Mareil-Marly

Mareil-Marly est une commune française située dans le département des Yvelines, en région Île-de-France.

Pour les articles homonymes, voir Mareil et Marly.

Mareil-Marly

L'hôtel de ville.

Blason
Administration
Pays France
Région Île-de-France
Département Yvelines
Arrondissement Saint-Germain-en-Laye
Intercommunalité Communauté d'agglomération Saint Germain Boucles de Seine
Maire
Mandat
Dominique Lafon
2020-2026
Code postal 78750
Code commune 78367
Démographie
Gentilé Mareillois
Population
municipale
3 447 hab. (2018 )
Densité 1 947 hab./km2
Géographie
Coordonnées 48° 52′ 57″ nord, 2° 04′ 39″ est
Altitude Min. 42 m
Max. 161 m
Superficie 1,77 km2
Type Commune urbaine
Unité urbaine Paris
(banlieue)
Aire d'attraction Paris
(commune du pôle principal)
Élections
Départementales Canton de Saint-Germain-en-Laye
Législatives Sixième circonscription
Localisation
Géolocalisation sur la carte : Île-de-France
Mareil-Marly
Géolocalisation sur la carte : Yvelines
Mareil-Marly
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Mareil-Marly
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Mareil-Marly

    Ses habitants sont appelés les Mareillois[1].

    Géographie

    Position de Mareil-Marly dans les Yvelines.

    Localisation

    Mareil-Marly est située dans la région Île-de-France, au nord-est du département des Yvelines.

    La commune se trouve à 3,1 km au sud-ouest du Pecq, chef-lieu du canton[2], à 9,5 km au nord-ouest de la ville préfecture, Versailles[3], et à 19,9 km à l'ouest de la capitale, Paris[4].

    Communes limitrophes

    Hydrographie

    Voies de communication et transports

    La gare de Mareil-Marly.

    Voies routières

    La commune est desservie par deux routes de relative importance :

    Transport en commun

    La commune est desservie depuis 2004 par une gare de la Grande ceinture Ouest.

    La commune est desservie par les lignes 15 et 15S du réseau de bus Entre Seine et Forêt et par la ligne R5 du réseau de bus Résalys[réf. nécessaire].

    Urbanisme

    Typologie

    Mareil-Marly est une commune urbaine, car elle fait partie des communes denses ou de densité intermédiaire, au sens de la grille communale de densité de l'Insee[Note 1],[5],[6],[7]. Elle appartient à l'unité urbaine de Paris, une agglomération inter-départementale regroupant 411 communes[8] et 10 785 092 habitants en 2017, dont elle est une commune de la banlieue[9],[10].

    Par ailleurs la commune fait partie de l'aire d'attraction de Paris, dont elle est une commune du pôle principal[Note 2]. Cette aire regroupe 1 929 communes[11],[12].

    Toponymie

    Le nom de Mareil est attesté sous les formes Marolium en 747[13], Maroilus en 853[14], de Maroialos, Maroligum, Maroilo au IXe siècle, Marolio au XIe siècle, Mareil en 1279 dans une charte avec la mention « Moi Philippe, dit Le Voyer, écuyer de Mareil… », Mareil en 1793, Mareil-Marly en 1801[15].

    Mareil, qu'on nomme Mareil-sous-Marly ou Mareil-Marly, pour le distinguer de plusieurs autres localités de ce nom, et notamment de Mareil-le-Guyon et de Mareil-sur-Mauldre, dans le même département.

    Les terminaisons toponymiques -euil, -eil résultent généralement de l'évolution phonétique de l'appellatif toponymique gaulois ialon « lieu défriché, clairière, village » précédé de -o- (cf. gallois tir ial « clairière, espace découvert »), compris autrefois par les toponymistes comme un suffixe -ialo « champ, clairière »[16]. Le premier élément Mar- semble représenter le gaulois maros « grand » comparable au breton meur (cf. nom de famille Le Meur)[17].

    Le sens global de *Maroialon, latinisé en Maroialum > Marolium au Moyen Âge en général, est donc celui « grand bourg »[18], préférable à celui de « grande clairière » ou « grand défrichement ».

    Le nom de Marly provient de marcilliacum, « domaine de Marcel », qui a donné marlacum, malliaco villa ou peut-être de merula, merle.

