Monléon-Magnoac
Monléon-Magnoac est une commune française située dans le département des Hautes-Pyrénées, en région Occitanie.
Monléon-Magnoac | ||
![]() L'église Saint-Jean-Baptiste et la Porte fortifiée. | ||
Administration | ||
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Pays | ![]() |
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Région | Occitanie | |
Département | Hautes-Pyrénées | |
Arrondissement | Tarbes | |
Intercommunalité | Communauté de communes du Pays de Trie et du Magnoac | |
Maire Mandat |
Gérard Barthe 2020-2026 |
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Code postal | 65670 | |
Code commune | 65315 | |
Démographie | ||
Gentilé | Monléonnais | |
Population municipale |
425 hab. (2018 ![]() |
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Densité | 22 hab./km2 | |
Géographie | ||
Coordonnées | 43° 15′ 07″ nord, 0° 31′ 09″ est | |
Altitude | Min. 295 m Max. 507 m |
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Superficie | 19,66 km2 | |
Type | Commune rurale | |
Aire d'attraction | Commune hors attraction des villes | |
Élections | ||
Départementales | Canton des Coteaux | |
Législatives | Première circonscription | |
Localisation | ||
Géolocalisation sur la carte : France
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Ses habitants sont appelés les Monléonnais.
Géographie
Localisation
La commune de Monléon-Magnoac se trouve dans le département des Hautes-Pyrénées, en région Occitanie[1].
Elle se situe à 36 km à vol d'oiseau de Tarbes[2], préfecture du département, et à 14 km de Trie-sur-Baïse[3], bureau centralisateur du canton des Coteaux dont dépend la commune depuis 2015 pour les élections départementales[1]. La commune fait en outre partie du bassin de vie de Boulogne-sur-Gesse[1].
Les communes les plus proches[Note 1] sont[4] : Cizos (2,5 km), Villemur (2,5 km), Aries-Espénan (3,0 km), Devèze (3,3 km), Pouy (3,3 km), Caubous (3,5 km), Laran (3,5 km), Gaussan (3,6 km).
Sur le plan historique et culturel, Monléon-Magnoac fait partie de la région gasconne de Magnoac, située sur le plateau de Lannemezan, qui reprend une partie de l’ancien Nébouzan, qui possédait plusieurs enclaves au cœur de la province de Comminges et a évolué dans ses frontières jusqu’à plus ou moins disparaitre[5].
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Hydrographie
Le canal de la Gimone forme la limite est avec la commune de Bazordan.
Le Cier et son affluent de rive droite le Cier d'Arpajan arrosent la commune du sud au nord.
Le Gers traverse la commune du sud au nord à l'ouest du village.
Le ruisseau de Jouau, affluent de rive gauche du Gers, traverse la commune du sud au nord et forme une partie de la limite ouest avec la commune de Cizos.
L'Ousse, affluent de rive gauche du Gers, traverse la commune d'ouest en est et forme une partie de la limite sud-ouest avec la commune de Laran.
Climat
Le climat qui caractérise la commune est qualifié, en 2010, de « climat océanique altéré », selon la typologie des climats de la France qui compte alors huit grands types de climats en métropole[7]. En 2020, la commune ressort du même type de climat dans la classification établie par Météo-France, qui ne compte désormais, en première approche, que cinq grands types de climats en métropole. Il s’agit d’une zone de transition entre le climat océanique et les climats de montagne et le climat semi-continental. Les écarts de température entre hiver et été augmentent avec l'éloignement de la mer. La pluviométrie est plus faible qu'en bord de mer, sauf aux abords des reliefs[8].
Les paramètres climatiques qui ont permis d’établir la typologie de 2010 comportent six variables pour les températures et huit pour les précipitations, dont les valeurs correspondent aux données mensuelles sur la normale 1971-2000[9]. Les sept principales variables caractérisant la commune sont présentées dans l'encadré ci-après.
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Avec le changement climatique, ces variables ont évolué. Une étude réalisée en 2014 par la Direction générale de l'Énergie et du Climat[10] complétée par des études régionales[11] prévoit en effet que la température moyenne devrait croître et la pluviométrie moyenne baisser, avec toutefois de fortes variations régionales. Ces changements peuvent être constatés sur la station météorologique de Météo-France la plus proche, « Gavarnie », sur la commune de Gaussan, mise en service en 1992[12]et qui se trouve à 4 km à vol d'oiseau[13],[Note 3], où la température moyenne annuelle est de 7,6 °C et la hauteur de précipitations de 1 466,6 mm pour la période 1981-2010[14]. Sur la station météorologique historique la plus proche, « Tarbes-Lourdes-Pyrénées », sur la commune d'Ossun, mise en service en 1946 et à 45 km[15], la température moyenne annuelle évolue de 12,2 °C pour la période 1971-2000[16], à 12,6 °C pour 1981-2010[17], puis à 12,9 °C pour 1991-2020[18].
