Joseph Jongen

Joseph (Marie Alphonse Nicolas) Jongen est un compositeur et organiste belge né le à Liège et mort à Sart-lez-Spa le . Il est le frère aîné du compositeur Léon Jongen, chef d'orchestre et ancien directeur du Conservatoire de Bruxelles.

Joseph Jongen
Joseph Jongen
Nom de naissance Joseph Marie Alphonse Nicolas Jongen
Naissance
Liège, Belgique
Décès (à 79 ans)
Sart-lez-Spa, Belgique
Activité principale Compositeur, directeur
Activités annexes Organiste, chef d'orchestre
Élèves Lucie Vellère

Biographie

Formation (1873-1902)

Très tôt, les dons de Joseph Jongen sont manifestes et évidents aux yeux de son père, Alphonse Jongen (1843-1927), ébéniste d'art, qui lui enseigne les premiers rudiments et l'encourage, ainsi qu’à ceux d’amis musiciens lors d'exécutions de chorals ou saynètes que son père dirige pour des fêtes de famille ou dans des Cercles d'amateurs à Liège et en province[1],[2].

Joseph Jongen accomplit toutes ses études musicales au Conservatoire royal de Liège : le piano, l'orgue et les branches théoriques, solfège, fugue, harmonie, contrepoint, avec Sylvain Dupuis et Jean-Théodore Radoux.

En 1894 il est couronné par l'Académie royale de Belgique pour son 1er Quatuor à cordes (op. 3), œuvre "d'une maîtrise étonnante chez ce quasi débutant (...) d'une polyphonie riche, subtile" et aussitôt publiée à Leipzig[3].

En 1897, le Premier Grand Prix de Rome lui est décerné pour sa cantate Comala (op. 14). Cette récompense lui permet de réaliser un voyage d’études à l'étranger d’une durée de près de quatre ans, d’ à . Il passe un an et demi en Allemagne, à Berlin où il découvre la musique de Brahms, rencontre Vincent d'Indy et également Richard Strauss qui lui donne des leçons de composition. À Munich où il rédige son Concerto pour violon (op. 17), tandis qu’il occupe le poste de maître de chapelle en 1900 à Bayreuth. Puis, il découvre Vienne et s'établit ensuite huit mois à Paris où il se lie avec différents musiciens français tels Gabriel Fauré et Charles Bordes et devient l'élève de Vincent d'Indy. Il termine son périple par un séjour de huit mois à Rome. Pendant ce voyage fructueux, il a composé plusieurs œuvres importantes : une symphonie (op.15), deux concertos (op. 17 et 18), un quatuor avec piano (op. 23) et d’autres pièces qui témoignent d'une nette maturation de son style.

Vie professionnelle (dès 1902)

Photographie de Joseph Jongen, prise dans son appartement de Londres où il vécut de janvier 1915 à janvier 1919.

De retour en Belgique en 1902, Joseph Jongen est nommé en 1903 professeur d'harmonie et de contrepoint au Conservatoire de Liège.

Marié depuis 1909 et père de trois enfants, il emmène les siens en Angleterre[4] pour y passer les années de la Première Guerre mondiale, et participe activement à la vie musicale comme organiste et pianiste au sein du Belgian Quartet dont il est l'un des fondateurs avec le violoniste Désiré Defauw, le violoncelliste Etienne Doehaerd et l’altiste Lionel Tertis.

Dès , Jongen reprend son poste à Liège, puis est nommé en 1920 professeur de fugue au Conservatoire royal de Bruxelles, établissement dont il assume la direction de 1925 à sa retraite en 1939. Durant ce directorat, il invite d'éminentes personnalités musicales étrangères à faire partie de jurys aux concours de fin d'année qui connaissent un grand succès et portent haut et loin la notoriété de l'institution. C’est à ses débuts de directeur de Conservatoire, qu’il compose sa célèbre Symphonie concertante pour orgue et orchestre, op. 81.

De 1919 à 1926, Joseph Jongen dirige les Concerts Spirituels de Bruxelles et exerce une activité de chef de chœur et d'orchestre. Il dirige notamment quelques premières en Belgique comme Le Roi David d’Honegger, Psaume LXVII de Florent Schmitt et Saint-François d’Assise de Malipiero.

