Le Haillan

Le Haillan (Halhan en gascon) est une commune du Sud-Ouest de la France, située dans le département de la Gironde (région Nouvelle-Aquitaine). Elle se situe dans l'agglomération bordelaise et fait partie de Bordeaux Métropole.

Le Haillan

La mairie.

Blason

Logo
Administration
Pays France
Région Nouvelle-Aquitaine
Département Gironde
Arrondissement Bordeaux
Intercommunalité Bordeaux Métropole
Maire
Mandat
Andréa Kiss
2020-2026
Code postal 33185
Code commune 33200
Démographie
Gentilé Haillanais
Population
municipale
11 342 hab. (2018 )
Densité 1 225 hab./km2
Géographie
Coordonnées 44° 52′ 29″ nord, 0° 41′ 09″ ouest
Altitude Min. 8 m
Max. 47 m
Superficie 9,26 km2
Type Commune urbaine
Unité urbaine Bordeaux
(banlieue)
Aire d'attraction Bordeaux
(commune du pôle principal)
Élections
Départementales Canton de Mérignac-1
Législatives Sixième circonscription
Localisation
Géolocalisation sur la carte : Nouvelle-Aquitaine
Le Haillan
Géolocalisation sur la carte : Gironde
Le Haillan
Géolocalisation sur la carte : France
Le Haillan
Géolocalisation sur la carte : France
Le Haillan
Liens
Site web ville-lehaillan.fr

    Ses habitants sont appelés les Haillanais[1].

    Géographie

    Commune de l'aire urbaine de Bordeaux située dans son unité urbaine à une dizaine de kilomètres au nord-ouest du centre-ville de Bordeaux, il s'agit d'une commune résidentielle, délimitée par les villes de Eysines à l'est, Mérignac au sud, Saint-Médard-en-Jalles à l'ouest et Le Taillan-Médoc au nord.

    Communes limitrophes

    Le Haillan au sein de la Bordeaux Métropole.
    L'église et les écoles au début du XXe siècle.

    Climat

    Le climat qui caractérise la commune est qualifié, en 2010, de « climat océanique altéré », selon la typologie des climats de la France qui compte alors huit grands types de climats en métropole[2]. En 2020, la commune ressort du même type de climat dans la classification établie par Météo-France, qui ne compte désormais, en première approche, que cinq grands types de climats en métropole. Il s’agit d’une zone de transition entre le climat océanique et les climats de montagne et le climat semi-continental. Les écarts de température entre hiver et été augmentent avec l'éloignement de la mer. La pluviométrie est plus faible qu'en bord de mer, sauf aux abords des reliefs[3].

    Les paramètres climatiques qui ont permis d’établir la typologie de 2010 comportent six variables pour les températures et huit pour les précipitations, dont les valeurs correspondent aux données mensuelles sur la normale 1971-2000[4]. Les sept principales variables caractérisant la commune sont présentées dans l'encadré ci-après.

    Paramètres climatiques communaux sur la période 1971-2000[2]

    • Moyenne annuelle de température : 12,9 °C
    • Nombre de jours avec une température inférieure à −5 °C : 1,8 j
    • Nombre de jours avec une température supérieure à 30 °C : 6,9 j
    • Amplitude thermique annuelle[Note 1] : 13,8 °C
    • Cumuls annuels de précipitation[Note 2] : 914 mm
    • Nombre de jours de précipitation en janvier : 12,2 j
    • Nombre de jours de précipitation en juillet : 6,8 j

    Avec le changement climatique, ces variables ont évolué. Une étude réalisée en 2014 par la Direction générale de l'Énergie et du Climat[6] complétée par des études régionales[7] prévoit en effet que la température moyenne devrait croître et la pluviométrie moyenne baisser, avec toutefois de fortes variations régionales. Ces changements peuvent être constatés sur la station météorologique de Météo-France la plus proche, « Bordeaux-Mérignac », sur la commune de Mérignac, mise en service en 1920[8] et qui se trouve à km à vol d'oiseau[9],[Note 3], où la température moyenne annuelle évolue de 13,3 °C pour la période 1971-2000[10], à 13,8 °C pour 1981-2010[11], puis à 14,2 °C pour 1991-2020[12].

