Luís Figo
Luís Filipe Madeira Caeiro Figo, né le à Almada, est un footballeur international portugais évoluant au poste de milieu offensif.
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Luís Figo | ||
Luís Figo en 2017. | ||
Biographie | ||
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Nom | Luís Filipe Madeira Caeiro Figo | |
Nationalité | Portugais | |
Naissance | Almada (Portugal) |
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Taille | 1,80 m (5′ 11″) | |
Poste | Milieu offensif / Ailier | |
Pied fort | Droit | |
Parcours junior | ||
Années | Club | |
Os Pastilhas | ||
1985-1990 | Sporting CP | |
Parcours senior1 | ||
Années | Club | M. (B.) |
1990-1995 | Sporting CP | 163 (20) |
1995-2000 | FC Barcelone | 248 (45) |
2000-2005 | Real Madrid | 245 (56) |
2005-2009 | Inter Milan | 141 (11) |
Total | 797 (132) | |
Sélections en équipe nationale2 | ||
Années | Équipe | M. (B.) |
1989-1990 | Portugal - 16 ans | 15 (8) |
1990-1991 | Portugal - 17 ans | 6 (2) |
1991-1992 | Portugal - 18 ans | 21 (8) |
1992-1993 | Portugal - 20 ans | 12 (0) |
1993-1994 | Portugal espoirs | 7 (0) |
1991-2006 | Portugal | 127 (32) |
1 Compétitions officielles nationales et internationales. 2 Matchs officiels (amicaux validés par la FIFA compris). |
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Il est considéré comme l'un des plus grands footballeurs portugais de l'histoire, avec Cristiano Ronaldo[1] et Eusébio. Sa grande technique, sa puissance et sa vision du jeu font qu'il restera l'un des meilleurs milieux offensifs de sa génération, au même titre que Rui Costa, Rivaldo, ou encore Zinédine Zidane. Il est cité parmi les 125 meilleurs joueurs mondiaux encore vivants en 2004, dans un classement conjoint de Pelé et de la FIFA. Il remporte le Ballon d'or en 2000.
En vingt ans de carrière, entre 1989 et 2009, il joue pour plusieurs des plus grands clubs européens : Sporting Portugal, FC Barcelone, Real Madrid et Inter Milan, dont il devient « ambassadeur » après sa retraite sportive.
Biographie
Enfance et formation
Fils unique d'António Caeiro Figo et de Maria Joana, Luís grandit dans une banlieue de la classe ouvrière de Lisbonne, à Almada, dans le quartier de Cova da Piedade, où il commence à jouer au football dans la rue.
Dans un petit quartier de Lisbonne appelé Os Pastilhas, du nom d'une friandise locale, un garçon de six ans cheveux longs et blonds sème terreur et adversaire sur un bout de terrain sablonneux. Le cartable d'école tout juste posé, Luís Filipe Madeira (pour la mère) Caeiro Figo (pour le père) ne pense plus qu'aux dribbles. Il aime aussi gagner et rejoint ses amis dans le club local. Luís Figo est doué et le prouve à chaque match. Dans ces cas-là, il n'existe que deux solutions dans la capitale portugaise : le populaire Benfica ou le Sporting[2].
Souvent le premier l'emporte, mais son père Antonio est fans des Lions et son fils enfile le maillot cerclé vert et blanc. Sourire angélique et technique diabolique, Luís Figo place ses accélérations et ses feintes dans les meilleurs défenses de la région. Le nom de Figo commence à noircir les cahiers des entraîneurs lusitaniens chargés de constituer les sélections nationales que Luís intègre pour la première fois à quinze ans. Apparu trois fois dans l'équipe professionnelle en 1990 à dix-sept ans, dont la première le 1er avril, Figo est placé avec succès une année en équipe réserve[2].
