Moncrabeau

Moncrabeau est une commune du Sud-Ouest de la France, située dans le département de Lot-et-Garonne (région Nouvelle-Aquitaine).

Ne doit pas être confondu avec Royale Moncrabeau.

Moncrabeau

L'Église Sainte-Marie-Madeleine.

Blason
Administration
Pays France
Région Nouvelle-Aquitaine
Département Lot-et-Garonne
Arrondissement Nérac
Intercommunalité Communauté de communes Albret Communauté
Maire
Mandat
Nicolas Choisnel
2020-2026
Code postal 47600
Code commune 47174
Démographie
Gentilé Moncrabelais
Population
municipale
738 hab. (2018 )
Densité 15 hab./km2
Géographie
Coordonnées 44° 02′ 05″ nord, 0° 22′ 18″ est
Altitude Min. 52 m
Max. 185 m
Superficie 49,94 km2
Type Commune rurale
Aire d'attraction Nérac
(commune de la couronne)
Élections
Départementales Canton de l'Albret
Législatives Première circonscription
Localisation
Géolocalisation sur la carte : Nouvelle-Aquitaine
Moncrabeau
Géolocalisation sur la carte : Lot-et-Garonne
Moncrabeau
Géolocalisation sur la carte : France
Moncrabeau
Géolocalisation sur la carte : France
Moncrabeau
Liens
Site web Site de la mairie

    Géographie

    Localisation

    Commune située dans le Pays d'Albret sur la Baïse entre Condom et Nérac. Elle est limitrophe du département du Gers.

    Communes limitrophes

    Climat

    Le climat qui caractérise la commune est qualifié, en 2010, de « climat du Bassin du Sud-Ouest », selon la typologie des climats de la France qui compte alors huit grands types de climats en métropole[2]. En 2020, la commune ressort du type « climat océanique altéré » dans la classification établie par Météo-France, qui ne compte désormais, en première approche, que cinq grands types de climats en métropole. Il s’agit d’une zone de transition entre le climat océanique et les climats de montagne et semi-continental. Les écarts de température entre hiver et été augmentent avec l'éloignement de la mer. La pluviométrie est plus faible qu'en bord de mer, sauf aux abords des reliefs[3].

    Les paramètres climatiques qui ont permis d’établir la typologie de 2010 comportent six variables pour les températures et huit pour les précipitations, dont les valeurs correspondent aux données mensuelles sur la normale 1971-2000[4]. Les sept principales variables caractérisant la commune sont présentées dans l'encadré ci-après.

    Paramètres climatiques communaux sur la période 1971-2000[2]

    • Moyenne annuelle de température : 13,4 °C
    • Nombre de jours avec une température inférieure à −5 °C : 1,4 j
    • Nombre de jours avec une température supérieure à 30 °C : 9,8 j
    • Amplitude thermique annuelle[Note 1] : 15,3 °C
    • Cumuls annuels de précipitation[Note 2] : 773 mm
    • Nombre de jours de précipitation en janvier : 9,7 j
    • Nombre de jours de précipitation en juillet : 6,5 j

    Avec le changement climatique, ces variables ont évolué. Une étude réalisée en 2014 par la Direction générale de l'Énergie et du Climat[6] complétée par des études régionales[7] prévoit en effet que la température moyenne devrait croître et la pluviométrie moyenne baisser, avec toutefois de fortes variations régionales. Ces changements peuvent être constatés sur la station météorologique de Météo-France la plus proche, « Laplume », sur la commune de Laplume, mise en service en 1999[8]et qui se trouve à 15 km à vol d'oiseau[9],[Note 3], où la température moyenne annuelle est de 13,9 °C et la hauteur de précipitations de 757,8 mm pour la période 1981-2010[10]. Sur la station météorologique historique la plus proche, « Agen-La Garenne », sur la commune d'Estillac, mise en service en 1941 et à 21 km[11], la température moyenne annuelle évolue de 13,1 °C pour la période 1971-2000[12], à 13,4 °C pour 1981-2010[13], puis à 13,8 °C pour 1991-2020[14].

    Urbanisme

    Typologie

    Moncrabeau est une commune rurale, car elle fait partie des communes peu ou très peu denses, au sens de la grille communale de densité de l'Insee[Note 4],[15],[16],[17].

    Par ailleurs la commune fait partie de l'aire d'attraction de Nérac, dont elle est une commune de la couronne[Note 5]. Cette aire, qui regroupe 17 communes, est catégorisée dans les aires de moins de 50 000 habitants[18],[19].