    Urbanisme

    Typologie

    Le Haillan est une commune urbaine, car elle fait partie des communes denses ou de densité intermédiaire, au sens de la grille communale de densité de l'Insee[Note 4],[13],[14],[15].

    Elle appartient à l'unité urbaine de Bordeaux, une agglomération intra-départementale regroupant 73 communes[16] et 969 897 habitants en 2018, dont elle est une commune de la banlieue. L'agglomération de Bordeaux est la sixième plus importante de la France en termes de population, derrière celles de Paris, Lyon, Marseille-Aix-en-Provence, Lille (partie française) et Toulouse[17],[18].

    Par ailleurs la commune fait partie de l'aire d'attraction de Bordeaux, dont elle est une commune du pôle principal[Note 5]. Cette aire, qui regroupe 275 communes, est catégorisée dans les aires de 700 000 habitants ou plus (hors Paris)[19],[20].

    Occupation des sols

    Carte des infrastructures et de l'occupation des sols de la commune en 2018 (CLC).

    L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des territoires artificialisés (64,2 % en 2018), en augmentation par rapport à 1990 (55,5 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : zones urbanisées (39,2 %), zones industrielles ou commerciales et réseaux de communication (18,7 %), forêts (15,6 %), prairies (13,4 %), zones agricoles hétérogènes (6,8 %), espaces verts artificialisés, non agricoles (6,3 %)[21].

    L'IGN met par ailleurs à disposition un outil en ligne permettant de comparer l’évolution dans le temps de l’occupation des sols de la commune (ou de territoires à des échelles différentes). Plusieurs époques sont accessibles sous forme de cartes ou photos aériennes : la carte de Cassini (XVIIIe siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[Carte 1].

    Histoire

    Le lieu semble avoir d'abord été un domaine rural, où des familles bordelaises entretenaient depuis le Moyen Âge des propriétés agricoles, les Bourdieux. Le château Bel Air, actuel siège du F.C. des Girondins de Bordeaux, compte parmi les vestiges de cette période.

    Vers la fin de la Guerre de Cent Ans, deux batailles ensanglantent ses terres, connues sous les noms de la Male Jornade (1450) et la Journée manquée (1453).

    Sur la carte de Cassini (1740) apparait le lieu-dit "le Haillan" (en italique sur la carte de Cassini) à proximité immédiate de l'emplacement du village de "Sainte Christine" (romaine droite sur la carte de Cassini) qui pourrait être une paroisse. Actuellement, une rue du Haillan se nomme : "rue Sainte Christine".

    La commune est créée sous Napoléon III, le , d'une partition de celle d'Eysines[22]. Elle est ainsi la plus récente commune de la Métropole, les autres ayant été créées au moment de la Révolution Française. La ville a organisé de nombreuses festivités en 2017, à l’occasion du 150ème anniversaire de la commune.

    À partir des années 1970, la ville profite de l'industrie aérospatiale et aéronautique pour s'étoffer et augmenter sa population, dépassant les 10 000 habitants (recensement 2011).

    Toponymie

    On ne connait pas de mention ancienne du nom du Haillan, ce qui n'en facilite pas l'interprétation.

    Il peut s'agir d'une formation toponymique en -an, terminaison issue du suffixe latin -anum, (équivalent de -acum > -ac, d'origine gauloise) et fréquente dans le sud de la France. Il désigne un lieu ou une propriété. La plupart du temps le premier élément, ici Haill-, représente un anthroponyme. Dans ce cas, il y a plusieurs hypothèses par un nom d'homme gallo-romain ou latin : soit Falius[23], soit Fadilius[24], avec passage régulier du F- initial à H- en gascon. La graphie est francisée, en gascon on devait écrire Halhan.

    On notera l'absence de l'article en gascon et sur la carte de Cassini (en revanche, on attribue à Bernard de Girard le titre de « Seigneur du Haillan »). En fait, l'article défini n'a pas de légitimité devant les toponymes en -an. Il a été introduit dans le nom de la commune par mimétisme avec les noms des communes du Pian-Médoc et du Taillan-Médoc, résultant tous deux d'une coupure fautive.