Milieux naturels et biodiversité
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L’inventaire des zones naturelles d'intérêt écologique, faunistique et floristique (ZNIEFF) a pour objectif de réaliser une couverture des zones les plus intéressantes sur le plan écologique, essentiellement dans la perspective d’améliorer la connaissance du patrimoine naturel national et de fournir aux différents décideurs un outil d’aide à la prise en compte de l’environnement dans l’aménagement du territoire. Une ZNIEFF de type 1[Note 4] est recensée sur la commune[19] : les « bois et tourbière d´Arné et Garaison » (70 ha), couvrant 3 communes dont une dans la Haute-Garonne et deux dans les Hautes-Pyrénées[20].
Urbanisme
Typologie
Monléon-Magnoac est une commune rurale, car elle fait partie des communes peu ou très peu denses, au sens de la grille communale de densité de l'Insee[Note 5],[21],[22],[23]. La commune est en outre hors attraction des villes[24],[25].
Occupation des sols
L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des territoires agricoles (63,7 % en 2018), une proportion identique à celle de 1990 (63,8 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : zones agricoles hétérogènes (54,2 %), forêts (36,2 %), terres arables (9,5 %)[26].
L'IGN met par ailleurs à disposition un outil en ligne permettant de comparer l’évolution dans le temps de l’occupation des sols de la commune (ou de territoires à des échelles différentes). Plusieurs époques sont accessibles sous forme de cartes ou photos aériennes : la carte de Cassini (XVIIIe siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[Carte 1].
- Carte des infrastructures et de l'occupation des sols en 2018 (CLC) de la commune.
- Carte orthophotogrammétrique de la commune.
Logement
En 2012, le nombre total de logements dans la commune est de 254[27].
Parmi ces logements, 70,0 % sont des résidences principales, 16,6 % des résidences secondaires et 13,4 % des logements vacants.
Voies de communication et transports
Cette commune est desservie par la route départementale D 929 et par les routes départementales D 9, D 28 et D 33.
Toponymie
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On trouvera les principales informations dans le Dictionnaire toponymique des communes des Hautes Pyrénées de Michel Grosclaude et Jean-François Le Nail[28] qui rapporte les dénominations historiques du village :
Dénominations historiques :
- de Monteleone, latin (1383-1384, procuration Auch) ;
- de Monte Leone, latin (1405, décime Auch ; XVe s., taxes Auch) ;
- Montléon (1746, Brugèles) ;
- Monleon (fin XVIIIe siècle, carte de Cassini).
Étymologie : du latin montem et leonem, gascon mont et lion (le mont du lion).
Nom occitan : Montlion.
Histoire
Une jeune fille de la commune de Mont-Léon, nommée Anglèze de Sagasan, avait affirmé avoir entendu la Vierge lui demander de construire une chapelle près de la source. Cela se passait en 1515. La chapelle a bien été construite et le sanctuaire, appelé Notre-Dame-de-Garaison (« Guérison ») a été un lieu de dévotion, de pèlerinage et de tourisme religieux aux siècles suivants. C'est aujourd'hui une école et un collège.
La communauté possédait deux moulins à eau. En 1653 elle était en procès avec son fermier Dominique Espenan qui voulait obtenir une indemnité pour la perte de clientèle résultant d'un chemin impraticable menant à l'un des moulins, la communauté négligeant de le faire réparer. (Sentence d'arbitrage inédite)
Cadastre napoléonien de Monléon-Magnoac
Le plan cadastral napoléonien de Monléon-Magnoac est consultable sur le site des archives départementales des Hautes-Pyrénées[29].
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Politique et administration
Liste des maires
Historique administratif
Sénéchaussée d'Auch, pays des Quatre-Vallées, vallée de Magnoac, canton de Castelnau-Magnoac, chef-lieu à Monléon-Magnoac (1790) puis Castelnau-Magnoac (1801). Le Goua, commune en 1790, lui est rattachée entre 1791 et 1801[30].
Intercommunalité
Monléon-Magnoac appartient à la communauté de communes du Pays de Trie et du Magnoac créée en et qui réunit 50 communes.
La commune est également membre du SIVOM de Saint-Gaudens Montréjeau Aspet Magnoac.
Services publics
La commune de Monléon-Magnoac dispose d'une agence postale.
