Landaul

Landaul [lɑ̃dol] (Landaol) est une commune française, située dans le département du Morbihan en région Bretagne.

Landaul

L'église Saint-Théleau.

Héraldique
Administration
Pays France
Région Bretagne
Département Morbihan
Arrondissement Lorient
Intercommunalité Auray Quiberon Terre Atlantique
Maire
Mandat
Dominique Ollivier Frankel
2020-2026
Code postal 56690
Code commune 56096
Démographie
Gentilé Landaulais(e)
Population
municipale
2 345 hab. (2018 )
Densité 135 hab./km2
Population
agglomération
43 981 hab.
Géographie
Coordonnées 47° 44′ 57″ nord, 3° 04′ 29″ ouest
Altitude 23 m
Min. 0 m
Max. 66 m
Superficie 17,35 km2
Type Commune rurale et littorale
Aire d'attraction Commune hors attraction des villes
Élections
Départementales Canton de Pluvigner
Législatives Deuxième circonscription
Localisation
Géolocalisation sur la carte : Bretagne
Landaul
Géolocalisation sur la carte : Morbihan
Landaul
Géolocalisation sur la carte : France
Landaul
Géolocalisation sur la carte : France
Landaul

    Géographie

    Communes limitrophes de Landaul
    Landevant Pluvigner
    Nostang
    Locoal-Mendon Brech

    Landaul est délimitée au nord par le ruisseau de la Demiville, et au sud par le ruisseau de Tréavrec, tous les deux se jetant dans la rivière d'Étel. et aussi par la riviére du Kergroix.

    Climat

    Le climat qui caractérise la commune est qualifié, en 2010, de « climat océanique franc », selon la typologie des climats de la France qui compte alors huit grands types de climats en métropole[1]. En 2020, la commune ressort du type « climat océanique » dans la classification établie par Météo-France, qui ne compte désormais, en première approche, que cinq grands types de climats en métropole. Ce type de climat se traduit par des températures douces et une pluviométrie relativement abondante (en liaison avec les perturbations venant de l'Atlantique), répartie tout au long de l'année avec un léger maximum d'octobre à février[2].

    Les paramètres climatiques qui ont permis d’établir la typologie de 2010 comportent six variables pour les températures et huit pour les précipitations, dont les valeurs correspondent aux données mensuelles sur la normale 1971-2000[3]. Les sept principales variables caractérisant la commune sont présentées dans l'encadré ci-après.

    Paramètres climatiques communaux sur la période 1971-2000[1]

    • Moyenne annuelle de température : 11,8 °C
    • Nombre de jours avec une température inférieure à −5 °C : 0,9 j
    • Nombre de jours avec une température supérieure à 30 °C : 1,5 j
    • Amplitude thermique annuelle[Note 1] : 11,6 °C
    • Cumuls annuels de précipitation[Note 2] : 948 mm
    • Nombre de jours de précipitation en janvier : 13,7 j
    • Nombre de jours de précipitation en juillet : 7,2 j

    Avec le changement climatique, ces variables ont évolué. Une étude réalisée en 2014 par la Direction générale de l'Énergie et du Climat[5] complétée par des études régionales[6] prévoit en effet que la température moyenne devrait croître et la pluviométrie moyenne baisser, avec toutefois de fortes variations régionales. Ces changements peuvent être constatés sur la station météorologique de Météo-France la plus proche, « Auray », sur la commune d'Auray, mise en service en 1994[7] et qui se trouve à 11 km à vol d'oiseau[8],[Note 3], où la température moyenne annuelle est de 12,5 °C et la hauteur de précipitations de 964,5 mm pour la période 1981-2010[9]. Sur la station météorologique historique la plus proche, « Lorient-Lann Bihoue », sur la commune de Quéven, mise en service en 1952 et à 26 km[10], la température moyenne annuelle évolue de 11,6 °C pour la période 1971-2000[11], à 12 °C pour 1981-2010[12], puis à 12,2 °C pour 1991-2020[13].

