Landivy

Landivy est une commune française, située dans le département de la Mayenne en région Pays de la Loire, peuplée de 1 151 habitants[Note 1]. Landivy était le chef-lieu du canton jusqu'en 2015.

Landivy

La mairie.

Blason
Administration
Pays France
Région Pays de la Loire
Département Mayenne
Arrondissement Mayenne
Intercommunalité Communauté de communes du Bocage Mayennais
Maire
Mandat
Marcel Ronceray
2020-2026
Code postal 53190
Code commune 53125
Démographie
Gentilé Landivysien
Population
municipale
1 151 hab. (2018 )
Densité 40 hab./km2
Géographie
Coordonnées 48° 28′ 45″ nord, 1° 02′ 00″ ouest
Altitude Min. 92 m
Max. 231 m
Superficie 28,54 km2
Type Commune rurale
Aire d'attraction Commune hors attraction des villes
Élections
Départementales Canton de Gorron
Législatives Troisième circonscription
Localisation
Géolocalisation sur la carte : Pays de la Loire
Landivy
Géolocalisation sur la carte : Mayenne
Landivy
Géolocalisation sur la carte : France
Landivy
Géolocalisation sur la carte : France
Landivy
Liens
Site web www.landivy.fr

    La commune fait partie de la province historique du Maine[1], et se situe dans le Bas-Maine.

    Géographie

    Localisation

    La commune de Landivy est située dans le département de la Mayenne, à l'angle des départements de la Mayenne (Bas-Maine), de la Manche et d'Ille-et-Vilaine et donc aux confins des régions Pays de la Loire, Basse-Normandie et Bretagne. Son bourg est à 7,5 km à l'est de Louvigné-du-Désert, à 13 km au sud de Saint-Hilaire-du-Harcouët, à 21 km au nord-ouest de Gorron, à 21 km au nord-est de Fougères et à 23 km au nord d'Ernée[2].

    Landivy est situé sur la RD 31 qui la relie à Saint-Hilaire-du-Harcouët (Manche) au nord et à Ernée et Laval au sud. La commune est desservie par la ligne 116 du réseau régional Aléop[3].

    Environnement

    Landivy est situé sur les Marches de Bretagne, zone de bocage au nord-ouest du département mayennais. Le sous-sol est composé de roches résistantes comme le granite et de plusieurs autres roches plus tendres, engendrant un paysage vallonné avec de petits cours d’eau mais peu de mares. Sa surface boisée est faible et, à part la forêt de Mayenne, il n’y a que des petits bois. Par contre, le nombre de châtaigniers est élevé mais a diminué à cause des cultures. Cette zone fait essentiellement de l’élevage bovin et porcin donc la surface des prairies est très importante. Les paysages sont très verts, on est à 40 km du mont Saint-Michel donc la campagne de Landivy bénéficie du climat océanique. Les précipitations sont souvent supérieures à 900 mm/an, la température moyenne est fraîche, autour de 10,5 °C. Le ciel est souvent nuageux[5],[6].

    Les Marches de Bretagne possèdent une belle biodiversité, avec plusieurs espèces d’animaux comme, le chevreuil, le sanglier, l’hermine, la belette, la fouine, le blaireau, le renard[7]

    Il y a énormément de rongeurs comme les rats, les lapins, les campagnols, les écureuils , les musaraignes[8].

    Hydrographie

    Le territoire communal est traversé par l'Airon et la Cambre.

    Climat

    Le climat qui caractérise la commune est qualifié, en 2010, de « climat océanique franc », selon la typologie des climats de la France qui compte alors huit grands types de climats en métropole[9]. En 2020, la commune ressort du type « climat océanique » dans la classification établie par Météo-France, qui ne compte désormais, en première approche, que cinq grands types de climats en métropole. Ce type de climat se traduit par des températures douces et une pluviométrie relativement abondante (en liaison avec les perturbations venant de l'Atlantique), répartie tout au long de l'année avec un léger maximum d'octobre à février[10].

    Les paramètres climatiques qui ont permis d’établir la typologie de 2010 comportent six variables pour les températures et huit pour les précipitations, dont les valeurs correspondent aux données mensuelles sur la normale 1971-2000[11]. Les sept principales variables caractérisant la commune sont présentées dans l'encadré ci-après.

