Michel Klein (vétérinaire)
Michel Klein est un vétérinaire français né le à Sighetu Marmației (Roumanie). Il est essentiellement connu pour son activité vétérinaire sur les animaux de zoo, ainsi que pour ses émissions télévisées de sensibilisation en faveur de la cause animale dans le monde.
Pour les articles homonymes, voir Michel Klein (homonymie) et Klein.
Biographie
Résistant sous l'Occupation
Dans son livre « Ces Bêtes qui m’ont fait Homme », paru en 1976, Michel Klein relate sa tranche de vie aventurière dans Toulouse occupée, au sein de la Résistance, alors qu'il est jeune étudiant à l'École vétérinaire de Toulouse. Vila Rachline, ami de sa famille et frère de Lazare Rachline, dit Lucien, l'associe, en , à ses activités de résistant dans le réseau toulousain PRUNUS, l'un des réseaux dirigés par Maurice James Buckmaster de l'Intelligence Service, patron du SOE initié par Winston Churchill en , au cours de la débâcle.
Font partie du réseau PRUNUS, le directeur de l'école vétérinaire, Marcel Petit (1888-1986), et le secrétaire général de l'École, Paul Dupin. Le réseau PRUNUS est dirigé par Maurice Pertschuk (1921-1945) dit Eugène ou Gérard selon le secteur sur lequel il opère. Le , en soirée, des arrestations, au 22 rue des Pyrénées à Toulouse, dont celle du jeune chef de réseau, Maurice Pertschuk, puis, le , à Fonsorbes, de son radio Marcus Bloom, signifieront la fin tragique du réseau PRUNUS. Pertschuk, déporté à Buchenwald,sera exécuté par pendaison le 29 mars 1945, treize jours avant la libération du camp, ainsi que Bloom à Mauthausen le . Le mardi , en matinée, la Gestapo arrête Marcel Petit et Paul Dupin à l'École vétérinaire. Ils sont déportés eux aussi à Buchenwald, puis à Dora pour Marcel Petit. Ils reviennent en France en . Dupin, malade, que Michel Klein est allé accueillir à Thionville pour le ramener à Toulouse[1], décèdera en [2]. Michel Klein échappa de peu à l'arrestation au sein de l'École. Dans son livre Contrainte par corps, Marcel Petit relate que dans l'interrogatoire avec les tortures qu'il dut subir, on voulut lui faire croire que Michel Klein avait aussi été arrêté : « si Klein était arrêté, ça se saurait et on me l'aurait déjà montré » écrit-il[3]. Vila Rachline poursuivra le combat mais il sera arrêté et fusillé à Lyon, le jour même du débarquement, le 6 juin 1944.
Michel Klein rapporte dans son livre comment il a vécu ces évènements dramatiques. Au-delà, il y a sa cache dans une métairie « perdue au fond de l'Auvergne » puis la fuite à nouveau, la traversée des Pyrénées et le refuge en Espagne sous un pseudonyme anglais, sans possibilité de rejoindre le théâtre des combats.
Avec une écriture galopante, presque sur le ton de l'anecdote, c'est la vérité, c'est la vie du jeune étudiant résistant qui défile, engagé dans l'action et qui semble se jouer des évènements et des difficultés, porté par un moral optimiste et combatif, comme on peut juger dans les extraits de son livre Ces bêtes qui m'ont fait homme[4]. Ils livrent le fond de sa personnalité. Ils donnent aussi tout son sens au propos d'Emmanuel d'Astier de La Vigerie qui qualifiait la Résistance de « grand jeu enfantin et mortel ».
Ce lundi 12 avril au matin, je traîne en bâillant dans la salle d’autopsie de l’école. J’y suis seul quand mon camarade, Robert Bellec, vient m’annoncer que les Allemands avaient cerné l'École, qu’ils venaient d’arrêter le professeur Petit, directeur de l’école, et M. Dupin, secrétaire, et me cherchaient partout. Je me suis vu perdu. Il y avait, au grenier, des armes et du plastic destiné à faire sauter l’usine d’aviation de Blagnac. On avait reçu ce matériel par parachutage à Moissac.