    Politique et administration

    Rattachements administratifs et électoraux

    Antérieurement à la loi du [19], la commune faisait partie du département de Seine-et-Oise. La réorganisation de la région parisienne en 1964 fit que la commune appartient désormais au département des Yvelines et à son arrondissement de Saint-Germain-en-Laye , après un transfert administratif effectif au .

    Pour l'élection des députés, elle fait partie depuis 1986 de la sixième circonscription des Yvelines.

    Elle faisait partie depuis 1793 du canton de Saint-Germain-en-Laye. Lors de la mise en place du département des Yvelines, elle est rattachée en 1967 au canton de Saint-Germain-en-Laye-Sud puis, en 1976, au canton du Pecq[15]. Dans le cadre du redécoupage cantonal de 2014 en France, Mareil-Marly est rattachée à un nouveau canton de Saint-Germain-en-Laye.

    Intercommunalité

    La commune était membre de la communauté de communes Saint-Germain Seine et Forêts créée le avant d'être transformée le en communauté d'agglomération sous le nom de communauté d'agglomération Saint-Germain Seine et Forêts.

    Dans le cadre de la mise en œuvre de la loi MAPTAM du , qui prévoit la généralisation de l'intercommunalité à l'ensemble des communes, et la constitution d'intercommunalités de plus de 200 000 habitants en seconde couronne d'Île-de-France afin qu'elles soient en mesure de dialoguer avec la métropole du Grand Paris, cette intercommunalité a fusionné avec ses voisines pour former, le , la communauté d'agglomération Saint Germain Boucles de Seine dont est désormais membre la commune.

    Politique locale

    La municipalité de Saint-Germain-en-Laye annonce fin 2017 le lancement d'une réflexion en vue d'une fusion de Saint-Germain-en-Laye, Fourqueux, Mareil-Marly et l'Étang-la-Ville, qui prendrait la forme d'une commune nouvelle en [20],[21]. Cela permettrait selon Saint-Germain-en-Laye de mieux influer et répondre aux enjeux induits par la métropole du Grand Paris tout en accentuant la représentativité des communes regroupées au sein de la communauté d'agglomération Saint Germain Boucles de Seine[22].

    Toutefois, la majorité de Mareil-Marly éclate début 2018 à la suite du rejet du budget[23] à deux reprises dans le cadre de l'opposition de certains conseillers municipaux à l'acquisition du Prieuré, une bâtisse située en centre-ville à proximité de l’église Saint-Étienne et de l’école des Violettes et disposant d’un grand terrain, entrainant la démission de l'équipe municipale.

    De nouvelles élections municipales organisées le dimanche entrainent la victoire dès le 1er tour de la liste menée par Dominique Lafon (SE), qui, avec 59,14 % des voix, devance la liste de Thierry Bettini (27,35 %) et surtout celle de la maire sortante Brigitte Morvan (DVD, 13,49 %). Lors de la campagne, la liste du vainqueur avait milité contre la fusion[24],[25].

    En 2020, la liste conduite par Dominique Lafon (SE) est réélue au second tour avec 60,89% des voix contre 39,11% pour Thierry Bettini (SE). La participation est de 53,78%[26].

    Liste des maires

    Liste des maires successifs[27]
    Période Identité Étiquette Qualité
    Les données manquantes sont à compléter.
    1790 1791 Michel Bellavoine    
    1791 1792 Denis Bellavoine    
    1795 1799 M. N. Norry    
    1799 1803 Denis Beauvais    
    1803 1815 Louis-Jacques Laborne    
    1815 1818 Etienne Laurent Lecointe    
    1818 1834 Jean Beaugrand    
    1834 1844 Jean-Pierre Gilbert    
    1844 1850 Denis-Laurent Lecointe    
    1850 1852 Charles-Louis Bellavoine    
    1852 1859 Gustave Paulin[28],[29]   Polytechnicien
    Officier de l'armée de Napoléon
    Commandant du corps des sapeurs-pompiers de Paris (1831 → 1845)
    Commandeur de la Légion d’honneur
    1859 1871 Sébastien Clerambour    
    1871 1882 Hyppolyte Cayeux    
    1882 1890 Désiré Thibault    
    1890 1896 Hippolyte Bege    
    1896 1900 Alfred Yvert    
    1900 1908 Gustave Motte    
    1908 1925 Ernest Monnier    
    1925 1935 Jules Samson    
    1935 1942 M. Cayrol    
    1942 1944 Alexandre Gaudet    
    1944 1946 Louis Piard    
    1946 1959 Louis Paysant    
    1959 1983 Philippe Galland    
    1983 1997 Michel Dupont    
    1997 2008 Philippe Sander DVD Général en retraite
    2008 avril 2014[30] Jean Bernard Bisson SE  
    avril 2014[31],[32] septembre 2018[25] Brigitte Morvant DVD Mandat écourté par la démission de conseillers municipaux
    octobre 2018[33] En cours
    (au 3 juillet 2020)
    M. Dominique Lafon SE Médecin
    Réélu pour le mandat 2020-2026

