Montaud (Hérault)

Montaud [mɔ̃.tɔ] (en occitan Montaut [mun.'tawt]) est une commune française située dans le département de l'Hérault en région Occitanie. Les habitants de Montaud, sont appelés les Montaudois.

Pour les articles homonymes, voir Montaud.

Montaud

Le château de Montlaur.

Blason
Administration
Pays France
Région Occitanie
Département Hérault
Arrondissement Montpellier
Intercommunalité Montpellier Méditerranée Métropole
Maire
Mandat
Joël Raymond
2020-2026
Code postal 34160
Code commune 34164
Démographie
Gentilé Montaudois
Population
municipale
1 007 hab. (2018 )
Densité 78 hab./km2
Géographie
Coordonnées 43° 45′ 07″ nord, 3° 57′ 23″ est
Altitude 110 m
Min. 51 m
Max. 210 m
Superficie 12,92 km2
Type Commune rurale
Aire d'attraction Montpellier
(commune de la couronne)
Élections
Départementales Canton du Crès
Législatives Troisième circonscription
Localisation
Géolocalisation sur la carte : région Occitanie
Montaud
Géolocalisation sur la carte : Hérault
Montaud
Géolocalisation sur la carte : France
Montaud
Géolocalisation sur la carte : France
Montaud

    Géographie

    Montaud est un village situé à 16 km de Montpellier, dans son aire urbaine. Situé au cœur des garrigues montpelliéraines, il est pourtant situé à la limite avec l'arrondissement de Lodève qui recouvre tout le nord du département.

    Carte de la commune.

    Climat

    Paramètres climatiques communaux sur la période 1971-2000

    • Moyenne annuelle de température : 14 °C
    • Nombre de jours avec une température inférieure à −5 °C : 2,6 j
    • Nombre de jours avec une température supérieure à 30 °C : 16,6 j
    • Amplitude thermique annuelle[Note 1] : 17 °C
    • Cumuls annuels de précipitation : 844 mm
    • Nombre de jours de précipitation en janvier : 6,8 j
    • Nombre de jours de précipitation en juillet : 2,9 j

    Le climat qui caractérise la commune est qualifié, en 2010, de « climat méditerranéen franc », selon la typologie des climats de la France qui compte alors huit grands types de climats en métropole[1]. En 2020, la commune ressort du type « climat méditerranéen » dans la classification établie par Météo-France, qui ne compte désormais, en première approche, que cinq grands types de climats en métropole. Pour ce type de climat, les hivers sont doux et les étés chauds, avec un ensoleillement important et des vents violents fréquents[2].

    Les paramètres climatiques qui ont permis d’établir la typologie de 2010 comportent six variables pour les températures et huit pour les précipitations, dont les valeurs correspondent aux données mensuelles sur la normale 1971-2000[3]. Les sept principales variables caractérisant la commune sont présentées dans l'encadré ci-contre[1].

    Avec le changement climatique, ces variables ont évolué. Une étude réalisée en 2014 par la Direction générale de l'Énergie et du Climat[4] complétée par des études régionales[5] prévoit en effet que la température moyenne devrait croître et la pluviométrie moyenne baisser, avec toutefois de fortes variations régionales. Ces changements peuvent être constatés sur la station météorologique de Météo-France la plus proche, « Saint-Drezery », sur la commune de Saint-Drézéry, mise en service en 1980[6]et qui se trouve à km à vol d'oiseau[7],[Note 2], où la température moyenne annuelle est de 14,3 °C et la hauteur de précipitations de 768,4 mm pour la période 1981-2010[8]. Sur la station météorologique historique la plus proche, « Montpellier-Aéroport », sur la commune de Mauguio, mise en service en 1946 et à 16 km[9], la température moyenne annuelle évolue de 14,7 °C pour la période 1971-2000[10], à 15,1 °C pour 1981-2010[11], puis à 15,5 °C pour 1991-2020[12].

