Lessard-en-Bresse

Lessard-en-Bresse est une commune française située dans le département de Saône-et-Loire en région Bourgogne-Franche-Comté.

Pour les articles homonymes, voir Lessard et Bresse (homonymie).

Lessard-en-Bresse

La mairie.
Administration
Pays France
Région Bourgogne-Franche-Comté
Département Saône-et-Loire
Arrondissement Louhans
Intercommunalité Communauté de communes Terres de Bresse
Maire
Mandat
Alain Philippe
2020-2026
Code postal 71440
Code commune 71256
Démographie
Population
municipale
539 hab. (2018 )
Densité 66 hab./km2
Géographie
Coordonnées 46° 44′ 29″ nord, 5° 05′ 40″ est
Altitude Min. 187 m
Max. 214 m
Superficie 8,2 km2
Type Commune rurale
Aire d'attraction Chalon-sur-Saône
(commune de la couronne)
Élections
Départementales Canton d'Ouroux-sur-Saône
Législatives Quatrième circonscription
Localisation
Géolocalisation sur la carte : Bourgogne-Franche-Comté
Lessard-en-Bresse
Géolocalisation sur la carte : Saône-et-Loire
Lessard-en-Bresse
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Lessard-en-Bresse
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Lessard-en-Bresse

    Géographie

    Communes limitrophes

    Urbanisme

    Typologie

    Lessard-en-Bresse est une commune rurale, car elle fait partie des communes peu ou très peu denses, au sens de la grille communale de densité de l'Insee[Note 1],[1],[2],[3].

    Par ailleurs la commune fait partie de l'aire d'attraction de Chalon-sur-Saône, dont elle est une commune de la couronne[Note 2]. Cette aire, qui regroupe 109 communes, est catégorisée dans les aires de 50 000 à moins de 200 000 habitants[4],[5].

    Occupation des sols

    Carte des infrastructures et de l'occupation des sols de la commune en 2018 (CLC).

    L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des territoires agricoles (87,8 % en 2018), une proportion identique à celle de 1990 (88 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : zones agricoles hétérogènes (38,1 %), terres arables (32,7 %), prairies (17 %), zones urbanisées (8,4 %), forêts (3,8 %)[6].

    L'IGN met par ailleurs à disposition un outil en ligne permettant de comparer l’évolution dans le temps de l’occupation des sols de la commune (ou de territoires à des échelles différentes). Plusieurs époques sont accessibles sous forme de cartes ou photos aériennes : la carte de Cassini (XVIIIe siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[7].

    Toponymie

    Le nom du village provient du mot "essarter" qui signifie "défricher". En effet, originellement, les terres du village n'étaient que des forêts qui ont été déboisées pour créer des terres cultivables.

    Histoire

    Dans la première moitié du XVIe siècle, c'est Jean de Lugny, chevalier, « dernier héritier mâle de la maison de Lugny », seigneur de Lugny – et par ailleurs comte de Brancion, baron de Saint-Trivier-en-Dombes, de Branges, de Blaignac et de Sagy –, qui est seigneur baron de Lessard[8].