    Démographie

    Évolution démographique

    L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. À partir de 2006, les populations légales des communes sont publiées annuellement par l'Insee. Le recensement repose désormais sur une collecte d'information annuelle, concernant successivement tous les territoires communaux au cours d'une période de cinq ans. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[34]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2007[35].

    En 2018, la commune comptait 3 447 habitants[Note 3], en diminution de 2,68 % par rapport à 2013 (Yvelines : +1,62 %, France hors Mayotte : +1,78 %).

    Évolution de la population  [modifier]
    1793 1800 1806 1821 1831 1836 1841 1846 1851
    408394386369338358327351338
    1856 1861 1866 1872 1876 1881 1886 1891 1896
    357340341364376387370377393
    1901 1906 1911 1921 1926 1931 1936 1946 1954
    3974114575306007848688431 018
    1962 1968 1975 1982 1990 1999 2006 2007 2012
    1 4091 7572 5423 0543 0743 1803 4303 4683 519
    2017 2018 - - - - - - -
    3 4483 447-------
    De 1962 à 1999 : population sans doubles comptes ; pour les dates suivantes : population municipale.
    (Sources : Ldh/EHESS/Cassini jusqu'en 1999[15] puis Insee à partir de 2006[36].)
    Histogramme de l'évolution démographique
    Pyramide des âges en 2007

    La population de la commune était relativement jeune. Le taux de personnes d'un âge supérieur à 60 ans (20,9 %) était en effet supérieur au taux national (21,6 %) tout en étant toutefois inférieur au taux départemental (17,5 %). À l'instar des répartitions nationale et départementale, la population féminine de la commune était supérieure à la population masculine. Le taux (50,1 %) était du même ordre de grandeur que le taux national (51,6 %).

    La répartition de la population de la commune par tranches d'âge était, en 2007, la suivante :

    • 49,9 % d’hommes (0 à 14 ans = 24,3 %, 15 à 29 ans = 16,4 %, 30 à 44 ans = 16 %, 45 à 59 ans = 23,4 %, plus de 60 ans = 19,9 %) ;
    • 50,1 % de femmes (0 à 14 ans = 21,1 %, 15 à 29 ans = 14,1 %, 30 à 44 ans = 18,8 %, 45 à 59 ans = 24,2 %, plus de 60 ans = 21,9 %).
    Pyramide des âges à Mareil-Marly en 2007 en pourcentage[37]
    HommesClasse d’âgeFemmes
    0,3 
    90  ans ou +
    0,9 
    6,2 
    75 à 89 ans
    6,3 
    13,4 
    60 à 74 ans
    14,7 
    23,4 
    45 à 59 ans
    24,2 
    16,0 
    30 à 44 ans
    18,8 
    16,4 
    15 à 29 ans
    14,1 
    24,3 
    0 à 14 ans
    21,1 
    Pyramide des âges du département des Yvelines en 2007 en pourcentage[38]
    HommesClasse d’âgeFemmes
    0,3 
    90  ans ou +
    0,9 
    4,3 
    75 à 89 ans
    6,6 
    11,2 
    60 à 74 ans
    11,6 
    20,3 
    45 à 59 ans
    20,7 
    22,1 
    30 à 44 ans
    21,5 
    19,9 
    15 à 29 ans
    18,9 
    21,9 
    0 à 14 ans
    19,8 

    Économie

    Mareil-Marly développe son économie avec ses magasins de proximité et ses services de santé, garages, soit tout ce dont un village de cette envergure à besoin[réf. nécessaire].

    Revenus de la population et fiscalité

    En 2010, le revenu fiscal médian par ménage était de 69 550 €, ce qui plaçait Mareil-Marly au 12e rang parmi les 31 525 communes de plus de 39 ménages en métropole[39].