    Paramètres climatiques communaux sur la période 1971-2000[9]

    • Moyenne annuelle de température : 10,6 °C
    • Nombre de jours avec une température inférieure à −5 °C : 2,6 j
    • Nombre de jours avec une température supérieure à 30 °C : 2 j
    • Amplitude thermique annuelle[Note 2] : 13,2 °C
    • Cumuls annuels de précipitation[Note 3] : 992 mm
    • Nombre de jours de précipitation en janvier : 14,4 j
    • Nombre de jours de précipitation en juillet : 8,8 j

    Avec le changement climatique, ces variables ont évolué. Une étude réalisée en 2014 par la Direction générale de l'Énergie et du Climat[13] complétée par des études régionales[14] prévoit en effet que la température moyenne devrait croître et la pluviométrie moyenne baisser, avec toutefois de fortes variations régionales. Ces changements peuvent être constatés sur la station météorologique de Météo-France la plus proche, « Saint-Mars/la-Futa », sur la commune de Saint-Mars-sur-la-Futaie, mise en service en 1954[15] et qui se trouve à km à vol d'oiseau[16],[Note 4], où la température moyenne annuelle est de 10,9 °C et la hauteur de précipitations de 945,4 mm pour la période 1981-2010[17]. Sur la station météorologique historique la plus proche, « Rennes-Saint-Jacques », sur la commune de Saint-Jacques-de-la-Lande, dans le département d'Ille-et-Vilaine, mise en service en 1945 et à 68 km[18], la température moyenne annuelle évolue de 11,7 °C pour la période 1971-2000[19], à 12,1 °C pour 1981-2010[20], puis à 12,4 °C pour 1991-2020[21].

    Urbanisme

    Typologie

    Landivy est une commune rurale, car elle fait partie des communes peu ou très peu denses, au sens de la grille communale de densité de l'Insee[Note 5],[22],[23],[24]. La commune est en outre hors attraction des villes[25],[26].

    Occupation des sols

    Carte des infrastructures et de l'occupation des sols de la commune en 2018 (CLC).

    L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des territoires agricoles (96,1 % en 2018), une proportion sensiblement équivalente à celle de 1990 (96,8 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : zones agricoles hétérogènes (52,1 %), prairies (40 %), terres arables (4 %), zones urbanisées (2,6 %), forêts (1,3 %)[27].

    L'IGN met par ailleurs à disposition un outil en ligne permettant de comparer l’évolution dans le temps de l’occupation des sols de la commune (ou de territoires à des échelles différentes). Plusieurs époques sont accessibles sous forme de cartes ou photos aériennes : la carte de Cassini (XVIIIe siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[28].

    Toponymie

    Le nom de la localité est attesté sous la forme Landevico au XIe siècle[29].

    Il s'agit d'une formation toponymique médiévale basée sur les appellatifs lande et vic, terme d'ancien français désignant un village ou une petite ville.

    Le français lande est issu du gaulois *landa, désignant un espace non cultivé et l'ancien français vic du latin vicus « village »[29].

    Remarque : Ce type toponymique est insolite, le second élément des formations toponymiques environnante en Lande- étant généralement un anthroponyme, par exemple : Landigou (Orne, Landa Ingulfi 1180) ou Landisacq (Orne, Landa Ysaac vers 1350)[29]

    Le gentilé est Landivysien.

    Histoire

    Période gauloise

    Une stèle gauloise a été trouvée à Landivy en 1972 (ferme de la Davoudière), elle est exposée devant la mairie de Landivy. Si des stèles gauloises de différents types existent dans d'autres régions d'Europe, cette stèle présente un aspect que l’on trouve essentiellement dans le nord de la Mayenne : face antérieure plate et forme en ogive. L'existence de ces stèles s’explique par la présence des Diablintes, tribu gauloise[30].

    Ancien Régime.

    À Landivy, les gens n’appréciaient pas du tout la gabelle, impôt indirect sur le sel. Ils le montraient en l’écrivant dans des cahiers de doléances de 1788, juste avant le déclenchement de la Révolution française. Ces cahiers permettaient de déposer des plaintes que le roi recevait ensuite.

    La gabelle obligeait les gens à acheter du sel en quantité chaque année. Dans le Maine, donc à Landivy, le sel valait 59 livres (50 kg), alors qu’en Bretagne il en valait 2 livres. Il était donc assez simple de faire de la contrebande, les contrebandiers traversaient la rivière de l’Airon pour acheter le sel moins cher, pour ensuite le revendre et donc se faire un gros bénéfice.

    Les gens hésitent à faire du commerce à Landivy car les péages sont très coûteux pour le passage des frontières. Landivy a la malchance de se situer aux frontières des provinces de Normandie et de Province de Bretagne.