    Réseau Natura 2000

    Le réseau Natura 2000 est un réseau écologique européen de sites naturels d'intérêt écologique élaboré à partir des directives habitats et oiseaux, constitué de zones spéciales de conservation (ZSC) et de zones de protection spéciale (ZPS)[Note 3]. Un site Natura 2000 a été défini sur la commune au titre de la directive oiseaux : les « hautes garrigues du Montpelliérais »[14], d'une superficie de 45 444 ha, abritant trois couples d'Aigles de Bonelli, soit 30 % des effectifs régionaux[15].

    Zones naturelles d'intérêt écologique, faunistique et floristique

    L’inventaire des zones naturelles d'intérêt écologique, faunistique et floristique (ZNIEFF) a pour objectif de réaliser une couverture des zones les plus intéressantes sur le plan écologique, essentiellement dans la perspective d’améliorer la connaissance du patrimoine naturel national et de fournir aux différents décideurs un outil d’aide à la prise en compte de l’environnement dans l’aménagement du territoire.

    Une ZNIEFF de type 2[Note 4] est recensée sur la commune[16] : les « plaines et garrigues du Nord Montpelliérais » (13 097 ha), couvrant 25 communes dont six dans le Gard et 19 dans l'Hérault[17].

    Urbanisme

    Typologie

    Montaud est une commune rurale, car elle fait partie des communes peu ou très peu denses, au sens de la grille communale de densité de l'Insee[Note 5],[18],[19],[20].

    Par ailleurs la commune fait partie de l'aire d'attraction de Montpellier, dont elle est une commune de la couronne[Note 6]. Cette aire, qui regroupe 161 communes, est catégorisée dans les aires de 700 000 habitants ou plus (hors Paris)[21],[22].

    Occupation des sols

    Carte des infrastructures et de l'occupation des sols de la commune en 2018 (CLC).

    L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des territoires agricoles (53,8 % en 2018), en augmentation par rapport à 1990 (51,8 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : cultures permanentes (36,4 %), milieux à végétation arbustive et/ou herbacée (31,6 %), zones agricoles hétérogènes (17,4 %), forêts (10,5 %), zones urbanisées (4,1 %)[23].

    L'IGN met par ailleurs à disposition un outil en ligne permettant de comparer l’évolution dans le temps de l’occupation des sols de la commune (ou de territoires à des échelles différentes). Plusieurs époques sont accessibles sous forme de cartes ou photos aériennes : la carte de Cassini (XVIIIe siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[Carte 1].

    Toponymie

    Occitan : mont aut = mont haut[24].

    Histoire

    La commune est dominée par les ruines du Château de Montlaur, édifié au XIe siècle. Le château voit, entre autres, la naissance, en 1120, de Jean de Montlaur, évêque de Maguelone, qui fera condamner par le Pape l'hérésie des cathares qui déclenchera la croisade contre les Albigeois.

    En 1573, lors de la quatrième guerre de religion, les troupes protestantes, descendant des Cévennes, assiègent sans succès le château qui est situé sur une position stratégique.

    Redevenu possession du parti catholique, il est assiégé pendant la première rébellion huguenote, en 1622, par Henri, duc de Rohan. Le château tombe après une semaine de siège, le Lundi de Pâques ; les défenseurs sont massacrés. Les vainqueurs enverront le baron de Montlaur dans les geôles protestantes du château de Sommières et le libéreront après paiement d'une importante rançon. Les fortifications du château seront démolies et le château démantelé. Montaud est un village né de ce démantèlement.

    En 1664, Louis XIV fera ajouter aux armoiries des Montlaur sept fleurs de lys d'argent pour récompenser la résistance du château lors du siège de 1622[25].

    Héraldique

    Blason
    D'or à Sainte Marguerite de carnation, habillée d'azur et de gueules, foulant aux pieds un dragon de sinople qu'elle tient attaché à sa dextre par une chaîne d'argent.
    Détails
    Le statut officiel du blason reste à déterminer.

