Montereau-sur-le-Jard

Montereau-sur-le-Jard est une commune française située dans le département de Seine-et-Marne en région Île-de-France.

Pour les articles homonymes, voir Montereau.

Montereau-sur-le-Jard

La mairie (située à Aubigny).
Administration
Pays France
Région Île-de-France
Département Seine-et-Marne
(Melun)
Arrondissement Melun
Intercommunalité Communauté d'agglomération Melun Val de Seine
Maire
Mandat
Christian Hus
2020-2026
Code postal 77950
Code commune 77306
Démographie
Gentilé Monjarciens
Population
municipale
510 hab. (2018 )
Densité 45 hab./km2
Géographie
Coordonnées 48° 35′ 24″ nord, 2° 40′ 03″ est
Altitude Min. 79 m
Max. 98 m
Superficie 11,29 km2
Type Commune rurale
Aire d'attraction Paris
(commune de la couronne)
Élections
Départementales Canton de Melun
Législatives Première circonscription
Localisation
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Montereau-sur-le-Jard
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Montereau-sur-le-Jard
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Montereau-sur-le-Jard
Liens
Site web aubigny-montereau.com

    Géographie

    Localisation

    Montereau-sur-le-Jard est situé à km au nord de Melun.

    La commune est bordée au nord par l'aérodrome de Melun-Villaroche qui occupe le tiers de sa superficie et au sud par l'autoroute A5 et la ligne à grande vitesse Sud-Est.

    Communes limitrophes

    Communes limitrophes de Montereau-sur-le-Jard
    Réau Limoges-Fourches Lissy
    Saint-Germain-Laxis
    Vert-Saint-Denis Voisenon Rubelles

    Géologie et relief

    La commune est classée en zone de sismicité 1, correspondant à une sismicité très faible[1].

    Hydrographie

    Carte des réseaux hydrographique et routier de Montereau-sur-le-Jard.

    Le réseau hydrographique de la commune se compose de deux cours d'eau référencés :

    • le fossé 01 de la Marnière, long de 1,08 km[2] ;
    • le fossé 01 de la Plaine du Jard, canal de 1,37 km[3], qui se jette à Voisenon dans le ru du Jard.

    La longueur totale des cours d'eau sur la commune est de 1,25 km[4].

    Climat

    Paramètres climatiques pour la commune sur la période 1971-2000

    - Moyenne annuelle de température : 11,2 °C
    - Nombre de jours avec une température inférieure à -5°C : 2,9 j
    - Nombre de jours avec une température supérieure à 30°C : 3,2 j
    - Amplitude thermique annuelle[Note 1] : 15 °C
    - Cumuls annuels de précipitation : 695 mm
    - Nombre de jours de précipitation en janvier : 0,8 j
    - Nombre de jours de précipitation en juillet : 2,4 j

    La commune bénéficie d’un « climat océanique dégradé des plaines du Centre et du Nord », selon la typologie des climats en France définie en 2010. Ce type affecte l’ensemble du Bassin parisien avec une extension vers le sud, dont la totalité des communes de Seine-et-Marne[5].

    Les paramètres climatiques qui ont permis d’établir cette typologie comportent six variables pour les températures et huit pour les précipitations, dont les valeurs correspondent aux données mensuelles sur la normale 1971-2000[6]. Les sept principales variables caractérisant la commune sont présentées dans l'encadré ci-contre[5]. Avec le changement climatique, ces variables ont pu depuis évoluer. Une étude réalisée en 2014 par la Direction générale de l'Énergie et du Climat prévoit en effet que la température moyenne devrait croître et la pluviométrie moyenne baisser, avec toutefois de fortes variations régionales[7]. Cette évolution peut être constatée sur la station météorologique historique de Météo-France la plus proche, Melun - Villaroche , qui se trouve à km à vol d'oiseau[8], où la température moyenne annuelle évolue de 11,2 °C pour 1981-2010[9] à 11,6 °C pour 1991-2020[10].

    Milieux naturels et biodiversité

    Aucun espace naturel présentant un intérêt patrimonial n'est recensé sur la commune dans l'inventaire national du patrimoine naturel[11],[12],[13].

    Urbanisme

    Typologie

    Montereau-sur-le-Jard est une commune rurale, car elle fait partie des communes peu ou très peu denses, au sens de la grille communale de densité de l'Insee[Note 2],[14],[15],[16].

