Le Vivier-sur-Mer

Le Vivier-sur-Mer est une commune française située dans le département d'Ille-et-Vilaine en région Bretagne et peuplée de 1 046 habitants[Note 1]. Il s'agit du principal centre de production de moules de Bretagne nord.

Pour les articles homonymes, voir Vivier (homonymie).

Le Vivier-sur-Mer

L'église Saint-Nicolas.

Héraldique
Administration
Pays France
Région Bretagne
Département Ille-et-Vilaine
Arrondissement Saint-Malo
Intercommunalité Communauté de communes du pays de Dol et de la baie du Mont-Saint-Michel
Maire
Mandat
Carole Cerveau
2020-2026
Code postal 35960
Code commune 35361
Démographie
Population
municipale
1 046 hab. (2018 )
Densité 467 hab./km2
Géographie
Coordonnées 48° 36′ 08″ nord, 1° 46′ 27″ ouest
Altitude Min. 3 m
Max. 8 m
Superficie 2,24 km2
Type Commune rurale et littorale
Aire d'attraction Saint-Malo
(commune de la couronne)
Élections
Départementales Canton de Dol-de-Bretagne
Législatives Septième circonscription
Localisation
Géolocalisation sur la carte : Bretagne
Le Vivier-sur-Mer
Géolocalisation sur la carte : Ille-et-Vilaine
Le Vivier-sur-Mer
Géolocalisation sur la carte : France
Le Vivier-sur-Mer
Géolocalisation sur la carte : France
Le Vivier-sur-Mer
Liens
Site web www.le-vivier-sur-mer.fr

    Géographie

    Le territoire du Vivier-sur-Mer a une forme de triangle, la base au nord s'appuyant sur la mer, la pointe s'élançant à moins de cinq kilomètres, à travers champs, entre les communes de Hirel et de Mont-Dol.

    Carte de la commune.

    Le Vivier a pour limites, au nord, la baie de Cancale, à l'est et au sud-est le bief Guioult qui sépare son territoire de ceux de Cherrueix et du Mont-Dol, l'ouest le chemin des Moulins, le croisé des Cancales, le chemin de la Planche, qui l'unissent à Hirel.

    Le Guyoult, court fleuve côtier, borde la commune à l'est.

    Climat

    Le climat qui caractérise la commune est qualifié, en 2010, de « climat océanique franc », selon la typologie des climats de la France qui compte alors huit grands types de climats en métropole[1]. En 2020, la commune ressort du type « climat océanique » dans la classification établie par Météo-France, qui ne compte désormais, en première approche, que cinq grands types de climats en métropole. Ce type de climat se traduit par des températures douces et une pluviométrie relativement abondante (en liaison avec les perturbations venant de l'Atlantique), répartie tout au long de l'année avec un léger maximum d'octobre à février[2].

    Les paramètres climatiques qui ont permis d’établir la typologie de 2010 comportent six variables pour les températures et huit pour les précipitations, dont les valeurs correspondent aux données mensuelles sur la normale 1971-2000[3]. Les sept principales variables caractérisant la commune sont présentées dans l'encadré ci-après.

    Paramètres climatiques communaux sur la période 1971-2000[1]

    • Moyenne annuelle de température : 11,7 °C
    • Nombre de jours avec une température inférieure à −5 °C : 0,8 j
    • Nombre de jours avec une température supérieure à 30 °C : 0,5 j
    • Amplitude thermique annuelle[Note 2] : 12 °C
    • Cumuls annuels de précipitation[Note 3] : 718 mm
    • Nombre de jours de précipitation en janvier : 12,1 j
    • Nombre de jours de précipitation en juillet : 6,7 j

    Avec le changement climatique, ces variables ont évolué. Une étude réalisée en 2014 par la Direction générale de l'Énergie et du Climat[5] complétée par des études régionales[6] prévoit en effet que la température moyenne devrait croître et la pluviométrie moyenne baisser, avec toutefois de fortes variations régionales. Ces changements peuvent être constatés sur la station météorologique de Météo-France la plus proche, « Cancale », sur la commune de Cancale, mise en service en 1944[7] et qui se trouve à 10 km à vol d'oiseau[8],[Note 4], où la température moyenne annuelle est de 11,8 °C et la hauteur de précipitations de 700,1 mm pour la période 1981-2010[9]. Sur la station météorologique historique la plus proche, « Dinard », sur la commune de Pleurtuit, mise en service en 1950 et à 21 km[10], la température moyenne annuelle évolue de 11,4 °C pour la période 1971-2000[11], à 11,6 °C pour 1981-2010[12], puis à 11,9 °C pour 1991-2020[13].