Le vendredi, des louveteaux l’avaient amené à l’école et « enterré dans la poussière médiévale du grenier.
Je demande à Bellec de me passer ses papiers d’identité.
Il accepte immédiatement. Ce geste me vaut aujourd’hui d’être vivant. Je dis à Bellec
- Va chercher Bitoun.
Bitoun est un Juif de Philippeville, en Algérie, mon camarade de classe. Il accourt. Je le mets au parfum
- Je suis juif comme toi - il n’en revient pas - et je suis de la Résistance, alors écoute bien.
En deux mots je lui explique que je vais essayer de me tirer. Mais il y a les armes et le plastic au grenier et il faut absolument que je les sorte à un moment ou à un autre. J’improvise une combine. Il écoute passionnément. Je le prend au pied levé. Il se jette dans l’action sans qu’il ait le temps de s’y préparer. C’est un petit Juif algérien, de ceux que la propagande nous décrit sans cesse comme lâches et minables. Mais il n’hésite pas une seconde. Il va exécuter à la lettre mes consignes.
Pendant ce temps, muni des papiers de Bellec, je file vers le portail de l'École. A l’entrée il y a un soldat allemand, le fusil à la main, et le concierge. Ma chance est que celui-ci n’occupe pas son poste depuis longtemps et qu’il ne connaît pas encore très bien les élèves.
Où allez-vous ? dit-il, c’est défendu de sortir.
- Je vais juste mettre une lettre à la boîte.
- Défendu. Mais dites-donc, c’est pas vous, Michel Klein ? Justement on vous cherche.
Je me marre. Moi Klein ? Je suis Robert Bellec. Et je fouille ma poche pour sortir ma carte qui est celle de Bellec. Le concierge est hésitant. Mais juste à ce moment arrive sous le porche le professeur de parasitologie, M. Martin qui comprend immédiatement la situation, ainsi que M. Dubuc, l’économe. Où allez-vous, Bellec ? me dit-il sèchement.
Et tout en me rappelant que c’est strictement interdit de sortir, il m’autorise à aller jeter ma prétendue lettre dans la boîte. Le concierge s’incline. Le soldat allemand ne semble pas, Dieu merci, avoir de consignes très strictes. Je sors dignement, et dès que je suis à l’abri des premiers arbres de l’avenue, je me mets à courir comme un fou. Il était 9 h 30.
J'étais provisoirement sauf, mais il me restait l’essentiel à faire : sortir de l’école le plastic et les armes. Il fallait aussi faire disparaître toutes les preuves qui pouvaient accabler le directeur et le secrétaire de l’école. Voilà ce dont nous étions convenus avec Bitoun. Je reviendrai à l’heure du déjeuner où la surveillance serait sans doute moindre. A 12 h 30, Mme Dupin la femme du secrétaire serait debout dans la cour, près de l’entrée. Elle aurait un journal dans les mains. Si elle le tient fermé c’est que les Allemands sont là. Si elle le tient ouvert et le lit, c’est que la voie est libre. En cas d’alerte, elle plierait le journal.
A 12 h 30, j’arrive à l’école. Il y a un factionnaire allemand devant la porte. Mais je vois dans la cour, Mme Dupin, qui feuillette son journal largement déployé. J’entre. Je file jusqu’au bureau du directeur. La Gestapo a mis les scellés. Je les brise ; j’enlève tous les documents compromettants fausses cartes d’identité, tampons, stencils qui devaient servir pour préparer notre bulletin clandestin sur la ronéo de l’école. Gilbert Bitoun avait rempli dans la matinée avec Mme Dupin les deux valises de plastic. Je prends une valise et Bitoun l’autre. Et nous sortons, moi le premier, Bitoun quelques instants plus tard, comme deux élèves qui partent dans leur famille. La sentinelle nous laisse passer.
Un coup de chance extraordinaire. L’heure du déjeuner était propice. La Gestapo était venue arrêter trois hommes, semble- t-il : Petit, Dupin et moi-même. Son travail fait, sans doute n’avait-elle pas jugé nécessaire de maintenir l’école sous une surveillance étroite. Le troisième homme, moi-même, avait filé : on le pincerait plus tard.