Débuts avec le Sporting (1989-1995)
Après un premier match en professionnel à seulement dix-sept ans le puis deux autres avant la fin de la saison, Luís Figo intègre définitivement l'équipe première pour la saison 1991-1992. Fraîchement champion du monde des moins de 20 ans, il doit prouver la même clairvoyance dans son jeu avec les Lions de Lisbonne. Une tâche ardue qu'il surmonte avec une incroyable assurance et une maturité étonnante pour un joueur de cet âge grâce à une parfaite maîtrise technique[2].
Dans le sillage de son jeune stratège, le Sporting se rapproche du FC Porto et du Benfica Lisbonne et cueille la Coupe du Portugal lors de la saison 1994-1995. Pour les récompenses individuelles, un joueur buteur (7)-passeur (14) fait l'unanimité et décroche haut les pieds les palmes du succès et de la consécration : Figo. Seul, Sousa Cintra, le président du Sporting, reste indifférent au talent de son joueur. Déçu par si peu de reconnaissance après 134 matchs et quinze buts en vert et blanc, l'international portugais succombe aux sirènes du Parme AC. Mais ses responsables n'ont pas les mêmes envies, ni priorités. Face à une proposition pécuniaire plus attrayante, ils répondent par l'affirmative à la Juventus Turin. Situation bloquée, la FIFA tranche et interdise à Figo de jouer en Italie durant deux ans[3]. En dehors du pays trans-alpin, il peut évoluer où il veut et choisi le FC Barcelone[2].
Explosion au Barça (1995-2000)
Pris de vitesse au départ, le FC Barcelone engage Luís Figo pour une somme estimée faible à l'époque équivalent à treize millions de franc français[4]. Sur la pelouse du Camp Nou, Figo est tout tracé et remplace le Danois Michael Laudrup. Clubs différents mais changements de rythme identiques, le joueur, peu gêné par de nouvelles langue et culture, trouve rapidement ses marques. Insaisissable dribbleur de défense, il devient peu à peu le chouchou du public barcelonais. Brillant et efficace, il résiste même aux multiples entraîneurs de la maison blaugrana. Titulaire durant un an sous Johan Cruijff, il le demeure sous les ordres de Louis van Gaal[2].
Là, dans un dispositif tourné vers l'attaque, Figo est le pendant de Rivaldo sur le côté droit de l'escouade offensive du Barça, l'efficacité en moins. L'entraîneur néerlandais fait de Figo le capitaine du Barça, en l'absence de Pep Guardiola devenu indésirable. Devenu décisif, le Portugais créé même la « Figodépendance » dont le club catalan cherche à empêcher le départ avec une clause libératoire de plus de 200 MF[2].
Il permet au Barça de remporter deux championnats d'Espagne consécutifs en 1997-1998 et en 1998-1999, ainsi que la Supercoupe d'Europe 1997 et la Coupe d'Espagne en 1998. Il avait également remporté, avant l'arrivée de Rivaldo, une autre coupe d'Espagne, ainsi que la Coupe des coupes 1996-1997.
Figo est le chouchou du public catalan devant Rivaldo, pourtant Ballon d'or en titre. Et malgré son statut et ses performances, il ne touche pas le même salaire que ce dernier. Le Barça est alors en pleine crise avec une fin de saison complètement ratée, ce qui entraîne la démission du président Nunez et des élections pour lui trouver un successeur. Gaspart, vice-président de Nunez est favori mais sa victoire n'est pas assurée. C'est dans ce contexte que Figo tente de renégocier son salaire.
Transfert au Real Madrid (2000)
À Madrid, le Real vient de gagner sa deuxième ligue des champions en trois ans et son président Lorenzo Sanz veut surfer sur ce succès pour être réélu. Son mandat se termine en 2001 et il veut être le président du centenaire du club. Il anticipe donc des élections. En face de lui, un inconnu qui a fait fortune dans le bâtiment : Florentino Perez. Ce dernier va alors exécuter un plan parfaitement ficelé. Il convainc Paulo Futre, l'idole de jeunesse de Figo, de négocier avec ce dernier et son agent pour que le vice-capitaine barcelonais, rejoigne l'ennemi juré : le Real Madrid.