    « De toutes les paroisses les paroisses du Maine, celle de Landivy est par sa position physique malheureusement nécessitée en être victime, formant une presqu’île entre la Normandie et la Bretagne. La difficulté ou, pour mieux dire, l’impossibilité de transporter aucune denrée au marché voisin sans payer des droits prodigieux, énerve toute industrie, détruit tout commerce[31] »

    Époque contemporaine.

    La ville était desservie par trois lignes de chemin de fer secondaire à voie métrique. Les deux premières lignes, exploitées par les chemins de fer départementaux de la Mayenne (CFDM) reliaient Landivy à Mayenne et Landivy à Laval. La commune de Landivy fut également desservie par la ligne des Chemins de fer de la Manche (CFM) reliant Landivy à Saint-Hilaire-du-Harcouët.

    En 1902, la gare de Landivy avait accueilli 13 737 voyageurs[32].

    La gare du chemin de fer qui reliait Landivy à Laval et à Mayenne, de 1900 à 1938.

    Première Guerre mondiale

    Lors de la première guerre mondiale (1914–1918) la commune de Landivy perd 85 hommes. L’un d’entre, le sergent François Vannier (1890–1914), instituteur public, a donné son nom à l’école où il enseignait[33].

    Seconde guerre mondiale

    Suite à la rafle du Vel d’Hiv, plusieurs réseaux de résistance se créent pour sauver des enfants juifs. Des jeunes femmes les faisaient passer pour des orphelins de guerre, et les acheminaient dans des familles en campagne où ils étaient nourris, élevés, scolarisés et protégés Landivy, comme Fougerolles-du-Plessis et Savigny, accueille environ 70 enfants[34],[35]. Les descendants de ces familles reçoivent la médaille du Juste décernée par le mémorial israélien Yad Vashem[36].

    Politique et administration

    Rattachements administratifs et électoraux

    La commune se trouve dans l'arrondissement de Mayenne du département de la Mayenne. Pour l'élection des députés, elle fait partie depuis 1958 de la troisième circonscription de la Mayenne.

    Elle était depuis 1793 le chef-lieu du canton de Landivy[37]. Dans le cadre du redécoupage cantonal de 2014 en France, la commune intègre le canton de Gorron.

    Intercommunalité

    La commune est membre fondateur de la communauté de communes du Bocage Mayennais.

    Administration municipale

    Le conseil municipal est composé de quinze membres dont le maire et, pour la mandature 2020-2026, quatre adjoints[38].

    Liste des maires

    Liste des maires
    Période Identité Étiquette Qualité
    Pour les données antérieures, dérouler la boîte ci-dessous.
    1944 1947 Henri Maudet SE  
    1947 1995 Maurice Loisel[39] SE Médecin
    Président de la CC du Bocage Mayennais (1989 → 1995)
    1995 janvier 2018 Jean-Pierre Dupuis[40],[41],[42] DVD Vétérinaire,
    Conseiller général de Landivy (1998 → 2015)
    Vice-président du conseil général de la Mayenne (2011 → 2013)
    Vice-président de la CC du Bocage Mayennais ( ? → 2018)
    Démissionnaire
    janvier 2018[43] En cours Marcel Ronceray SE Ancien professeur de sport et de mathématiques

    Population et société

    Démographie

    L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. À partir de 2006, les populations légales des communes sont publiées annuellement par l'Insee. Le recensement repose désormais sur une collecte d'information annuelle, concernant successivement tous les territoires communaux au cours d'une période de cinq ans. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[44]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2006[45].

    En 2018, la commune comptait 1 151 habitants[Note 6], en diminution de 0,43 % par rapport à 2013 (Mayenne : −0,14 %, France hors Mayotte : +1,78 %).

    Évolution de la population  [modifier]
    1793 1800 1806 1821 1831 1836 1841 1846 1851
    1 6311 8721 8541 8201 9112 0131 9502 0012 085
    1856 1861 1866 1872 1876 1881 1886 1891 1896
    2 1042 1072 0872 0202 0051 9461 9821 9611 931
    1901 1906 1911 1921 1926 1931 1936 1946 1954
    1 9151 8961 8441 7151 7461 7031 6651 6801 593
    1962 1968 1975 1982 1990 1999 2006 2011 2016
    1 5651 5251 4731 4561 3911 2861 2121 1531 147
    2018 - - - - - - - -
    1 151--------
    De 1962 à 1999 : population sans doubles comptes ; pour les dates suivantes : population municipale.
    (Sources : Ldh/EHESS/Cassini jusqu'en 1999[37] puis Insee à partir de 2006[46].)
    Histogramme de l'évolution démographique

    Le maximum de la population de Landivy a été atteint en 1861 avec 2 107.