    Politique et administration

    Liste des maires successifs
    Période Identité Étiquette Qualité
    24/02/1790 10/04/1791 Pierre Lavrand    
    17/04/1791 29/11/1794 Claude-Antoine Sordet    
    29/11/1794 04/04/1809 Claude Mathey (père)    
    05/04/1809 22/10/1810 Claude Mathey (fils)    
    23/10/1810 22/12/1813 Charles Mathey    
    31/12/1813 27/09/1814 Emiland Sordet    
    28/09/1814 11/09/1830 Honoré Darassy    
    12/09/1830 20/09/1842 Claude Mathey    
    20/09/1842 15/02/1847 Emiland Bruillot    
    16/02/1847 17/02/1848 Antoine Jacquard    
    18/02/1848 21/08/1848 Emiland Bruillot    
    22/08/1848 21/01/1852 Thomas Sordet    
    22/01/1852 12/03/1859 Etienne Agron    
    13/03/1859 11/07/1863 Antoine Jeannin    
    12/07/1863 27/08/1870 Etienne Agron    
    28/08/1870 25/06/1874 Denis-Camille Guillemaut    
    26/06/1874 07/10/1876 Etienne Agron    
    08/10/1876 14/05/1877 Denis-Camille Guillemaut    
    15/05/1877 20/01/1878 Etienne Agron    
    21/01/1878 05/12/1885 (décès) Denis-Camille Guillemaut    
    05/12/1885 17/01/1886 Jean-Baptiste Claire(adjoint en fonction de maire)    
    17/01/1886 20/05/1888(maladie) Jean-Baptiste Belin    
    20/05/1888 20/10/1902(décès) Antoine Bados    
    20/10/1902 30/11/1902 Léon Petitjean(adjoint en fonction de maire)    
    30/11/1902 17/05/1908 Léon Petitjean    
    17/05/1908 08/05/1921 (démission) Adrien-Prosper Vallot    
    08/05/1921 10/07/1924 Léon Petitjean    
    10/07/1924 31/02/1932 Gabriel Hugonnot    
    31/02/1932 19/05/1935 Claude Bordet    
    19/05/1935 26/10/1942 Léon Petitjean    
    18/11/1942 26/10/1947 Léon Nivet    
    26/10/1947 21/03/1971 Jean Jouvenceau    
    21/03/1971 27/03/1977 Ernest Breziat    
    27/03/1977 22/12/1993 Jean-René Perreaut    
    22/12/1993 28/01/1994 Jacques-Edouard Philippon(adjoint en fonction de maire)    
    28/01/1994 février 2006(démission) Jacques-Edouard Philippon    
    février 2006 mai 2020 Jocelyne Michelin-Parizet    
    mai 2020 "en cours" Alain Philippe    
    Les données manquantes sont à compléter.

    Démographie

    L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. À partir de 2006, les populations légales des communes sont publiées annuellement par l'Insee. Le recensement repose désormais sur une collecte d'information annuelle, concernant successivement tous les territoires communaux au cours d'une période de cinq ans. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[9]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2006[10].

    En 2018, la commune comptait 539 habitants[Note 3], en diminution de 5,44 % par rapport à 2013 (Saône-et-Loire : −0,73 %, France hors Mayotte : +1,78 %).

    Évolution de la population  [modifier]
    1793 1800 1806 1821 1831 1836 1841 1846 1851
    417392412534562560554574627
    1856 1861 1866 1872 1876 1881 1886 1891 1896
    608636651689707697671660640
    1901 1906 1911 1921 1926 1931 1936 1946 1954
    649710668630593579534503488
    1962 1968 1975 1982 1990 1999 2006 2011 2016
    497450390385392425480539551
    2018 - - - - - - - -
    539--------
    De 1962 à 1999 : population sans doubles comptes ; pour les dates suivantes : population municipale.
    (Sources : Ldh/EHESS/Cassini jusqu'en 1999[11] puis Insee à partir de 2006[12].)
    Histogramme de l'évolution démographique