    Urbanisme

    Typologie

    Landaul est une commune rurale, car elle fait partie des communes peu ou très peu denses, au sens de la grille communale de densité de l'Insee[Note 4],[14],[15],[16]. La commune est en outre hors attraction des villes[17],[18].

    La commune, bordée par l'océan Atlantique, est également une commune littorale au sens de la loi du , dite loi littoral[19]. Des dispositions spécifiques d’urbanisme s’y appliquent dès lors afin de préserver les espaces naturels, les sites, les paysages et l’équilibre écologique du littoral, comme par exemple le principe d'inconstructibilité, en dehors des espaces urbanisés, sur la bande littorale des 100 mètres, ou plus si le plan local d’urbanisme le prévoit[20],[21].

    Occupation des sols

    Carte des infrastructures et de l'occupation des sols de la commune en 2018 (CLC).

    L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des territoires agricoles (62,1 % en 2018), néanmoins en diminution par rapport à 1990 (63,6 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : zones agricoles hétérogènes (36 %), terres arables (22,2 %), forêts (20,2 %), milieux à végétation arbustive et/ou herbacée (9,8 %), zones urbanisées (4,3 %), prairies (3,9 %), zones industrielles ou commerciales et réseaux de communication (2,1 %), mines, décharges et chantiers (1,5 %), zones humides côtières (0,2 %)[22].

    L'IGN met par ailleurs à disposition un outil en ligne permettant de comparer l’évolution dans le temps de l’occupation des sols de la commune (ou de territoires à des échelles différentes). Plusieurs époques sont accessibles sous forme de cartes ou photos aériennes : la carte de Cassini (XVIIIe siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[23].

    Toponymie

    Le nom de la localité est mentionné sous la forme Landaule en 1389[24].

    Le nom breton de la commune est Landaol.

    De [dol], « pré, plaine » ; « l'ermitage de la plaine »[24], désignant une île formée par les méandres d'un cours d'eau[25]. Enserrée entre deux ruisseaux dont les sources sont proches, Landaul se prolonge vers l'aber d'Étel et forme comme une île.

    Histoire

    Pendant la Deuxième Guerre mondiale, Landaul fut le théâtre d'événements liés à sa proximité avec les combats pour la base sous-marine de Lorient. Les bombardements de Lorient à partir de 1942 donnaient lieu à des combats aériens au-dessus de la commune. Le , un bombardier américain, le « Beats Me », touché par des avions de chasse allemands largua ses bombes sur Kergolven avant de s'abattre à Kéronic en Pluvigner. L'équipage comprenait huit aviateurs: sept furent tués, un seul, le radio, en réchappa. Il s'appelait Charles Roth.

    Un parachutage à l'intention de la Résistance atterrit, sans doute par erreur, dans la propriété Maho en plein bourg. La Résistance envoya ensuite un commando récupérer les objets parachutés.

    Le meunier du moulin de Plusquen fut tué par balle et le meurtre attribué à la Résistance.

    Les habitants de Lorient et Hennebont se réfugièrent en grand nombre à Landaul.

    Au début de l'année 1944, la Résistance organisa des sabotages de la voie ferrée traversant la commune et qui approvisionnait Lorient. De nombreux déraillements eurent lieu entraînant à partir d’, les rafles et ratissages des commandos de chasse allemands, suivis de tortures, exécutions et déportations, qui firent de la région une véritable zone de guerre. Le , sixjeunes résistants furent capturés à Kergouarec et fusillés sur la place du bourg, en présence du maire, Mathurin Le Rouzic et d'une quarantaine de Landaulais contraints d'assister à l'exécution. Sur le monument, un sixième, fusillé à Pluvigner, André Le Gleuher, a été ajouté sur la plaque du monument.

    Le , huit Allemands furent victimes de la vengeance : « Des soldats allemands sont venus de Nostang à Landévant se rendre aux soldats alliés ou aux résistants après avoir tué leur officier qui les menaçait de mort s'ils désertaient. Huit d'entre eux seront conduits à pied à Landaul, les mains sur la tête, pour une sorte de sacrifice expiatoire, à la mémoire des cinq patriotes fusillés le 30 avril sur la place du bourg. Ils furent abattus et enterrés sur place, au pied d'un mur derrière l'école... »[26].

