Maurice Vieux

Maurice Vieux, né à Savy-Berlette (Pas-de-Calais) le et mort à Paris le , est un altiste français dont l'activité pédagogique au Conservatoire national de musique de Paris a tenu un rôle essentiel dans l'histoire de l'alto en France.

Vie

Maurice Vieux obtient son 1er prix d'alto en 1902 dans la classe de Théophile Laforge, premier professeur d'alto du Conservatoire de Paris. Par la suite, il sera alto solo de l'Opéra de Paris et de la Société des concerts du Conservatoire, membre des quatuors Parent et Touche.

Il succède en 1918 à son maître au poste de professeur au Conservatoire.

Les altistes lui doivent notamment les Vingt Études pour alto (Éditions Leduc, 1927).

Son nom a été donné au concours organisé depuis 1983 par l'Association française des amis de l'alto (Concours international d'alto Maurice-Vieux) et dont la première lauréate a été l'altiste allemande Tabea Zimmermann et en 2000, le jeune altiste français Antoine Tamestit.

Biographie

Enfance et adolescence 1884 - 1902

Maurice Vieux est né le à Savy-Berlette (Pas-de-Calais), où son père, Ferdinand Vieux (1848 - 1913) était chef de gare.

Ferdinand Vieux fit carrière aux Chemins de fer du Nord, régulièrement muté de gare en gare. Transféré de gare en gare, Maurice Vieux aurait été bien en peine de devenir musicien si son père ne l'avait pas été lui-même. Ferdinand Vieux né à Valenciennes y est entré au conservatoire de musique. En 1861, à 13 ans, il obtient le premier prix de Solfège, puis en 1864, à 16 ans, le premier prix de violon avec médaille. Bien que n'ayant pu en faire carrière, Ferdinand était toujours passionné de musique. Il a écrit un manuscrit de 175 pages comportant 40 chansons, musique et texte intitulé Le Béranger de l'Enfance. Ferdinand fut donc le premier professeur de piano, solfège et violon de Maurice Vieux dès son plus âge (son premier violon correspond à un enfant de 4 ans environ).

Ferdinand est muté chef de service des tarifs à Paris aux alentours de 1896. La famille s'installe à Paris au 21 rue Custine dans le 18ème arrondissement. Dès 1897 Maurice Vieux, âgé de 13 ans, se présente au concours d'entrée, classe de violon, au Conservatoire national de musique. Finalement c'est en 1899, à 15 ans qu'il est admis et que rapidement il intègre la classe d'alto de Théophile Laforge.

Théophile Laforge (1863-1918) fut le premier professeur nommé lors de la création de la classe d'alto par le Conservatoire en 1894, formant les premières générations de purs altistes (auparavant, les altistes avaient une formation de violonistes) il œuvra auprès des compositeurs pour le développement d'œuvres spécifiquement écrites pour l'alto.

À la fin de l'année scolaire, en 1902, à 18 ans, Maurice Vieux obtient son brillant premier prix. À cette occasion le Conservatoire lui offre un alto de Caressa - luthier officiel du Conservatoire - numéroté 22. La presse musicale, pour sa part, reconnaît le niveau exceptionnel du lauréat.

« La classe de M. Laforge reste une des plus fortes et des plus brillantes du conservatoire. Elle a fourni cette année un des plus brillants virtuoses qui soit sorti de notre école nationale de musique, mieux que cela: un artiste. Maurice Vieux possède un son d’une ampleur et d’une pureté magnifiques …»

Ou encore « Maurice Vieux est un artiste complet, il a une ampleur de son superbe, de l’âme, de l’élégance dans son jeu ; sa lecture à vue a été exquise … »

La notoriété 1902 - 1918

Immédiatement il s'inscrit dans l'Annuaire des Professeurs de musique. L'Annuaire de 1903 donne son adresse rue Custine, donc chez ses parents. En octobre il entre dans la Société des Concerts du Conservatoire, où en (22 ans) il gagne sur concours la place de premier Alto Solo, et ce jusqu'en 1920 (à l'exception de la période de la guerre 14-18).

En 1904 il est entre au Théâtre national de l'Opéra. Soliste depuis 1906, il devient Premier Alto Solo en 1909 (25 ans). Il y reste jusqu'à l'âge de la retraite à 65 ans soit en 1949.

