Maffliers

Maffliers est une commune française située dans le département du Val-d'Oise en région Île-de-France.

Maffliers

Le manoir Notre-Dame, actuelle mairie de Maffliers..

Blason
Administration
Pays France
Région Île-de-France
Département Val-d'Oise
Arrondissement Sarcelles
Intercommunalité CC Carnelle Pays-de-France
Maire
Mandat
Jean-Christophe Mazurier
2020-2026
Code postal 95560
Code commune 95353
Démographie
Gentilé Maffliérois
Population
municipale
1 839 hab. (2018 )
Densité 271 hab./km2
Géographie
Coordonnées 49° 05′ 00″ nord, 2° 19′ 00″ est
Altitude Min. 58 m
Max. 188 m
Superficie 6,79 km2
Type Commune urbaine
Unité urbaine Montsoult
(ville-centre)
Aire d'attraction Paris
(commune de la couronne)
Élections
Départementales Canton de Fosses
Législatives 2e circonscription du Val-d'Oise
Localisation
Géolocalisation sur la carte : Île-de-France
Maffliers
Géolocalisation sur la carte : Val-d'Oise
Maffliers
Géolocalisation sur la carte : France
Maffliers
Géolocalisation sur la carte : France
Maffliers
Liens
Site web https://sites.google.com/site/communedemaffliers/

    Géographie

    Description

    Paysage de la commune: la rue de la Mairie, vers l'église.

    La commune se situe à 30 km environ au nord de Paris, à l'orée de la forêt de L'Isle-Adam. Cet ancien village aristocratique possède de beaux domaines de chasse et de ravissants manoirs.

    Elle fait partie du périmètre du Parc naturel régional Oise-Pays de France.

    La commune est desservie par l'ancienne route nationale 1, devenue RD 78 depuis la mise en service du tronçon de l'autoroute A16 qui traverse le village et permet d'éviter l'importante circulation de transit qui traversait le village jusqu'en novembre 2019[1]

    Maffliers est desservie par la gare de Montsoult - Maffliers située à Montsoult.

    Communes limitrophes

    Hydrographie

    La commune est limitée au nord par le cours du Ru de Presles et ses divers bras, ainsi que son étang. Ce cours d'eau est géré par le syndicat Intercommunal de la Vallée du Ru de Presles qui regroupe Maffliers, Mours, Nointel, Presles et Saint-Martin-du-Tertre[4].

    Le ru de Presles est un affluent de l'Oise, et donc un sous-affluent de la Seine.

    Urbanisme

    Typologie

    Maffliers est une commune urbaine, car elle fait partie des communes denses ou de densité intermédiaire, au sens de la grille communale de densité de l'Insee[Note 1],[5],[6],[7]. Elle appartient à l'unité urbaine de Montsoult, une agglomération intra-départementale regroupant 3 communes[8] et 7 282 habitants en 2017, dont elle est ville-centre[9],[10].

    Par ailleurs la commune fait partie de l'aire d'attraction de Paris, dont elle est une commune de la couronne[Note 2]. Cette aire regroupe 1 929 communes[11],[12].

    Toponymie

    Le lieu est mentionné dans une charte de 832 comme propriété de l'abbaye de Saint-Denis sous la forme Maflare puis attestée sous le nom Maflers en 1150, Mafflers en 1208[13].

    Le second élément -fliers est sans doute le germanique *hlar > ancien français laris, larris « lande, friche », dont le h initial [χ] est passé à [f] dans certains cas en ancien français (cf. *hrôk « corbeau » > freux, flouer) et qui explique les finales -flier(s), -fler(s) (cf. Mouflers, Somme), voire -lers (cf. Meulers, Seine-Maritime), et les différents Flers du Nord de la France.

    Le premier élément Ma(f)- est inexpliqué[14].

    Histoire

    On a trouvé sur le territoire de la commune, des silex taillés datant du Néolithique ainsi que des instruments paléolithiques et moustériens.[réf. nécessaire]

    Bouchard V de Montmorency y fonde en 1163 le prieuré Grandmontain du Meynel[15] également appelé prieuré de Meynel-lez-Maffliers qui connait la décadence et est supprimé en 1770, sous Louis XV, puis, vendu et transformé.

    En 1602, la terre de Maffliers devient la propriété de Jean Forget, président du parlement de Paris, et la seigneurie est érigée en baronnie.