    Le lendemain, un commerçant du bourg, Joseph Gauter fut arrêté, torturé par la Gestapo à Locminé puis déporté NN (Nacht und Nebel) au camp du Struthof après avoir été condamné à mort à la prison de Vannes. L'évacuation des déportés du Struthof vers Dachau devant l'avance des alliés lui permit d'échapper à la mort.

    La libération ne mit pas fin aux combats dans la région, Landaul étant situé en limite de la poche de Lorient ou les Allemands ne capitulèrent que le . Pendant toute cette période de nombreux FFI, combattants de la poche de Lorient, séjournaient à Landaul.

    Blasonnement

    Les armoiries de Landaul se blasonnent ainsi :

    Coupé d’hermine chargé d’une hure de sable défendue d’argent, et d’azur à dix billettes d’argent posées quatre, trois, deux et un, à la bordure de gueules chargée en orle de huit besants d’or.

    Politique et administration

    Liste des maires

    Liste des maires successifs
    Période Identité Étiquette Qualité
    1793 1793 Joseph Rio    
    1800   Louis Jehanno    
    1808   Jouannicde Kersassin    
    1814   Joseph Kervadec    
    1826   Pierre Madec    
    1835   Louis Rio   37 ans de mandature
    1872   Jean-Marie Le Clouerec    
    1876   Sébastien Rio    
    1892   Jean-Guillaume Harnois    
    1900   Jean-Guillaume Harnois    
    1904   Paul Parmentier   Tué à la guerre en 1915
    1926 1946 Mathurin Le Rouzic    
    1946 mars 1989 Arthur Le Dreau   Commerçant
    mars 1989 juin 1995 Francois Quéré    
    juin 1995 mars 2014 Yvon Sénéchal DVD Technicien DDE
    mars 2014 3 juillet 2020 Serge Cuvillier SE Profession libérale
    3 juillet 2020 En cours Mme Dominique Ollivier-Frankel[27]    
    Les données manquantes sont à compléter.

    Politique de développement durable

    La commune a engagé une politique de développement durable en lançant une démarche d'Agenda 21 en 2015[28].

    Démographie

    L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. À partir de 2006, les populations légales des communes sont publiées annuellement par l'Insee. Le recensement repose désormais sur une collecte d'information annuelle, concernant successivement tous les territoires communaux au cours d'une période de cinq ans. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[29]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2007[30].

    En 2018, la commune comptait 2 345 habitants[Note 5], en augmentation de 5,87 % par rapport à 2013 (Morbihan : +2,32 %, France hors Mayotte : +1,78 %).

    Évolution de la population  [modifier]
    1793 1800 1806 1821 1831 1836 1841 1846 1851
    885759849843865855851928937
    1856 1861 1866 1872 1876 1881 1886 1891 1896
    900909938861938960974988971
    1901 1906 1911 1921 1926 1931 1936 1946 1954
    1 0121 0981 1191 0991 1351 1681 0841 1741 016
    1962 1968 1975 1982 1990 1999 2006 2007 2012
    9791 0091 0511 1471 3271 3431 7331 7892 166
    2017 2018 - - - - - - -
    2 2982 345-------
    De 1962 à 1999 : population sans doubles comptes ; pour les dates suivantes : population municipale.
    (Sources : Ldh/EHESS/Cassini jusqu'en 1999[31] puis Insee à partir de 2006[32].)
    Histogramme de l'évolution démographique