    Politique et administration

    Municipalité

    Liste des maires successifs
    Période Identité Étiquette Qualité
    mars 1977 mars 2014 Pierre Combettes    
    mars 2014 En cours Joël Raymond LREM Fonctionnaire, suppléant de la députée Coralie Dubost
    Les données manquantes sont à compléter.

    Démographie

    L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. À partir de 2006, les populations légales des communes sont publiées annuellement par l'Insee. Le recensement repose désormais sur une collecte d'information annuelle, concernant successivement tous les territoires communaux au cours d'une période de cinq ans. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[26]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2007[27].

    En 2018, la commune comptait 1 007 habitants[Note 7], en augmentation de 4,24 % par rapport à 2013 (Hérault : +6,12 %, France hors Mayotte : +1,78 %).

    Évolution de la population  [modifier]
    1793 1800 1806 1821 1831 1836 1841 1846 1851
    201162167284206227280261298
    1856 1861 1866 1872 1876 1881 1886 1891 1896
    279279280283268228202230218
    1901 1906 1911 1921 1926 1931 1936 1946 1954
    249260272263268304284315306
    1962 1968 1975 1982 1990 1999 2006 2007 2012
    292290298413545616819848949
    2017 2018 - - - - - - -
    9911 007-------
    De 1962 à 1999 : population sans doubles comptes ; pour les dates suivantes : population municipale.
    (Sources : Ldh/EHESS/Cassini jusqu'en 1999[28] puis Insee à partir de 2006[29].)
    Histogramme de l'évolution démographique

    Lieux et monuments

    Château de Montlaur

    L’origine du château, berceau de cette ancienne maison, se perd dans la nuit des temps. Il appartenait déjà aux seigneurs de ce nom quand, en l’année 1095, Pons et Bernard de Montlaur se croisèrent avec Raymond comte de Toulouse pour délivrer les lieux saints en conséquence du concile de Clermont. Il fut transmis de père en fils depuis lors jusqu’à Hector de Montlaur commandant pour le roi en 1424 la garde de Montpellier, dont le fils Antoine sans héritier mâle, transmit tous ses biens à son cousin Jean III de Montlaur Baron de Murles (arrêt du parlement de Toulouse en date du ).

    En 1592, le château et la baronnie appartenaient à Marthe de Montlaur. Elle les cède à son proche parent Jean de Bousquet-Verlhac, de cette maison du Quercy ayant donné un cardinal au XIIIe siècle, qui venait d’épouser en 1590 une petite-fille de Jean V de Montlaur. Pour sa descendance le fief sera érigé en marquisat en vertu de lettres patentes données par Louis XIV à Saint-Germain-en-Laye le , enregistré en 1680.

    En 1748, Jacques-Josèphe-Toussaint-Hercule IIe marquis de Montlaur meurt sans enfant laissant son héritage à sa petite-nièce, fille d'Étienne de Montlaur et de Marie de Faur, mariée en 1740 à Henri-Joseph-Eugène de Villardi, comte de Quinson, de cette maison originaire du Milanais, possessionné en Provence avant 1350 qui rend hommage cette même année 1748, comme IIIe marquis de Montlaur. Son fils Gabriel-Joseph-Raymond, baron des États de Languedoc en 1784 fera substituer son nom et armes à celles de Montlaur et Louis XVI ré-érigera pour lui en marquisat par lettres patentes données à Versailles en 1782, enregistrées en 1787. Depuis cette époque le château n’a pas cessé d’appartenir à la même famille.