Démographie
L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. À partir de 2006, les populations légales des communes sont publiées annuellement par l'Insee. Le recensement repose désormais sur une collecte d'information annuelle, concernant successivement tous les territoires communaux au cours d'une période de cinq ans. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[32]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2005[33]. En 2018, la commune comptait 425 habitants[Note 6], en diminution de 4,49 % par rapport à 2013 (Hautes-Pyrénées : +0,14 %, France hors Mayotte : +1,78 %). |
C'est la commune de Midi-Pyrénées avec le plus fort taux de population comptée à part en 2006 selon l'Insee, avec 33,5 % (233 personnes pour une population totale de 695 habitants). Ce taux est dû à la présence de l'internat de l'institution Notre-Dame-de-Garaison.
Population et société
Enseignement
La commune dépend de l'académie de Toulouse. Elle dispose d’une école en 2017[36].
Culture locale et patrimoine
Lieux et monuments
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Carte postale de la Porte fortifiée.
- Église Saint-Jean-Baptiste, reconnue comme gothique tardif du XVe siècle, inscrite aux monuments historiques le [37].
- Sanctuaire de Notre-Dame-de-Garaison de Monléon-Magnoac, inscrite aux monuments historiques le [38].
- Chapelle des Pénitents.
- Croix monumentale, souvenir de la mission de 1840.
- Manoir de Garaison, un ancien abri de pèlerins, inscrit aux monuments historiques le [39].
- Porte fortifiée. Ancien petit corps de logis qui était destiné à l'usage des gardiens de la ville, inscrit aux monuments historiques le [40]. La Porte fortifiée a été restauré en 2018 (c'est la première fois depuis 600 ans)[41].
- Maisons à colombages.
- Entrée du sanctuaire de Notre-Dame de Garaison.
- Oratoire avec la Vierge Marie à l'enfant sur la route du sanctuaire de Notre-Dame de Garaison.
- À l'entrée du sanctuaire de Notre-Dame de Garaison, un abri du pélerin construit en 1560 et restauré en 2004 avec l'aide de l'Union Européenne.
- La chapelle des Pénitents en 2017.
- Croix monumentale, souvenir de la mission de 1840
- Maison à colombages
- La Porte fortifiée vue du nord
- Partie supérieur de la Porte fortifiée avec un blason où est représenté un lion
Personnalités liées à la commune
- Charles Noguès, général français, natif de Monléon-Magnoac.
- Albert Schweitzer fut consigné durant la Première Guerre mondiale dans le camp d'internement de Garaison avant d'être transféré à Saint-Rémy-de-Provence[42].
- Au XVIIIe siècle, le baryton François Lay (ou Laÿs), chanteur préféré de la reine Marie-Antoinette, un temps membre du club révolutionnaire des Jacobins, puis premier chantre de la chapelle impériale des Tuileries, sous Napoléon Ier, avait reçu une éducation vocale et musicale déjà très élaborée, à la maîtrise du monastère de Garaison, sous la direction du maître de musique (Charles ?) Durand (appelé aussi Durant ou Dunand)[43].
- Raymond d'Espouy (1892-1955), pyrénéiste français, natif de Monléon-Magnoac.
- Pierre-Catherine Cizos-Natou (1746-1812), avocat en parlement, syndic des 4 Vallées (archives familiales).
Héraldique
Il n'y a pas de blason officiel sur cette commune.
Voir aussi
Articles connexes
Liens externes
- Ressource relative à la géographie :
- Ressource relative aux organisations :
- Monléon-Magnoac sur le site de l'Insee
- Monléon-Magnoac sur le site de l'Institut géographique national
- L'ouvrage de Bordedebat, numérisé à la Bibliothèque nationale
Notes et références
Notes et cartes
- Notes
- Les distances sont mesurées entre chefs-lieux de communes à vol d'oiseau.
- L'amplitude thermique annuelle mesure la différence entre la température moyenne de juillet et celle de janvier. Cette variable est généralement reconnue comme critère de discrimination entre climats océaniques et continentaux.
- La distance est calculée à vol d'oiseau entre la station météorologique proprement dite et le chef-lieu de commune.
- Les ZNIEFF de type 1 sont des secteurs d’une superficie en général limitée, caractérisés par la présence d’espèces, d’association d’espèces ou de milieux rares, remarquables, ou caractéristiques du milieu du patrimoine naturel régional ou national.
- Selon le zonage des communes rurales et urbaines publié en novembre 2020, en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le en comité interministériel des ruralités.
- Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2021, millésimée 2018, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2020, date de référence statistique : 1er janvier 2018.
- Cartes
- IGN, « Évolution de l'occupation des sols de la commune sur cartes et photos aériennes anciennes. », sur remonterletemps.ign.fr (consulté le ). Pour comparer l'évolution entre deux dates, cliquer sur le bas de la ligne séparative verticale et la déplacer à droite ou à gauche. Pour comparer deux autres cartes, choisir les cartes dans les fenêtres en haut à gauche de l'écran.
Références
- « Métadonnées de la commune de Monléon-Magnoac », sur le site de l'Insee (consulté le ).