Auteur de très nombreuses œuvres, l’art de Jongen est d'une rare distinction et d'une subtilité harmonique qui se tient toujours dans les limites de la tonalité, possède une "patte" reconnaissable dans la sève mélodique souple et rythmée. Il est sans conteste le compositeur le plus doué de sa génération. Ernest Closson dira de lui : On se sent en présence d'un art infaillible, d'œuvres sans fissure, écrites avec une sûreté imperturbable : on reprocherait presque à l'auteur de "ne jamais rien rater".

Représentation de Joseph Jongen par Georges Jamotte. L'œuvre originale est conservée au Conservatoire royal de Bruxelles.

Nombre de ses meilleures œuvres portent l'inscription « Sart-lez-Spa le... ». C’est dans ce petit village ardennais entouré d’une nature fraîche et sauvage, que le compositeur belge possède une seconde résidence et qu’il trouve une source d’inspiration incomparable. Année après année, il accumule tous les genres de la musique pure : un impressionnant catalogue qu’il réduit lui-même à 137 œuvres dont la dernière fut écrite en 1951.

Deux ans plus tard, le , c’est à Sart-lez-Spa qu’il décède, atteint du cancer.

Hommages à Jongen

Par la suite, de nombreuses manifestations ont été données en l’honneur du compositeur belge.

En 2003, de nombreux concerts en Belgique ont célébré le cinquantième anniversaire de sa mort. La Bibliothèque royale de Belgique a accueilli l’exposition « Joseph Jongen, une vie de musicien »[5] du au .

En 2013, l’Union du Corps Professoral du Conservatoire royal de Bruxelles[6] a donné le nom du compositeur à son Auditorium Joseph Jongen.

La Bibliothèque du Conservatoire royal de Bruxelles conserve précieusement le Fonds Joseph Jongen[7], rassemblant les manuscrits autographes, la bibliothèque musicale et les archives du compositeur.