J’avais gagné ma partie. Les deux précieuses valises ont été déposées provisoirement chez un ami, M. Harter, du réseau Prunus. Mais Petit et Dupin étaient entre les mains de la Gestapo et soumis à « l’interrogatoire ». Qui est Michel Klein ? Où est-il ? Malgré la torture ils n’ont pas cédé. L’un et l’autre ont été déportés. Leur énergie et leur courage leur ont permis d’être au nombre des rares survivants des camps de la mort. Quant à mon ami Bitoun il a échappé à tout, et nous nous sommes retrouvés après à la Libération.
Une famille juive dans l'enfer de la Shoah
Alors qu'il est en Espagne, il apprend la déportation de ses parents et de sa sœur Hélène à Auschwitz depuis la Roumanie. Ses parents y disparaîtront, sa sœur Hélène est placée dans des camps de travail d'où elle s'évade cinq fois. Après la chute des Nazis, il va la chercher à Thionville en 1945. Avec la même énergie et la même combativité, Hélène reviendra ensuite en Roumanie pour arracher l'amour de sa vie, Victor, des geôles communistes, et le ramener en France[5].
Vétérinaire praticien, homme des médias, apôtre de la protection animale et du lien homme-animal
À la Libération, il reprend et achève ses études à l'École nationale vétérinaire d'Alfort, puis entame sa carrière tout en parcourant le monde, s'occupant des "personnes déplacées" dans le cadre des Nations unies. C'est au cours de ces voyages qu'il découvre les animaux sauvages[6].
Vétérinaire praticien, à la ville et dans les parcs zoologiques
Michel Klein exerce en clientèle « canine » dans sa clinique parisienne, boulevard des Batignolles. Il a été appelé au zoo d'Ermenonville pour soigner les animaux de Jean Richard, dont il a été l'ami jusqu'à la fin de sa vie. C'est ainsi qu'il s'est spécialisé dans les opérations d'animaux de zoo et de cirque. Il a été le premier en France à utiliser différents outils chirurgicaux: bulle chirurgicale pour opérer en milieu stérile, anesthésie générale d'éléphant et de bien d'autres espèces, imagerie médicale, échographie, radiologie enregistrée sous scopie et scanner. Première échocardiographie en temps réel d'un tigron à Thoiry, lors de la 500ème émission "Les Animaux du Monde", en direct à la télévision.
Avec les docteurs Bernard de Parade et Henri Arion, chirurgiens, ils ont réalisé des valvules cardiaques en matière synthétique ainsi que le système équivalant aux paramètres identiques à ceux d'un coeur. En 1968, ces valvules sont greffées à trois chiens à l'Hôpital Broussais, service du professeur Dubost. Pour l'être humain, il faudrait un milliard de battements, 10 ans de vie, pour le chien 300 millions suffisent.
Avec le docteur Jean de Grouchy, généticien à Hôpital Necker, il participe à l'étude des chromosomes de l'Homme et des Pongidés, les grands singes, gorilles, chimpanzés, bonobos, gibbons, orangs-outans. Ils ont montré que ces caryotypes, tableaux chromosomiques, ont d'importantes similitudes, publiées dans les Annales de Génétique en 1970.
En 1984, lors d'un colloque au Val-de-Grâce, Michel Klein affirme que « Un chien qui renifle le bas d'un pantalon sait ce qu'il y a dans votre caboche ! », contesté par les médecins présents. Il leur explique que l'équipement sensitif de l'animal permet la captation de nos intentions grâce à la télépathie. « Tous les animaux sont télépathes » dit-il.
Dès 1957, il fut approché par Aubry et Pezières, confrères à Paris, afin de participer à la création d'un groupe de vétos canins, qui n'existait pas encore. Peu de temps après, il proposa la création d'un service de garde le dimanche et jours fériés, ce qui fut mis en place dès 1960. Le SAMU fut créé 8 ans plus tard...
Il a participé avec le comte Paul de La Panouse à la création du Parc animalier du château de Thoiry, première « réserve africaine » d'Europe, inaugurée en .
Associé à Hubert Masquefa, directeur du zoo du Bois d'Attilly à Ozoir-la-Ferrière, Michel Klein est le fondateur en 1969 du zoo de Fréjus.
