Lannédern

Lannédern [lanedɛʁn] est une commune du département du Finistère, dans la région Bretagne, en France. Elle est située au sud des monts d'Arrée, du Yeun Elez et du lac réservoir de Saint-Michel.

Lannédern

Le site de Lannédern depuis l'église : à l'arrière-plan les monts d'Arrée et le mont Saint-Michel-de-Brasparts.
Administration
Pays France
Région Bretagne
Département Finistère
Arrondissement Châteaulin
Intercommunalité Communauté de communes Pleyben-Châteaulin-Porzay
Maire
Mandat
Pauline Caro
2020-2026
Code postal 29190
Code commune 29115
Démographie
Gentilé Lannédernéens
Population
municipale
292 hab. (2018 )
Densité 23 hab./km2
Population
agglomération
6 685 hab.
Géographie
Coordonnées 48° 18′ nord, 3° 54′ ouest
Altitude Min. 80 m
Max. 201 m
Superficie 12,43 km2
Type Commune rurale
Aire d'attraction Pleyben - Châteaulin
(commune de la couronne)
Élections
Départementales Canton de Briec
Législatives Sixième circonscription
Localisation
Géolocalisation sur la carte : Bretagne
Lannédern
Géolocalisation sur la carte : Finistère
Lannédern
Géolocalisation sur la carte : France
Lannédern
Géolocalisation sur la carte : France
Lannédern
Liens
Site web www.lannedern.bzh

    Géographie

    Description

    Lannédern est un bourg situé vers 154 mètres d'altitude étiré le long de la route départementale 14 orientée du nord-est au sud-ouest allant du Huelgoat à Pont-Keryau, situé dans la commune de Pleyben. Le bourg s'est développé sur un replat formant un belvédère dominant les paysages vallonnés de la partie orientale de Brasparts et de la partie occidentale de Loqueffret, avec des vallons encaissés (la Douffine et ses affluents) et des éminences verdoyantes comme le Bois de Bodriec et le Roc'h Glaz situés dans la commune de Loqueffret. Au loin, au nord-ouest, le dôme du mont Saint-Michel de Brasparts domine l'horizon, par delà le marais du Yeun Elez.

    La commune est limitée au nord par un affluent de rive gauche de la Douffine coulant dans une vallée relativement encaissée qui sépare la commune de ses voisines nordiques Brasparts et Loqueffret : c'est là au nord-ouest du territoire communal que se rencontrent les altitudes les plus basses de la commune: 84 mètres près de Kerivarc'h, hameau situé en Brasparts mais limitrophe de Lannédern, 83 mètres dans la vallée du Ster Roudou, à la confluence avec un ruisseau de rive gauche qui sert de limite avec la commune de Pleyben. Les altitudes les plus élevées se rencontrent à proximité du bourg, à son sud-est (200 mètres au sud de Roc'h Ven, 195 mètres à la chapelle de Coat ar Roc'h), ce qui explique que le bourg de Lannédern est exposé sur une pente regardant vers le nord, tournant le dos au sud. Des altitudes assez élevées se rencontrent également à proximité de la limite orientale de la commune (176 mètres à Kerharnel) avec la partie sud de Loqueffret et méridionale (167 mètres à Pennanéac'h) avec la commune voisine de Le Cloître-Pleyben.

    La commune est peu boisée, mais présente un paysage de bocage verdoyant. Outre un bourg de taille modeste, la population est répartie en une vingtaine de hameaux, les plus importants étant ceux de Treuscoat, Quivit, Coulin, Mescoz, Guernaléon, Penhuil, Doar Guennou, Pennanéac'h.

    Lannédern est proche du parc naturel régional d'Armorique, mais n'en fait pas partie.

    Géologie

    Des gisements de jaspe existent dans d'anciennes carrières situées entre Lannédern et la chapelle Coat ar Roc'h ; ces jaspes à magnétite[1] de couleurs variées (noirs, bruns, rouges ou blancs) sont liés au volcanisme spilitique d'âge dinantien[2].

    Climat

    Le climat qui caractérise la commune est qualifié, en 2010, de « climat océanique franc », selon la typologie des climats de la France qui compte alors huit grands types de climats en métropole[3]. En 2020, la commune ressort du type « climat océanique » dans la classification établie par Météo-France, qui ne compte désormais, en première approche, que cinq grands types de climats en métropole. Ce type de climat se traduit par des températures douces et une pluviométrie relativement abondante (en liaison avec les perturbations venant de l'Atlantique), répartie tout au long de l'année avec un léger maximum d'octobre à février[4].