Compositions

Œuvres avec numéro d’opus

  • Op. 1 Concerto symphonique pour piano et orchestre (1892)
  • Op. 2 Quatuor à cordes (1893)
  • Op. 3 Quatuor à cordes no 1 (1894) dédié à Jean-Théodore Radoux
  • Op. 4 Marche solennelle pour orchestre (1894)
  • Op. 5 Cinq Pièces pour orgue
    • Andante Cantabile (1895)
    • Pastorale (1896) dédiée à Gustave Helbig
    • Offertoire (Grand Chœur) (1896) dédié à Charles-Marie Danneels
    • Offertoire (1893) dédié à Alphonse Jongen
    • Communion (1894) dédiée à Sylvain Dupuis
  • Op. 6 Haec Dies, motet pour chœur et orgue (1895)
  • Op. 7 Sinaï, cantate pour soli, chœur et orchestre (1895)
  • Op. 9 Divertissement-ballet pour orchestre (1896)
  • Op. 10 Trio en si mineur pour piano, violon et violoncelle (1897) dédié à son père
  • Op. 11 Callirhoe pour solistes, chœur et orchestre (1895)
  • Op. 12 Fantasia pour violon et orchestre (1898) dédiée à Marie Gilliard
  • Op. 13 Marche-Cortège pour orgue et orchestre (ou pour orgue et quatuor à cordes) (1898)
  • Op. 14 Comala, cantate pour soli, chœur et orchestre (1897)
  • Op. 15 Symphonie en la majeur (1898-1899)
  • Op. 16 Premier poème pour violoncelle et orchestre (1899) à Jean Gérardy
  • Op. 17 Concerto pour violon et orchestre en si mineur (1899-1900) dédié à Eugène Ysaÿe[8]
  • Op. 18 Concerto pour violoncelle et orchestre (1900)
  • Op. 20 Adagio symphonique pour violon et orchestre (1901) dédié à Joseph Debroux
  • Op. 21 Méditation pour cor anglais (ou saxophone) et orchestre (ou piano) (1901)
  • Op. 23 Quatuor avec piano en mi bémol majeur (1902)
  • Op. 24 Fantaisie sur deux noëls populaires wallons pour orchestre (1902) dédiée à Jacques Durand
  • Op. 25 Six Melodies pour chant et piano (1902)[9]
    • Lys - Chrysanthèmes
    • Après un rêve
    • Ferveur printanière
    • Chanson roumaine (titre original Sur la Colline, révisé plus tard)[9]
    • Chanson d'automne
    • Bal de fleurs
  • Op. 27 Sonate no 1 pour violon et piano (1903)
  • Op. 28 Lalla Roukh pour orchestre (ou pour piano à quatre mains) (1904)
  • Op. 29 Parfum exotique pour soprano, piano et quatuor à cordes (ou pour soprano et piano) (1906)
  • Op. 30 Trio pour violon, alto et piano (1906-07) dédié à Emile Chaumont et Oscar Englebert
  • Op. 31 Prélude et danse pour orchestre (1907) dédié à Victor Buffin
  • Op. 32 Epithalame et Scherzo pour trois violons et orchestre (ou piano, ou orgue) (1907)
  • Op. 33 Deux pièces pour piano (1908) ; aussi en version pour orchestre (1915)
  • Op. 34 Sonate no 2 pour violon et piano (1909) dédiée à Octave Maus
  • Op. 36 S'Arka, ballet (1910)
  • Op. 38 Cantabile - Marche - Pastorale pour harmonium (1911)
  • Op. 39 Sonate pour violoncelle et piano (1911-12) dédiée à Pablo Casals
  • Op. 40 Deux rondes wallonnes pour piano (ou orchestre) (1912)
  • Op. 41 Concertino pour trompette et orchestre (ou petit orchestre, ou piano) (1913)
  • Op. 42 Chant pastoral pour chœur féminin et orchestre (ou orchestre de chambre, ou piano) (1913)
  • Op. 43 En forme de valse pour piano (1913) dédié à Madame G. Gould (Evelyn Suart)
  • Op. 44 Impressions d'Ardennes pour orchestre (1913) dédié à Eugène Ysaÿe
  • Op. 46 Deuxième poème pour violoncelle et orchestre (1914) dédié à Maurice Dambois
  • Op. 48 Suite pour orchestre et alto principal (1915)
  • Op. 50 Quatuor à cordes no 2 (1916) dédié à Théo Ysaÿe
  • Op. 50 Paix pour chant et piano (1916)[9]
  • Op. 52 Crépuscule au lac Ogwen pour piano (1916)
  • Op. 53 Deux pièces pour orgue (1917)
    • Chant de May
    • Menuet-Scherzo
  • Op. 54 Calmes, aux quais déserts pour soprano, piano et quatuor à cordes (ou pour soprano et piano) (1917)
  • Op. 55 Pages intimes pour piano à quatre mains (1915) ou pour petit orchestre (1921)
  • Op. 56 Tableaux pittoresques pour orchestre (1917)
  • Op. 57 No.5 Release pour chant et piano (1917)[9]
  • Op. 58 Sarabande triste pour piano (ou pour petit orchestre) (1918) dédiée à Alphonse Jongen
  • Op. 59 Aquarelles pour trio avec piano
  • Op. 60 Suite en forme de sonate pour piano (1918)
  • Op. 61 Deux sérénades pour quatuor à cordes (1918)
    • Sérénade tendre dédiée à Madame S. Howard
    • Sérénade dramatique dédiée à Ernest Howard Esq.
  • Op. 62 Poème héroïque pour violon et orchestre (1919) dédié à Emile Chaumont
  • Op. 63 In Memoriam (4 Improvisations) pour harmonium (1919) dédié à Dom Joseph Kreps
  • Op. 65 Trois Études de concert pour piano (1920)