    Depuis les années 1960, le village devient progressivement rurbain, mais conserve des exploitations agricoles. Le village est illustré par le peintre Madeleine Luka qui y est née.

    Politique et administration

    Rattachements administratifs

    Antérieurement à la loi du 10 juillet 1964[16], la commune faisait partie du département de Seine-et-Oise. La réorganisation de la région parisienne en 1964 fit que la commune appartient désormais au département du Val-d'Oise et à son arrondissement de Sarcelles après un transfert administratif effectif au .

    Elle faisait partie de 1793 à 1967 du canton d'Écouen de Seine-et-Oise. Lors de la mise en place du Val-d'Oise, la ville intègre le canton de Viarmes[17]. Dans le cadre du redécoupage cantonal de 2014 en France, cette circonscription administrative territoriale a disparu, et le canton n'est plus qu'une circonscription électorale.

    Maffliers fait partie du Ressort du instance de Gonesse (depuis la suppression du tribunal d'instance d'Écouen en [18]), et de celui du tribunal judiciaire ainsi que de celui du tribunal de commerce de Pontoise[19],[20].

    Rattachements électoraux

    Pour les élections départementales, la commune est membre depuis 2014 du canton de Fosses

    Pour l'élection des députés, elle fait partie de la deuxième circonscription du Val-d'Oise.

    Intercommunalité

    Maffliers est membre fondateur de la communauté de communes Carnelle Pays de France, un établissement public de coopération intercommunale (EPCI) à fiscalité propre créé fin 2003 et auquel la commune a transféré un certain nombre de ses compétences, dans les conditions déterminées par le code général des collectivités territoriales.

    Liste des maires

    Liste des maires successifs[21]
    Période Identité Étiquette Qualité
    Les données manquantes sont à compléter.
    1843 1846 Charlemagne René Victor Despreaux
    de Saint Sauveur
      Procureur ou avoué à Paris 1808 à 1811.
    Maire de L'Haÿ-les-Roses (1816 → 1821)
    Décédé en fonction
    mai 1925   P. David    
    Les données manquantes sont à compléter.
    mars 2001 2014[22] Philippe Kilidjian SE  
    avril 2014[23],[24] En cours
    (au 2 décembre 2020)
    Jean Christophe Mazurier[25] DVD Ingénieur avant-vente dans l'aéroportuaire
    Vice-présudent de la CC du pays de France (2020 → )
    Réélu pour le mandat 2020-2026[26]

    Politique de développement durable

    Lors de la construction de l'autoroute A16, un pont de 25 m de large et 36 de long, réservé à la faune sauvage est construit au-dessus de l'autoroute afin de préserver le corridor écologique du bois du Carreau[27].

    Démographie

    L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. À partir de 2006, les populations légales des communes sont publiées annuellement par l'Insee. Le recensement repose désormais sur une collecte d'information annuelle, concernant successivement tous les territoires communaux au cours d'une période de cinq ans. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[28]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2004[29].

    En 2018, la commune comptait 1 839 habitants[Note 3], en augmentation de 7,36 % par rapport à 2013 (Val-d'Oise : +3,67 %, France hors Mayotte : +1,78 %).

    Évolution de la population  [modifier]
    1793 1800 1806 1821 1831 1836 1841 1846 1851
    446399511507459474498532428
    1856 1861 1866 1872 1876 1881 1886 1891 1896
    390400419417438432414382377
    1901 1906 1911 1921 1926 1931 1936 1946 1954
    354396397452511520493508545
    1962 1968 1975 1982 1990 1999 2004 2009 2014
    5545537909031 1681 3701 6141 6421 725
    2018 - - - - - - - -
    1 839--------
    De 1962 à 1999 : population sans doubles comptes ; pour les dates suivantes : population municipale.
    (Sources : Ldh/EHESS/Cassini jusqu'en 1999[17] puis Insee à partir de 2006[30].)
    Histogramme de l'évolution démographique

    Culture locale et patrimoine

    Lieux et monuments

    Maffliers compte un monument historique sur son territoire :