    Les paramètres climatiques qui ont permis d’établir la typologie de 2010 comportent six variables pour les températures et huit pour les précipitations, dont les valeurs correspondent aux données mensuelles sur la normale 1971-2000[5]. Les sept principales variables caractérisant la commune sont présentées dans l'encadré ci-après.

    Paramètres climatiques communaux sur la période 1971-2000[3]
    • Moyenne annuelle de température : 10,8 °C
    • Nombre de jours avec une température inférieure à −5 °C : 1,3 j
    • Nombre de jours avec une température supérieure à 30 °C : 1,5 j
    • Amplitude thermique annuelle[Note 1] : 11,6 °C
    • Cumuls annuels de précipitation[Note 2] : 1 281 mm
    • Nombre de jours de précipitation en janvier : 16,3 j
    • Nombre de jours de précipitation en juillet : 9,5 j

    Avec le changement climatique, ces variables ont évolué. Une étude réalisée en 2014 par la Direction générale de l'Énergie et du Climat[7] complétée par des études régionales[8] prévoit en effet que la température moyenne devrait croître et la pluviométrie moyenne baisser, avec toutefois de fortes variations régionales. Ces changements peuvent être constatés sur la station météorologique de Météo-France la plus proche, « Brennilis », sur la commune de Brennilis, mise en service en 1977[9] et qui se trouve à km à vol d'oiseau[10],[Note 3], où la température moyenne annuelle est de 10,6 °C et la hauteur de précipitations de 1 508,2 mm pour la période 1981-2010[11]. Sur la station météorologique historique la plus proche, « Landivisiau », sur la commune de Saint-Servais, mise en service en 1966 et à 30 km[12], la température moyenne annuelle évolue de 11 °C pour la période 1971-2000[13], à 11,2 °C pour 1981-2010[14], puis à 11,5 °C pour 1991-2020[15].

    Urbanisme

    Typologie

    Lannédern est une commune rurale, car elle fait partie des communes peu ou très peu denses, au sens de la grille communale de densité de l'Insee[Note 4],[16],[17],[18].

    Par ailleurs la commune fait partie de l'aire d'attraction de Pleyben - Châteaulin, dont elle est une commune de la couronne[Note 5]. Cette aire, qui regroupe dix-huit communes, est catégorisée dans les aires de moins de 50 000 habitants[19],[20].

    Occupation des sols

    Carte des infrastructures et de l'occupation des sols de la commune en 2018 (CLC).

    L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des territoires agricoles (97,1 % en 2018), une proportion identique à celle de 1990 (96,9 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : terres arables (56,3 %), zones agricoles hétérogènes (38 %), prairies (2,8 %), zones urbanisées (2 %), forêts (0,9 %)[21]. CORINE Land Cover L'IGN met par ailleurs à disposition un outil en ligne permettant de comparer l’évolution dans le temps de l’occupation des sols de la commune (ou de territoires à des échelles différentes). Plusieurs époques sont accessibles sous forme de cartes ou photos aériennes : la carte de Cassini (XVIIIe siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[22].

    Toponymie

    Le nom de la localité est attesté sous les formes Lanedern vers 1330, Lannedern en 1368.

    Le nom de Lannédern provient du breton « lan » (ermitage) et de saint Edern[23], né au Pays de Galles ou en Irlande.

    Histoire

    L'histoire de Lannédern est peu connue. Il n'y a pratiquement aucun vestige des temps préhistoriques et antiques si ce n'est quelques tumuli non datés.

    Origines

    Saint Edern sur son cerf (calvaire de l'enclos paroissial).

    Edern né au Pays de Galles ou en Irlande, est l'un des saints venus de ce pays, probablement en 894 près de Douarnenez, à Le Juch, dans un premier temps, puis à Edern, ensuite à Plouédern, avant de s'établir à Lannédern[24] pour évangéliser la Bretagne[25] à la fin du IXe siècle. Lannédern dépendait initialement de la paroisse de l'Armorique primitive de Pleyben et son existence est connue depuis 1330 (Lanedern)[26].