    Occupation des sols

    Carte des infrastructures et de l'occupation des sols de la commune en 2018 (CLC).

    L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des territoires agricoles (94,4 % en 2018), une proportion identique à celle de 1990 (94,3 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : terres arables (66,1 %), zones agricoles hétérogènes (25,1 %), forêts (5,7 %), cultures permanentes (2,6 %), prairies (0,6 %)[20].

    L'IGN met par ailleurs à disposition un outil en ligne permettant de comparer l’évolution dans le temps de l’occupation des sols de la commune (ou de territoires à des échelles différentes). Plusieurs époques sont accessibles sous forme de cartes ou photos aériennes : la carte de Cassini (XVIIIe siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[Carte 1].

    Toponymie

    Le nom de la localité est attesté sous la forme de monte Caprelli en 1281[21].

    Il s'agit sans doute d'une formation toponymique médiévale en Mont-, au sens d'« élévation, colline », comme semble l'indiquer les formes latinisées, alors que la forme actuelle est en Mon- (sans t). Il est suivi d'un élément cabrel ou craba > crabeau qui semble représenter un animal[21]. Cabrel > crabel (avec une métathèse de [r] propre au gascon) est sans doute dérivé de craba « chèvre ».

    Quasi homonymie avec Montchevrel (Orne, Montchevreil 1247)[21] de type normand méridional et Montcavrel (Pas-de-Calais)[21] de type picard.

    Héraldique

    Blason
    Écartelé : au premier et au quatrième d'azur aux trois fleurs de lys d'or, au deuxième et au troisième d'argent plain[22].
    Détails
    Le statut officiel du blason reste à déterminer.

    Politique et administration

    Liste des maires successifs
    Période Identité Étiquette Qualité
    mars 1983 [23] Christian Lussagnet UMP Conseiller général du canton de Francescas (2001-2015)
    En cours Nicolas Choisnel UMP[24]  
    Les données manquantes sont à compléter.

    Démographie

    L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. À partir de 2006, les populations légales des communes sont publiées annuellement par l'Insee. Le recensement repose désormais sur une collecte d'information annuelle, concernant successivement tous les territoires communaux au cours d'une période de cinq ans. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[25]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2008[26].

    En 2018, la commune comptait 738 habitants[Note 6], en diminution de 1,73 % par rapport à 2013 (Lot-et-Garonne : −0,36 %, France hors Mayotte : +1,78 %).

    Évolution de la population  [modifier]
    1793 1800 1806 1821 1831 1836 1841 1846 1851
    2 4842 6362 5562 5892 5222 5612 3702 2862 352
    1856 1861 1866 1872 1876 1881 1886 1891 1896
    2 2712 1972 1542 0622 0441 9951 9151 8281 755
    1901 1906 1911 1921 1926 1931 1936 1946 1954
    1 7401 6961 6081 3631 4941 4141 4001 3921 288
    1962 1968 1975 1982 1990 1999 2006 2007 2008
    1 1731 050915823789780810814818
    2013 2018 - - - - - - -
    751738-------
    De 1962 à 1999 : population sans doubles comptes ; pour les dates suivantes : population municipale.
    (Sources : Ldh/EHESS/Cassini jusqu'en 1999[27] puis Insee à partir de 2006[28].)
    Histogramme de l'évolution démographique

    Lieux et monuments

    Patrimoine civil

    Patrimoine religieux

    • Église Sainte-Marie-Madeleine, à Moncrabeau[36] ;
    • Église Saint-Sigismond, au lieu-dit Vialère[37] ;
    • Église Saint-Cyr, au lieu-dit Saint-Cirice[38] ;
    • Église Saint-Roch, au lieu-dit Pouy[39] ;
    • Église Sainte-Radegonde, au lieu-dit Marcadis[40] ;
    • Église Saint-Roch, au lieu-dit Lahitte[41] ;
    • Église Saint-Jean, au lieu-dit Gardères[42] ;
    • Église Saint-Clair, au lieu-dit Artigues, inscrite au titre des monuments historiques en 1994[43],[44].

    Patrimoine naturel

    Le coteau de Peyroutet est un site naturel remarquable géré par le conservatoire d'espaces naturels d'Aquitaine[45] depuis 1999 en partenariat avec les propriétaires, exploitants agricoles. Ce site offre un remarquable panorama sur les coteaux de l'Albret, parfois même sur la chaîne des Pyrénées. Il abrite une grande richesse écologique dont notamment près d'une trentaine d'espèces d'orchidées sauvages.