L'un de ses premiers exploits fut l'anesthésie générale de "Charly" ours brun de l'Oural environ 450 kg, des Bouglione, installés au Luna Park, actuelle porte Maillot, pas de périphérique à cette époque, opéré car gravement blessé par un congénère, publié dans le magazine « Détective », film photos.
Vétérinaire sur les écrans de télévision
En 1958, un an après son installation, Michel Klein fit une intervention sous anesthésie générale d'une guenon âgée de 10 ans présentant de grandes canines dangereuses, en les dévitalisant après résection et filmé par une équipe de télévision, assez embryonnaire encore, mais diffusée copieusement. À la suite de quoi il fut invité à l'émission principale du dimanche par Jean Nohain et André Leclerc, il s'y rendit avec un perroquet sur son épaule et parla des bêtes. Ce fut sa première participation à la télévision.
Il collabore au long métrage de Claude Autant-Lara, La Jument verte. On doit colorer quotidiennement la jument en vert « Douanier Rousseau » . Afin de ne pas l'intoxiquer, il imagine un mélange d'une molécule de couleur jaune utilisée dans les maladies tropicales avec du « vert-sulfo » ophtalmologique.
Il crée en 1960 l'émission Je cherche un maître relative aux chiens abandonnés dont le producteur est Frédéric Rossif. Puis, en 1963, il collabore avec lui dans le film Les Animaux, grand classique du ralenti, avec la caméra ayant servi lors des essais nucléaires en Algérie.
À partir de 1969, il fait partie de l'équipe de spécialistes animaliers auxquels fait appel François de La Grange pour son émission télévisée Les Animaux du Monde.
Il est présent dans diverses émissions notamment à destination de la jeunesse, comme les Mercredis de la Jeunesse.
Il a participé à l'émission 30 millions d'amis créée en 1974 et entretient des relations durables avec cette production télévisée. De nombreux enregistrements ont lieu dans sa nouvelle clinique à Beaugrenelle ouverte en 1981. Il y a installé des innovations technologiques majeures. Sur 700 m2, dimension exceptionnelle à l'époque, les animaux familiers ainsi que de nombreuses espèces exotiques y sont traités à l'égal de l'homme. La salle chirurgicale est équipée d'un système de production d'air stérile par flux laminaire, 600 m3/min, filtré à 2 microns. Les parois et le double plancher sont antistatiques, absence totale de microparticules. Tout l'équipement chirurgical est stérilisé dans l'autoclave présent dans la salle.
Il a créé et animé, avec son amie de longue date l'animatrice Dorothée, l'émission Terre, attention, danger sur TF1, en 1991. Précurseur en matière de défense des espèces animales en voie de disparition, il affirme que l'explosion démographique exponentielle de l'espèce humaine met en danger leur vie, car obligées de céder leur espace vital. Le générique illustre ce combat : « Par la faute de l'Homme, de nombreuses espèces animales sont menacées de disparition, si nous n'y prenons pas garde, un jour c'est l'Homme qui disparaîtra ! ».
Il est également chroniqueur animalier dans l'émission Club Dorothée sur TF1, présentant chaque mercredi pendant dix ans des milliers d'animaux aussi divers que variés, le plus souvent en direct.
En 2008, il fait plusieurs apparitions aux côtés de Dorothée sur la chaîne IDF1.
Il est intervenu sur Europe 1, durant deux décennies, et sur d'autres radios, en direct Antenne 2 Télématin avec William Leymergie, il présente des animaux domestiques et exotiques, par exemple un tigre adulte sans laisse ni collier sur le plateau. Tous les mercredis après-midi, de 2014 à 2016, sur son émission Allo véto sur Ici et Maintenant, il dialogue en direct avec les auditeurs.
La protection animale
Passionné d'animaux de toutes sortes, Michel Klein a cherché par tous les moyens, dont tous ceux qui sont utilisés pour l'homme, à les soulager sinon les guérir ou à les sauver, allant jusqu'à adopter certains petits sans mère.
Il propose, en 1970, au Premier Ministre Jacques Chaban-Delmas le tatouage des chiens pour identification.