    Sports

    Le Football club Landivy-Pontmain fait évoluer trois équipes de football en divisions de district[47] dont une équipe de vétérans.

    L'Amicale laïque de Landivy propose plusieurs activités, notamment de la gymnastique, du badminton et du judo.

    L'Association sportive du canton de Landivy (ASCL) permet à ses adhérents de pratiquer différents sports. La section hand-ball féminine est particulièrement active[48]. La section football regroupe les jeunes de différentes communes du canton au sein d'une école de football qui compte une centaine de licenciés, des niveaux U7 à U18.

    Économie

    Plusieurs PME sont installées[Quand ?] à Landivy et emploient de nombreuses personnes[réf. nécessaire] :

    • Desvoys[49], constructeur fabricant de matériel agricole, est une entreprise familiale qui a été créée à Landivy dans les années 1950. Le siège social ainsi qu'une des usines y sont toujours situés.
    • L’usine Monbana a été créée à Landivy en 1934. Elle a fermé ses portes le pour se déplacer à Saint-Sauveur-des-Landes, où elle a rouvert le [50].
    • Socopa Cuirs (Groupe Bigard), usine de traitement de peaux.

    Culture locale et patrimoine

    Lieux et monuments

    • La chapelle du Pont-au-Bray, située sur le chemin montais, route du pèlerinage allant au Mont-Saint-Michel à partir du Moyen Âge. Elle abrite une Vierge à l'Enfant assise du XIVe siècle classée à titre d'objet aux Monuments historiques[51].
    • Le château de Mausson (XVe et XVIe siècles), classé Monument historique depuis 1912[52].
    • L'église Saint-Martin du XIXe siècle.
    • La maison de la Dîme située au 4, rue du Louvre. Plusieurs moines de l'abbaye de Savigny y demeuraient, ainsi que dans les habitations situées à proximité du parvis et du cimetière de l’église. Ils possédaient et cultivaient de grandes étendues de terre, autant en Normandie que dans la province du Maine. Elles comptent de nombreuses fermes, forêts, étangs et moulins. La maison de la dîme est reconnaissable au décor sculpté dans le granite de sa porte[53].
    • Le monument aux morts est construit sur décision du conseil municipal du et est inauguré le de la même année, pendant les festivités de commémoration de l’Armistice[54].

    Héraldique

    Blason
    D’azur, à un château flanqué de deux tours d’argent, maçonné et ouvert de sable, au lion issant d’argent. Au chef d’hermine.
    Détails
    L’azur représente les trois cours d’eau principaux de Landivy qui lui servent de frontière entre la Bretagne, le Maine et la Normandie: Le ruisseau du Moulin du Pré, celui de Goué et celui du Lairon.

    Le château indique la présence de l’ancienne forteresse de Mousson qui surveillait la Bretagne. Il indique aussi la présence du château de Pont Aubray.

    Le lion qui se hisse au dessus du château représente la province du Maine dans laquelle se trouve la commune maintenant. Il figure sur son blason, dans la bordure en chef dextre.

    Le chef d’hermine symbolise la Bretagne en frontière de laquelle se trouve Landivy.

    Les ornements sont deux branches de bruyère de sinople, fleuries de pourpre, mises en sautoir par la pointe et liées d’argent, afin de signaler l’abondance de cette végétation dans cette partie du département.

    Le listel d'argent porte le nom de la commune en lettres majuscules de sable.

    La couronne de tours dit que l’écu est celui d’une commune ; elle n’a rien à voir avec des fortifications.
    Le statut officiel du blason reste à déterminer.

    Voir aussi

    Articles connexes

    Liens externes

    Notes et références

    Notes

    1. Population municipale 2018.
    2. L'amplitude thermique annuelle mesure la différence entre la température moyenne de juillet et celle de janvier. Cette variable est généralement reconnue comme critère de discrimination entre climats océaniques et continentaux.
    3. Une précipitation, en météorologie, est un ensemble organisé de particules d'eau liquide ou solide tombant en chute libre au sein de l'atmosphère. La quantité de précipitation atteignant une portion de surface terrestre donnée en un intervalle de temps donné est évaluée par la hauteur de précipitation, que mesurent les pluviomètres[12].
    4. La distance est calculée à vol d'oiseau entre la station météorologique proprement dite et le chef-lieu de commune.
    5. Selon le zonage des communes rurales et urbaines publié en novembre 2020, en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le en comité interministériel des ruralités.
    6. Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2021, millésimée 2018, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2020, date de référence statistique : 1er janvier 2018.

