Le Plan-de-la-Tour

Le Plan-de-la-Tour, dénommé jusqu'au Plan-de-la-Tour[1], est une commune française située dans le département du Var en région Provence-Alpes-Côte d'Azur. Ses habitants sont les Plantourians et les Plantouriannes.

Le Plan-de-la-Tour

Église Saint-Martin du Plan de la Tour.
Administration
Pays France
Région Provence-Alpes-Côte d’Azur
Département Var
Arrondissement Draguignan
Intercommunalité Communauté de communes du Golfe de Saint-Tropez
Maire
Mandat
Laurent Giubergia
2020-2026
Code postal 83120
Code commune 83094
Démographie
Gentilé Plantourians / Plantouriannes
Population
municipale
2 937 hab. (2018 )
Densité 80 hab./km2
Géographie
Coordonnées 43° 20′ 29″ nord, 6° 32′ 50″ est
Altitude Min. 25 m
Max. 540 m
Superficie 36,8 km2
Type Commune rurale
Unité urbaine Le Plan-de-la-Tour
(ville isolée)
Aire d'attraction Sainte-Maxime
(commune de la couronne)
Élections
Départementales Canton de Sainte-Maxime
Législatives Quatrième circonscription
Localisation
Géolocalisation sur la carte : Provence-Alpes-Côte d'Azur
Le Plan-de-la-Tour
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Le Plan-de-la-Tour
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Le Plan-de-la-Tour
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Le Plan-de-la-Tour
Liens
Site web http://www.leplandelatour.fr

    Géographie

    Localisation

    Située à km de la mer, les communes les plus proches sont Sainte-Maxime km, La Garde-Freinet 11 km, Grimaud 13 km, Cogolin14 km, Saint-Tropez 19 km.

    Hameaux

    Le Plan-de-la-Tour est composée d'une vingtaine de hameaux environ, dont le Revest, les Gastons, la Buon Aïgo, les Marcels, le Vernet[2] et le hameau de Coriolan.

    Géologie et relief

    Le Granite de l'Hermitan[3], Leucocrate de Camarat, la Rhyolite[4].

    Sismicité

    Zone de sismicité Faible[5].

    Hydrographie et les eaux souterraines

    Cours d'eau sur la commune ou à son aval[6] :

    • rivière le Préconil[7],
    • vallons de Sartouresse, du Revest, du Cours du Pey, des Prés,
    • ruisseau de Langastoua[8], d'Emponse[9], le Gourier[10], du Plan[11], des Mûres[12].
    • vallat le Marri Ruisseau,
    • ravin du Nartassier,

    Le Plan-de-la-Tour dispose d'une station d'épuration d'une capacité de 5 000 équivalent-habitants[13].

    Climat

    Village classé CSA dans la classification de Köppen et Geiger[14].

    Voies routières

    • Commune desservie par les départementales 44 et 74.

    Transports en commun

    • Transport en Provence-Alpes-Côte d'Azur

    La commune est desservie par le réseau départemental Varlib[15].

    Lignes SNCF

    Histoire

    Isolée par les difficultés d'accès liées à son relief et, également, par l'insécurité qui frappait les rivages de la mer, l'actuelle vallée du Préconil, autrefois connue sous le nom de Val d'Avignon, est restée longtemps inhabitée ou peu habitée. Au XVIe siècle, dans ces grands espaces, près des points d'eau intarissables pendant la longue période de sécheresse de l'été, apparaissent quelques bastides destinées à répondre aux exigences de la vie agricole, forestière et familiale. Ces bastides, progressivement, deviendront des hameaux regroupant, initialement, les descendants d'une même famille. C'est là le germe du type de société qui s'est perpétué, dans le respect des traditions, et qui s'est longtemps exprimé dans un paysage rural inséparable de la société qui l'avait créé[16].

    L'un de ces hameaux, Saint-Martin, le centre de l'actuel village, deviendra le chef-lieu de fait, puis de droit, de la communauté qui, depuis le XVIe siècle, s'est fixée sur des lieux géographiques communs.