    • Église Notre-Dame-des-Champs, rue Notre-Dame-des-Champs (inscrite monument historique en 1931[31]) :
      Elle remplace probablement une ancienne chapelle dédiée à Saint-Blaise. L'église paroissiale primitive était la chapelle Notre-Dame-des-Champs, qui se situait rue de Beaumont, et qui a été démolie en 1793. Seule une statue en bois de la Vierge à l'Enfant du début du XIVe siècle en subsiste. Restaurée en 1875, elle est installée dans l'église, et connue désormais comme Notre-Dame-des-Champs, ce qui explique le vocable d'usage de l'église.
      Celle-ci se compose d'un clocher de 1574 ; d'une haute nef unique bâtie dans un délai de neuf mois en 1859 ; et d'un chœur Renaissance avec deux chapelles latérales et abside pentagonale des années 1554-1556.
      Ses parties orientales sont remarquables et d'une facture élégante. Elles se caractérisent par les hautes colonnes engagées supportant la voûte de l'abside, et ses chapiteaux d'ordre dorique et corinthien, surmontés de sections d'entablement. L'extérieur est également soigné.
      L'église est restaurée entre 1980 et 1983[32],[33]. Aujourd'hui, le chœur est encombré par des étais.

    On peut également signaler :

    • Château de Maffliers, allée des Marronniers :
      Ce château, qui abrite aujourd'hui un hôtel, s'élève à l'emplacement d'un ancien château fort féodal, qui est est reconstruit par Claude de La Fayette en 1550, mais seule la partie sud de cet édifice subsiste.
      Une nouvelle reconstruction intervient sous le marquis de Briqueville entre 1780 et 1785. En 1813, le château devient la propriété d'Augustin de Talleyrand-Périgord, qui possède également celui de Montsoult.
      Georges Provost qui achète le domaine en 1906 ne juge pas le château digne d'intérêt, et le fait presque entièrement raser. Il fait construire à la place un pavillon de forme cubique, de modestes dimensions. La plupart des bâtiments aujourd'hui présents sur le domaine ne datent que de l'époque où le château accueillait déjà un hôtel, et ont été construits entre 1964 et 1989.
      Les anciens communs, transformés en ferme au début du XXe siècle, sont utilisés comme centre équestre.
      . Le château subit un incendie en avril 2020, qui cause d'importants dégâts2020[34],[35]
    • Manoir de Montbrun, rue du Richebourg : C'est une grande maison d'un étage avec une façade de cinq travées et un toit à deux croupes, datant de 1836. Le nom vient d'un ancien fief, situé près de la limite avec la commune de Montsoult.[33].
    • Manoir Notre-Dame, rue du Richebourg : Son nom actuel lui vient des sœurs de Saint-Joseph-de-l'Apparition, qui achètent ce grand manoir cossu en 1952 pour y installer une maison de convalescence.
      Le manoir actuel, est édifié en 1905 pour Germain Fourcade, par l'architecte Georges Guyon qui réalise également « La Cerisaie » à Montsoult.
      Précédemment existait à cet emplacement une construction du XVIIIe siècle ayant appartenu au baron Honoré-Nicolas-Marie Duveyrier, premier président de la cour d'appel de Montpellier et mort à Maffliers en 1839. M. Fourcade opte pour un mélange entre le style régional de l'époque, qui fait surtout appel à la meulière en réunion avec la brique ou la pierre de taille, et le style néo-normand, s'exprimant par des façades en pans de bois. On les trouve sur le second étage et les pignons, les toitures, à forte pente, ont une forme complexe et sont ornées de nombreuses lucarnes.
      Une annexe construit par les religieuses en 1960 adopte également le style néo-normand, pour obtenir une parfaite harmonie avec l'édifice du début du siècle[33].
      En 2010, la municipalité en fait l'acquisition afin d'y transférer la mairie et d'ouvrir le parc à tous[36].
    • Ancien relais de poste, rue de la Ferme : Appelé également la Grande Ferme, c'est un grand complexe de bâtiments agricoles avec corps de logis, construits pour la plupart en 1815 pour Augustin de Talleyrand-Périgord, propriétaire du château de Maffliers. La ferme passe entre les mains de Georges Provost en même temps avec le château. Le colombier-porche donnant accès à la cour date de 1610[33].
    • Le Prieuré, 10 rue de la Ferme : Cette maison du XVIe siècle n'a jamais été un prieuré, mais tient son appellation du fait des visites fréquentes que reçoit sa propriétaire en 1600, Marie Mottier de La Fayette, de la part des frères Capucins : son fils François Leclerc du Tremblay est en effet entré dans cet ordre. Sous son nom en religion de père Joseph, il entre dans l'histoire pour avoir fondé l'ordre des filles du Calvaire et pour avoir servi de conseiller au cardinal de Richelieu.
      Le père Joseph fait aménager au sous-sol une petite chapelle pour recueillir la dépouille de son père, devenu calviniste et ne pouvant être enterré sur le cimetière paroissial.
      Après la Révolution française, la maison sert pendant quelque temps d'école[33].
    • Manoir de la Delphinière, rue Notre-Dame-des-Champs : Cette grande maison bourgeoise de style classique avec son toit à la Mansart a accueilli Madame de Staël pendant trois mois en 1803, connue alors surtout pour avoir écrit Delphine un an auparavant.
      Au XXe siècle, le manoir a abrité le Centre européen de recherches médicales et biologiques. Il est aujourd'hui subdivisé en appartements[33], mais conserve la grille d'entrée sur la cour et les deux pavillons de garde.
    • Croix de Maffliers, rue de Beaumont : La petite croix en bois d'une facture simple se dresse au sommet d'un fût monolithique d'une longueur remarquable[33].
    • Maffliers est traversé par un sentier de randonnée (PR).