    Urbanisme

    Typologie

    Le Vivier-sur-Mer est une commune rurale, car elle fait partie des communes peu ou très peu denses, au sens de la grille communale de densité de l'Insee[Note 5],[14],[15],[16].

    Par ailleurs la commune fait partie de l'aire d'attraction de Saint-Malo, dont elle est une commune de la couronne[Note 6]. Cette aire, qui regroupe 35 communes, est catégorisée dans les aires de 50 000 à moins de 200 000 habitants[17],[18].

    La commune, bordée par la Manche, est également une commune littorale au sens de la loi du , dite loi littoral[19]. Des dispositions spécifiques d’urbanisme s’y appliquent dès lors afin de préserver les espaces naturels, les sites, les paysages et l’équilibre écologique du littoral, comme par exemple le principe d'inconstructibilité, en dehors des espaces urbanisés, sur la bande littorale des 100 mètres, ou plus si le plan local d’urbanisme le prévoit[20],[21].

    Occupation des sols

    Carte des infrastructures et de l'occupation des sols de la commune en 2018 (CLC).

    L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des territoires agricoles (67 % en 2018), néanmoins en diminution par rapport à 1990 (70,7 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : terres arables (61,6 %), zones urbanisées (32,8 %), zones agricoles hétérogènes (5,4 %), zones humides côtières (0,1 %)[22].

    L'IGN met par ailleurs à disposition un outil en ligne permettant de comparer l’évolution dans le temps de l’occupation des sols de la commune (ou de territoires à des échelles différentes). Plusieurs époques sont accessibles sous forme de cartes ou photos aériennes : la carte de Cassini (XVIIIe siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[23].

    Toponymie

    Le nom de la localité est attesté sous les formes Vivarium en 1181, Le Vivier du Hirel en 1513, parochia de Vivario Hireilli en 1516[24].

    Vivarium en 1181, « vivier ». Ce mot désignait une pièce d’eau d’abord aménagée par un simple barrage de branchages ou de pierres puis maçonné sur un cours d’eau où l’on se contentait de nourrir le poisson avant de le pêcher puis « vivier » a fini par désigner une construction spécialement destinée à l’élevage des poissons, les deux conceptions ayant bien sûr pu être contemporaines, ce qui rend difficile l’explication exacte des toponymes.

    Le , Le Vivier devient Le Vivier-sur-Mer.

    Histoire

    Le Vivier-sur-Mer est située sur la côte, environ au centre de la baie du mont Saint-Michel-Cancale. Il est cité un port du nom de « Winiau » à l'embouchure du Guyoult, ou débarqua saint Colomban au Ve siècle et saint Samson de Dol au VIe siècle.

    La paroisse du Vivier faisait partie du doyenné de Dol relevant de l'évêché de Dol et était sous le vocable de saint Nicolas.

    L'abbaye Notre-Dame du Tronchet possédait des biens dans la paroisse du Vivier[25].

    La Révolution

    Le Vivier est érigé en commune en 1790.

    À la Révolution, Le Vivier-sur-Mer est jugé assez important pour être constitué chef-lieu de canton. Les registres de l'état civil, pendant quelques années, porte cette mention : « Registre du secrétaire de l'administration municipale du canton du Vivier pour transcrire les actes de décès sur les notices des agents des communes en exécution de la loi du 22 frimaire an VII (14 décembre 1799) ». Dans ces registres, on relève les actes de naissances, de mariages et de décès des communes voisines de Hirel, Vildé-la-Marine, La Fresnais, Lillemer, appartenant au canton du Vivier. La population de la commune est favorable aux changements apportés par la Révolution française, surtout après la fin de la Terreur. La principale fête révolutionnaire est celle célébrant l’anniversaire de l’exécution de Louis XVI, accompagnée d’un serment de haine à la royauté et à l’anarchie, fêtée à partir de 1795[26].

    Politique et administration

    Liste des maires
    Période Identité Étiquette Qualité
    1949 janvier 1974
    (décès)
    André Busson
    (1906-1974)
      Mareyeur
    Officier des Palmes Académiques
    février 1974 mars 1983 Alexis Hodbert   Mytiliculteur, maire honoraire
    mars 1983 septembre 1991[27]
    (décès)
    Francis Chevalier   Directeur d'école honoraire
    Chevalier des Palmes académiques
    novembre 1991[27] mars 2014 Gérard Salardaine   Mytiliculteur
    mars 2014[28] décembre 2016
    (démission)
    Arnaud Barbé SE Conchyliculteur
    décembre 2016[29] 28 mai 2020 Gérard Salardaine SE Ancien mytiliculteur
    28 mai 2020 En cours Carole Cerveau[30]   Assistante d'éducation
    Les données manquantes sont à compléter.