- Stephan Georg, « Distance entre Monléon-Magnoac et Tarbes », sur https://fr.distance.to (consulté le ).
- Stephan Georg, « Distance entre Monléon-Magnoac et Trie-sur-Baïse », sur https://fr.distance.to (consulté le ).
- « Communes les plus proches de Monléon-Magnoac », sur www.villorama.com (consulté le ).
- Frédéric Zégierman, Le guide des pays de France - Sud, Paris, Fayard, (ISBN 2-213-59961-0), p. 341-342.
- Carte IGN sous Géoportail
- Daniel Joly, Thierry Brossard, Hervé Cardot, Jean Cavailhes, Mohamed Hilal et Pierre Wavresky, « Les types de climats en France, une construction spatiale », Cybergéo, revue européenne de géographie - European Journal of Geography, no 501, (DOI https://doi.org/10.4000/cybergeo.23155, lire en ligne, consulté le )
- « Le climat en France métropolitaine », sur http://www.meteofrance.fr/, (consulté le )
- « Définition d’une normale climatologique », sur http://www.meteofrance.fr/ (consulté le )
- « Le climat de la France au XXIe siècle - Volume 4 - Scénarios régionalisés : édition 2014 pour la métropole et les régions d’outre-mer », sur https://www.ecologie.gouv.fr/ (consulté le ).
- « Observatoire régional sur l'agriculture et le changement climatique (oracle) Occitanie », sur occitanie.chambre-agriculture.fr, (consulté le )
- « Station Météo-France Gavarnie - métadonnées », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le )
- « Orthodromie entre Monléon-Magnoac et Gaussan », sur fr.distance.to (consulté le ).
- « Station Météo-France Gavarnie - fiche climatologique - statistiques 1981-2010 et records », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le ).
- « Orthodromie entre Monléon-Magnoac et Ossun », sur fr.distance.to (consulté le ).
- « Station météorologique de Tarbes-Lourdes-Pyrénées - Normales pour la période 1971-2000 », sur https://www.infoclimat.fr/ (consulté le )
- « Station météorologique de Tarbes-Lourdes-Pyrénées - Normales pour la période 1981-2010 », sur https://www.infoclimat.fr/ (consulté le )
- « Station météorologique de Tarbes-Lourdes-Pyrénées - Normales pour la période 1991-2020 », sur https://www.infoclimat.fr/ (consulté le )
- « Liste des ZNIEFF de la commune de Monléon-Magnoac », sur le site de l'Inventaire national du patrimoine naturel (consulté le ).
- « ZNIEFF les « bois et tourbière d´Arné et Garaison » - fiche descriptive », sur le site de l'inventaire national du patrimoine naturel (consulté le ).
- « Typologie urbain / rural », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
- « Commune rurale - définition », sur le site de l’Insee (consulté le ).
- « Comprendre la grille de densité », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
- « Base des aires d'attraction des villes 2020. », sur insee.fr, (consulté le ).
- Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier Pégaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans l’aire d’attraction d’une ville », sur insee.fr, (consulté le ).
- « CORINE Land Cover (CLC) - Répartition des superficies en 15 postes d'occupation des sols (métropole). », sur le site des données et études statistiques du ministère de la Transition écologique. (consulté le )
- Insee : Rapport statistique communal pour la commune de Monléon-Magnoac
- Michel Grosclaude et Jean-François Le Nail, Dictionnaire toponymique des communes des Hautes Pyrénées intégrant les travaux de Jacques Boisgontier, Conseil Général des Hautes Pyrénées, 2000.
- Archives départementales des Hautes-Pyrénées : Plan cadastral de Monléon-Magnoac
- Archives départementales des Hautes-Pyrénées
- « Liste des juridictions compétentes pour Monléon-Magnoac », sur le site du ministère de la Justice (consulté le )
- L'organisation du recensement, sur insee.fr.
- Calendrier départemental des recensements, sur insee.fr.
- Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes études en sciences sociales.
- Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017 et 2018.
- « Annuaire : Résultats de recherche », sur le site du ministère de l'Éducation nationale (consulté le ).
- notice PA00095400
- Notice PA00095399
- Notice PA00095401 Ancienne maison de pèlerins, dite Manoir de Garaison
- Notice PA00095402
- « Monléon-Magnoac. Restauration du porche », sur ladepeche.fr (consulté le ).
- http://www.gunsbach.fr/albert_schweitzer.htm
- Prosper Bordedebat, Notre-Dame de Garaison depuis les apparitions jusqu’à la Révolution française 1500-1792, Lourdes, Imprimerie de la Grotte, 1901, VIII-287 p. (2e éd. 1904, G. Lescher-Moutoué, X-281 p., illustrations) ; Durand, à Garaison.
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