Entre temps chaque fois qu'il a un moment de libre les orchestres de chambre font appel à lui. C'est ainsi qu'en 1905 il joue avec le Quatuor Parent et dans la formation du Double Quintette de Paris. Il joue également dans les salons de musique devant le Gotha Parisien.

Puis vient le moment des tournées en Europe, Angleterre, Suisse, Belgique, dont en 1913 l’Espagne avec le Double Quintette, et l’Italie en 1914 avec la Quatuor Touche –Turin, Bologne, Venise, Milan puis Berlin en . À chaque fois, la presse relate son formidable talent.

Fin 1914 la guerre est déclarée et il est mobilisé à Verdun. Il est heureusement versé dans les Services Auxiliaires, ce qui n’empêche pas ses courriers de témoigner de l’horreur de cette guerre.

Le Théophile Laforge, son maître et premier professeur de la première classe d’Alto du Conservatoire, meurt. Le , Maurice Vieux est mis en sursis d’appel et détaché comme professeur au Conservatoire

1919-1951 Une longue carrière de pédagogue

Maurice Vieux est démobilisé le et titularisé professeur à la fin de l'année.

Commence alors, outre l’Opéra et les concerts, cette grande période où il se consacre à la formation de générations d’altistes jusqu’à la fin de sa vie en 1951.

Il a ainsi amené 100 élèves à obtenir leur premier prix[1]. Tous les grands altistes Français de la deuxième moitié du XXe siècle ont été ses élèves. Le plus simple est de les laisser parler :

« … Il était un professeur tout dévoué à ses élèves, un homme délicat sans affectation, d’une grande gentillesse. La flagornerie n’était pas son fort. C’est cette intransigeance qu’on retrouve tout au long de sa carrière. – Roger Delage 1er prix 1949 »

Il est vrai qu’il pouvait être d’humeur grogneuse et sujet à des colères mémorables, en totale contradiction avec son empathie naturelle.

« Ceux qui ne l’ont pas entendu ne peuvent imaginer cette mâle sonorité  liée à une noblesse de style d’une rare dignité. Ce charme sans concession à la facilité, cette technique stupéfiante, …, Cette autorité souveraine dans le jeu comme dans l’attitude, aussi éloignée de la morgue que de la fausse modestie …. Et combien de nous ne lui doivent un souvenir ému pour une aide un service, sa table était ouverte, on ne saurait compter ses démarches pour procurer des emplois, des appuis, pallier une infortune. S’ils furent moins spectaculaires, les services rendus à la Musique française par un tel maître furent plus efficace et bien plus durables que des récitals glorieux. …  – Jouvensal 1er prix 1922 »

En plus de ses cours, de ses leçons privées et de l’Opéra il prenait encore le temps pour jouer à chaque occasion. Il passait régulièrement à la Radio, il était recherché et apprécié de maîtres tels Saint-Saëns, Gabriel Fauré, Vincent d'Indy , Claude Debussy, Max Bruch, et son grand ami Joseph Jongen. C’était lui que les plus grands virtuoses voulaient dans leurs ensembles tels Ysaye, Kreisler, Cortot, Marguerite Long, Georges Enesco, Casals, Caplet, Thibaud, et de quartestistes tels Marsick, Parent, Touche, Sechiari. Par contre, à tous les impresarios qui le sollicitaient régulièrement pour des tournées il répondait invariablement, comme au ministre qui en 1919 l’avait sollicité pour une tournée en Amérique « Que deviendraient mes élèves ! »

Son talent de virtuose ne fut pas salué que par les critiques musicaux, c'est ainsi qu'officiellement il fut nommé en 1930, Officier de la Légion d'honneur française, en 1932, Chevalier de l’ordre de Léopold belge puis chevalier de l’ordre de Nichan Iftikhar de Tunisie, en 1935, chevalier de l’ordre du Mérite culturel de Roumanie.

Force de la nature, avec son 1,75 m (pour une moyenne de 1,66 m à l’époque) et sa gourmandise (il pouvait avaler un pot entier de confiture à son retour de l’Opéra, il a parfois approché les 100 kg), avec ses horaires impossibles de journées plus que pleines, pratiquement sept jours sur sept (à part la courte période de vacances d’été), ce qui a fini par user sa santé.

Il développe une maladie de cœur qui l’emporte. Il meurt en en son domicile dans le 18e arrondissement de Paris[2] peu de temps avant son 100ème prix obtenu au mois de juin. Il est inhumé au Cimetière de Saint Ouen (10e division)[3].