    Par ailleurs la commune fait partie de l'aire d'attraction de Paris, dont elle est une commune de la couronne[Note 3]. Cette aire regroupe 1 929 communes[17],[18].

    Lieux-dits, écarts et quartiers

    La commune compte 36 lieux-dits administratifs[Note 4] répertoriés[19] dont Aubigny absorbé en 1842[20], siège de la mairie, Courceaux, Champeroux.

    Occupation des sols

    L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des territoires agricoles (61,5 % en 2018), néanmoins en diminution par rapport à 1990 (70,9 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : terres arables (59,9% ), zones industrielles ou commerciales et réseaux de communication (35% ), zones urbanisées (3,5% ), zones agricoles hétérogènes (1,6 %)[21].

    Parallèlement, L'Institut Paris Région, agence d'urbanisme de la région Île-de-France, a mis en place un inventaire numérique de l'occupation du sol de l'Île-de-France, dénommé le MOS (Mode d'occupation du sol), actualisé régulièrement depuis sa première édition en 1982. Réalisé à partir de photos aériennes, le Mos distingue les espaces naturels, agricoles et forestiers mais aussi les espaces urbains (habitat, infrastructures, équipements, activités économiques, etc.) selon une classification pouvant aller jusqu'à 81 postes, différente de celle de Corine Land Cover[22],[23],[Carte 1]. L'Institut met également à disposition des outils permettant de visualiser par photo aérienne l'évolution de l'occupation des sols de la commune entre 1949 et 2018[Carte 2].

    Planification

    La loi SRU du a incité les communes à se regrouper au sein d’un établissement public, pour déterminer les partis d’aménagement de l’espace au sein d’un SCoT, un document d’orientation stratégique des politiques publiques à une grande échelle et à un horizon de 20 ans et s'imposant aux documents d'urbanisme locaux, les PLU (Plan local d'urbanisme). La commune est dans le territoire du SCOT Région melunaise, dont l'élaboration a été engagée de 2013 à 2015, puis poursuivie à partir de 2017 sur un périmètre différent et porté par la communauté d'agglomération Melun Val de Seine[24].

    La commune disposait en 2019 d'un plan local d'urbanisme en révision[25]. Le zonage réglementaire et le règlement associé peuvent être consultés sur le Géoportail de l'urbanisme[Carte 3].

    Logement

    En 2017, le nombre total de logements dans la commune était de 216 dont 85,5 % de maisons et 10,6 % d'appartements[Note 5].

    Parmi ces logements, 93,5 % étaient des résidences principales, 0,5 % des résidences secondaires et 6,1 % des logements vacants.

    La part des ménages fiscaux propriétaires de leur résidence principale s'élevait à 74,3 % contre 21,7 % de locataires et 4 % logés gratuitement[26].

    Toponymie

    Le nom de la localité est mentionné sous les formes Monsterellum en 1212[27] ; Musteriolum prope Melodunum en 1227[28] ; Monstereul de lez l'abahie du Jars en 1320[29] ; Monsteriau en 1320[29] ; Musterolum en 1339[30] ; Monstereau emprez le Jard en 1384[31] ; Monstereau en 1385[32] ; Monterieau sus le Jard en 1569[33] ; Monthereau sur le Jard en 1596[34] ; Montereau sur Jouarre en 1774[35].

    Montereau : Peut-être du latin monasterellum, diminutif de monasterium, « monastère »[36].

    Dans la plaine du Ru du Jard ; Jard : Peut-être un mot régional signifiant « gravier caillouteux » ou « petits galets » formant des bancs sur les bords d'une rivière.

    Histoire

    L'occupation humaine sur le plateau de Montereau-sur-le-Jard est continue de l'âge de bronze jusqu'à l'époque contemporaine[37].

    Période gauloise

    Le terroir environnant est vraisemblablement alors contrôlé par le peuple des Sénons, quoique en frontière de leur territoire. Un vaste établissement agricole daté des IIe et Ier siècles av. J.-C. a été révélé par l'archéologie[37].

    Haut Moyen-âge

    À la suite de cette occupation antique, prend place aux Courceaux, un hameau mérovingiens. Cette occupation importante perdure du VIe au XIIe siècle de notre ère et est vraisemblablement à l'origine du fief de Courceaux[37]. Au XIIIe siècle, le site pourrait être passé sous le contrôle de l'Abbaye de Saint-Jean-Baptiste du Jard qui y possédait une ferme.