Moyennant une grosse prime pour les intermédiaires et un salaire multiplié par 5, Jose Veiga l'agent du joueur lui fait part de l'offre madrilène mais l'international portugais n'est pas intéressé à rejoindre l'ennemi. Il se sert de l'offre madrilène pour négocier avec Barcelone mais Nunez refuse et Gaspart qui est prêt à s'aligner n'est pas certain de l'emporter. Vexé du refus de Nunez, se sentant mésestimé et peu enjoué à devenir un traitre en passant chez l'ennemi, Figo appelle Paulo Futre pour lui expliquer la situation. Il ignore le rôle joué par son idole dans cette histoire et Paulo Futre lui explique que seul l'argent compte, qu'on l'oubliera vite une fois sa carrière finie et qu'il ferait mieux de prendre cet argent pour lui et sa famille. Convaincu par ses arguments, Figo par l'intermédiaire de son agent, accepte de signer le pré-contrat.
L'affaire sort dans la presse et à Barcelone c'est le choc. Du coté de Sanz, l'adversaire de Florentino, l'heure est à la moquerie, surtout que Figo s'est exprimé dans la presse pour dire qu'il n'a jamais discuté avec le Real Madrid et qu'il serait Barcelonais à la rentrée. Mais Perez contre-attaque et il va se montrer extrêmement convaincant. Il déclare en substance "j'ai fait toutes les démarches et si je suis élu Figo sera madrilène. S'il n'est pas madrilène je paierai aux socios leur abonnement pour la saison à venir". Dans le pré-contrat signé, son agent s'est engagé à payer au Real, via une clause, la somme de 35 millions d'euros si Figo reste à Barcelone ou signe ailleurs. Et cette clause le met dans une situation ingérable. Il va être obligé de trahir quelqu'un. Soit son agent, qui n'a pas 35 millions, ce qui signera sa mort professionnelle et sociale ; soit son Barça qui l'a fait venir et a fait de lui un des meilleurs joueurs du monde, soit le Real dont le projet est encore hypothétique.
Perez est élu mais Figo ne souhaite plus aller au Real car la situation lui échappe et il reçoit des menaces de mort. José Veiga est en pleine déprime et avec Paulo Futre ils arrivent à convaincre la star portugaise d'au moins rencontrer Florentino Perez. Le président du Real lui promet un avenir radieux : d'autres stars, beaucoup de succès, la ligue des champions, Ballon d'or (promesses toutes tenues avec le recul). Son opération séduction fonctionne et le numéro 7 portugais accepte de signer au Real Madrid.
Une semaine plus tard, Gaspart est élu et Figo l'appelle pour lui demander de payer les 35 millions à son agent sinon c'est la ruine pour ce dernier. Soit il accepte et Figo reste à Barcelone, soit il refuse et le portugais signera au Real. Gaspart refuse et Figo part à Madrid.
Confirmation au Real Madrid (2000-2005)
En levant sa clause libératoire, Luís Figo rejoint le Real Madrid pour la somme de 65 M€, un montant record au niveau mondial à cette époque[5], provoquant un scandale parmi les supporters du Barça. Il remporte cette année-là le Ballon d'or de France Football, grâce notamment à un Euro 2000 réussi (le Portugal termine premier de son groupe au premier tour devant la Roumanie de Gheorghe Hagi, l'Angleterre et l'Allemagne avant de perdre en demi-finale contre la France, mais marque les esprits par son parcours spectaculaire). En 2001, il remporte le prix Fifa World Player récompensant le meilleur joueur du monde. Le Real fait venir chaque année une nouvelle star comme promis et le club collectionne les trophées. Il gagne avec le Real Madrid la Ligue des Champions en 2001-02, ainsi que deux fois la Liga, deux supercoupes d'Espagne, une supercoupe d'Europe et une coupe du monde des clubs.