Son apport à l'Alto

Jusqu'à la fin du XIXe siècle il y avait peu de virtuoses de l’alto. Donc les compositeurs n’y pensaient pas comme instrument soliste, et vice-versa ; peu d’écritures donc pas de quoi travailler la technique pour devenir un grand virtuose.

Il existe cependant de cette époque des morceaux remarquables comme Harold en Italie, symphonie concertante pour alto de Berlioz composée en 1846 à la demande de Paganini.

Maurice Vieux était parfaitement conscient de ce problème, aussi au plus tard en 1907 la réponse de l’organiste et compositeur Théodore Dubois à sa demande d’écrire une sonate.Théodore Dubois, est une première trace écrite de ses nombreuses sollicitations auprès des compositeurs pour qu'ils développent le répertoire de l'alto.

Il ne relâcha jamais ses efforts en ce sens (réponse de Max Bruch en 1911), et de nombreuses créations virent le jour grâce à lui. La liste, ci-dessous, des compositions qui lui ont été dédiées en donne un aperçu.

Une de ses plus fortes relations est la longue amitié qui le lie à Joseph Jongen, compositeur belge.

Un autre moyen aurait été la discographie. Mais celle-ci est fort réduite. Au début du XXe siècle la technique d’enregistrement est balbutiante. Le plus vieil enregistrement connu est la Sérénade pour flute op.25 de Beethoven, mais il fait la part belle à la flûte. Le plus connu et encore aisément accessibles, car ce 78t a été remastérisé et sorti en 33t, est le quatuor N°2 op 45 de Fauré enregistré en 1940 avec les très grands Marguerite Long et Jacques Thibaut. Très rare est l’enregistrement chez Columbia de L’Arioso et Allegro de concert pour piano et alto de Stan Golestân

En 1928 Maurice Vieux écrivit un article « Réflexions sur la technique de l’alto » Article publié en français par les amis de l’alto[4] et traduit en anglais page 5 du N° 2 du Vol 7 du journal de American Society[5].

Son action principale a été sa volonté de développer la technique et la sensibilité d'interprétation. Tout ce que le violoniste peut faire, l'altiste doit pouvoir le faire également. Pour atteindre un tel degré de maîtrise de son instrument, Maurice Vieux compose, à l'attention de ses élèves, de nombreuses études d'une grande difficulté technique.

C'est ainsi que tous les grands altistes français de la deuxième moitié du XXe siècle ont été ses élèves.

Vie privée

En 1905 Maurice Vieux habite toujours avec sa famille au 21 rue Custine à Paris 18e. À la fin de l'année il se marie puis divorce quatre ans plus tard, sans avoir eu d'enfants.

Il s'installe ensuite au 56 rue de Rochechouart à Paris 9e, et se remarie en . Il restera rue de Rochechouart jusqu'au décès de son épouse en 1938.

Pour évoquer la personnalité de Maurice Vieux, le plus simple est de donner la parole à son neveu Jacques Balout (premier prix d'alto en 1931) qui évoque son oncle dans un article paru dans le bulletin N°1 de 1980 de l'Association de Amis de l'Alto[6] :

« MON ONCLE MAURICE VIEUX

par Jacques BALOUT, du Théâtre National de l'Opéra 1er Alto Solo de la Société des Concerts

…. il s'installe 56, rue Rochechouart où s'élève un grand immeuble avec cour centrale que l'on appelait "l'Hôtel Godillot". Dans le fond de la cour et au-delà d'un passage voûté, on débouchait dans un petit jardin, bien gardé par ses chiens, et au fond duquel s'élevait une bâtisse comprenant au rez-de-chaussée un appartement peu lumineux, mais au premier étage un immense "atelier d'artiste". Là, étaient le piano de concert, sa collection d'instruments et d'archets; là, se succédaient les élèves et les confrères étrangers; là, se préparaient les concerts de musique de chambre.