    Moyen Âge

    Selon un document de 1498, une école existait alors à Lannédern[27].

    L'enclos paroissial témoigne que la paroisse a connu une certaine richesse aux XVIe et XVIIe siècles, due probablement surtout à la famille noble des Lezormel dont le blason est représenté plusieurs fois dans l'église.

    Époque moderne

    La commune est connue pour des faits liés à la Révolte des Bonnets rouges en 1675.

    Le XIXe siècle

    La Première Guerre mondiale

    Le monument aux morts de Lannédern porte les noms de trnte-cinq soldats morts pour la France pendant la Première Guerre mondiale. Parmi eux, trois (Jean Le Bras, Yves Morvannou, Jean Salaün) sont morts à Rossignol (Belgique) en 1914 lors de la Course à la mer ; la plupart des autres sont décédés sur le sol français[28].

    La Seconde Guerre mondiale

    Le monument aux morts de Lannédern porte les noms de huit personnes mortes pour la France pendant la Seconde Guerre mondiale.

    Démographie

    Évolution de la population  [modifier]
    1793 1800 1806 1821 1831 1836 1841 1846 1851
    527621482606631623577663666
    1856 1861 1866 1872 1876 1881 1886 1891 1896
    669671616634678720766751758
    1901 1906 1911 1921 1926 1931 1936 1946 1954
    863831818775766713667612566
    1962 1968 1975 1982 1990 1999 2006 2011 2016
    531477409361309272295316295
    2018 - - - - - - - -
    292--------
    De 1962 à 1999 : population sans doubles comptes ; pour les dates suivantes : population municipale.
    (Sources : Ldh/EHESS/Cassini jusqu'en 1999[29] puis Insee à partir de 2006[30].)
    Histogramme de l'évolution démographique

    Après une première baisse temporaire de population au tout début du XIXe siècle, Lannédern a connu une population relativement stable, avec d'assez faibles dents de scie dans l'évolution démographique tout au long du XIXe siècle (un minimum relatif est atteint en 1841 avec 577 habitants, un maximum relatif en 1886 avec 766 habitants), atteignant son maximum absolu en 1901 avec 863 habitants. Par delà ces modestes dents de scie, une augmentation globale de +381 habitants (+79 %) en 95 ans de 1806 à 1901 peut quand même être constatée tout au long du XIXe siècle. Le changement de siècle coïncide avec le retournement démographique : la population baisse constamment d'un recensement à l'autre tout au long du XXe siècle, passant de 863 habitants en 1901 à 272 en 1999 (perte de 591 habitants en 98 ans, soit -68,4 %, une perte de plus des deux-tiers des habitants en à peine un siècle). Les premières années du XXIe siècle semblent toutefois amorcer un timide retournement démographique puisque la commune a gagné vingt-trois habitants en sept ans entre 1999 et 2006, grâce à un solde migratoire redevenu positif (+1,5 % l'an en moyenne entre 1999 et 2006) alors qu'il a été constamment négatif tout au long du XXe siècle. L'accroissement naturel reste toutefois négatif (vingt-huit naissances en dix ans de 1998 et 2007 pour trente-deux décès)[31] en raison du vieillissement de la population (26,4 % de 65 ans et plus en 2006 contre 17,3 % de 0 à 14 ans).

    La densité de population n'est plus que de 23,7 habitants au km2 alors qu'elle atteignait 69,4 habitants au km2 en 1901.

    Politique et administration

    La mairie-poste.
    Liste des maires successifs
    Période Identité Étiquette Qualité
    2001 2008 Jean Pirche RPR Conseiller général du canton de Pleyben (1985-2004)
    2008 2020 Georges Pouliquen DVD Retraité
    2020 En cours Pauline Caro SE Dirigeante d'entreprise

    Monuments

    L'église Saint-Edern.
    Le calvaire de l'enclos paroissial.
    Détail de l'ossuaire (têtes de morts).
    La chapelle de Coat ar Roc'h (lieu de l'ermitage de saint Edern).
    • L'église Saint-Edern (XVIe – XVIIe siècles) avec sa nef à bas-côtés avec quatre travées. Le porche sud porte la date de 1662. Un triptyque polychrome du XVIe siècle présente six scènes typiques de la vie de saint Edern[25]. L'église possède de nombreuses statues anciennes, un retable, une belle chaire à prêcher, des vitraux, un trésor avec une croix processionnelle[32] en argent et un reliquaire contenant les reliques de saint Edern. Une sablière montre les corps nus des pécheurs qui entrent en souriant et en s'agitent dans les bouches béantes de l'enfer car ils n'ont pas pris la mesure de leurs fautes[33].