    Parmi les membres les plus connus de la maison de Montlaur on peut citer[30] :

    • Pons, seigneur de Montlaur et son frère Bernard II de Montlaur, seigneur de Vailhauquès. Les deux frères participèrent à la Première Croisade en 1096 avec les comtes Raymond de Saint-Gilles (Raymond IV de Toulouse) et Guilhem V de Montpellier[31] ;
    • Jean Ier de Montlaur, fils de Bernard II, évêque de Maguelone de 1158 à 1190, né au château de Montlaur en 1120[32] ;
    • Hughes de Montlaur, maître de la Milice du Temple en Provence et en Espagne. Maréchal de l'ordre, il est mort en 1244 à la Bataille de La Forbie (Hiribya, Palestine) ;
    • Pierre de Montlaur, évêque de Marseille de 1214 à 1229 ;
    • Jean II de Montlaur, évêque de Maguelone de 1232 à 1247 (Liste des évêques de Maguelone) ;
    • François de Montlaur-Bousquet (1591-1650), baron de Montlaur, qui défendit le château lors du siège mené par le duc de Rohan en 1622[33], durant les rébellions huguenotes ;
    • En 1793, durant la Révolution française, Gabriel de Villardi, marquis de Montlaur fut arrêté et incarcéré à Paris. Il fut libéré le 9 thermidor (27 juillet 1794). Il était impliqué dans un complot visant à libérer la reine Marie-Antoinette ;
    • Arlette de Villardi de Montlaur, née Arlette de Failly. Elle participa à la Résistance contre l'envahisseur nazi. Elle fut faite prisonière et fut déportée au camp de Ravensbrück où elle fut assassinée le 1er décembre 1944 [1] [archive] ;
    • Guy de Villardi de Montlaur (appelé Guy de Montlaur), rejoint l'Angleterre en 1942 et débarqua en Normandie le 6 juin 1944 et à Flessingue (Hollande) le 1er novembre 1944 avec les commandos Kieffer (1er Bataillon de Fusiliers Marins Commandos), peintre [archive].
    Jeu du ballon : carte postale (1re moitié du XXe siècle).

    Personnalités liées à la commune

    • Gaston Baissette, médecin, historien de la médecine, écrivain et poète.
    • Madeleine Attal, femme aux multiples talents qui a consacré une grande partie de sa vie au théâtre et la création radiophonique[34].

    Notes et références

    Notes et cartes

    • Notes
    1. L'amplitude thermique annuelle mesure la différence entre la température moyenne de juillet et celle de janvier. Cette variable est généralement reconnue comme critère de discrimination entre climats océaniques et continentaux.
    2. La distance est calculée à vol d'oiseau entre la station météorologique proprement dite et le chef-lieu de commune.
    3. Dans les sites Natura 2000, les États membres s'engagent à maintenir dans un état de conservation favorable les types d'habitats et d'espèces concernés, par le biais de mesures réglementaires, administratives ou contractuelles[13].
    4. Les ZNIEFF de type 2 sont de grands ensembles naturels riches, ou peu modifiés, qui offrent des potentialités biologiques importantes.
    5. Selon le zonage des communes rurales et urbaines publié en novembre 2020, en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le en comité interministériel des ruralités.
    6. La notion d'aire d'attraction des villes a remplacé en octobre 2020 l'ancienne notion d'aire urbaine, pour permettre des comparaisons cohérentes avec les autres pays de l'Union européenne.
    7. Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2021, millésimée 2018, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2020, date de référence statistique : 1er janvier 2018.
    • Cartes
    1. IGN, « Évolution de l'occupation des sols de la commune sur cartes et photos aériennes anciennes. », sur remonterletemps.ign.fr (consulté le ). Pour comparer l'évolution entre deux dates, cliquer sur le bas de la ligne séparative verticale et la déplacer à droite ou à gauche. Pour comparer deux autres cartes, choisir les cartes dans les fenêtres en haut à gauche de l'écran.