Peu attiré par la vie vagabonde du virtuose, mon Oncle avait le goût de la campagne française, et là il s'adonnait à la peinture, à la chasse et à la pêche, et pour lui rien ne valait l'évasion en Normandie. Il avait acheté une vieille maison rurale dans le bourg de Léry, non loin de la place de l'Eglise et de l'écluse de l'Eure. À cette époque-là, il y avait peu de parisiens et de résidences secondaires dans ce village; aussi fallait-il se faire admettre pour obtenir dans les fermes beurre, œufs, poulets, etc.  Il avait trouvé la solution : lorsque, à la fin du déjeuner, l'Oncle voyait passer sous sa fenêtre la barrette du curé, il appelait aussitôt cet excellent vieil homme pour le café et sa suite normande. C'était aussi la brioche offerte à la grand'messe une fois l'an, et quelquefois, pour un mariage ou une fête carillonnée, une mélodie de Gounod jouée dans l'Eglise à la grande admiration des paroissiens. Comme s'exclama, un jour,  l'un d'eux à côté de l'orgue : "Ici, y'en a pas un pour y faire l'poil".

La pêche était peut-être sa grande passion.  Il eut d'abord une barque à fond plat, la "Jeannette", qui permettait d'aller pêcher les gardons dont on repérait les bancs dans l'eau alors limpide de la rivière. Puis ce fut un canot à moteur, "La Mouette", grâce auquel on pouvait faire le voyage jusqu'à Pont-de-1'Arche et au-delà; enfin, il avait loué le "cantonnement" en amont de Léry, ce qui donnait un droit de pêche, en particulier au filet.

La chasse était une autre de ses passions et ses fusils étaient entretenus comme ses instruments de musique. Là apparaît un autre aspect de son caractère. Fin tireur,  il s'amusait lors des foires à couper les cibles dans l'épaisseur, puis tout se fêtait au café de la Mère Crépin entre chasseurs et pêcheurs. J'ai passé de nombreuses vacances à Léry, et souvent je me suis trouvé dans ce café au petit matin avec mon Oncle et son collègue et ami le contrebassiste Édouard Nanny, devant un casse-croûte, avant d'aller jeter l'épervier dans la rivière, et notre joie était grande quand nous ramenions une belle friture dont mon Oncle était très friand.

Une humeur joviale coupée de colères d'une rare violence (je me souviens que, tout enfant, ayant cassé une de ses plus belles cannes à pêche, j'ai dû me cacher attendant la fin de l'orage), une passion pour les jeux, les bonnes histoires,  les blagues de toutes sortes, une hospitalité qui faisait que sa maison de Léry, puis celle qu'il fit construire à peu de distance, étaient tout l'été envahies d'amis. Tels sont certains aspects d'un grand artiste que ceux qui ne l'ont point connu auraient quelque peine à imaginer.

C'est en 1939 qu'il s'installa au 30 avenue Junot, où défilèrent tous les altistes du monde entier venus lui demander conseil.

Mais le plus grand bonheur de sa vie fut la naissance de ses deux enfants, Marie-Jeanne et Jean-Claude, qu'il adorait mais qu'il n'eut pas la joie de voir grandir……. »


Sa forte empathie ne concernait pas que ses élèves. Maurice Vieux aimait rendre service à tous ceux qu’il pouvait aider. Il était toujours prêt à intervenir pour des associations musicales, à participer à des concerts caritatifs comme à la fin de la Guerre de 1939-1945.

Il aimait la pêche, la chasse, ses chiens. Il était peintre amateur passionné et avait une relation très forte avec le peintre Charavel dont il possédait de nombreux tableaux.

Après le décès de son épouse en 1938 il s'installe au 30 avenue Junot à Paris 18e, hôtel particulier avec un immense atelier d'artiste. Il y avait table ouverte pour ses amis artistes peintres de Montmartre.

Il n'avait plus, alors, ses chiens de chasse mais un caniche blanc qu'il n'hésitait pas à emmener avec lui au cinéma. Il avait aussi un chat noir, des canaris et même un perroquet, dont il se sépara, pour éviter tout risque d'accident, lors de la naissance de sa fille suite à son remariage en 1941.

Parmi les nombreux élèves qui vinrent le saluer une dernière fois en ce mois d', l'un d'eux - Pierre Pasquier je crois - résuma la pensée de tous en disant : « C'est toute une époque qui disparaît ».

