Laignelet

Laignelet est une commune française située dans le département d'Ille-et-Vilaine, en région Bretagne, peuplée de 1 166 habitants[Note 1].

Laignelet

L'église Saint-Martin.

Blason
Administration
Pays France
Région Bretagne
Département Ille-et-Vilaine
Arrondissement Fougères-Vitré
Intercommunalité Fougères Agglomération
Maire
Mandat
André Philipot
2020-2026
Code postal 35133
Code commune 35138
Démographie
Population
municipale
1 166 hab. (2018 )
Densité 79 hab./km2
Population
agglomération
43 066 hab. (2010[1])
Géographie
Coordonnées 48° 22′ 18″ nord, 1° 08′ 55″ ouest
Altitude Min. 104 m
Max. 231 m
Superficie 14,83 km2
Type Commune rurale
Aire d'attraction Fougères
(commune de la couronne)
Élections
Départementales Canton de Fougères-2
Législatives Sixième circonscription
Localisation
Géolocalisation sur la carte : Bretagne
Laignelet
Géolocalisation sur la carte : Ille-et-Vilaine
Laignelet
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Laignelet
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Laignelet
Liens
Site web http://www.laignelet.fr

    Géographie

    Laignelet est une commune du pays de Fougères. Son centre-bourg est situé à km de Fougères (ville de 20 000 habitants).

    Après une croissance démographique continue, la commune connaît depuis plus de 15 ans une évolution significative avec plus de 1200 habitants. Sa superficie est de 1 484 hectares dont 600 hectares de forêt domaniale. Son territoire vallonné et bocager, offre un cadre de vie agréable.

    Après la réalisation d'un espace culturel, des commerces de proximité (boulangerie épicerie, salon de coiffure), la municipalité a obtenu la création d'une école publique en 2006. La construction de cet établissement scolaire permet d'accueillir plus de 120 enfants. De plus, en association avec les communes de Landéan et de Le Loroux, un accueil de loisirs à taille humaine a ouvert ces portes en 2009 pour l'ensemble des enfants de ces trois communes.

    Un établissement pour personnes âgées, la résidence Sainte-Anne, a ouvert en [2].

    La commune s'est dotée aussi d'une salle multi-activité et d'un plateau multisport.

    Aujourd'hui, la commune est desservie par la rocade Est de Fougères, les jeunes familles y trouvent un lieu de vie appréciée.

    De plus, des liaisons douces (vélo, pieton) sont en cours de réalisation pour faciliter les accès à Fougères en complément de la desserte de transport en commun (bus).

    Communes limitrophes de Laignelet
    Landéan Le Loroux
    Fougères
    Beaucé Fleurigné

    Climat

    Le climat qui caractérise la commune est qualifié, en 2010, de « climat océanique franc », selon la typologie des climats de la France qui compte alors huit grands types de climats en métropole[3]. En 2020, la commune ressort du type « climat océanique » dans la classification établie par Météo-France, qui ne compte désormais, en première approche, que cinq grands types de climats en métropole. Ce type de climat se traduit par des températures douces et une pluviométrie relativement abondante (en liaison avec les perturbations venant de l'Atlantique), répartie tout au long de l'année avec un léger maximum d'octobre à février[4].

    Les paramètres climatiques qui ont permis d’établir la typologie de 2010 comportent six variables pour les températures et huit pour les précipitations, dont les valeurs correspondent aux données mensuelles sur la normale 1971-2000[5]. Les sept principales variables caractérisant la commune sont présentées dans l'encadré ci-après.

    Paramètres climatiques communaux sur la période 1971-2000[3]

    • Moyenne annuelle de température : 10,7 °C
    • Nombre de jours avec une température inférieure à −5 °C : 2,2 j
    • Nombre de jours avec une température supérieure à 30 °C : 1,6 j
    • Amplitude thermique annuelle[Note 2] : 13,2 °C
    • Cumuls annuels de précipitation[Note 3] : 957 mm
    • Nombre de jours de précipitation en janvier : 14,2 j
    • Nombre de jours de précipitation en juillet : 8,4 j

    Avec le changement climatique, ces variables ont évolué. Une étude réalisée en 2014 par la Direction générale de l'Énergie et du Climat[7] complétée par des études régionales[8] prévoit en effet que la température moyenne devrait croître et la pluviométrie moyenne baisser, avec toutefois de fortes variations régionales. Ces changements peuvent être constatés sur la station météorologique de Météo-France la plus proche, « Fougeres », sur la commune de Fougères, mise en service en 1966[9] et qui se trouve à km à vol d'oiseau[10],[Note 4], où la température moyenne annuelle est de 11,7 °C et la hauteur de précipitations de 923,2 mm pour la période 1981-2010[11]. Sur la station météorologique historique la plus proche, « Rennes-Saint-Jacques », sur la commune de Saint-Jacques-de-la-Lande, mise en service en 1945 et à 54 km[12], la température moyenne annuelle évolue de 11,7 °C pour la période 1971-2000[13], à 12,1 °C pour 1981-2010[14], puis à 12,4 °C pour 1991-2020[15].