    « Le tombeau de saint Edern se trouvait autrefois au milieu de la nef (de l'église de Lannédern). Mais comme l'espace était trop étroit pour les fidèles, vers 1860 il a été relégué au bas du collatéral nord, où il est un peu perdu dans l’obscurité. Ce monument est constitué par une table portée sur une arcature à redents qui semble du XIVe siècle, et sur cette table est la statue couchée du saint, vêtu de la robe et de l'aumusse, les mains jointes et les pieds posés sur le cerf qui est sa caractéristique ordinaire »[34]. Le saint serre sous le coude gauche le livre de prières avec ses fermoirs et que le cerf selon dom Plaine semble être venu près du tombeau de son maître y expirer « pour témoigner l’attachement inviolable qu’il avait voué à son sauveur »[25].

    Dans le trésor de l'église Saint-Edern de Lannedern (29) se trouve une croix de procession en argent du XVIIe siècle avec inscription et poinçon surmonté d'un oiseau de François Lapoul, orfèvre à Morlaix, des représentations de la Vierge Marie et de saint Jean sur les consoles en volute et un nœud à deux étages de niches contenant les Apôtres. L'inscription sur la croix : « FET.CE.IOUR.19.AVRIL.1620 » et poinçon F.L. Saint Jacques, auréolé, a la tête couverte d’un capuchon. En robe et manteau, la besace au côté, il tient un livre dans la main droite et un gigantesque bourdon dans la gauche[35].

    • Un ossuaire daté de 1660 est situé à proximité de l'église. Une des statues extérieures représente l'Ankou. La mort est représentée sous forme de crâne et tibias entrelacés, avec l'inscription Cogita Mori - Respice finem (« Rappelle-toi que tu es mortel - Songe à ta fin dernière »). Une autre statue représente Saint Edern, pieds nus reposant sur le cerf de sa légende, animal qu'il aurait apprivoisé et qui serait resté son compagnon jusqu'à sa mort. Une sirène sculptée sur l'ossuaire montre une poitrine très généreuse exposée au regard des hommes[33].
    • La chapelle Notre-Dame de Coat ar Roc'h date du XVIe siècle. Elle a été édifiée à l'emplacement de l'ermitage de saint Edern[26]. C'est désormais une propriété privée.
    • La chapelle Sainte-Anne est en fait un ancien ossuaire datant de 1668, situé dans l'enclos paroissial.
    • Croix du XVIe siècle.
    • Calvaire dans l'enclos paroissial.
    • Le calvaire (1625) situé au nord du hameau de Birilit est de Roland Doré.

    Légendes

    • La légende du cerf de Saint Edern[36].

    Notes et références

    Notes

    1. L'amplitude thermique annuelle mesure la différence entre la température moyenne de juillet et celle de janvier. Cette variable est généralement reconnue comme critère de discrimination entre climats océaniques et continentaux.
    2. Une précipitation, en météorologie, est un ensemble organisé de particules d'eau liquide ou solide tombant en chute libre au sein de l'atmosphère. La quantité de précipitation atteignant une portion de surface terrestre donnée en un intervalle de temps donné est évaluée par la hauteur de précipitation, que mesurent les pluviomètres[6].
    3. La distance est calculée à vol d'oiseau entre la station météorologique proprement dite et le chef-lieu de commune.
    4. Selon le zonage des communes rurales et urbaines publié en novembre 2020, en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le en comité interministériel des ruralités.
    5. La notion d'aire d'attraction des villes a remplacé en celle d'aire urbaine, pour permettre des comparaisons cohérentes avec les autres pays de l'Union européenne.