    Lieux et monuments

    • Château de Kerambourg, XVe siècle. Château de Kerambarh (XVIe siècle). En 1300, Henry de Kerambourg est propriétaire de la seigneurie. Les propriétaires successifs du château sont les familles Kerambourg, Guer-Malestroit (au XVIe siècle), Montalais et Robien. La terre est érigée en vicomté en 1551 en faveur de Claude de Malestroit. À noter que le château initial de Kerambourg, détruit durant les combats de la Ligue, a été rasé pour être reconstruit au XVIe siècle. Ce château est la propriété de la famille Robien jusqu'en 1789, puis de la famille Parmentier à partir de 1851. Il possédait autrefois une chapelle privée, un colombier et un puits.
    • L'église Saint-Théleau ou Sainte-Marie-Magdeleine (XVe siècle). Sainte-Magdeleine remplace Saint-Thuriau au début du XIXe siècle et Sainte-Magdeleine est remplacée par Saint-Théleau en 1903. L'église paroissiale de Landaul ayant été démolie en 1862, la chapelle Notre-Dame (Notre-Dame de Bon-Secours) fondée par la famille Kerambourg et qui en était voisine devint à son tour église paroissiale en , après que l'on l'eut transformée entièrement en y adjoignant deux grandes chapelles formant croisillons au Nord et au Sud. La chapelle avait été construite vers 1450. On en a heureusement conservé intact le beau portail occidental à baies en anse de panier dont les voussures s'ornent de rinceaux de feuillages, prises sous une grande arcade en tiers-point à plusieurs archivoltes surmontant un tympan ajouré. Sur le pignon s'élève un clocher carré, postérieur d'au moins un siècle, jadis surmonté d'une flèche en pierre et flanqué d'une tourelle d'escalier cylindrique. La nef date de la fin du XVe siècle. Contre le pignon Nord, scellées sur une dalle de granit, sont alignées les statues en pierre de saint Barbe, saint Isidore et sainte Marguerite ().
    • La chapelle Saint-Maurille ou Saint-Mamert (1659), située au village de Langombrach (ou Langoubrac'h). Il s'agit d'un édifice de forme rectangulaire sans caractère, où l'on conserve un sarcophage carolingien (on y étendait jadis les enfants qui tardaient à marcher). L'une des fenêtres porte la date de 1659. La porte occidentale est en arc brisé. Le retable est en bois polychrome et comporte un tableau central, représentant un évêque qui montre le ciel à un laboureur ayant une faucille en main ().
    • Le monument « Aux martyrs de Landaul fusillés par les Allemands le  », situé en face de l'entrée principale de l'église, à quelques mètres de l'endroit où ils furent exécutés.

    Culture

    • Le bagad Avel Hun Tadeu existe depuis 1952 et anime avec son cercle de danseurs diverses fêtes et pardons[33].

    Tourisme

    • Les jardins du château de Kerambar’h, classés « Jardins remarquables », et ouverts au public d’avril à novembre.
    • L’église Sainte-Marie-Magdeleine, ancienne chapelle Notre-Dame de bons-secours.
    • L’if classé « Arbre remarquable » en face de l’église : 12 mètres de haut, 4,10 mètres de circonférence, entre 300 et 400 ans.
    • La chapelle de Langombrac’h, en face de laquelle un lech a été christianisé.
    • Le chemin de Kerambar’h (8,5 km), présent dans le « Carnet de balades au cœur du pays d’Auray » en vente dans les offices de tourisme.

    Voir aussi

    Notes et références

    Notes

    1. L'amplitude thermique annuelle mesure la différence entre la température moyenne de juillet et celle de janvier. Cette variable est généralement reconnue comme critère de discrimination entre climats océaniques et continentaux.
    2. Une précipitation, en météorologie, est un ensemble organisé de particules d'eau liquide ou solide tombant en chute libre au sein de l'atmosphère. La quantité de précipitation atteignant une portion de surface terrestre donnée en un intervalle de temps donné est évaluée par la hauteur de précipitation, que mesurent les pluviomètres[4].
    3. La distance est calculée à vol d'oiseau entre la station météorologique proprement dite et le chef-lieu de commune.
    4. Selon le zonage des communes rurales et urbaines publié en novembre 2020, en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le en comité interministériel des ruralités.
    5. Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2021, millésimée 2018, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2020, date de référence statistique : 1er janvier 2018.