    Époque moderne

    Le 17 juillet 1771, c'est entre Montereau-sur-le-Jard et Éprunes, lieu-dit de Réau, qu'éclata le météore qui avait été observé dans une grande partie de l'Angleterre et de la France[38].

    Par ordonnance royale du 22 mars 1842, les deux anciennes paroisses de Montereau-sur-le-Jard et d'Aubigny sont réunies pour former la commune actuelle qui possède deux églises : Saint-Martin à Montereau-sur-le-Jard et Notre-Dame-de-la-Nativité à Aubigny.

    L'aérodrome de Melun-Villaroche, principalement situé sur le terrain de la commune, devient un site notable d'essais en vol à partir de 1944. Le colonel Rozanoff, pilote d'essai y trouve la mort le lors d'une tentative de passage du mur du son à basse altitude à bord d'un Mystère IV[39].

    Politique et administration

    Liste des maires

    Liste des maires successifs
    Période Identité Étiquette Qualité
    Les données manquantes sont à compléter.
    mars 2001 mars 2014 Marie-Thérèse Vanneste    
    mars 2014 En cours Christian Hus[40]    

    Équipements et services

    Eau et assainissement

    L’organisation de la distribution de l’eau potable, de la collecte et du traitement des eaux usées et pluviales relève des communes. La loi NOTRe de 2015 a accru le rôle des EPCI à fiscalité propre en leur transférant cette compétence. Ce transfert devait en principe être effectif au , mais la loi Ferrand-Fesneau du a introduit la possibilité d’un report de ce transfert au [41],[42].

    Assainissement des eaux usées

    En 2020, la gestion du service d'assainissement collectif de la commune de Montereau-sur-le-Jard est assurée par la communauté d'agglomération Melun Val de Seine (CAMVS) pour la collecte, le transport et la dépollution. Ce service est géré en délégation par une entreprise privée, dont le contrat arrive à échéance le [43],[44],[45].

    L’assainissement non collectif (ANC) désigne les installations individuelles de traitement des eaux domestiques qui ne sont pas desservies par un réseau public de collecte des eaux usées et qui doivent en conséquence traiter elles-mêmes leurs eaux usées avant de les rejeter dans le milieu naturel[46]. La communauté d'agglomération Melun Val de Seine (CAMVS) assure pour le compte de la commune le service public d'assainissement non collectif (SPANC), qui a pour mission de vérifier la bonne exécution des travaux de réalisation et de réhabilitation, ainsi que le bon fonctionnement et l’entretien des installations[43],[47].

    Eau potable

    En 2020, l'alimentation en eau potable est assurée par la commune qui en a délégué la gestion à une entreprise privée[43],[48],[49].

    Population et société

    Démographie

    L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. À partir de 2006, les populations légales des communes sont publiées annuellement par l'Insee. Le recensement repose désormais sur une collecte d'information annuelle, concernant successivement tous les territoires communaux au cours d'une période de cinq ans. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[50]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2005[51].

    En 2018, la commune comptait 510 habitants[Note 6], en diminution de 5,9 % par rapport à 2013 (Seine-et-Marne : +3,47 %, France hors Mayotte : +1,78 %).

    Évolution de la population  [modifier]
    1793 1800 1806 1821 1831 1836 1841 1846 1851
    1209610086124124131231263
    1856 1861 1866 1872 1876 1881 1886 1891 1896
    285312319249257261223255239
    1901 1906 1911 1921 1926 1931 1936 1946 1954
    248265254237276271288208313
    1962 1968 1975 1982 1990 1999 2005 2010 2015
    269240250264284567585563527
    2018 - - - - - - - -
    510--------
    De 1962 à 1999 : population sans doubles comptes ; pour les dates suivantes : population municipale.
    (Sources : Ldh/EHESS/Cassini jusqu'en 1999[20] puis Insee à partir de 2006[52].)
    Histogramme de l'évolution démographique

    Économie

    Agriculture

    Montereau-sur-le-Jard est dans la petite région agricole dénommée la « Brie française », (ou Basse-Brie), une partie de la Brie autour de Brie-Comte-Robert[Carte 4]. En 2010, l'orientation technico-économique[Note 7] de l'agriculture sur la commune est diverses cultures (hors céréales et oléoprotéagineux, fleurs et fruits)[53].