    Urbanisme

    Typologie

    Laignelet est une commune rurale, car elle fait partie des communes peu ou très peu denses, au sens de la grille communale de densité de l'Insee[Note 5],[16],[17],[18].

    Par ailleurs la commune fait partie de l'aire d'attraction de Fougères, dont elle est une commune de la couronne[Note 6]. Cette aire, qui regroupe 27 communes, est catégorisée dans les aires de 50 000 à moins de 200 000 habitants[19],[20].

    Occupation des sols

    Carte des infrastructures et de l'occupation des sols de la commune en 2018 (CLC).

    L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des territoires agricoles (55,1 % en 2018), une proportion sensiblement équivalente à celle de 1990 (55,6 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : forêts (39,6 %), prairies (22,2 %), zones agricoles hétérogènes (20,8 %), terres arables (12,1 %), zones urbanisées (3,2 %), milieux à végétation arbustive et/ou herbacée (2 %)[21].

    L'IGN met par ailleurs à disposition un outil en ligne permettant de comparer l’évolution dans le temps de l’occupation des sols de la commune (ou de territoires à des échelles différentes). Plusieurs époques sont accessibles sous forme de cartes ou photos aériennes : la carte de Cassini (XVIIIe siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[22].

    Toponymie

    Le nom de la localité est attesté sous les formes Ecclesia de Agnello au XIe siècle, de Agniculo en 1516, de Laigneio en 1578[23].

    Le nom correspond au latin agnellus, à l'ancien français aignel (agneau)[24].

    Histoire

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    De Saint Martin des Bois à Laignelet

    L'église de Laignelet est consacrée à saint Martin. Rien de plus normal puisque Saint Martin des Bois fut le premier nom de Laignelet.

    Premiers habitants des lieux, des ermites vivaient dans la forêt autour d'une église consacrée à saint Martin, mais située plus à l'est, vers Landéan, au point culminant de la forêt. Vers la fin du XIe siècle, Raoul Ier de Fougères donna cette église aux moines de l'abbaye d'Évron et la transféra dans un cimetière du nom d'Agnelet (elle est mentionnée au XIe siècle sous le nom de ecclesia de Agnello, « l'église de l'agneau »), il voulait ainsi éloigner les ermites de ses terres de chasse, et il leur confia l'abbaye de Savigny, plus au nord.

    Mieux située au bord d'une route, c'est peut-être la vraie raison de son transfert, l'église devint le centre d'une paroisse, la protection sacrée du cimetière favorisant l'apparition d'un village du nom de l'Aignelet, puis Laignelet; l'abbaye d'Évron y fit construire un prieuré.

    La féodalité

    Comme ailleurs, le territoire de Laignelet comporte d'anciennes mottes castrales, témoins de l'insécurité qui régnait dans la deuxième moitié du XIe siècle : celle de la Fontaine la Chèze et celle de Malhaire, à 800 m du bourg, détruite aujourd'hui. Seuls des talus sont encore visibles.

    L'ancienne église

    Il ne reste rien de l'église primitive, détruite à la fin du XIXe siècle pour faire place à l'édifice actuel. Elle comportait une nef romane remaniée au XVIe siècle, le chœur ayant lui, été reconstruit en 1830.

    La nouvelle église

    La présence de la verrerie contribua à l'augmentation de la population de la commune. Les 1 000 habitants de 1860 avaient presque doublé au début du siècle (1993 en 1911).

    L'ancienne église romane jugée trop petite fut remplacée par l'édifice actuel, construit entre 1887 et 1890. Le patron de la verrerie, maire de Laignelet, n'y fut certainement pas pour rien.

    Le tympan.

    Ce fut la première église de l'architecte rennais Louis Hérault : église-halle (un seul toit pour trois nefs), dont la voûte bombée et les douze fins piliers évoquent le style gothique angevin. Deux chapelles (de la Vierge et de Saint-Joseph) donnent à l'église une certaine ampleur : le transept étant presque aussi long que la nef. La façade et le clocher ne furent cependant terminés qu'entre 1922 et 1926, la guerre ayant reculé l'achèvement et altéré les projets initiaux : la tour semble s'adapter moyennement à la façade de tuffeau et n'a pas été terminée (ni corniche, ni flèche). On y note la présence sur le tympan d'un Agneau de Dieu en mosaïque qui reprend le motif de l'ancienne porte principale. L'édifice a été récemment restauré.