    Héraldique

    « Écartelé : au premier, d'azur au mouton passant d'or, au chef d'or chargé de deux quintefeuilles de gueules ;
    au deuxième, d'argent à sept fuseaux de gueules (3-3-1) ;
    au troisième, d'or à un alérion de sable, à la tête de gueules ;
    au quatrième, d'azur à un lion d'argent couronné d'or accosté de deux vergettes d'or, soutenant celle de sénestre.
    »
    Le blason a été emprunté aux armoiries de la famille De Girard, ancienne propriétaire du château Bel-Air du Haillan.

    Politique et administration

    Liste des maires

    Liste des maires successifs[25]
    Période Identité Étiquette Qualité
    1867 1878 Géraud Marly    
    1878 1879 Alphonse Bouet    
    1879 1908 Jean Gardère    
    1908 1925 Jacques Laloubeyre    
    1925 1941 Baudry Baudrous    
    1942 1947 Edmond Labatut    
    1947 1953 Léopold Boireau    
    1953 1957 Henri Bos    
    1957 1965 Alcide Vergne    
    1965 1983 Abel Laporte    
    1983 1988 Pierre Prioleau PS Professeur d'histoire et de géographie
    1988 2002 Georges Ricart PS Professeur d'Éducation Physique et Sportive
    2002 2014 Bernard Labiste PS Cadre France Télécom
    2014
    (réélue en 2020)
    En cours Andréa Kiss[26] PS puis Génération.s[27] Professeure d'économie-gestion
    Vice-présidente de Bordeaux Métropole (depuis 2020)
    Les données manquantes sont à compléter.


    Politique de développement durable

    La commune a engagé une politique de développement durable en lançant une démarche d'Agenda 21[28]. Cette politique s'opère par plusieurs actions : un plan de gestion différencié pour les espaces verts de la commune et les espaces naturels, une réduction de l’utilisation d’engrais, de désherbants et de pesticides sur la commune, une réduction de la pollution des cours d’eau, la plantation d’arbres pour compenser les aménagements réalisés sur la commune, l’information et l’éducation à l’environnement. [29]

    En 2008, elle prépare sa candidature au réseau des villes Cittaslow.

    Politique environnementale

    Dans son palmarès 2020, le Conseil national de villes et villages fleuris a attribué deux fleurs à la commune[30]. La ville est classée "2 fleurs" depuis 2016 grâce :

    • au patrimoine paysager et végétal (arbres, arbustes, fleurs, couvres sols...).
    • aux actions de Développement Durable (respect de l’environnement, propreté, valorisation du bâti...).
    • à l’animation et à la valorisation (actions pédagogiques, sensibilisation et participation des habitants, promotion...).

    La commune souhaite concilier fleurissement, synonyme d’embellissement, et lien social. [31]

    Démographie

    L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1872. À partir de 2006, les populations légales des communes sont publiées annuellement par l'Insee. Le recensement repose désormais sur une collecte d'information annuelle, concernant successivement tous les territoires communaux au cours d'une période de cinq ans. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[32]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2007[33].

    En 2018, la commune comptait 11 342 habitants[Note 6], en augmentation de 14,12 % par rapport à 2013 (Gironde : +6,4 %, France hors Mayotte : +1,78 %).

    Évolution de la population  [modifier]
    1872 1876 1881 1886 1891 1896 1901 1906 1911
    1 0069209541 0561 0911 0581 0761 0931 042
    1921 1926 1931 1936 1946 1954 1962 1968 1975
    1 0101 0371 0761 1501 1411 2601 6132 2723 949
    1982 1990 1999 2006 2007 2012 2017 2018 -
    5 5846 9748 1338 3788 4079 63211 01811 342-
    De 1962 à 1999 : population sans doubles comptes ; pour les dates suivantes : population municipale.
    (Sources : Ldh/EHESS/Cassini jusqu'en 1999[22] puis Insee à partir de 2006[34].)
    Histogramme de l'évolution démographique
    Évolution du rang de la commune
    selon la population municipale des années : 1968[35] 1975[35] 1982[35] 1990[35] 1999[35] 2006[36] 2009[37] 2013[38]
    Rang de la commune dans le département 51 34 29 24 24 26 27 25
    Nombre de communes du département 548 543 543 542 542 542 542 542