  • Op. 66 Prélude élégiaque et Scherzo pour orchestre (1920) dédié à Gabriel Pierné
  • Op. 67 Quatuor à cordes no 3 (1921) dédié à Florent Schmitt
  • Op. 69 Treize préludes pour piano (1922) dédiés à Emile Bosquet
    • Inquiétude
    • Nostalgique
    • Pour danser
    • Tourments
    • Eau tranquille
    • Appassionato
    • Il était une fois...
    • Interlude
    • Angoisse
    • Giovinezza
    • Papillons noirs
    • Tendresse
    • Airs de fête
  • Op. 70 Rhapsodie pour piano, flûte, hautbois, clarinette, basson et cor (1924)
  • Op. 71 Concert à cinq pour flûte, harpe et trio à cordes (1923)
  • Op. 72 Deux chants sans paroles pour soprano et piano (1923)
  • Op. 73 Valse pour Harpe (1924)
  • Op. 74 Fantaisie rhapsodique pour violoncelle et orchestre (ou piano) (1924)
  • Op. 75 Petite Suite pour petit orchestre (ou pour piano) (1924)
  • Op. 77 Sonate pour flûte et piano (ou pour flûte et orchestre à cordes) (1924) dédiée à René Leroy
  • Op. 78 Hymne pour orgue et orchestre à cordes (1924/26)
  • Op. 79 Allegro appassionato pour alto et orchestre (1925)
  • Op. 80 Deux pièces en trio pour flûte, violoncelle et harpe (1925)
  • Op. 80A Entrevisions pour chant et piano (1926)[9]
  • Op. 81 Symphonie concertante pour orgue et orchestre (1926) dédiée à Léon Jongen
  • Op. 82 Pensée élégiaque pour piano (1926)
  • Op. 84 Pièce symphonique pour piano et vents (ou pour piano et orchestre, ou pour deux pianos) (1928)
  • Op. 85 No.1 Rouge pour chant et piano (1928)[9]
  • Op. 85 No.3 Si tu me quittes un jour.. pour chant et piano (1928)[9]
  • Op. 86 Habañera pour violoncelle et piano (1928) dédiée à SAR la Princesse Marie-José
  • Op. 87 Impromptu no 1 pour piano (1928) dédié à Madame Marguerite Lebizay-Hannay
  • Op. 88 Sonatine pour piano (1929)
  • Op. 89 Deux pièces pour quatuor de violoncelles (1929)
  • Op. 90 Passacaille et Gigue pour orchestre (1929)
  • Op. 92 Humoresque pour violoncelle et orchestre (ou orgue) (1930) dédié à Maurice Dambois
  • Op. 93 Troisième suite dans le style ancien pour orchestre (1930) dédiée à Charles Strony
  • Op. 94 Sonata Eroïca pour orgue (1930) dédiée à Joseph Bonnet
  • Op. 95 Deux pièces en trio pour violon, violoncelle et piano (1931)
  • Op. 96 Dix Pièces pour piano (ou pour petit orchestre) (1932) dédiées à Juliette Folville
    • Scherzetto
    • Cake-Walk
    • Vieille chanson
    • Harpe
    • Séguedille (Malagueña)
    • La gracieuse
    • Marche-Dansée
    • Barcarolle
    • Mazurka
    • Hymne védique
  • Op. 97 Deux esquisses pour quatuor à cordes (1933)
  • Op. 98 Deux pièces pour flûte, hautbois, clarinette, cor et basson (1933)
  • Op. 99 Impromptu no 2 pour piano (1933)
  • Op. 102 Introduction et Danse pour alto et orchestre (ou piano) (1935)
  • Op. 103 Triptyque pour orchestre (1935-37)
  • Op. 104 Toccata pour orgue (1935) dédiée à Georges Alexis
  • Op. 105 Ballade no 1 pour piano (1936)
  • Op. 106 Prélude, Habanéra et Allegro pour contrebasse et piano (1938)
  • Op. 108 Two Pièces pour orgue (1938) dédiées à Madame Val Chesneau-Barberis
    • Scherzetto
    • Prière
  • Op. 110 Ouverture-Fanfare pour orchestre d'harmonie (1939)
  • Op. 111 Concertino pour alto et piano (1940)
  • Op. 112 Alléluia pour orgue et orchestre (1940)
  • Op. 115 Recitativo et airs de ballet pour clarinette et piano (ou orchestre) (1941)
  • Op. 117 Ouverture de fête pour orchestre (1941)
  • Op. 119 Ballade no 2 pour piano (1941)
  • Op. 121 Prélude et fugue pour orgue (1941-43)
  • Op. 122 Quatuor de saxophones (1942)
  • Op. 123 Bourrée dans le style ancien pour piano (ou pour piano à quatre mains, ou pour orchestre) (1942)
  • Op. 124 Concerto pour flûte, hautbois, clarinette, cor et basson (1942)
  • Op. 125 Ballade pour harpe (1943)
  • Op. 127 Concerto pour piano et orchestre (1943) dédié à Eduardo del Pueyo
  • Op. 128 Aria et Polonaise pour trombone et piano (1943) dédiés à Estevan Dax
  • Op. 129 Concerto pour harpe et orchestre (1944) dédié à Mireille Flour
  • Op. 131 Obéron pour solistes et orchestre (1945)
  • Op. 132 Concertino pour clarinette et piano (1947) dédié à Monsieur de Leye
  • Op. 133 In Memoriam pour petit orchestre (ou orchestre de chambre, ou piano) (1947)
  • Op. 135 Trio pour violon, alto et violoncelle (1948) dédié au Trio Pasquier
  • Op. 136 Ballade pour orchestre (1949)
  • Op. 137 Trois mouvements symphoniques pour orchestre (1951)