    Vie locale

    Culture

    • Festival des menteurs de Moncrabeau[46]. Les habitants de Moncrabeau se flattaient d’être les plus menteurs de tous les Gascons. Une « Académie des Menteurs » comprenant quarante membres existe depuis le XVIe siècle. Le festival élit chaque année le Roi des Menteurs, qui siège sur un trône de pierre.
    • "C’est un devoir, pour tout voyageur, d’aller à Moncrabeau prendre ses lettres de créance, comme chacun sait, puisqu’elles donnent à tous agrégés le droit de mentir en tous lieux, sans porter préjudice à autre qu’à la vérité... Voici, en peu de mots, l’origine de la singulière célébrité que Moncrabeau s’est acquise : Au commencement du siècle dernier [XVIIIe siècle] quelques militaires, retirés dans cette petite ville, formèrent une société qui se rassemblait sous la halle, pour y parler des affaires publiques et des événements du pays : cette réunion avait ses Métra *, ses abbés Trente-mille-hommes, qui suppléaient, par des nouvelles de leur invention, à celles qu’ils n’apprenaient pas assez vîte : leur talent, dans ce genre, fit une réputation à la ville où ils avaient établi cette fabrique de hableries, et valut à Moncrabeau le titre de chef-lieu de la diète générale des menteurs, hableurs et craqueurs du royaume. Un plaisant du pays rédigea des lettres-patentes, qu’il fit imprimer, et les expédia, dans toute l’Europe, à ceux qu’il jugea dignes d’un pareil honneur : depuis lors, les habitans de Moncrabeau ont ajouté à cette plaisanterie celle de conduire l’étranger qui fait quelque séjour au milieu d’eux à la salle de la diète, c’est-à-dire sous la halle ; de le faire asseoir sur la pierre de la vérité, et de lui expédier son brevet en bonnes formes". (Étienne de JOUY, L’hermite en province, 1818, t.I ; pp. 349-351). * Nouvellistes de l’arbre de Cracovie, au Palais-Royal.
    • Festival de Cauberotte (jazz, bio...).
    • Église Saint-Sigismond de Vialère - XIIe, redécouverte en 2009 sur le site d'une grange. Les fouilles indiquent une présence gallo-romaine datant du IVe siècle.
    • Membre de l'Association des communes de France aux noms burlesques et chantants.