    Références

    1. Ces jaspes sont issus d'une transformation très poussée vers la forme "pierre" d'une vase de grand fond, dans laquelle est mélangée à la silice une certaine proportion de matière organique.
    2. (en) « Coat ar Roc'h area, Lannédern, Finistère, Brittany, France », sur Mindat.org, (consulté le ).
    3. Daniel Joly, Thierry Brossard, Hervé Cardot, Jean Cavailhes, Mohamed Hilal et Pierre Wavresky, « Les types de climats en France, une construction spatiale », Cybergéo, revue européenne de géographie - European Journal of Geography, no 501, (DOI https://doi.org/10.4000/cybergeo.23155, lire en ligne, consulté le ).
    4. « Le climat en France métropolitaine », sur Météo-France, (consulté le ).
    5. « Définition d’une normale climatologique », sur Météo-France (consulté le ).
    6. Glossaire – Précipitation, Météo-France
    7. « Le climat de la France au XXIe siècle - Volume 4 - Scénarios régionalisés : édition 2014 pour la métropole et les régions d’outre-mer », sur www.ecologie.gouv.fr (consulté le ).
    8. « Observatoire régional sur l'agriculture et le changement climatique » [PDF], sur www.chambres-agriculture-bretagne.fr, (consulté le ).
    9. « Station Météo-France Brennilis - métadonnées », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le ).
    10. « Orthodromie entre Lannédern et Brennilis », sur fr.distance.to (consulté le ).
    11. « Station Météo-France Brennilis - fiche climatologique - statistiques 1981-2010 et records » [PDF], sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le ).
    12. « Orthodromie entre Lannédern et Saint-Servais », sur fr.distance.to (consulté le ).
    13. « Station météorologique de Landivisiau - Normales pour la période 1971-2000 », sur www.infoclimat.fr (consulté le ).
    14. « Station météorologique de Landivisiau - Normales pour la période 1981-2010 », sur www.infoclimat.fr (consulté le ).
    15. « Station météorologique de Landivisiau - Normales pour la période 1991-2020 », sur www.infoclimat.fr (consulté le ).
    16. « Typologie urbain / rural », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
    17. « Commune rurale - définition », sur le site de l’Insee (consulté le ).
    18. « Comprendre la grille de densité », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
    19. « Base des aires d'attraction des villes 2020. », sur le site de l'Insee, (consulté le ).
    20. Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier Pégaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans l’aire d’attraction d’une ville », sur le site de l'Insee, (consulté le ).
    21. « Répartition des superficies en 15 postes d'occupation des sols (métropole) », sur données et études statistiques du ministère de la Transition écologique (consulté le ).
    22. IGN, « Évolution de l'occupation des sols de la commune sur cartes et photos aériennes anciennes. », sur remonterletemps.ign.fr (consulté le ). Pour comparer l'évolution entre deux dates, cliquer sur le bas de la ligne séparative verticale et la déplacer à droite ou à gauche. Pour comparer deux autres cartes, choisir les cartes dans les fenêtres en haut à gauche de l'écran.
    23. http://www.grandterrier.net/wiki/index.php?title=Sant_Edern
    24. Jacques Baudouin, "Grand livre des saints: culte et iconographie en Occident", Nonette, 2006 [ (ISBN 978-2-84819-041-9)]
    25. « http://catholique-quimper.cef.fr/decouvrez_notre_patrimoine/les-pardons/bol-d-air-breton/copy_of_saint-edern/ »(ArchiveWikiwixArchive.isGoogle • Que faire ?).
    26. Lannedern.
    27. Jean Rohou, Fils de ploucs, tome 2, 2007, éditions Ouest-France, (ISBN 978-27373-3908-0).
    28. Memorialgenweb.org - Lannédern : monument aux morts.
    29. Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes études en sciences sociales.
    30. Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017 et 2018.
    31. Données Insee.
    32. Fiche, Culture.gouv.fr.
    33. Sophie Duhem, Impudeurs et effronteries dans l'art religieux breton (XVe siècle - XVIIIe siècle), éditions Le Télégramme, 2012, (ISBN 978-2-84833-288-8).
    34. Peyron, Abgrall, « Bulletin diocésain d’histoire et d’archéologie », op. cit. mars-avril, 1919, p. 51.
    35. « http://www.saint-jacques-compostelle-bretagne.fr/iconographie/icono-plancheE1-E6.pdf »(ArchiveWikiwixArchive.isGoogle • Que faire ?) [PDF].
    36. Claude Gaignebet, A plus hault sens, tome II, Maisonneuve et Larose, 1986, (ISBN 2-7068-0925-6).

    Liens externes

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