Fin au haut niveau avec l'Inter (2005-2009)
Le , il quitte le championnat espagnol et signe avec l'Inter Milan. Avec le club milanais, Luís Figo est un fuoriclasse (un crack, un magicien). Il remporte quatre Championnats, une Coupe d'Italie et trois Supercoupes.
Le , l'Inter Milan fait savoir que Figo continuera à jouer pour ce club, et y aura probablement un rôle même après sa carrière de joueur. Sa technique, sa vision du jeu, ses capacités physiques lui ont permis d'être convoité encore à 35 ans par de nombreux clubs d'Europe, d'Amérique et d'Arabie saoudite. Cependant, il reste à l'Inter, qui le fait signer pour deux saisons supplémentaires. À la fin de celles-ci, il prend sa retraite, le . Il reste un fervent supporter de l'Inter dont il est « l'ambassadeur ».
En équipe nationale (1991-2006)
À quinze ans, Luís Figo intègre sa première équipe nationale composée d'une bonne génération 1972 dont Abel Xavier, Rui Costa ou encore Jorge Costa, son ami du Sporting. Avec cette génération, Figo commence par remporter le Championnat d'Europe des moins de 16 ans en 1989 et achèvent sa moisson fructueuse dans l'euphorie de l'Estádio da Luz avec un titre mondial des moins de 20 ans devant près de 120 000 spectateurs en juillet 1991[2].
Dès le mois d'octobre 1991, Figo connaît sa première sélection en sélection A face au Luxembourg (1-1). Éliminé de la World Cup 1994 puis du Mondial 1998, il ne peut s'exprimer que lors de l'Euro 1996. Maître à jouer d'une sélection très technique, plaisante à regarder, il ne peut alors trouver devant lui un joueur capable de transformer ses passes en buts[2]. Le Portugal atteint toutefois les quarts de finale de ce tournoi, éliminés par une surprenante équipe de république tchèque. Il atteint la demi-finale du Championnat d'Europe de football 2000 qu'il perd après prolongation contre l'équipe de France. Les lusitaniens se qualifient pour la coupe du monde 2002, compétition dont ils font partie des favoris au même titre que la France et l'Argentine. Mais a la surprise générale, aucune de ses trois formations ne passera le premier tour. Il participe aussi à la finale du Championnat d'Europe de football 2004 a domicile perdue 1-0 face à la surprise du tournoi, la Grèce. Figo passe pourtant tout près de l'égalisation en fin de match. À l'issue de ce match, Figo décide de prendre sa retraite internationale, tout comme Zidane et Pavel Nedved. Toutefois, a l'image des deux autres légendes du football, il revient sur sa décision environ un an plus tard pour disputer la coupe du monde 2006 en Allemagne, Il finit sa carrière internationale lors cette même Coupe du monde 2006, lors du match pour la troisième place contre le pays organisateur, après avoir perdu une nouvelle fois en demi finale contre la France, jusqu'alors véritable bête noire du Portugal.
Luís Figo était, jusqu'au , le recordman de sélections avec l'équipe du Portugal (127), il est alors dépassé par Cristiano Ronaldo.
Style de jeu
Par son aisance balle au pied, Luís Figo est un des meilleurs joueurs du monde en un-contre-un. Adepte de longues chevauchées et slaloms, regard fixé sur les pieds du défenseur plutôt que sur le ballon comme la plupart des joueurs, il s'appuie essentiellement sur le contre-pied et le changement de direction en laissant à d'autres joueurs les passements de jambes et crochets. Percutant et provocateur, Figo cherche l'efficacité et à se défaire du marquage pour se donner le temps nécessaire à la réalisation de ses centres souvent dangereux pour la défense adverse. Plus attaquant dans l'esprit, il possède l'instinct et la spontanéité du buteur quand l'occasion se présente. Ailier de formation, son jeu de tête n'est pas son point fort contrairement à l'exécution des coups-francs qui, puissants et précis à la fois ainsi que toujours autour des barres et poteaux, permettent souvent de faire la différence[6].