    Lieux, monuments et principales industries

    Cette commune abrite notamment le château Bel Air, centre d'entraînement et de formation du FC Girondins de Bordeaux ainsi que plusieurs lieux emblématiques de la ville :

    • le rond point de la Porte Océane
    • la place de l'église
    • Notre-Dame-de-la-Merci
    • Bâtiises du vieux bourg
    • Manoir de la Houdine
    • Place François Mitterrand



    Économie

    La commune du Haillan est au coeur d'un tissu économique important et accueille sur son territoire de nombreuses entreprises.

    ArianeGroup y exploite un site important destiné à la propulsion à ergols solides des lanceurs spatiaux créé en 1963 (anciennement Société d’Étude de la Propulsion par Réaction, Société Européenne de Propulsion, Snecma Propulsion Solide puis Herakles).

    Safran Ceramics, filiale du Groupe Safran, y développe des matériaux composites avancés en céramiques (CMC). [39]

    De 1974 à 2017, Thales Avionics (anciennement Sextant Avionique-Thomson-CSF) est également implanté sur la commune. La commune abrite le siège social d'entreprises comme Kuka[40], CGI[41], Exalab[42].

    Patrimoine environnemental

    Le Haillan possède quelques bois, comme le bois du Déhès (5 ha), le bois de Menespey (1,25 ha) et le bois de Sainte-Christine. Deux parcs s'ajoutent à ces espaces verts : le parc du château Bel-Air de 5 ha, privé mais ouvert au public, et le parc de la Luzerne de 2,5 ha, avec une des plus grandes structures de jeux d’un seul tenant de la Métropole.

    Un troisième parc a été aménagé : le parc du Ruisseau, au cœur du vieux bourg le long du cours d'eau. Le Haillan dispose également de terres agricoles cultivées et de pâturages. La ville compte encore 4 agriculteurs, dont une AMAP.

    Au nord de la commune s'étend une vaste étendue, la zone des sources, qui fait office de réserve d'eau potable pour Bordeaux Métropole. Traversée par la Jalle de Blanquefort et contiguë au bois Menespey, l'étendue protégée abrite plusieurs espèces animales — dont une colonie de cistudes — et végétales dans une composition de bois, de marais, de prairies et de buissons. Elle abrite également des ouvrages tels le Refuge périurbain, le Moulin du Moulinat et des randonnées comme la Boucle Verte.

    Aujourd'hui enclos dans les sites des industries aéronautiques et spatiales, les restes de l'arboretum de Toussaint-Yves Catros s'étendent au sud-ouest de la commune. Sur une propriété d'une centaine d'hectares acquise à la fin du XVIIIe siècle, ce jardinier, pépiniériste et botaniste étudiait l'acclimatation d'arbres exotiques, provenant surtout d'Amérique du Nord. Vers 1910, l'arboretum était encore tenu pour des trois plus grands de France avant qu'une série de dégradations au milieu du XXe siècle n'en réduisent considérablement l'intérêt.

    Vie locale

    Sports

    Le stade Abel Laporte.
    Coupe du monde de pelote basque en 2013.

    De nombreuses associations sportives sont présentes au sein de la ville du Haillan. La plus importante est l'Association Sportive du Haillan (ASH) qui regroupe diverses sections[43].

    C'est au Haillan que se situe le château Bel Air, le siège et le centre de formation du Football Club des Girondins de Bordeaux.

    Culture

    Équipée d'une salle de spectacle de 460 places, l'Entrepôt, à la programmation variée, la ville propose de nombreuses autres manifestations culturelles notamment des concerts dans de plus petits lieux ou des conférences et lectures dans sa médiathèque de 600 m2.

    Riche d'une vie associative foisonnante, la ville compte plus de 5 000 licenciés dans des domaines divers. En plus du sport, la culture prend une part importante : jumelages, musique, danse, arts plastiques, théâtre.