    Culture locale et patrimoine

    Lieux et monuments

    • Château de Lessard-en-Bresse.
    • Église de Lessard-en-Bresse :
      • Ve ou VIe siècle : Une première église est construite avec les faibles moyens disponibles. Elle appartient alors aux moines de Saint-Marcel.
      • 1490 : L'office est donné par le vicaire Chandelux
      • 1633 : L'église porte le nom de Saint Georges
      • 1710 : L'église est désormais appelée Notre-Dame
      • 1776 : L'église est tellement vétuste que le vicariat général y interdit le culte tant que des réparations ne seront pas effectuées. La nef était alors montée en pans de bois remplis par des briques et de la maçonnerie. Le chœur, lui, était fait en foisse ou en torchis.
      • 1778 : Les premiers plans de reconstruction d'une nouvelle église après démolition de l'église sont réalisés
      • 24 et 25/02/1790 : à la suite des décrets de l'Assemblée nationale, la commune de Lessard-en-Bresse est formée et un conseil municipal est formé. Les décisions et votes se tiennent au sein même de l'église pourtant vieille et vétuste. Les habitants avaient été prévenus des votes par sonnerie de la cloche, proclamation à la messe et affichage à la porte de l'église
      • du 30/07/1790 à 1827 : L'église étant en ruine, le culte est rattaché à celui de Saint-Christophe-en-Bresse
      • du 06 au 08/04/1790 : Des votes pour la formation de l'Assemblée Départementale de Saône-et-Loire ont lieu à Lessard-en-Bresse car la commune était alors chef-lieu d'un canton composé des communes de Lessard, Tronchy, L'Abergement-Sainte-Colombe, Saint-Christophe-en-Bresse, Thurey et Quain. Les votes se déroulent sur la place publique car l'église était trop petite pour contenir les 439 électeurs qui sont restés durant les 3 jours à Lessard. L'église aura tout de même servi au dépôt des urnes.
      • 30/07/1790 : Un inventaire des possessions de l'église de Lessard est réalisé. L'église possède alors un champ au bourg du village allant avec le presbytère et ayant une contenance de 2 journaux et 1/3. L'inventaire présente également tous les meubles, œuvres artistiques et habits du prêtre contenus dans l'église ou le presbytère.
      • 13/02/1791 : Le curé Constantin (en poste à Lessard depuis 1774) a prêté serment civique devant les notables et les officiers des communes de Lessard et de Tronchy. Le serment était le suivant : « Je jure de veiller avec soin sur les fidèles de la paroisse qui m'est confiée, d'être fidèle à la Nation, à la Loi, au Roi et de maintenir de tout mon pouvoir la Constitution décrétée par l'Assemblée nationale et acceptée par le Roi. »
      • 06/04/1793 : Le curé Constantin est nommé "curé constitutionnel" par la Convention nationale
      • 20/01/1803 (30 nivôse an XI selon le calendrier républicain utilisé à l'époque) : Le logement du curé Constantin est réparé et la réparation de l'église est prévue
      • 01/05/1811 : Etant donné qu'aucun des travaux n'ont encore été effectués, le culte est rattaché à celui de Saint-Christophe-en-Bresse par décret impérial du 28/06/1810
      • 28/09/1814 : La cloche de l'église étant fêlée, elle est fondue pour la réfection d'une nouvelle cloche d'une masse de 400 livres (environ 180 kg) pour le prix de 287 francs et 2 moules de bois
      • 02/11/1819 : Les communes et les habitants de Lessard-en-Bresse et de Tronchy demandent au préfet de Saône-et-Loire, à l'évêque d'Autun et au ministère de l'Intérieur qu'une nouvelle église soit construite à la suite de l'ordonnance du 29/08/1819 créant 500 nouvelles succursales. Ils accusent le curé de Saint-Germain-du-Plain d'avoir poussé à la suppression de l'église de Lessard lors du décret de suppression du 10/06/1810 au moment où Lessard n'eut plus été chef lieu de canton
      • 30/06/1822 : La commune émet le vœu d'édifier une église et pour cela contacte l'architecte Zolla
      • 1823 : Un clocher de 32 mètres couvert en bruyères est construit
      • 13/07/1823 : Un constat de vétusté de l'église est rédigé pour permettre la récupération des matériaux de l'église
      • 1825 : Monsieur Poisol prend du sable à deux endroits qui lui ont été désignés pour la construction de l'église dont il a été chargé
      • de 1825 à 1828 : Démolition et reconstruction de l'église selon les plans de 1778 hormis le clocher puisqu'il fut érigé en 1823. Les fondations sont faites en pierre. Les murs et le chœur sont également montés en pierre sur 50 centimètres depuis le sol et le reste des murs en briques. Les piliers sont faits en pierre de taille.
      • 08/10/1827 : Nomination d'un nouveau prêtre
      • et 14/06/1829 : Votes d'impôts permettant de financer les paiements du devis de l'architecte Zolla, l'estimation des matériaux des églises de Lessard et de Tronchy par Monsieur Violet, les suppléments à Monsieur Poisol et à Monsieur Noyaux (constructeur des Ponts et Chaussées) et pour clôturer les paiements de travaux de l'église en insérant le mortier pour la toiture, la chaux et le sable de rivière qui avaient été omis dans les devis précédents