    Démographie

    L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. À partir de 2006, les populations légales des communes sont publiées annuellement par l'Insee. Le recensement repose désormais sur une collecte d'information annuelle, concernant successivement tous les territoires communaux au cours d'une période de cinq ans. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[31]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2005[32].

    En 2018, la commune comptait 1 046 habitants[Note 7], en augmentation de 0,97 % par rapport à 2013 (Ille-et-Vilaine : +4,83 %, France hors Mayotte : +1,78 %).

    Évolution de la population  [modifier]
    1793 1800 1806 1821 1831 1836 1841 1846 1851
    580547607725769845847885958
    1856 1861 1866 1872 1876 1881 1886 1891 1896
    1 1149361 0191 000972918882818775
    1901 1906 1911 1921 1926 1931 1936 1946 1954
    775844845757715648613610600
    1962 1968 1975 1982 1990 1999 2005 2010 2015
    7297937539141 0121 0091 0191 0141 049
    2018 - - - - - - - -
    1 046--------
    De 1962 à 1999 : population sans doubles comptes ; pour les dates suivantes : population municipale.
    (Sources : Ldh/EHESS/Cassini jusqu'en 1999[33] puis Insee à partir de 2006[34].)
    Histogramme de l'évolution démographique

    Économie

    Véhicule amphibie utilisé par les mytiliculteurs.

    Le Vivier-sur-Mer est le centre de la mytiliculture (élevage des moules) dans la baie du mont Saint-Michel. En 2005, l'activité des exploitants installés sur la commune produisait 9 000 tonnes de moules (plus de 10 % de la production française). La mytiliculture, contrairement à l'ostréiculture (culture de l'huître) est d'apparition récente (1954) et résulte du transfert du savoir-faire de mytiliculteurs venus des sites de Charente qui ont apporté la technique de l'élevage sur bouchots et initié l'importation du naissain depuis la côte atlantique car les moules ne se reproduisent pas dans la baie. Les sites de culture se sont déplacés en partie vers l'est (banc des Hermelles) pour faire face à l'expansion de l'activité et diminuer la densité de l'élevage vectrice de maladies ; celles-ci ont fait baisser à plusieurs reprises la production dans des proportions très importantes (jusqu'à 50 %). Compte tenu de l'ampleur des marées dans la région, les distances entre la côte et les bancs de moules sont considérables. Les mytiliculteurs du Vivier-sur-Mer utilisent des engins amphibies pour se rendre sur les zones d'exploitation en s'affranchissant des horaires des marées[35]. L'économie de la moule a entrainé une expansion démographique significative de la population de la commune.

    Lieux et monuments

    Intérieur de l'église Saint-Nicolas du Vivier-sur-Mer.
    • L'église Saint-Nicolas, de style néo-classique : massif occidental et tour de 1839, corps de l'édifice érigé par l'architecte malouin Jean-Gabriel Frangeul en 1848[36].

    Notes et références

    Notes

    1. Population municipale 2018, légale en 2021.
    2. L'amplitude thermique annuelle mesure la différence entre la température moyenne de juillet et celle de janvier. Cette variable est généralement reconnue comme critère de discrimination entre climats océaniques et continentaux.
    3. Une précipitation, en météorologie, est un ensemble organisé de particules d'eau liquide ou solide tombant en chute libre au sein de l'atmosphère. La quantité de précipitation atteignant une portion de surface terrestre donnée en un intervalle de temps donné est évaluée par la hauteur de précipitation, que mesurent les pluviomètres[4].
    4. La distance est calculée à vol d'oiseau entre la station météorologique proprement dite et le chef-lieu de commune.
    5. Selon le zonage des communes rurales et urbaines publié en novembre 2020, en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le en comité interministériel des ruralités.
    6. La notion d'aire d'attraction des villes a remplacé en octobre 2020 l'ancienne notion d'aire urbaine, pour permettre des comparaisons cohérentes avec les autres pays de l'Union européenne.
    7. Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2021, millésimée 2018, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2020, date de référence statistique : 1er janvier 2018.