    En Provence, d'une manière générale, les limites des communes sont celles des anciennes seigneuries. Tel n'est pas le cas du Plan-de-la-Tour qui regroupe trois quartiers relevant, chacun, sous l'Ancien Régime, d'unités féodales différentes. Ils sont pourtant connus sous ce toponyme apparu à la fin du XVe siècle. Il y vit une population qui, par la géographie des lieux et sa manière de vivre, a le sentiment d'être solidaire dans le droit de s'administrer elle-même.

    La plus grande partie de cette population s'est fixée dans la haute vallée ou se trouvent les hameaux de Saint-Martin, Préconil, le Vernet, les Pennes, les Pierrons, Prat-l'Estagnol, Valauri et Emponse. Le hameau de Saint-Martin, où ont été édifiés, en 1723, l'église et le cimetière, préfigure, on l'a dit, le chef-lieu. À la veille de la Révolution, les habitants de ces lieux, administrativement rattachés à La Garde-Freinet, sont remarquablement structurés et comptent « trois maîtres en chirurgie et des artisans de presque toutes espèces ». Les chroniqueurs les plus autorisés de l'époque écrivent que les paysans de ce quartier sont laborieux et hardis, actifs pour le commerce et religieux.

    La deuxième partie de la communauté est constituée par le Haut Quartier de Saint-Pierre de Miramas et recouvre les hameaux de Prat-Bourdin, le Plan, Bagarri et Gassine. Elle est rattachée à Sainte-Maxime ainsi que le hameau du Revest qui perpétue le nom de ce fief supprimé pendant la Révolution.

    Les cérémonies du bicentenaire seront des images. Mais elles exprimeront les secrètes affinités d'une réalité matérielle avec la croyance dans les libertés urbaines chèrement acquises, on va le voir, par nos ancêtres. Cette communauté, en effet, revendiquait le simple droit de se gouverner elle-même. Mais ce droit ne lui était nullement reconnu et il existe aujourd'hui parce qu'il a été arraché, de haute lutte, par les habitants des lieux où nous vivons.

    Dans le courant du XVIIIe siècle, ces habitants forment une communauté qui prend conscience d'elle-même. La crise d'émancipation qui l'anime se cristallise, dans l'État officiellement catholique de l'époque, autour de l'épineuse question de l'érection d'une paroisse à Saint-Martin simple succursale de la Moure. Cette tentative échoue. Elle est reprise, pendant la Révolution, et le les citoyens actifs de Saint-Martin du Plan-de-la-Tour se réunissent dans l'église et se proclament indépendants de la Garde du Freinet. Depuis toujours, La Garde-Freinet manifestait une opposition farouche à la sécession. Un incident est significatif du climat dans lequel se déroulaient les événements. La décision ayant été prise, par le Directoire de Fréjus, de faire prêter serment, en 1792 au vicaire Pelloquin, desservant de la succursale de Saint-Martin, les administrateurs de la Garde-Freinet soutenaient qu'il leur appartenait de recevoir ce serment, ce que niaient les habitants du Plan-de-la-Tour. Un huissier fut commis pour signifier l'acte. À son retour il fit connaître que « les habitants étaient beaucoup émeutés contre la municipalité de La Garde-Freinet et que les représentants de celle-ci ne pouvaient se déplacer sans danger, à Saint-Martin, pour y recevoir le serment de l'abbé ».

    Après maintes difficultés, la commune sera officiellement créée le par une décision du Directoire du Var siégeant à Brignoles. Paradoxalement, elle laissera hors de ses limites le quartier du Plan qui lui a donné son nom et qui, partie intégrante de Sainte-Maxime, ne lui sera rattaché que plus tard. Enfin, le procès-verbal de division et de limitation des territoires entre la commune du Plan-de-la-Tour et La Garde-Freinet ne sera établi que le vingt neuvième jour de fructidor an IV de la République (1796)[17].