    Culture locale et patrimoine

    Lieux et monuments

    • L'église Saint-Étienne de Mareil-Marly dont le clocher roman date du XIIe siècle et dont la nef a été remaniée au XVIe siècle.
    • Le lavoir des Mariveaux, construit en 1885. Il est aujourd'hui[Quand ?] en ruines, un projet de restauration est en cours avec l'aide de la mairie et de la Fondation du patrimoine[réf. nécessaire].

    Personnalités liées à la commune

    • François-Edme Ricois (1795-1881) habitait Mareil-Marly, rue de Port-Marly, où il meurt.
    • Céline Zahler et Armand Zahler ont reçu le titre de Juste parmi les nations par le comité pour Yad Vashem, dont les noms figure sur le mur d'honneur du Jardin des Justes à Jérusalem, mais également à Paris, dans l'allée des Justes, près du mémorial de la Shoah, rue Geoffroy-l'Asnier. Le couple Zahler a couvert les Clauvel de leur protection pendant deux ans, jusqu’à la Libération alors que Mareil-Marly servait de base à une importante unité de l’artillerie antiaérienne allemande et que des officiers allemands de haut rang y stationnaient[40].

    Héraldique

    Les armes de Mareil-Marly se blasonnent ainsi :
    d'azur aux deux épées d'argent posées en sautoir, cantonnées de quatre fleurs de lys d'or.

    Voir aussi

    Bibliographie

    • Mareil-Marly, Village d'Yveline, ouvrage collectif, Sophiac, 1996.

    Articles connexes

    Liens externes

    Notes et références

    Notes

    1. Selon le zonage des communes rurales et urbaines publié en novembre 2020, en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le en comité interministériel des ruralités.
    2. La notion d'aire d'attraction des villes a remplacé, en , celle d'aire urbaine afin de permettre des comparaisons cohérentes avec les autres pays de l'Union européenne.
    3. Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2021, millésimée 2018, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2020, date de référence statistique : 1er janvier 2018.