    Références

    1. Daniel Joly, Thierry Brossard, Hervé Cardot, Jean Cavailhes, Mohamed Hilal et Pierre Wavresky, « Les types de climats en France, une construction spatiale », Cybergéo, revue européenne de géographie - European Journal of Geography, no 501, (DOI https://doi.org/10.4000/cybergeo.23155, lire en ligne, consulté le )
    2. « Le climat en France métropolitaine », sur http://www.meteofrance.fr/, (consulté le )
    3. « Définition d’une normale climatologique », sur http://www.meteofrance.fr/ (consulté le )
    4. Glossaire – Précipitation, Météo-France
    5. « Le climat de la France au XXIe siècle - Volume 4 - Scénarios régionalisés : édition 2014 pour la métropole et les régions d’outre-mer », sur https://www.ecologie.gouv.fr/ (consulté le ).
    6. « Observatoire régional sur l'agriculture et le changement climatique (Oracle) - Bretagne », sur www.chambres-agriculture-bretagne.fr, (consulté le )
    7. « Station Météo-France Cancale - métadonnées », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le )
    8. « Orthodromie entre Le Vivier-sur-Mer et Cancale », sur fr.distance.to (consulté le ).
    9. « Station Météo-France Cancale - fiche climatologique - statistiques 1981-2010 et records », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le ).
    10. « Orthodromie entre Le Vivier-sur-Mer et Pleurtuit », sur fr.distance.to (consulté le ).
    11. « Station météorologique de Dinard - Normales pour la période 1971-2000 », sur https://www.infoclimat.fr/ (consulté le )
    12. « Station météorologique de Dinard - Normales pour la période 1981-2010 », sur https://www.infoclimat.fr/ (consulté le )
    13. « Station météorologique de Dinard - Normales pour la période 1991-2020 », sur https://www.infoclimat.fr/ (consulté le )
    14. « Typologie urbain / rural », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
    15. « Commune rurale - définition », sur le site de l’Insee (consulté le ).
    16. « Comprendre la grille de densité », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
    17. « Base des aires d'attraction des villes 2020. », sur insee.fr, (consulté le ).
    18. Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier Pégaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans l’aire d’attraction d’une ville », sur insee.fr, (consulté le ).
    19. « Les communes soumises à la loi littoral. », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr, (consulté le ).
    20. « La loi littoral », sur www.collectivites-locales.gouv.fr (consulté le ).
    21. « Loi relative à l’aménagement, la protection et la mise en valeur du littoral. », sur www.cohesion-territoires.gouv.fr (consulté le ).
    22. « CORINE Land Cover (CLC) - Répartition des superficies en 15 postes d'occupation des sols (métropole). », sur le site des données et études statistiques du ministère de la Transition écologique. (consulté le )
    23. IGN, « Évolution de l'occupation des sols de la commune sur cartes et photos aériennes anciennes. », sur remonterletemps.ign.fr (consulté le ). Pour comparer l'évolution entre deux dates, cliquer sur le bas de la ligne séparative verticale et la déplacer à droite ou à gauche. Pour comparer deux autres cartes, choisir les cartes dans les fenêtres en haut à gauche de l'écran.
    24. « Etymologie et Histoire de Le Vivier-sur-Mer », infobretagne (consulté le ).
    25. Déclaration de l'évêque de Dol, 1575.
    26. Louis Dubreuil, « Fêtes révolutionnaires en Ille-et-Vilaine », in Annales de Bretagne, volume 21, tome 4, 1905, p. 398-399.
    27. « Vœux : le maire, Gérard Salardaine ne se représente pas », sur ouest-france.fr, Ouest-France (consulté le ).
    28. « Arnaud Barbé, élu maire, succède à Gérard Salardaine », sur ouest-france.fr, Ouest-France (consulté le ).
    29. « Gérard Salardaine est élu maire, avec 4 adjoints », sur ouest-france.fr, Ouest-France (consulté le ).
    30. « Carole Cerveau, première femme maire du Vivier », Le Pays Malouin, , p. 38.
    31. L'organisation du recensement, sur insee.fr.
    32. Calendrier départemental des recensements, sur insee.fr.
    33. Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes études en sciences sociales.
    34. Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017 et 2018.
    35. Véronique Orain (Dir.), Ille-et-Vilaine. Églises et chapelles. Indicateurs du patrimoine., Association pour l'Inventaire Bretagne, Rennes, 1996, (ISBN 2-905064-25-0).

    Voir aussi

    Liens externes

    • Portail des communes de France
    • Portail d’Ille-et-Vilaine‎
    Cet article est issu de Wikipedia. Le texte est sous licence Creative Commons - Attribution - Partage dans les Mêmes. Des conditions supplémentaires peuvent s'appliquer aux fichiers multimédias.