      • 16/08/1829 : Le registre de paiement a été clôturé
      • 1832 : Réalisation de la voûte dans la nef à la manière de Philibert Delorme
      •  : le clocher s'est écroulé sur l'église à la suite de pluies diluviennes durant l'automne ce qui provoqua des lézardes dans tous les murs de l'église
      • 09/02/1841 : Demande par le Conseil Municipal qu'un devis soit réalisé par l'architecte Gillet. Le devis est encore basé sur les plans de 1778 mais intègre également l'agrandissement de l'église en avançant le mur de face de 6,15 mètres et la pose de la cloche de Lessard et de Tronchy (stockée depuis la destruction de l'église de Tronchy en 1823 qui était appelée église Saint Jean-Baptiste et située sur le cimetière actuel du village, au Bas-de-Tronchy) dans le nouveau clocher qui a été construit plus long et large et surtout moins haut qu'auparavant. La présence des deux cloches a fait que l'on commença à parler de la paroisse de Lessard-Tronchy et non plus de la paroisse de Lessard
      • 08/05/1841 : Les devis et plans ont été réalisées et montrent que le prix des travaux est de 7 000 francs. Le montant est partagé entre Lessard et Tronchy mais une aide "de secours" du Ministère du Culte est requise
      • 03/07/1841 : Approbation des travaux par le préfet de Saône-et-Loire
      • 10/07/1841 : L'évêque d'Autun propose les communes de Lessard et de Tronchy au secours du gouvernement
      • 20/04/1843 : Les murs de l'église s'étant décalés de 3 centimètres en 15 ans, la commune demande également la pose de 4 contreforts pour consolider l'église
      • 08/05/1843 : Une ordonnance royale signée "Louis Philippe Roi des Français" autorise Lessard et Tronchy à s'imposer extraordinairement pour payer les travaux
      • 13/06/1844 : Début des travaux d'agrandissement de l'église, reconstruction du clocher avec pose des deux cloches, installation des 4 contreforts et pose d'une croix et d'un coq au sommet du clocher sur une calotte de support prévue à cet effet
      • 09/11/1844 : 2/5 des travaux ont été payés sur un total de 6363,24 francs
      • 21/11/1845 : Le sous-préfet parle "d'interminable affaire" pour désigner le paiement des travaux par les deux communes et ordonne donc aux communes de régler Monsieur Boulard pour qu'il puisse installer les contreforts et finaliser les travaux
      • 03/12/1848 : Le paiement des travaux a enfin été achevé
      • 06/11/1853 : Des travaux d'entretiens et de réparations de l'église sont entrepris à la suite de dégâts dus à la grêle
      • 12/09/1868 : De nouveaux travaux sont entrepris dans l'église à cause de deux tempêtes successives. Pour les réaliser, le conseil municipal a voté un montant de 50 francs
      • 10/02/1869 : Pose de la première horloge sur le clocher pour un montant de 600 francs débloqués par un vote
      • 08/02/1874 : Les toitures de l'église et de la sacristie ont été réparées car elles s'étaient écroulées sur 12 mètres à la suite de l'effondrement de la corniche. Le Conseil de Fabrique paie les réparations grâce à un vote de 50 francs à Lessard et de 25 francs à Tronchy
      • octobre/ : Pose de la seconde horloge sur le clocher d'une valeur d'environ 12 000 francs à la suite d'un don des époux Gaudillat-Guitaud pour leur 50ème anniversaire de mariage. Le don avait été promis par le couple depuis le 03/04/1892 même en cas de séparation ou de la mort de l'un d'eux. Pour remercier le couple de ce généreux don, la commune a offert une concession perpétuelle gratuite au cimetière aux époux
      • 12/07/1904 : La statue de l'Archange Saint Michel est installée sur la façade avant de l'église, au dessus du porche
      • 29/05/1950 : Procession partant de l'église pour l'installation de la grotte mariale (destinée à Marie) des Libaux qui est une reproduction de la grotte de Lourdes. Cette reproduction a été réalisée par les habitants des communes de Lessard-en-Bresse, Tronchy, Thurey et Vérissey qui estimaient avoir été épargnés lors de la seconde guerre mondiale (1939-1945). Elle est située au hameau des Libaux sur un terrain appartenant à des particuliers et donné aux communes pour 99 ans. Elle fut inaugurée à cette date par l'évêque d'Autun, Monseigneur Lucien Sidoine Lebrun, l'évêque de Saint-Jean-de-Maurienne, Monseigneur Duc et prédiqué par le chapelain de Paray-le-Monial, le Révérend Père Henry. Lors de l'inauguration de la grotte, le film Le Voile Bleu de Jean Stelli a été projeté sur une toile blanche à 21h.
      • 1987: Réparations dans l'église à cause de fissures. L'édifice reçoit un plafond plat et les murs gouttereaux sont abattus puis remontés
      • 1988 : Reprise du culte dès le début d'année
      • 04/02/1988 : Inauguration de l'église par l'évêque d'Autun

