le site de l'inventaire national du patrimoine naturel (consulté le ).
- « ZNIEFF le « bassin de Maurs et sud de la chataîgneraie » - fiche descriptive », sur le site de l'inventaire national du patrimoine naturel (consulté le ).
- « ZNIEFF le « Ségala lotois : bassin versant du Célé » - fiche descriptive », sur le site de l'inventaire national du patrimoine naturel (consulté le ).
- « ZNIEFF la « vallée du Lot (partie Aveyron) » - fiche descriptive », sur le site de l'inventaire national du patrimoine naturel (consulté le ).
- « Typologie urbain / rural », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
- « Commune rurale - définition », sur le site de l’Insee (consulté le ).
- « Comprendre la grille de densité », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
- « Base des aires d'attraction des villes 2020. », sur insee.fr, (consulté le ).
- Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier Pégaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans l’aire d’attraction d’une ville », sur insee.fr, (consulté le ).
- « CORINE Land Cover (CLC) - Répartition des superficies en 15 postes d'occupation des sols (métropole). », sur le site des données et études statistiques du ministère de la Transition écologique. (consulté le )
- Gaston Bazalgues, À la découverte des noms de lieux du Quercy : Toponymie lotoise, Gourdon, Éditions de la Bouriane et du Quercy, , 127 p. (ISBN 2-910540-16-2), p. 66.
- « Les maires de Montredon », sur Site francegenweb, (consulté le ).
- L'organisation du recensement, sur insee.fr.
- Calendrier départemental des recensements, sur insee.fr.
- Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes études en sciences sociales.
- Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017 et 2018.
Notes et cartes
- Notes
- L'amplitude thermique annuelle mesure la différence entre la température moyenne de juillet et celle de janvier. Cette variable est généralement reconnue comme critère de discrimination entre climats océaniques et continentaux.
- La distance est calculée à vol d'oiseau entre la station météorologique proprement dite et le chef-lieu de commune.
- Les ZNIEFF de type 1 sont des secteurs d’une superficie en général limitée, caractérisés par la présence d’espèces, d’association d’espèces ou de milieux rares, remarquables, ou caractéristiques du milieu du patrimoine naturel régional ou national.
- Les ZNIEFF de type 2 sont de grands ensembles naturels riches, ou peu modifiés, qui offrent des potentialités biologiques importantes.
- Selon le zonage des communes rurales et urbaines publié en novembre 2020, en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le en comité interministériel des ruralités.
- La notion d'aire d'attraction des villes a remplacé en octobre 2020 l'ancienne notion d'aire urbaine, pour permettre des comparaisons cohérentes avec les autres pays de l'Union européenne.
- Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2021, millésimée 2018, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2020, date de référence statistique : 1er janvier 2018.
- Cartes
- IGN, « Évolution de l'occupation des sols de la commune sur cartes et photos aériennes anciennes. », sur remonterletemps.ign.fr (consulté le ). Pour comparer l'évolution entre deux dates, cliquer sur le bas de la ligne séparative verticale et la déplacer à droite ou à gauche. Pour comparer deux autres cartes, choisir les cartes dans les fenêtres en haut à gauche de l'écran.
Liens externes
- www.ign.fr Montredon sur le site de l'Institut géographique national (en cache)
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