    Références

    1. Daniel Joly, Thierry Brossard, Hervé Cardot, Jean Cavailhes, Mohamed Hilal et Pierre Wavresky, « Les types de climats en France, une construction spatiale », Cybergéo, revue européenne de géographie - European Journal of Geography, no 501, (DOI https://doi.org/10.4000/cybergeo.23155, lire en ligne, consulté le )
    2. « Le climat en France métropolitaine », sur http://www.meteofrance.fr/, (consulté le )
    3. « Définition d’une normale climatologique », sur http://www.meteofrance.fr/ (consulté le )
    4. « Le climat de la France au XXIe siècle - Volume 4 - Scénarios régionalisés : édition 2014 pour la métropole et les régions d’outre-mer », sur https://www.ecologie.gouv.fr/ (consulté le ).
    5. « Observatoire régional sur l'agriculture et le changement climatique (oracle) Occitanie », sur occitanie.chambre-agriculture.fr, (consulté le )
    6. « Station Météo-France Saint-Drezery - métadonnées », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le )
    7. « Orthodromie entre Montaud et Saint-Drézéry », sur fr.distance.to (consulté le ).
    8. « Station Météo-France Saint-Drezery - fiche climatologique - statistiques 1981-2010 et records », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le ).
    9. « Orthodromie entre Montaud et Mauguio », sur fr.distance.to (consulté le ).
    10. « Station météorologique de Montpellier-Aéroport - Normales pour la période 1971-2000 », sur https://www.infoclimat.fr/ (consulté le )
    11. « Station météorologique de Montpellier-Aéroport - Normales pour la période 1981-2010 », sur https://www.infoclimat.fr/ (consulté le )
    12. « Station météorologique de Montpellier-Aéroport - Normales pour la période 1991-2020 », sur https://www.infoclimat.fr/ (consulté le )
    13. Réseau européen Natura 2000, Ministère de la transition écologique et solidaire
    14. « Liste des zones Natura 2000 de la commune de Montaud », sur le site de l'Inventaire national du patrimoine naturel (consulté le ).
    15. « site Natura 2000 FR9112004 - fiche descriptive », sur le site de l'inventaire national du patrimoine naturel (consulté le )
    16. « Liste des ZNIEFF de la commune de Montaud », sur le site de l'Inventaire national du patrimoine naturel (consulté le ).
    17. « ZNIEFF les « plaines et garrigues du Nord Montpelliérais » - fiche descriptive », sur le site de l'inventaire national du patrimoine naturel (consulté le ).
    18. « Typologie urbain / rural », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
    19. « Commune rurale - définition », sur le site de l’Insee (consulté le ).
    20. « Comprendre la grille de densité », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
    21. « Base des aires d'attraction des villes 2020. », sur insee.fr, (consulté le ).
    22. Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier Pégaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans l’aire d’attraction d’une ville », sur insee.fr, (consulté le ).
    23. « CORINE Land Cover (CLC) - Répartition des superficies en 15 postes d'occupation des sols (métropole). », sur le site des données et études statistiques du ministère de la Transition écologique. (consulté le )
    24. Frank R. Hamlin et abbé André Cabrol, Les noms de lieux du département de l'Hérault : Dictionnaire Topographique et Étymologique, , 415 p. (ISBN 2-904624-00-7, lire en ligne), p. 244
    25. Château de Montlaur
    26. L'organisation du recensement, sur insee.fr.
    27. Calendrier départemental des recensements, sur insee.fr.
    28. Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes études en sciences sociales.
    29. Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017 et 2018.
    30. Le château de Montlaur (Hérault) et la famille de Montlaur
    31. Charles d'Aigrefeuille, Histoire de la ville de Montpellier, Monrpellier, , T 1.
    32. J Rouquette et A Villemagne, Cartulaire de Maguelone, Montpellier, Librairie Louis Valat, , T2, fasc. 8.
    33. Marquis de Montlaur, Histoire d'un nom, Paris, .
    34. Philippe-Jean Catinchi, « La mort de l’écrivain Jep Gouzy », Le Monde, (lire en ligne, consulté le ).

    Voir aussi

    Bibliographie

    • Club des toujours jeunes de Montaud, Montaud : la légende du XXe siècle, Castries, Les Éd. du Mistral, coll. « Terres du Sud », , 129 p.

    Fonds d'archives

    Articles connexes

    Liens externes

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