    Le patron de Lessard-en-Bresse est Saint Marc, autrefois les fêtes patronales étaient pour la Saint Marc le 25 avril et le 15 août pour l'Assomption

    L'église (bâtiment) appartient à la commune de Lessard-en-Bresse car elle a été construite avant la séparation de l'Eglise et de l'Etat en 1905

    Pour approfondir

    Articles connexes

    Liens externes

    Notes et références

    Notes

    1. Selon le zonage des communes rurales et urbaines publié en novembre 2020, en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le en comité interministériel des ruralités.
    2. La notion d'aire d'attraction des villes a remplacé en octobre 2020 l'ancienne notion d'aire urbaine, pour permettre des comparaisons cohérentes avec les autres pays de l'Union européenne.
    3. Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2021, millésimée 2018, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2020, date de référence statistique : 1er janvier 2018.

    Références

    1. « Typologie urbain / rural », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
    2. « Commune rurale - définition », sur le site de l’Insee (consulté le ).
    3. « Comprendre la grille de densité », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
    4. « Liste des communes composant l'aire d'attraction de Chalon-sur-Saône », sur insee.fr (consulté le ).
    5. Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier Pégaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans l’aire d’attraction d’une ville », sur insee.fr, (consulté le ).
    6. « CORINE Land Cover (CLC) - Répartition des superficies en 15 postes d'occupation des sols (métropole). », sur le site des données et études statistiques du ministère de la Transition écologique. (consulté le )
    7. IGN, « Évolution de l'occupation des sols de la commune sur cartes et photos aériennes anciennes. », sur remonterletemps.ign.fr (consulté le ). Pour comparer l'évolution entre deux dates, cliquer sur le bas de la ligne séparative verticale et la déplacer à droite ou à gauche. Pour comparer deux autres cartes, choisir les cartes dans les fenêtres en haut à gauche de l'écran.
    8. Françoise de Lugny, sa fille, épouse en 1558 de François Chabot, sera dame de Lessard. Source : Léonce Lex, « Notice historique sur Lugny et ses hameaux », Belhomme Libraire Éditeur, Mâcon, 1892.
    9. L'organisation du recensement, sur insee.fr.
    10. Calendrier départemental des recensements, sur insee.fr.
    11. Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes études en sciences sociales.
    12. Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017 et 2018.
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