    Références

    1. Daniel Joly, Thierry Brossard, Hervé Cardot, Jean Cavailhes, Mohamed Hilal et Pierre Wavresky, « Les types de climats en France, une construction spatiale », Cybergéo, revue européenne de géographie - European Journal of Geography, no 501, (DOI https://doi.org/10.4000/cybergeo.23155, lire en ligne, consulté le )
    2. « Le climat en France métropolitaine », sur http://www.meteofrance.fr/, (consulté le )
    3. « Définition d’une normale climatologique », sur http://www.meteofrance.fr/ (consulté le )
    4. Glossaire – Précipitation, Météo-France
    5. « Le climat de la France au XXIe siècle - Volume 4 - Scénarios régionalisés : édition 2014 pour la métropole et les régions d’outre-mer », sur https://www.ecologie.gouv.fr/ (consulté le ).
    6. « Observatoire régional sur l'agriculture et le changement climatique (Oracle) - Bretagne », sur www.chambres-agriculture-bretagne.fr, (consulté le )
    7. « Station Météo-France Auray - métadonnées », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le )
    8. « Orthodromie entre Landaul et Auray », sur fr.distance.to (consulté le ).
    9. « Station Météo-France Auray - fiche climatologique - statistiques 1981-2010 et records », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le ).
    10. « Orthodromie entre Landaul et Quéven », sur fr.distance.to (consulté le ).
    11. « Station météorologique de Lorient-Lann Bihoue - Normales pour la période 1971-2000 », sur https://www.infoclimat.fr/ (consulté le )
    12. « Station météorologique de Lorient-Lann Bihoue - Normales pour la période 1981-2010 », sur https://www.infoclimat.fr/ (consulté le )
    13. « Station météorologique de Lorient-Lann Bihoue - Normales pour la période 1991-2020 », sur https://www.infoclimat.fr/ (consulté le )
    14. « Typologie urbain / rural », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
    15. « Commune rurale - définition », sur le site de l’Insee (consulté le ).
    16. « Comprendre la grille de densité », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
    17. « Base des aires d'attraction des villes 2020. », sur insee.fr, (consulté le ).
    18. Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier Pégaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans l’aire d’attraction d’une ville », sur insee.fr, (consulté le ).
    19. « Les communes soumises à la loi littoral. », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr, (consulté le ).
    20. « La loi littoral », sur www.collectivites-locales.gouv.fr (consulté le ).
    21. « Loi relative à l’aménagement, la protection et la mise en valeur du littoral. », sur www.cohesion-territoires.gouv.fr (consulté le ).
    22. « CORINE Land Cover (CLC) - Répartition des superficies en 15 postes d'occupation des sols (métropole). », sur le site des données et études statistiques du ministère de la Transition écologique. (consulté le )
    23. IGN, « Évolution de l'occupation des sols de la commune sur cartes et photos aériennes anciennes. », sur remonterletemps.ign.fr (consulté le ). Pour comparer l'évolution entre deux dates, cliquer sur le bas de la ligne séparative verticale et la déplacer à droite ou à gauche. Pour comparer deux autres cartes, choisir les cartes dans les fenêtres en haut à gauche de l'écran.
    24. Hervé Abalain - Noms de lieux bretons - Page 76.[réf. incomplète].
    25. François Falc'Hun - 1982 - Les noms de lieux celtiques - Volume 1 - Page 103.
    26. Leroux Roger, Le Morbihan en guerre, 1939-1945
    27. « Landaul. Dominique Ollivier Frankel officiellement élue », sur Ouest-France, (consulté le ).
    28. FICHE | Agenda 21 de Territoires - Landaul, consultée le 26 octobre 2017
    29. L'organisation du recensement, sur insee.fr.
    30. Calendrier départemental des recensements, sur insee.fr.
    31. Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes études en sciences sociales.
    32. Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017 et 2018.
    33. Le bagad Avel Hun Tadeu

    Liens externes

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