    Personnalités liées à la commune

    • Joseph Ninon (1769-1834), homme politique né et mort à Moncrabeau.
    • Michel Goma styliste et costumier né à Moncrabeau.
    • Michel Gardère journaliste et écrivain né à Moncrabeau.
    • Kamel Khrissate.
    • Joseph Ninon : représentant à la Chambre des Cent-Jours, né à Moncrabeau le , mort le 24 octobre 1834, « fils de sieur Pierre Ninon, marchand et de demoiselle Marianne Claverie », maire de Moncrabeau, puis conseiller général (an XIII), et sous-préfet de Nérac sous le premier Empire, fut élu, le , représentant du grand collège de Lot-et-Garonne à la Chambre des Cent-Jours, par 41 voix sur 52 votants. Son rôle parlementaire prit fin avec cette courte législature, restant fidèle à l’Empereur[47].
    • Pierre-Hyacinthe Duvignau : dit « Fiton », né en 1754 à Bordeaux, fils de Jacques Duvigneau né à Moncrabeau le 10 octobre 1708, lui-même juge procureur au Parlement de Bordeaux. Pierre-Hyacinthe eut trois enfants dont l’aîné Jacques, juge de paix, percepteur des Impôts de Francescas, fut maire de Moncrabeau de 1822 à 1828. Le deuxième fils Pierre Gabriel fut maire de Condom et le troisième Jean-Baptiste, dit Timothée, dont nous n’aurons pas plus de précision. Comme se plaît à le qualifier Étienne Jouy ; Pierre-Hyacinthe avait un caractère entier, passionné, et était gagné aux idées de la Révolution. Il fut juge de Macau et procureur au parlement de Bordeaux, il eut une éducation soignée et fut reçu avocat à l’âge de 21 ans. franc-maçon initié à la française alors que la grande majorité des loges bordelaises initient selon les rites britanniques ou écossais. Il est membre du Musée et de la Société des amis de la Constitution dont il fut finalement le président. Sous l’Ancien Régime il fut procureur au Parlement de Guyenne. Lors de la création des tribunaux criminels, en 1791, il fut nommé greffier de celui de la Gironde. En 1792, après une indescriptible vague de massacres, il demanda la condamnation de Marat et ce dernier fut arrêté puis relâché. Robespierre en personne dut intervenir pour calmer la fougue de Duvignau. La ville de Bordeaux, afin de marquer son soutien à ses représentants, envoya des commissaires à la Convention nationale, pour réclamer une espèce d’inviolabilité de tous les membres qui la composaient et l’achèvement de la constitution. Cette démarche accéléra la perte des Girondins et des commissaires bordelais, Duvignau surtout. Il avait porté la parole, au nom de ses concitoyens, de la manière la plus énergique, il avait été jusqu’à dire que la Garde nationale de Bordeaux était prête à marcher sur Paris, pour y rétablir l’ordre légal. De son discours à la barre de la Convention le 14 mai 1793, les instants en restent marqués. Une mégère l’agresse en plein discours et déchire son texte qu’elle jette en morceaux à ses pieds, son allocution souleva une tempête sur les bancs de la Montagne. Le Jacobin Legendre l’injuria, le traitant de ci-devant et d’aristocrate. Boyer-Fonfrède qui ce jour présidait, eut fort à faire à rétablir l’ordre et protéger ses concitoyens girondins qui regagnèrent Bordeaux qu’avec beaucoup de difficultés. Les répercussions ne se firent point attendre, la Convention dépêchât les citoyens Isabeau et Baudot pour combattre cette contre-révolution, mais ils furent reçus à Bordeaux à coups de pierre et leur voiture précipitée dans la première marre boueuse. Quelque temps après son retour orageux, il fut livré, comme conspirateur et contre-révolutionnaire à une commission militaire qui le condamna à mort et à la confiscation de ses biens. À Bordeaux, sur l’actuelle place Gambetta, le 10 thermidor an II (27 juillet 1794), Pierre-Hyacinthe Duvignau fut exécuté la veille du jour où tomba Robespierre, il avait 40 ans.[réf. nécessaire]

    Voir aussi

    Articles connexes

    Liens externes

    Notes et références

    Notes et cartes

    • Notes
    1. L'amplitude thermique annuelle mesure la différence entre la température moyenne de juillet et celle de janvier. Cette variable est généralement reconnue comme critère de discrimination entre climats océaniques et continentaux.
    2. Une précipitation, en météorologie, est un ensemble organisé de particules d'eau liquide ou solide tombant en chute libre au sein de l'atmosphère. La quantité de précipitation atteignant une portion de surface terrestre donnée en un intervalle de temps donné est évaluée par la hauteur de précipitation, que mesurent les pluviomètres[5].
    3. La distance est calculée à vol d'oiseau entre la station météorologique proprement dite et le chef-lieu de commune.
    4. Selon le zonage des communes rurales et urbaines publié en novembre 2020, en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le en comité interministériel des ruralités.
    5. La notion d'aire d'attraction des villes a remplacé en octobre 2020 l'ancienne notion d'aire urbaine, pour permettre des comparaisons cohérentes avec les autres pays de l'Union européenne.
    6. Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2021, millésimée 2018, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2020, date de référence statistique : 1er janvier 2018.
    • Cartes
    1. IGN, « Évolution de l'occupation des sols de la commune sur cartes et photos aériennes anciennes. », sur remonterletemps.ign.fr (consulté le ). Pour comparer l'évolution entre deux dates, cliquer sur le bas de la ligne séparative verticale et la déplacer à droite ou à gauche. Pour comparer deux autres cartes, choisir les cartes dans les fenêtres en haut à gauche de l'écran.