Le Portugais affiche le physique irréprochable que son jeu impose. Explosif, soudain, il fait preuve de beaucoup de puissance dans ses démarquages et ses dribbles. Rarement blessé, robuste et titulaire d'un gros volume de jeu permettant de finir fort ses matchs, Luís Figo possède une résistance et une régularité à l'effort au-dessus de la moyenne à un haut niveau de performance. Regard au-delà du ballon et doté d'un grand sens de l'anticipation.
Statistiques
Statistiques détaillées
Ce tableau présente les statistiques en carrière de joueur de Luís Figo[7].
Saison | Club | Championnat | Coupe(s) nationale(s) | Supercoupe | Compétition(s) continentale(s) | Autres compétitions | Portugal | Total | |||||||||||||||||
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Division | B | B | B | C | B | C | B | B | B | ||||||||||||||||
1989-1990 | Sporting Portugal | D1 | 0 | - | - | - | - | - | - | - | 0 | ||||||||||||||
1990-1991 | Sporting Portugal | D1 | 0 | - | - | - | - | - | - | - | 0 | ||||||||||||||
1991-1992 | Sporting Portugal | D1 | 1 | 0 | - | C3 | 0 | - | - | 0 | 1 | ||||||||||||||
1992-1993 | Sporting Portugal | D1 | 0 | 1 | - | C3 | 0 | - | - | 1 | 2 | ||||||||||||||
1993-1994 | Sporting Portugal | D1 | 8 | 0 | - | C3 | 0 | - | - | 0 | 8 | ||||||||||||||
1994-1995 | Sporting Portugal | D1 | 7 | 3 | - | C3 | 0 | - | - | 3 | 13 | ||||||||||||||
Sous-total | 16 | 4 | - | - | 0 | - | - | 4 | 24 | ||||||||||||||||
1995-1996 | FC Barcelone | D1 | 5 | 1 | - | C3 | 3 | - | - | 1 | 10 | ||||||||||||||
1996-1997 | FC Barcelone | D1 | 4 | 3 | 0 | C2 | 1 | - | - | 2 | 10 | ||||||||||||||
1997-1998 | FC Barcelone | D1 | 5 | 1 | 0 | C1 | 1 | SU | 0 | 0 | 7 | ||||||||||||||
1998-1999 | FC Barcelone | D1 | 7 | 1 | 0 | C1 | 1 | - | - | 1 | 10 | ||||||||||||||
1999-2000 | FC Barcelone | D1 | 9 | 0 | 0 | C1 | 5 | - | - | 6 | 20 | ||||||||||||||
Sous-total | 30 | 4 | 0 | - | 11 | - | 0 | 10 | 55 | ||||||||||||||||
2000-2001 | Real Madrid | D1 | 7 | 0 | - | C1 | 5 | SU+CI | 0 | 7 | 19 | ||||||||||||||
2001-2002 | Real Madrid | D1 | 7 | 1 | 0 | C1 | 3 | - | - | 5 | 16 | ||||||||||||||
2002-2003 | Real Madrid | D1 | 10 | 0 | - | C1 | 2 | SU+CI | 0 | 1 | 13 | ||||||||||||||
2003-2004 | Real Madrid | D1 | 9 | 2 | 1 | C1 | 2 | - | - | 3 | 17 | ||||||||||||||
2004-2005 | Real Madrid | D1 | 3 | 0 | - | C1 | 4 | - | - | 2 | 9 | ||||||||||||||
Sous-total | 36 | 3 | 1 | - | 16 | - | 0 | 16 | 72 | ||||||||||||||||
2005-2006 | Inter Milan | Serie A | 5 | 0 | - | C1 | 1 | - | - | 1 | 7 | ||||||||||||||
2006-2007 | Inter Milan | Serie A | 2 | 0 | 1 | C1 | 0 | - | - | - | 3 | ||||||||||||||
2007-2008 | Inter Milan | Serie A | 1 | 0 | 0 | C1 | 0 | - | - | - | 1 | ||||||||||||||
2008-2009 | Inter Milan | Serie A | 1 | 0 | 0 | C1 | 0 | - | - | - | 1 | ||||||||||||||
Sous-total | 9 | 0 | 1 | - | 1 | - | - | 1 | 12 | ||||||||||||||||
Total sur la carrière | 91 | 11 | 2 | - | 28 | - | 0 | 32 | 164 |
Buts en sélection
Palmarès
En club
Sporting CP | FC Barcelone | Real Madrid | Inter Milan |