    Références

    1. Claude-Marin Saugrain, Dictionnaire universel de la France ancienne et moderne et de la Nouvelle France, vol. 2, , p. 283
    2. Distances routières les plus courtes selon Viamichelin.fr
    3. « Plan du réseau » (consulté le ).
    4. « Géoportail (IGN), couche « Limites administratives » activée ».
    5. Benoît Baudin, Amphibiens et Reptiles de la Mayenne : description, identification, répartition, Craon, Mayenne Nature Environnement, , 183 p. (ISBN 978-2-7466-2637-9), p. 14-25.
    6. Franck Noël et Mayenne Nature Environnement, Mammifères sauvages en Mayenne : atlas 1990-2003, Laval, Siloe, , 207 p. (ISBN 2-84231-240-6), p. 18-19.
    7. Benoît Baudin, Amphibiens et Reptilies de la Mayenne, Craon, Mayenne Nature Environnement, , 183 p. (ISBN 978-2-7466-2637-9), p. 24-25.
    8. Mayenne Nature Environnement, Mammifères sauvages en Mayenne : atlas 1990-2003, Laval, Siloé, , 207 p. (ISBN 2-84231-240-6), p. 13-166-162-160-156-154-148-146-144-142-140-138-134-124....
    9. Daniel Joly, Thierry Brossard, Hervé Cardot, Jean Cavailhes, Mohamed Hilal et Pierre Wavresky, « Les types de climats en France, une construction spatiale », Cybergéo, revue européenne de géographie - European Journal of Geography, no 501, (DOI https://doi.org/10.4000/cybergeo.23155, lire en ligne, consulté le )
    10. « Le climat en France métropolitaine », sur http://www.meteofrance.fr/, (consulté le )
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    12. Glossaire – Précipitation, Météo-France
    13. « Le climat de la France au XXIe siècle - Volume 4 - Scénarios régionalisés : édition 2014 pour la métropole et les régions d’outre-mer », sur https://www.ecologie.gouv.fr/ (consulté le ).
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    20. « Station météorologique de Rennes-Saint-Jacques - Normales pour la période 1981-2010 », sur https://www.infoclimat.fr/ (consulté le )
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    23. « Commune rurale - définition », sur le site de l’Insee (consulté le ).
    24. « Comprendre la grille de densité », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
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    30. Armelle Pain, Le patrimoine des communes de la Mayenne, Paris, Flohic Editions, , 953p. p. (ISBN 2-84234-135-X), page 502.
    31. Jacques Naveau, La Mayenne des origines à nos jours, Saint-Jean-d'Angély, Bordessoules, , 430 p. (ISBN 2-903504-17-2), p. 272.
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    40. Réélection 2014 : « Jean-Pierre Dupuis a été élu maire », sur ouest-france.fr, Ouest-France (consulté le ).
    41. « Landivy. Le maire Jean-Pierre Dupuis est décédé : Jean-Pierre Dupuis a été maire de Landivy (en Mayenne) durant vingt-trois ans. Et conseiller général du canton de Landivy de 1998 à 2015. Il est décédé à l’âge de 73 ans », Ouest-France, (lire en ligne, consulté le ).
    42. L.Q, « Landivy : Jean-Pierre Dupuis est décédé », Le Courrier de la Mayenne, (lire en ligne, consulté le ).
    43. « Landivy. Marcel Ronceray succède à Jean-Pierre Dupuis et devient maire : Jeudi soir, le conseil municipal a désigné un nouveau maire, après la démission de Jean-Pierre Dupuis en raison d’un problème de santé. Ce dernier reste membre du conseil municipal et devient premier adjoint », Ouest-France, (lire en ligne, consulté le ) « Jeudi soir, le conseil municipal de Landivy a élu Marcel Ronceray, qui jusqu’ici était premier adjoint, au poste de maire. En effet, Jean-Pierre Dupuis, qui exerçait ces fonctions depuis vingt-trois ans, avait fait le choix de démissionner à cause d’un problème de santé ».
    44. L'organisation du recensement, sur insee.fr.
    45. Calendrier départemental des recensements, sur insee.fr.
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    53. Armelle Pain, Le patrimoine des communes de la Mayenne, Paris, Flohic Editions, , 953 p. (ISBN 978-2-84234-135-0 et 2-84234-135-X), p. 503.
    54. « Landivy » (consulté le ).
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