    Chaque année est ponctuée de rendez-vous réguliers. Au mois de septembre a lieu un événement culturel majeur, « Le Haillan est dans la Place », qui propose des concerts, des spectacles déambulatoires, un feu d'artifice. Le mois de février s'anime d'un festival de jazz, Accords à Corps, organisé par l'association Tempo Jazz. Le Haillan Chanté, la Fête du Jeu, Les Cogitations, Animasia Le Haillan font également partie des nombreuses animations de la ville.

    Jumelages

    La commune du Haillan est jumelée avec les communes suivantes[44] :

    Personnalités liées à la commune

    Georges Ricart, maire socialiste de la commune de 1988 à 2000, né le , fut auparavant entraîneur national d'athlétisme en Côte d'Ivoire de 1955 à 1968. Il est décédé le à l'âge de 80 ans.

    Mais l'un des maires les plus emblématiques de la commune fut sûrement Abel Laporte (maire entre 1965 et 1983), qui a su donner un grand essor à la commune par la construction des principaux équipements publics existants aujourd'hui. Le stade municipal porte actuellement son nom et une stèle lui est dédiée.

    Transports en commun

    24 janvier 2015, inauguration du prolongement de la ligne A de tramway jusqu'au Haillan.
    La station Le Haillan Rostand et son parking.

    Réseau TBM

    Le réseau Transports Bordeaux Métropole (TBM) dessert la commune à travers la ligne A du tramway de Bordeaux et la ligne D du tramway de Bordeaux[45] qui dessert l'extrême sud-est et nord-est, mais aussi et surtout à travers les lignes de bus 3, 11, 30, 71, 84, 38 et Flexo 48.

    Une nouvelle ligne est en cours d'aménagement et va être mise en service en 2024, le Bus à Haut Niveau de service. Cette ligne va relier le Médoc à l'agglomération bordelaise. [46]

    Réseau Trans Gironde

    Les lignes 701 et 702 relient Bordeaux à Sainte-Hélène, Le Porge et Lacanau en traversant la commune.

    Voir aussi

    Bibliographie

    Val Tillet, Saint-Médard-en-Jalles et son canton : tomes I et II, Éditions Alan Sutton, 2006-2010

    Articles connexes

    Liens externes

    Notes et références

    Notes et cartes

    • Notes
    1. L'amplitude thermique annuelle mesure la différence entre la température moyenne de juillet et celle de janvier. Cette variable est généralement reconnue comme critère de discrimination entre climats océaniques et continentaux.
    2. Une précipitation, en météorologie, est un ensemble organisé de particules d'eau liquide ou solide tombant en chute libre au sein de l'atmosphère. La quantité de précipitation atteignant une portion de surface terrestre donnée en un intervalle de temps donné est évaluée par la hauteur de précipitation, que mesurent les pluviomètres[5].
    3. La distance est calculée à vol d'oiseau entre la station météorologique proprement dite et le chef-lieu de commune.
    4. Selon le zonage des communes rurales et urbaines publié en novembre 2020, en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le en comité interministériel des ruralités.
    5. La notion d'aire d'attraction des villes a remplacé en celle d'aire urbaine, pour permettre des comparaisons cohérentes avec les autres pays de l'Union européenne.
    6. Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2021, millésimée 2018, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2020, date de référence statistique : 1er janvier 2018.
    • Cartes
    1. IGN, « Évolution de l'occupation des sols de la commune sur cartes et photos aériennes anciennes. », sur remonterletemps.ign.fr (consulté le ). Pour comparer l'évolution entre deux dates, cliquer sur le bas de la ligne séparative verticale et la déplacer à droite ou à gauche. Pour comparer deux autres cartes, choisir les cartes dans les fenêtres en haut à gauche de l'écran.