    Personnalités liées à la commune

    Héraldique

    Blason
    Les armes de Maffliers se blasonnent ainsi :"D'azur au chevron d'or accompagné de trois coquilles du même."
    Détails
    Le statut officiel du blason reste à déterminer.

    Voir aussi

    Bibliographie

    • Éliane Beau et Jean-Pierre Beau, Histoire de Montsoult et de Maffliers : Seigneurs et barons de Maffliers - Montsoult - Béthemont ; notes historiques sur les pays voisins : Villaines et Nerville, Saint-Ouen-l'Aumône, éd. du Valhermeil, , 415 p. (ISBN 2-905684-66-6), p. 15-209

    Articles connexes

    Liens externes

    • « Maffliers », Ministère de la cohésion des territoires et des relations avec les collectivités territoriales, .

    Notes et références

    Notes

    1. Selon le zonage des communes rurales et urbaines publié en novembre 2020, en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le en comité interministériel des ruralités.
    2. La notion d'aire d'attraction des villes a remplacé en octobre 2020 l'ancienne notion d'aire urbaine, pour permettre des comparaisons cohérentes avec les autres pays de l'Union européenne.
    3. Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2021, millésimée 2018, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2020, date de référence statistique : 1er janvier 2018.

    Références

    1. Fabrice Cahen, « Ouverture du prolongement de l'A 16 de L'Isle-Adam à la Croix-Verte : La nouvelle section de l’autoroute A16 sera mise en service vendredi 15 novembre, de L’Isle Adam jusqu’à la Francilienne », La Gazette du Val-d'Oise, (lire en ligne, consulté le ).
    2. « Communes limitrophes de Maffliers » sur Géoportail..
    3. « Communes limitrophes de Maffliers » sur Géoportail..
    4. « Environnement », Mairie de Maffliers (consulté le ).
    5. « Typologie urbain / rural », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
    6. « Commune urbaine - définition », sur le site de l’Insee (consulté le ).
    7. « Comprendre la grille de densité », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
    8. « Unité urbaine 2020 de Montsoult », sur https://www.insee.fr/ (consulté le ).
    9. « Base des unités urbaines 2020 », sur www.insee.fr, (consulté le ).
    10. Vianney Costemalle, « Toujours plus d’habitants dans les unités urbaines », sur insee.fr, (consulté le ).
    11. « Liste des communes composant l'aire d'attraction de Paris », sur insee.fr (consulté le ).
    12. Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier Pégaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans l’aire d’attraction d’une ville », sur insee.fr, (consulté le ).
    13. Hippolyte Cocheris, Anciens noms des communes de Seine-et-Oise, 1874, ouvrage mis en ligne par le Corpus Etampois.
    14. Albert Dauzat et Charles Rostaing, Dictionnaire étymologique des noms de lieu en France, Librairie Guénégaud, Paris, 1989 (ISBN 2-85023-076-6). p. 422.
    15. Jean-Pierre Auger, « Le prieuré Grandmontain du Meynel », sur , Initiatives et Actions pour la Sauvegarde de l’Environnement et des Forêts (IASEF), (consulté le ), p. 5.
    16. Loi no 64-707 du 10 juillet 1964 portant réorganisation de la région parisienne, JORF no 162 du 12 juillet 1964, p. 6204–6209, fac-similé sur Légifrance.
    17. Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes études en sciences sociales.
    18. Décret du 15 février 2008 publié au Journal Officiel du 17 février 2008
    19. Site du Conseil général - Administration du Val-d'Oise
    20. Ministère de la justice - Conseil Départemental de l'Accès au Droit du Val-d'Oise
    21. « Les maires de Maffliers », sur http://www.francegenweb.org/ (consulté le ).
    22. « L’UMP change de tête à Maffliers », Le Parisien, édition du Val-d'Oise, (lire en ligne) « L'actuel premier adjoint du maire Philippe Kilidjian qui ne se représentera pas part donc en campagne ».