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En Équipe du Portugal
- 127 sélections et 32 buts entre 1991 et 2006
- Vainqueur de la Coupe du Monde des moins de 20 ans en 1991 avec les moins de 20 ans
- Champion d'Europe des moins de 16 ans en 1989 avec les moins de 16 ans
- Vice-champion d'Europe Espoirs en 1994 avec les Espoirs
- Participation au Championnat d'Europe des Nations en 1996 (1/4 de finaliste), en 2000 (1/2 finaliste) et en 2004 (Finaliste)
- Participation à la Coupe du Monde en 2002 (Premier Tour) et en 2006 (4e)
Distinctions individuelles
- Élu Ballon d'Or France Football en 2000
- Élu meilleur footballeur de l'année FIFA en 2001
- Élu meilleur joueur étranger du championnat d'Espagne en 1999, en 2000 et en 2001
- Élu Rey del futbol de Europa par El País en 2000
- Élu meilleur footballeur portugais de l'année en 1995, en 1996, en 1997, en 1998, en 1999 et en 2000
- Élu meilleur joueur du Championnat d'Europe Espoirs en 1994
- Élu meilleur footballeur de l'année World Soccer Awards en 2000
- Élu 2e meilleur footballeur de l'année FIFA en 2000
- Élu Onze d'Argent par Onze Mondial en 2000
- Meilleur passeur du championnat d'Espagne en 1999 (16 passes) et 2001 (19 passes)
- Co-meilleur passeur de la Coupe du Monde en 2006 (4 passes)
- Meilleur passeur de la Ligue des Champions en 2000 (10 passes) et en 2001 (7 passes)
- Membre de l'équipe-type de la Coupe du Monde en 2006
- Membre de l'équipe-type du Championnat d'Europe des Nations en 2000 et en 2004
- Membre de l'équipe-type de l'année UEFA en 2003
- Élu personnalité portugaise de l'année en 2000
- Nommé au FIFA 100 en 2004
Décorations
- Officier de l'Ordre de l'Infant Dom Henrique (2004).
- Chevalier de l'Ordre de l'Immaculée Conception de Vila Viçosa (2006).
Notes et références
- Les plus grands footballeurs d'après-guerre: Luis Figo — news.fr.msn
- Frédéric Hamelin & Alain Gadoffre, « Star : Luis attaque », Onze Mondial, no 134, , p. 34 à 37 (ISSN 0995-6921)
- « Figo 95, Parme ou Juventus ? », sur sportvox.fr,
- En échange, la formation espagnole s'engage à accorder une priorité au Parme AC sur un éventuel transfert de Hristo Stoitchkov.
- Luís Figo : 65 millions d'euros — linternaute.com
- Frédéric Hamelin, « Face à face : Figo-Zidane », Onze Mondial, no 154, , p. 78 (ISSN 0995-6921)
- (en) « Luis Figo », sur soccer-europe.com (consulté le )
- « Fiche de Luís Figo », sur footballdatabase.eu
Liens externes
- Ressources relatives au sport :
- FBref
- Fédération portugaise de football
- FootballDatabase
- ForaDeJogo (joueurs)
- Leballonrond (joueurs)
- Mackolik
- (es) Base de Datos del Futbol Argentino
- (ca) Enciclopèdia de l'Esport Català
- (en) Eu-football (joueurs)
- (de) Munzinger Sport
- (en) National Football Teams
- (en) Soccerbase (joueurs)
- (mul) Transfermarkt (joueurs)
- (mul) Transfermarkt (managers)
- Notices dans des dictionnaires ou encyclopédies généralistes :
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