    Politique et administration

    Liste des maires

    Liste des maires successifs[18]
    Période Identité Étiquette Qualité
    1790 1800 Antoine Condroyer   Propriétaire
    1800 1821 Joseph Condroyer   Propriétaire
    1821 1830 Antoine-Damase Condroyer   Notaire
    1830 1831 Jean-Clément Bérenguier   Propriétaire
    1831 1835 Clément-Julien Ollivier   Médecin
    1835 1840 Jean-Louis Sigallas   Propriétaire
    1840 1870 Joseph-Martin Condroyer   Propriétaire
    1870 1871 Adrien Giraud   Bouchonnier
    1871 1878 Sylvain Sigallas   Docteur en médecine
    1878 1881 Joseph-Martin Condroyer   Propriétaire
    1881 1884 Sylvain Sigallas   Docteur en médecine
    1884 1904 François Sigallas   Docteur en médecine
    Philibert Perrin    
    Victorin Bransiec [19] Socialiste Ouvrier bouchonnier
    Dr Charles Treuvey   Délégation spéciale
    Jean Guiraud   Président de la délégation municipale
    Georges Gautier    
    Marcel Aumeran    
    Pierre Jaudel   Exploitant agricole
    juin 2020 Florence Lanliard DVD Propriétaire viticole, artiste peintre
    9e vice-présidente de la CC du Golfe de Saint-Tropez (2014 → 2020)
    Chevalier de la Légion d'honneur (2017), citoyenne d'honneur de la commune
    Réélue en 2001, 2008 et 2014
    En cours Laurent Giubergia[20]   Plombier[21]
    8e vice-président de la CC du Golfe de Saint-Tropez (2020 → )

    Urbanisme

    Typologie

    Le Plan-de-la-Tour est une commune rurale, car elle fait partie des communes peu ou très peu denses, au sens de la grille communale de densité de l'Insee[Note 1],[22],[23],[24]. Elle appartient à l'unité urbaine du Plan-de-la-Tour, une unité urbaine monocommunale[25] de 2 827 habitants en 2017, constituant une ville isolée[26],[27].

    Par ailleurs la commune fait partie de l'aire d'attraction de Sainte-Maxime, dont elle est une commune de la couronne[Note 2]. Cette aire, qui regroupe 2 communes, est catégorisée dans les aires de moins de 50 000 habitants[28],[29].

    La commune est dotée d'un plan local d'urbanisme[30],[31].

    Occupation des sols

    Carte de l'occupation des sols de la commune en 2018 (CLC).

    L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des forêts et milieux semi-naturels (69,3 % en 2018), néanmoins en diminution par rapport à 1990 (72 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : milieux à végétation arbustive et/ou herbacée (43,5 %), forêts (25,8 %), zones agricoles hétérogènes (17,7 %), cultures permanentes (8,5 %), zones urbanisées (4,6 %)[32].

    L'IGN met par ailleurs à disposition un outil en ligne permettant de comparer l’évolution dans le temps de l’occupation des sols de la commune (ou de territoires à des échelles différentes). Plusieurs époques sont accessibles sous forme de cartes ou photos aériennes : la carte de Cassini (XVIIIe siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[33].

    Intercommunalité

    La commune est membre de la Communauté de communes du golfe de Saint-Tropez

    Budget et fiscalité 2019

    En 2019, le budget de la commune était constitué ainsi[34] :

    • total des produits de fonctionnement : 3 388 000 , soit 1 221  par habitant ;
    • total des charges de fonctionnement : 3 054 000 , soit 1 101  par habitant ;
    • total des ressources d’investissement : 182 000 , soit 66  par habitant ;
    • total des emplois d’investissement : 942 000 , soit 340  par habitant.
    • endettement : 822 000 , soit 296  par habitant.

    Avec les taux de fiscalité suivants :

    • taxe d’habitation : 18,99 % ;
    • taxe foncière sur les propriétés bâties : 13,79 % ;
    • taxe foncière sur les propriétés non bâties : 64,95 % ;
    • taxe additionnelle à la taxe foncière sur les propriétés non bâties : 0 % ;
    • cotisation foncière des entreprises : 0 %

    Chiffres clés Revenus et pauvreté des ménages en 2018 : Médiane en 2018 du revenu disponible, par unité de consommation : 21 890 [35].

    Population et société

    Évolution démographique

    L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. À partir de 2006, les populations légales des communes sont publiées annuellement par l'Insee. Le recensement repose désormais sur une collecte d'information annuelle, concernant successivement tous les territoires communaux au cours d'une période de cinq ans. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[36]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2004[37].

    En 2018, la commune comptait 2 937 habitants[Note 3], en augmentation de 6,92 % par rapport à 2013 (Var : +3,8 %, France hors Mayotte : +1,78 %).