    Références

    1. Le Haillan en quelques chiffres sur le site officiel de la commune, Connaître le Haillan, consulté le 19 décembre 2011.
    2. Daniel Joly, Thierry Brossard, Hervé Cardot, Jean Cavailhes, Mohamed Hilal et Pierre Wavresky, « Les types de climats en France, une construction spatiale », Cybergéo, revue européenne de géographie - European Journal of Geography, no 501, (DOI https://doi.org/10.4000/cybergeo.23155, lire en ligne, consulté le )
    3. « Le climat en France métropolitaine », sur http://www.meteofrance.fr/, (consulté le )
    4. « Définition d’une normale climatologique », sur http://www.meteofrance.fr/ (consulté le )
    5. Glossaire – Précipitation, Météo-France
    6. « Le climat de la France au XXIe siècle - Volume 4 - Scénarios régionalisés : édition 2014 pour la métropole et les régions d’outre-mer », sur https://www.ecologie.gouv.fr/ (consulté le ).
    7. [PDF]« Observatoire régional sur l'agriculture et le changement climatique (oracle) Nouvelle-Aquitaine », sur nouvelle-aquitaine.chambres-agriculture.fr, (consulté le )
    8. « Station météofrance Bordeaux-Mérignac - métadonnées », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le )
    9. « Orthodromie entre Le Haillan et Mérignac », sur fr.distance.to (consulté le ).
    10. « Station météorologique de Bordeaux-Mérignac - Normales pour la période 1971-2000 », sur https://www.infoclimat.fr/ (consulté le )
    11. « Station météorologique de Bordeaux-Mérignac - Normales pour la période 1981-2010 », sur https://www.infoclimat.fr/ (consulté le )
    12. « Station météorologique de Bordeaux-Mérignac - Normales pour la période 1991-2020 », sur https://www.infoclimat.fr/ (consulté le )
    13. « Typologie urbain / rural », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
    14. « Commune urbaine - définition », sur le site de l’Insee (consulté le ).
    15. « Comprendre la grille de densité », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
    16. « Unité urbaine 2020 de Bordeaux », sur https://www.insee.fr/ (consulté le ).
    17. « Base des unités urbaines 2020 », sur www.insee.fr, (consulté le ).
    18. Vianney Costemalle, « Toujours plus d’habitants dans les unités urbaines », sur le site de l'Institut national de la statistique et des études économiques, (consulté le ).
    19. « Base des aires d'attraction des villes 2020. », sur le site de l'Institut national de la statistique et des études économiques, (consulté le ).
    20. Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier Pégaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans l’aire d’attraction d’une ville », sur le site de l'Institut national de la statistique et des études économiques, (consulté le ).
    21. « CORINE Land Cover (CLC) - Répartition des superficies en 15 postes d'occupation des sols (métropole). », sur le site des données et études statistiques du ministère de la Transition écologique. (consulté le )
    22. Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes études en sciences sociales.
    23. Bénédicte Boyrie-Fénié, Institut occitan, Dictionnaire toponymique des communes de Gironde, Pau, Éditions Cairn, , 402 p. (ISBN 978-2-35068-012-5)..
    24. Albert Dauzat et Charles Rostaing, Dictionnaire étymologique des noms de lieux en France, Paris, Librairie Guénégaud, (1re éd. 1963), 738 p. (ISBN 2-85023-076-6)..
    25. Le Haillan d'hier à demain, Mairie du Haillan, septembre 2017, (ISBN 9782956094203).
    26. Andréa Kiss quitte le PS
    27. FICHE | Agenda 21 de Territoires - Le Haillan, consultée le 28 octobre 2017
    28. « Mairie du Haillan - Autres actions transversales de l'Agenda 21 », sur www.ville-lehaillan.fr (consulté le )
    29. Site des villes et villages fleuris, consulté le 29 janvier 2021.
    30. « Mairie du Haillan - Ville fleurie », sur www.ville-lehaillan.fr (consulté le )
    31. L'organisation du recensement, sur insee.fr.
    32. Calendrier départemental des recensements, sur insee.fr.
    33. Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017 et 2018.
    34. INSEE, « Population selon le sexe et l'âge quinquennal de 1968 à 2012 (1990 à 2012 pour les DOM) », sur insee.fr, (consulté le ).
    35. INSEE, « Populations légales 2006 des départements et des collectivités d'outre-mer », sur insee.fr, (consulté le ).
    36. INSEE, « Populations légales 2009 des départements et des collectivités d'outre-mer », sur insee.fr, (consulté le ).
    37. INSEE, « Populations légales 2013 des départements et des collectivités d'outre-mer », sur insee.fr, (consulté le ).
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