Beaucoup d'autres œuvres n'ont pas reçu de numéro d'opus. Le catalogue de John Scott Whiteley est beaucoup plus complet et reprend même les pièces inachevées et les morceaux composés pour les concours du Conservatoire royal de Bruxelles.

Œuvres pour orgue

  • W  ??? Sonata Eroica Op 94 (1930). Avec dédicace à Joseph Bonnet, organiste à St Eustache à Paris
  • W. 134 Pastorale (1906). Avec dédicace à Léon Jongen
  • W. 143 Cantilène (1908). Avec dédicace à Otto Gauss
  • W. 177 Prélude funèbre (1914)
  • W. 287 Légende (1930) Inachevé
  • W. 311 = Op. 104 Toccata (1935)
  • W. 319 Petit prélude (Aria) (1937)
  • W. 338 Improvisation-Pastorale (1941). Avec dédicace au Docteur Hardy
  • W. 343 = Op. 121 Prélude et fugue (1941-43)
  • W. 350 Gaudeamus : Verset pour la fête de l'Assomption (1944)

Œuvres pour harmonium

  • Trois pièces (1908). Avec dédicace à Emile-Henri t'Serstevens (nl)
    • W. 145 Prière du matin
    • W. 146 Angélus
    • W. 147 Prière du soir
  • Huit feuilles. Inachevé
    • W. 152 (Si majeur, no 6) (1909)
    • W. 153 (Sol dièse mineur, no 5) (1909)
    • W. 154 (Ré majeur, no 7) (?). Inachevé
    • W. 155 (Do dièse majeur) (?). Inachevé
    • W. 156 Gavotte (Fa dièse mineur) (?). Inachevé
  • Trois pièces faciles (1911)
    • W. 166 = Op. 38/3 Cantabile
    • W. 167 = Op. 38/4 Marche
    • W. 168 = Op. 38/5 Pastorale
  • W. 169 Offertoire sur l'Alma Redemptoris (1911). Avec dédicace à l'abbé Joseph Joubert
  • W. 210 = Op. 63 In Memoriam (4 Improvisations) (1919)
  • Pièces pour harmonium dans tous les tons (1921). Inachevé
    • W. 217 Do majeur
    • W. 218 Do mineur
    • W. 219 Ré bémol Majeur
    • W. 218 Do dièse mineur
    • W. 219 Ré Majeur. Inachevé

Œuvre avec harmonium

  • Hymne (1924) pour harmonium et piano. Avec dédicace à Émile et Marie t'Serstevens

Discographie

Bibliographie

  • Paul Raspé, Joseph Jongen (1873-1953) : une vie de musicien, Bruxelles, Bibliothèque royale de Belgique, Chapelle de Nassau, et Conservatoire royal de Bruxelles, , 151 p. (ISBN 2-87093-143-3)
  • Léon Jongen, Notice sur Joseph Jongen, Bruxelles, Académie royale de Belgique, , 63 p. (lire en ligne)
  • (en) John Scott Whiteley, Joseph Jongen and his organ music, New York, Pendragon Press, 1997.

Liens externes

Notes et références

  1. Raspé 2003.
  2. Jongen 1954.
  3. (de) Joseph Jongen, Quartett C-moll für 2 violinen, viola und violoncell, Leipzig, Ernst Eulenbourg, coll. « Payne » (no 220), , 59 p..
  4. Il est invité en Angleterre en 1914 par le mari britannique de sa belle-sœur Hélène, sœur de sa femme Valentine Ziane, qui admirait le compositeur et a fait preuve d’une grande générosité.
  5. « Concerto pour violon op. 17 », sur belgica.kbr.be
  6. (de) « Collections de manuscrits autographes de Joseph Jongen en ligne », sur tobias-broeker.de.
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