Conseiller d'André Jarrot, ministre de la Qualité De la Vie, Michel Klein propose le projet qui débouche à la Loi du dont le chapitre II « De la protection de l'Animal » , exprime le principe aboutissant à l'article 9: « Tout animal étant un être sensible doit être traité dans les conditions compatibles avec les impératifs biologiques de son espèce » .
Il a été Vice-Président de la SPA de 1960 à 1978, cofondateur du refuge de Gennevilliers, inauguré en 1973 en présence de Jacqueline Thome-Patenôtre et de Brigitte Bardot, cofondateur du CNPA, Conseil National de la Protection animale en 1970, ainsi que premier vétérinaire élu au comité directeur de la Société Centrale Canine, créée en 1882 et reconnue d'utilité publique en 1914.
Les chiens guides pour aveugles et malvoyants
Il a créé le avec le soutien indéfectible de Jacques Chirac, alors maire de Paris, "l'École de Chiens Guides pour Aveugles et Malvoyants de Paris", qui ouvrit en 1987 et qu'il présida jusqu'en 2004, idée commune avec Joachin Romero, qui éduquait des chiens à Blanc-Mesnil. Un soir, des chiens de l'Ecole, portant des colliers phosphorescents, sont aperçus par un enfant qui dit à sa mère:"Maman regarde des chiens lumière", ce qui fait tilt et donne l'idée de créer "La Fête du Chien Lumière", le , jour du solstice d'hiver, nuit la plus longue de l'année. Ceci correspond à "Pour l'aveugle c'est la nuit permanente d'où ce symbole que le chien guide est sa lumière". Un chien de 29 mètres de long sur 12 de large est réalisé sur la pelouse du Champ-de-Mars, au pied de la Tour Eiffel, configuré par 200 spots et autant de déficients visuels accompagnés de leurs chiens guides. Cet évènement, véritable première mondiale, filmé depuis le premier étage de la Tour Eiffel est diffusé en direct sur FR3 et France 2 grâce à son ami Olivier Mazerolle, directeur de l'information. Dans l'Espace Joffre, face à l'École Militaire, est réorganisée la seconde édition en présence du président de la Fédération Internationale des Écoles de Chiens Guides.
Distinctions
Chevalier de la Légion d'Honneur, en date du , au titre de la Résistance, décoration proposée et remise par Edouard Balladur, alors Premier Ministre.
Bibliographie
- Ces bêtes qui m'ont fait homme, 1976, Robert Laffont, coll. « Vécu » (ISBN 2-245-00538-4)
- Ce qu'ils nous apprennent 1979, Robert Laffont, coll. « Vécu », (ISBN 2-221-00330-6)
- L'avocat des bêtes, 2006, Éditions Anne Carrière, (ISBN 2843373743)
- Réussir son chien, avec Michel Hasbrouck, 2010, Éditions Helvedog (ISBN 978-2-8399-0647-0),
Émissions télévisées
- Les Animaux du Monde, 1969, 2e chaîne « couleur »
- Les Mercredis de la Jeunesse, 1973, ORTF
- Récré A2 Matin, 1986-1987, Antenne 2
- Club Dorothée, 1987-1997, TF1
- Terre, attention, danger, 1991-1995, TF1
Notes et références
Notes
Références
- Michel Klein : communication personnelle par e mail, le 10 septembre 2019
- Marcel Petit, Contrainte par corps, Toulouse, Empreinte édition, , 289 p. (ISBN 978-2-913319-57-8), page 277
- Marcel Petit, Contrainte par corps, Toulouse, Empreinte, , 289 p. (ISBN 978-2-913319-57-8), p. L'interrogatoire, page 33
- Michel Klein, Ces bêtes qui m'ont fait homme, Paris, Robert Laffont, , 375 p. (ISBN 2-245-00538-4)
- Michel Klein, L'avocat des bêtes, Paris, Anne Carrière, , 248 p. (ISBN 978-2-84337-374-9), p. 108-109
- Télé 7 Jours no 499, semaine du 15 au 21 novembre 1969, page 96 : "Médecin des fauves, Michel Klein : "Avec les animaux on ne peut pas tricher"
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