    23. Jérôme Cavaretta, « Jean-Christophe Mazurier en tête », La Gazette du Val-d'Oise, (lire en ligne).
    24. « Les maires du Val-d'Oise » [PDF], Les élus du Val-d'Oise, Préfecture du Val-d'Oise, (consulté le ).
    25. « L'équipe », sur https://sites.google.com/site/mafflierslerenouveau, (consulté le ).
    26. « Répertoire national des maires » [txt], Répertoire national des élus, sur https://www.data.gouv.fr, (consulté le ).
    27. Thibault Chaffotte, « Maffliers : une autoroute pour animaux au-dessus de la future A16 : Un pont va être créé au-dessus de l’actuelle RN1, bientôt mise aux normes autoroutières », Le Parisien, édition du Val-d'Oise, (lire en ligne, consulté le ) « C'est un bois de forme allongé, avec ce corridor il y a une continuité de la forêt entre la banlieue parisienne jusqu'au milieu de l'Aisne », souligne Vincent Vignon, directeur associé du cabinet Office de génie écologique. Les études ont permis d'identifier la présence de près de 140 espèces de vertébrés. Certaines, comme la martre ou l'hermine, sont en train de revenir sur ce territoire dont elles avaient disparu ».
    28. L'organisation du recensement, sur insee.fr.
    29. Calendrier départemental des recensements, sur insee.fr.
    30. Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017 et 2018.
    31. Notice no PA00080111, base Mérimée, ministère français de la Culture.
    32. Dominique Foussard, « Maffliers - Notre-Dame des Champs », Églises du Val-d’Oise : Pays de France, vallée de Montmorency, Gonesse, Société d’histoire et d’archéologie de Gonesse et du Pays de France, , p. 174-175 (ISBN 9782953155402).
    33. Pierre Autin, Daniel Baduel, Yves Breton et M. Johnson, « Le patrimoine des communes du Val-d’Oise : Maffliers », Collection Le Patrimoine des Communes de France, Paris, Flohic Éditions, vol. II, , p. 946-95 (ISBN 2-84234-056-6).
    34. « Un violent incendie ravage la toiture et les combles du château de Maffliers : Mercredi 15 avril 2020, 140 pompiers sont intervenus après qu’un incendie a éclaté au deuxième étage du Novotel château de Maffliers (Val-d’Oise) », La Gazette du Val-d'Oise, thomas hoffmann (lire en ligne, consulté le ).
    35. Frédéric Naizot, « Après l’incendie, «nous reconstruirons le château» de Maffliers : Le groupe hôtelier propriétaire du château dévasté par un incendie dans la nuit de mardi à mercredi assure qu’il le reconstruira si la structure du bâtiment le perme », Le Parisien, édition du Val-d'Oise, (lire en ligne, consulté le ) « Le château de Maffliers, qui n'est pas classé au titre des monuments historiques, a fait l'objet de nombreuses reconstructions et démolition au cours de son histoire. La dernière en date datant de 1906, quand une partie importante fut rasée et le hall d'entrée avec terrasse fut ajouté. Les premières traces historiques d'un château féodal sur le site remonteraient au XIIIe siècle ».
    36. « Les secrets du manoir Notre-Dame : Philippe Kilidjian, le maire de Maffliers, vous invite à la découverte des secrets du manoir Notre-Dame, qui accueille la mairie, rue de Richebourg », La Gazette du Val-d'Oise, (lire en ligne, consulté le ).
    37. Fabrice Cahen, « Quand Michel Legrand s'isolait dans son manoir de Maffliers : Le musicien compositeur de musique de films, décédé le 26 janvier, à 86 ans, à son domicile parisien, a passé une partie de sa vie dans son manoir de Maffliers (Val-d'Oise) », La Gazette du Val-d'Oise, (lire en ligne, consulté le ) « Dans les années 70, il avait fait l’acquisition du manoir de Montbrun, à Maffliers, où il aimait se retirer pour composer, lorsqu’il n’était pas à l’étranger, notamment en Suisse ».
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