Décorations

  • Au titre de mobilisé et sous les drapeaux en 14 - 18 : Croix du Combattant, médaille de la Victoire Interalliée 1918, médaille Commémorative de la Guerre 14 -18
  • Officier des Arts Lettres et Sciences
  • Officier de l'ordre de l'Académie du dévouement national
  • 1930 Chevalier de l'ordre de la Légion d'honneur
  • 1931 Chevalier de l'ordre de Léopold 1er (Belgique)
  • 1932 Officier de l'Ordre du Nichan-Iftikar (Tunisie)
  • 1935 Chevalier de l'Ordre du Mérite Culturel, ruban spécial pour la musique ( Roumanie )

Compositions, publications, arrangements, réductions

  • 1927 Vingt études pour alto, chaque étude est dédie à un de ses élèves premiers prix d'alto entre 1919 et 1925. Editions Alphonse Leduc;
  • 1928 Réflexions sur la technique de l'Alto. Article publié dans le Courrier Musical et Théâtral du . http://amisdelalto.over-blog.fr/tag/articles/5
  • 1928 Dix études nouvelles pour alto, dédiées à son neveu Jacques Balout alto solo de la Sté des Concerts du Conservatoire. Éditions Max Eschig.
  • 1928 Scherzo pour alto et piano. Éditions Alphonse Leduc
  • 1928 Dix études pour alto sur des traits d'orchestre, Coriolan, Preciosa, le barbier de Séville, les Noces de Figaro, Euryanthe, IXème Symphonie, Benvenuto Cellini, la Grottre de Fingal,la Fiancée vendue, Tannhäuser. Éditions Alphonse Leduc
  • 1931 Dix études pour alto sur les intervalles. Éditions Alphonse Leduc
  • 1932 Six études de concert pour alto et piano, chaque étude est dédie à un de ses élèves premiers prix d'alto. Éditions Max Eschig.
  • Révision et réduction pour alto et piano du Concerto en Ré majeur de Guiseppe Tartini pour alto avec accompagnement d'orchestre à cordes et deux cors. Editions Max Eschig.(1956)
  • 1943 pour violon et piano ou harmonium, " à ma fille Marie-Jeanne", éditions Max Eschig.

Discographie

  • 1907 Sérénades. Flûte, violon, alto. Op. 25. Ré majeur de Ludwig van Beethoven. Un disque 78 t avec Adolphe Hennebains flûte et Sechiari violon.
  • 1927 Septuor. Piano, trompette, cordes (5). R 122. Mi bémol majeur de Camille Saint-Saëns. Deux disques 78 t Columbia avec Eugène Foveau trompette, Edouard Nanny contrebasse
  • 1933 Arioso et Allegro de concert pour piano et alto de Stan Golestan.
  • 1940 Quatuor de Gabriel Fauré
  • 1942 Lamento en mi bémol mineur pour alto et piano d'Alexandre Cellier. Un 78 t Édité par l'Association d'action artistique, sous l'égide du secrétariat général des Beaux-arts, sous le gouvernement de Vichy, avec, Alexandre Cellier au piano.
  • Enregistrements divers, non commercialisés, de la Radio Diffusion Française

Compositions dédiées à Maurice Vieux

  • 1911 Max BruchRomanze for viola and orchestra, Op. 85
  • 1922 Désiré-Émile InghelbrechtImpromptu in F minor for viola and piano
  • 1922 Paul RougnonFantaisie-Caprice in G major for viola and pianos à Maurice Vieux
  • 1925 Joseph JongenAllegro appasionato for viola and piano or orchestra, Op. 79
  • 1926 Henri BüsserCatalane sur des airs populaires for viola and orchestra or piano, Op. 78
  • 1927 J. M. L. MaugüéAllègre, lent et scherzo for viola and orchestra
  • 1930 Henri BüsserRhapsodie arménienne sur des thèmes populaire in B minor for viola and piano, Op. 81
  • 1932 Gabriel GrovlezRomance, Scherzo et Finale for viola and piano
  • 1935 Joseph JongenIntroduction et danse for viola and piano or orchestra, Op. 102
  • 1937 Reynaldo HahnSoliloque et forlane for viola and piano

Autres œuvres dédicacée

  • 1932 Stan Golestan - Arioso et Allegro de concert pour piano et alto
  • 1965 Stéphane Wiener- Sonate en ré pour alto seul. Éditions Choudens

Notes et références

Liens externes

  • Portail de la musique classique
Cet article est issu de Wikipedia. Le texte est sous licence Creative Commons - Attribution - Partage dans les Mêmes. Des conditions supplémentaires peuvent s'appliquer aux fichiers multimédias.