    Références

    1. Carte IGN sous Géoportail
    2. Daniel Joly, Thierry Brossard, Hervé Cardot, Jean Cavailhes, Mohamed Hilal et Pierre Wavresky, « Les types de climats en France, une construction spatiale », Cybergéo, revue européenne de géographie - European Journal of Geography, no 501, (DOI https://doi.org/10.4000/cybergeo.23155, lire en ligne, consulté le )
    3. « Le climat en France métropolitaine », sur http://www.meteofrance.fr/, (consulté le )
    4. « Définition d’une normale climatologique », sur http://www.meteofrance.fr/ (consulté le )
    5. Glossaire – Précipitation, Météo-France
    6. « Le climat de la France au XXIe siècle - Volume 4 - Scénarios régionalisés : édition 2014 pour la métropole et les régions d’outre-mer », sur https://www.ecologie.gouv.fr/ (consulté le ).
    7. [PDF]« Observatoire régional sur l'agriculture et le changement climatique (oracle) Nouvelle-Aquitaine », sur nouvelle-aquitaine.chambres-agriculture.fr, (consulté le )
    8. « Station Météo-France Laplume - métadonnées », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le )
    9. « Orthodromie entre Moncrabeau et Laplume », sur fr.distance.to (consulté le ).
    10. « Station Météo-France Laplume - fiche climatologique - statistiques 1981-2010 et records », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le ).
    11. « Orthodromie entre Moncrabeau et Estillac », sur fr.distance.to (consulté le ).
    12. « Station météorologique d'Agen-La Garenne - Normales pour la période 1971-2000 », sur https://www.infoclimat.fr/ (consulté le )
    13. « Station météorologique d'Agen-La Garenne - Normales pour la période 1981-2010 », sur https://www.infoclimat.fr/ (consulté le )
    14. « Station météorologique d'Agen-La Garenne - Normales pour la période 1991-2020 », sur https://www.infoclimat.fr/ (consulté le )
    15. « Typologie urbain / rural », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
    16. « Commune rurale - définition », sur le site de l’Insee (consulté le ).
    17. « Comprendre la grille de densité », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
    18. « Base des aires d'attraction des villes 2020. », sur insee.fr, (consulté le ).
    19. Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier Pégaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans l’aire d’attraction d’une ville », sur insee.fr, (consulté le ).
    20. « CORINE Land Cover (CLC) - Répartition des superficies en 15 postes d'occupation des sols (métropole). », sur le site des données et études statistiques du ministère de la Transition écologique. (consulté le )
    21. Albert Dauzat et Charles Rostaing, Dictionnaire étymologique des noms de lieu en France, Paris, Librairie Guénégaud, (ISBN 2-85023-076-6), p. 467b.
    22. Cercle Héraldique, Généalogique et Historique du 47
    23. Christian Lussagnet démissionne de son poste de maire
    24. Article du Petit Bleu de Lot-et-Garonne du 3 avril 2013
    25. L'organisation du recensement, sur insee.fr.
    26. Calendrier départemental des recensements, sur insee.fr.
    27. Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes études en sciences sociales.
    28. Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017 et 2018.
    29. « Château de Lahitte », notice no PA00084173, base Mérimée, ministère français de la Culture.
    30. « Inventaire général : château (domaine agricole) », notice no IA47000743, base Mérimée, ministère français de la Culture.
    31. « Château de Pomarède », notice no PA00084174, base Mérimée, ministère français de la Culture.
    32. « Inventaire général : château (domaine agricole) », notice no IA47000736, base Mérimée, ministère français de la Culture.
    33. « Inventaire général : maison forte », notice no IA47000723, base Mérimée, ministère français de la Culture.
    34. « Restes de la villa romaine de Bapteste », notice no PA00084175, base Mérimée, ministère français de la Culture.
    35. « Inventaire général : villa antique », notice no IA47000730, base Mérimée, ministère français de la Culture.
    36. « Inventaire général : église paroissiale Sainte-Marie-Madeleine », notice no IA47000719, base Mérimée, ministère français de la Culture.
    37. « Inventaire général : église paroissiale Saint-Sigismond », notice no IA47000741, base Mérimée, ministère français de la Culture.
    38. « Inventaire général : église paroissiale Saint-Cyr », notice no IA47000738, base Mérimée, ministère français de la Culture.
    39. « Inventaire général : église paroissiale Saint-Roch », notice no IA47000737, base Mérimée, ministère français de la Culture.
    40. « Inventaire général : église paroissiale Sainte-Radegonde », notice no IA47000733, base Mérimée, ministère français de la Culture.
    41. « Inventaire général : église paroissiale Saint-Roch », notice no IA47000728, base Mérimée, ministère français de la Culture.
    42. « Inventaire général : église paroissiale Saint-Jean », notice no IA47000726, base Mérimée, ministère français de la Culture.
    43. « Église Saint-Clair d'Artigues », notice no PA00132536, base Mérimée, ministère français de la Culture.
    44. « Inventaire général : église paroissiale Saint-Clair », notice no IA47000721, base Mérimée, ministère français de la Culture.
    45. Le site du CEN Aquitaine
    46. http://www.albret-tourisme.com/modules/edito/content.php?id=48
    47. Histoire biographies 1789-1889 tome 4
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