    Références

    1. David Malescourt, « Yvelines > Mareil-Marly (78750) », sur le site habitants.fr (consulté le ).
    2. « Orthodromie entre Mareil-Marly et Le Pecq », sur le site lion1906.com de Lionel Delvarre (consulté le ).
    3. « Orthodromie entre Mareil-Marly et Versailles », sur le site lion1906.com de Lionel Delvarre (consulté le ).
    4. « Orthodromie entre Mareil-Marly et Paris », sur le site lion1906.com de Lionel Delvarre (consulté le ).
    5. « Typologie urbain / rural », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
    6. « Commune urbaine - définition », sur le site de l’Insee (consulté le ).
    7. « Comprendre la grille de densité », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
    8. « Unité urbaine 2020 de Paris », sur https://www.insee.fr/ (consulté le ).
    9. « Base des unités urbaines 2020 », sur www.insee.fr, (consulté le ).
    10. Vianney Costemalle, « Toujours plus d’habitants dans les unités urbaines », sur le site de l'Institut national de la statistique et des études économiques, (consulté le ).
    11. « Liste des communes composant l'aire d'attraction de Paris », sur le site de l'Institut national de la statistique et des études économiques (consulté le ).
    12. Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier Pégaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans l’aire d’attraction d’une ville », sur le site de l'Institut national de la statistique et des études économiques, (consulté le ).
    13. Hippolyte Cocheris, Anciens noms des communes de Seine-et-Oise, 1874, ouvrage mis en ligne par le Corpus Etampois.
    14. Ernest Nègre, Toponymie générale de la France : Formations pré-celtiques, celtiques, romanes, Droz, , p. 177.
    15. Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes études en sciences sociales.
    16. Albert Dauzat et Charles Rostaing, Dictionnaire étymologique des noms de lieu en France, Paris, Librairie Guénégaud, (ISBN 2-85023-076-6), p. 434ab.
    17. Xavier Delamarre, Dictionnaire de la langue gauloise, éditions Errance 2003, p. 218.
    18. Xavier Delamarre, op. cit. p. 218 et 185.
    19. Loi no 64-707 du 10 juillet 1964 portant réorganisation de la région parisienne, JORF no 162 du 12 juillet 1964, p. 6204–6209, fac-similé sur Légifrance.
    20. Benjamin Derveaux & S.B., « Fusion Saint-Germain - Mareil-Marly - Fourqueux - L’Etang-la-Ville : « On risque de perdre notre identité » : Si à Saint-Germain-en-Laye, les habitants semblent indifférents au projet de fusion des quatre communes, dans les trois autres villes, certains sont inquiets », Le Parisien, édition des Yvelines, (lire en ligne, consulté le ).
    21. Benjamin Derveaux, « Saint-Germain-en-Laye : Sciences-po a planché sur la fusion des communes : Les étudiants ont travaillé sur le projet de rapprochement entre les villes de Saint-Germain-en-Laye, Fourqueux, Mareil-Marly et L’Etang-la-Ville. Ils ont présenté leurs conclusions aux élus », Le Parisien, édition des Yvelines, (lire en ligne, consulté le ).
    22. « Vers une « commune nouvelle » ? », Les grands projets, sur https://www.saintgermainenlaye.fr (consulté le ).
    23. Philippe Roudeillat, « Mareil-Marly. Les élus ont invalidé le budget 2018 : Coup dur pour le maire, Brigitte Morvant, les élus ont invalidé le budget de 2018. Un autre conseil municipal extraordinaire va être organisé en conséquence le mardi 17 avril », 78 actu, (lire en ligne, consulté le ).
    24. Philippe Roudeillat, « Yvelines. Les réactions suite à la démission de la majorité municipale de Mareil-Marly : Les principaux ténors de la vie politique mareilloise réagissent à la décision prise par des membres de la majorité de Mareil-Marly (Yvelines) de démissionner », 78 actu, (lire en ligne, consulté le ).
    25. M.G., « Mareil-Marly : Dominique Lafon élu au premier tour : Le candidat (SE) rejetait le projet de fusion avec Saint-Germain-en-Laye », Le Parisien, édition des Yvelines, (lire en ligne, consulté le ).
    26. « Municipales 2020 : enjeux et résultats », sur www.lemonde.fr (consulté le ).
    27. « Les maires de Mareil-Marly », sur http://www.francegenweb.org (consulté le ).
    28. « partie1 », sur genetarn.free.fr (consulté le ).
    29. Jacques Prémont, Notes pour servir à l'histoire du Chevalier Gustave Paulin, , 96 p..
    30. Philippe Roudeillat, « Municipales : Brigitte Morvant prend la tête : Au soir de ce premier tour, c’est donc Brigitte Morvant qui sort en tête du duel fratricide qui se joue à Mareil-Marly avec 40,48 % des suffrages exprimés. En effet, sur les 4 listes présentes dans cette course des municipales, trois étaient conduites par des membres de l’équipe sortante », 78 actu, (lire en ligne, consulté le ).
    31. Y.F., « Municipales : le logement au cœur de la campagne de Mareil-Marly », Le Parisien, édition des Yvelines, (lire en ligne, consulté le ) « Il faut dire que la réalisation de plus d’un millier de logements agite les 3500 habitants. Et la bataille entre les deux prétendants au fauteuil de maire dure depuis des mois. D’un côté, Pierre Durand, l’adjoint chargé de l’urbanisme, est favorable au projet, de l’autre Brigitte Morvant, adjointe chargée de la vie associative et de la culture s’oppose à la densification de la commune. Les deux prétendants, élus depuis 2008 et proches de l’UMP, se rendent coup pour coup ».
    32. Philippe Roudeillat, « Municipales : Brigitte Morvant prend la mairie de Mareil-Marly », 78 actu, (lire en ligne, consulté le ) « La répartition des sièges au sein du futur conseil municipal de Mareil-Marly est la suivante : « Mareil Esprit village » (20 sièges), « Mareil ensemble » (3 sièges), « Demain Mareil » (2 sièges) et « Mareil autrement » (2 sièges) ».
    33. C.L., « Dominique Lafon, nouveau maire de Mareil-Marly : Dix jours après la victoire de sa liste lors de la municipale partielle, le médecin de profession est devenu premier magistrat », Le Parisien, édition des Yvelines, (lire en ligne, consulté le ) .
    34. L'organisation du recensement, sur insee.fr.
    35. Calendrier départemental des recensements, sur insee.fr.
    36. Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017 et 2018.
    37. « Évolution et structure de la population à Mareil-Marly en 2007 », sur le site de l'Insee (consulté le ).
    38. « Résultats du recensement de la population des Yvelines en 2007 » [archive du ], sur le site de l'Insee (consulté le ).
    39. « Indicateurs de structure et de distribution des revenus en 2010 | Insee », sur www.insee.fr (consulté le ).
    40. « Zahler Armand, Zahler Céline », Les Justes de France, Comité français pour Yad Vashem (consulté le ).
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