    Évolution de la population  [modifier]
    1793 1800 1806 1821 1831 1836 1841 1846 1851
    1 0501 0409991 1631 0861 1061 1081 3881 513
    1856 1861 1866 1872 1876 1881 1886 1891 1896
    1 5271 5411 5091 4531 5061 3611 3081 1891 083
    1901 1906 1911 1921 1926 1931 1936 1946 1954
    1 0231 0031 015822908891811697746
    1962 1968 1975 1982 1990 1999 2004 2009 2014
    8201 0361 2601 4481 9912 3802 5242 8592 666
    2018 - - - - - - - -
    2 937--------
    De 1962 à 1999 : population sans doubles comptes ; pour les dates suivantes : population municipale.
    (Sources : Ldh/EHESS/Cassini jusqu'en 1999[38] puis Insee à partir de 2006[39].)
    Histogramme de l'évolution démographique

    Enseignement

    Santé

    • Professionnels et établissements de santé : médecins[42], pharmacie[43].
    • Maison médicale proche[44].

    Cultes

    Économie

    Agriculture

    • Coopérative vinicole Les Fouleurs de Saint Pons[46],[47],[48].

    Tourisme

    Villages Clubs du Soleil Le Reverdi.
    • Restaurants[49].
    • Camping, chambres d'hôtes[50].
    • Villages Clubs Du Soleil Le Reverdi[51].

    Commerces et services

    Lieux et monuments

    Patrimoine religieux :

    • Église Saint-Martin construite à la fin du XVIIIe siècle, et son campanile inaugurée le [59],[60];
    • Chapelle Saint-Pierre-de-Miramas[61],[62] ;
    • Ancien presbytère, place Clemenceau ;
    • Monuments commémoratifs :
      • Monument aux morts[63],
      • Plaque commémorative dans l'église.

    Monument classé au titre des monuments historiques

    Héraldique

    D'or à la tour de gueules posée sur une terrasse de sable[67].

    Personnalités liées à la commune

    Bibliographie

    Articles connexes

    Liens externes

    Notes et références

    Notes

    1. Selon le zonage des communes rurales et urbaines publié en novembre 2020, en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le en comité interministériel des ruralités.
    2. La notion d'aire d'attraction des villes a remplacé en octobre 2020 l'ancienne notion d'aire urbaine, pour permettre des comparaisons cohérentes avec les autres pays de l'Union européenne.
    3. Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2021, millésimée 2018, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2020, date de référence statistique : 1er janvier 2018.