    Si la productivité agricole de la Seine-et-Marne se situe dans le peloton de tête des départements français, le département enregistre un double phénomène de disparition des terres cultivables (près de 2 000 ha par an dans les années 1980, moins dans les années 2000) et de réduction d'environ 30 % du nombre d'agriculteurs dans les années 2010[54]. Cette tendance n'est pas confirmée au niveau de la commune qui voit le nombre d'exploitations augmenter et passer de 6 en 1988 à 7 en 2010. Parallèlement, la taille de ces exploitations diminue, passant de 145 ha en 1988 à 140 ha en 2010[53]. Le tableau ci-dessous présente les principales caractéristiques des exploitations agricoles de Montereau-sur-le-Jard, observées sur une période de 22 ans :

    Évolution de l’agriculture à Montereau-sur-le-Jard entre 1988 et 2010.
    1988 2000 2010
    Dimension économique[53],[Note 8]
    Nombre d’exploitations (u) 6 6 7
    Travail (UTA) 14 7 12
    Surface agricole utilisée (ha) 868 836 979
    Cultures[55]
    Terres labourables (ha) 848 759 965
    Céréales (ha) 514 410 571
    dont blé tendre (ha) 346 351 383
    dont maïs-grain et maïs-semence (ha) 125 s s
    Tournesol (ha) 83
    Colza et navette (ha) 44 96 89
    Élevage[53]
    Cheptel (UGBTA[Note 9]) 0 0 0

    Culture locale et patrimoine

    L'église Saint-Martin.
    L'église d'Aubigny et la mairie.

    Lieux et monuments

    • L'église Saint-Martin de Montereau-sur-le-Jard a été inscrite aux monuments historiques en 1926[56].
    • L'église Notre-Dame d’Aubigny a été inscrite aux monuments historiques en 1926[57].

    Personnalités liées à la commune

    Le pilote d'essai Constantin Rozanoff fut le premier à passer le mur du son en vol horizontal sur un avion français en février 1954. Il est mort le 3 avril 1954 dans le crash de ce même appareil, un Dassault Mystère IV, en présentation officielle à Melun Villaroche. L'endroit est matérialisé dans un champ par quatre pierres et une dalle à son nom.

    Le musicien Pete Doherty s'est installé à Monterau-sur-le-Jard en 2015[58].

    Voir aussi

    Articles connexes

    Liens externes

    Notes et références

    Notes et cartes

    • Notes
    1. L'amplitude thermique annuelle mesure la différence entre la température moyenne de juillet et celle de janvier. Cette variable est généralement reconnue comme critère de discrimination entre climats océaniques et continentaux.
    2. Selon le zonage des communes rurales et urbaines publié en novembre 2020, en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le en comité interministériel des ruralités.
    3. La notion d'aire d'attraction des villes a remplacé en octobre 2020 l'ancienne notion d'aire urbaine, pour permettre des comparaisons cohérentes avec les autres pays de l'Union européenne.
    4. Contrairement au hameau ou écart qui est un groupe d’habitations , un lieu-dit n'est pas forcément un lieu habité, il peut être un champ, un carrefour ou un bois...
    5. En raison des arrondis, la somme des pourcentages n’est pas toujours égale à 100 %.
    6. Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2021, millésimée 2018, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2020, date de référence statistique : 1er janvier 2018.
    7. L'orientation technico-économique d'une exploitation est la production dominante de l'exploitation, déterminée selon la contribution de chaque surface ou cheptel à la production brute standard.
    8. L'indicateur s signifie que la donnée n'est pas diffusée par respect du secret statistique.
    9. L'Unité gros bétail alimentation totale (UGBTA) est une unité employée pour pouvoir comparer ou agréger des effectifs animaux d’espèces ou de catégories différentes (par exemple, une vache laitière = 1,45 UGBTA, une vache nourrice = 0,9 UGBTA, une truie-mère = 0,45 UGBTA).
    • Cartes
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    3. « Géoportail de l’urbanisme », sur https://www.geoportail-urbanisme.gouv.fr/ (consulté le ).
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    Références

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    56. « L'église Saint-Martin de Montereau-sur-le-Jard », notice no PA00087125, base Mérimée, ministère français de la Culture.
    57. « L'église d'Aubigny », notice no PA00087126, base Mérimée, ministère français de la Culture.
    58. « Montereau-sur-le-Jard : on a trouvé la maison de Pete Doherty ! », Le Parisien, (lire en ligne, consulté le ).
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