    Références

    1. La commune a changé de nom par décret no 2008-1021 du 3 octobre 2008 portant changement de nom de communes, après délibération du conseil municipal de Plan-de-la-Tour du 19 juin 2006 et du conseil général du Var du 24 novembre 2006.
    2. De très nombreux hameaux (25 au total !) sont disséminés sur la commune
    3. Affleurement
    4. Carte de subtences utiles : Gisements de matériaux de construction et de viabilité]
    5. Didacticiel de la règlementation parasismique
    6. L'eau dans la commune
    7. Rivière Le Préconil
    8. Ruisseau de Langastoua
    9. Ruisseau d'Emponse
    10. Des cours d’eau singuliers
    11. Ruisseau du Plan
    12. Ruisseau des Mûres
    13. Description de la station : Plan de la Tour village
    14. Table climatique
    15. réseau départemental Varlib
    16. Histoire du village sur Provence 7
    17. Présentation de la commune
    18. Joseph Salvarelli, Les Administrateurs du département du Var (1790-1897). Notices biographiques (1897), p.425 « 
    19. https://maitron.fr/spip.php?article102216, notice BRANSIEC Victorien [BRANSIEC Paul, Eugène, Victorien] par Jacques Girault, version mise en ligne le 3 novembre 2010, dernière modification le 3 novembre 2010.
    20. Conseil municipal 2020
    21. « Typologie urbain / rural », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
    22. « Commune rurale - définition », sur le site de l’Insee (consulté le ).
    23. « Comprendre la grille de densité », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
    24. « Unité urbaine 2020 du Le Plan-de-la-Tour », sur https://www.insee.fr/ (consulté le ).
    25. « Base des unités urbaines 2020 », sur www.insee.fr, (consulté le ).
    26. Vianney Costemalle, « Toujours plus d’habitants dans les unités urbaines », sur insee.fr, (consulté le ).
    27. « Liste des communes composant l'aire d'attraction duSainte-Maxime », sur insee.fr (consulté le ).
    28. Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier Pégaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans l’aire d’attraction d’une ville », sur insee.fr, (consulté le ).
    29. Présentation du projet de PLU
    30. PLU, sur Géoportail de l'urbanisme
    31. « CORINE Land Cover (CLC) - Répartition des superficies en 15 postes d'occupation des sols (métropole). », sur le site des données et études statistiques du ministère de la Transition écologique. (consulté le )
    32. IGN, « Évolution de l'occupation des sols de la commune sur cartes et photos aériennes anciennes. », sur remonterletemps.ign.fr (consulté le ). Pour comparer l'évolution entre deux dates, cliquer sur le bas de la ligne séparative verticale et la déplacer à droite ou à gauche. Pour comparer deux autres cartes, choisir les cartes dans les fenêtres en haut à gauche de l'écran.
    33. Les comptes de la commune
    34. Chiffres clés Évolution et structure de la population. Dossier complet
    35. L'organisation du recensement, sur insee.fr.
    36. Calendrier départemental des recensements, sur insee.fr.
    37. Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes études en sciences sociales.
    38. Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017 et 2018.
    39. École maternelle
    40. Établissements d'enseignement proches
    41. Médecins
    42. Pharmacie
    43. Maison médicale, sur la route du Plan-de-la-Tour
    44. La paroisse Saint-Martin du Plan-de-la-Tour
    45. Coopérative vinicole Les Fouleurs de Saint-Pons : Étude historique et architecturale
    46. « Coopérative vinicole Les Fouleurs de Saint Pons », notice no IA83001357, base Mérimée, ministère français de la Culture enquête thématique régionale (coopératives agricoles de Provence-Alpes-Côte d'Azur)
    47. Golfe de Saint Tropez, Plan-de-la Tour : 1 coopérative
    48. Restauration
    49. Hébergements
    50. Le village club aux 5 sens
    51. Oppidum de San Peire
    52. Menhir
    53. Dolmen de San-Sébastien
    54. Inventaire des mégalithes du département du Var (dolmens, tumulus...) : Plan-de-la-Tour
    55. Infos touristiques
    56. Charles-Laurent Salch, Dictionnaire des châteaux et des fortifications du moyen âge en France, Strasbourg, Editions Publitotal, 4ème trimestre 1979, 1287 p. (ISBN 978-2-86535-070-4 et 2-86535-070-3)
      Plan-de-la-Tour (Le), p. 905
      .
    57. La tour Paulety
    58. Un peu d'histoire du village
    59. La commune du Plan de la Tour s’engage dans la restauration du clocher de l’Eglise Saint Martin et son campanile en fer forgé avec le soutien de la Fondation du patrimoine
    60. Les églises et édifices religieux recensés par l'Observatoire du patrimoine religieux (OPR)
    61. Chapelle Saint-Pierre, Le Plan-de-la-Tour
    62. Monument aux morts du Plan-de-la-Tour
    63. « Rêve de l'Oiseau », notice no PA83000017, base Mérimée, ministère français de la Culture.
    64. Le sol des parcelles D 778 et D 779, en totalité : inscription par arrêté du 7 août 2007 - Le " Rêve de l'Oiseau " et le sol de la parcelle D 777 : classement par arrêté du 16 avril 2008
    65. Camille Morineau et al 2014, p. 335.
    66. Canton de Grimaud : Le Plan-de-la-Tour, Vexillologie Provençale, sur le site personnel de Dominique Cureau
    67. La propriété où ont vécu la star hollywoodienne Johnny Depp et la comédienne et chanteuse française Vanessa Paradis
    68. « Johnny Depp dévoile son quotidien avec Vanessa Paradis, sa vie en France, et... son rêve secret ! », sur purepeople.com, .
    69. « bourg castral de Pétiache », notice no IA83001192, base Mérimée, ministère français de la Culture.
    70. « bourg castral de Miramas », notice no IA83001191, base Mérimée, ministère français de la Culture.
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