    Le fond de l'église s'orne d'une copie d'un grand tableau (le Christ en croix) donnée par l'empereur Napoléon III en 1858 à l'occasion de sa venue à Rennes pour l'inauguration du chemin de fer, une copie d'une œuvre célèbre de Philippe de Champaigne (XVIIe siècle).

    Une activité liée à la forêt : sabotiers et verriers

    La verrerie.

    Les hêtres de la forêt constituèrent une matière première de premier choix pour de nombreux sabotiers, mais c'est surtout à ses verriers que Laignelet dut sa renommée : des terrains sablonneux, la forêt, les fougères, dont les cendres sont riches en soude, constituaient des éléments particulièrement intéressants pour l'élaboration du verre. La verrerie de la Bellovière nait vers 1646. À la veille de la Révolution, la verrerie de Laignelet était l'une des deux seules verreries importantes de Bretagne. Elle employa jusqu'à 400 ouvriers au début du XXe siècle. Son directeur d'alors, Henry Chupin, ouvert aux idées sociales de la démocratie chrétienne en vogue dans la deuxième moitié du XIXe siècle, en fit un véritable modèle de cité ouvrière au système social très particulier. « On peut vivre toute une longue vie sans sortir de la Verrerie de Laignelet » disait une brochure: des maisons rappelant les corons du Nord, abritaient la majorité des familles des ouvriers, un conseil d'usine permettait un certain dialogue entre administration et ouvriers, une Société de secours mutuel venait en aide en cas de maladie, une Société coopérative ouvrière d'alimentation pourvoyait la cité en produits à prix réduits. Les loisirs n'étaient pas en reste avec l'organisation d'une fanfare, d'une société de gymnastique, d'une troupe de théâtre, d'une bibliothèque et bien sûr on y trouvait une chapelle.

    La verrerie ferma définitivement au début des années trente.

    Un important changement

    L'avenue du Maine vers 1900.
    L'avenue du Maine en 2003.

    Jusqu'au milieu du XXe siècle, Laignelet était une commune de 1 936 hectares dont 625 en forêt, beaucoup plus vaste qu'aujourd'hui. Son territoire s'étendait jusqu'à l'hôpital de Fougères, englobant entre autres les quartiers actuels de la Forairie et des Cotterêts.

    Déjà, en 1910, l'agrandissement du cimetière de Fougères avait fait perdre à la commune plus d'un hectare. Le développement urbain de sa grande voisine l'incitait à vouloir s'étendre dans la direction de Laignelet. De 1910 à 1950, le conseil municipal eut à s'élever « contre cet envahissement » que constituaient les demandes d'annexion répétées de Fougères. Peine perdue, le , Laignelet, comme d'autres communes autour de Fougères, perdit 263 hectares 18, sa population passa de plus de 2 000 habitants en 1946, à seulement 506 au recensement de 1954. En perdant des parties déjà urbanisées, la commune reprit un caractère plus rural. Son école publique ferma en 1973, et l'école privée disparut en 1990.

    Le renouveau

    Dans les années 2000, la commune accueille plus de 50 foyers. Ce rajeunissement de la population a permis la réouverture d'une école en 2006.

    En fin d'année 2005, deux nouveaux commerces ont été créés sur la commune apportant ainsi de nouveaux services aux Agnelais. Ce nouveau point d'activité dans la commune est devenu un pôle d'animation et de rencontre dans le bourg. De plus, le cadre champêtre et proche de Fougères, la proximité immédiate de la forêt sont des atouts fort convoités aujourd'hui.

    La création de la zone d'activité économiques de la Massonnais en bordure de la rocade Est de Fougères permet de développement des communes situés à l'Est et au Nord-Est de Fougères.

    Ces réalisations majeures démontrent que de nouvelles ambitions peuvent naître.

    Héraldique

    Blasonnement :
    D’azur au chef denché d’or[25].

    Politique et administration

    La mairie.
    Liste des maires successifs
    Période Identité Étiquette Qualité
     ? octobre 1978
    (décès)
    Joseph Montembault    
    décembre 1978 mars 2001 Henri Tiercin SE Retraité de l'agriculture
    En cours André Philipot[26] SE Chargé de développement local
    Les données manquantes sont à compléter.

    Démographie

    L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. À partir de 2006, les populations légales des communes sont publiées annuellement par l'Insee. Le recensement repose désormais sur une collecte d'information annuelle, concernant successivement tous les territoires communaux au cours d'une période de cinq ans. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[27]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2008[28].

    En 2018, la commune comptait 1 166 habitants[Note 7], en augmentation de 2,73 % par rapport à 2013 (Ille-et-Vilaine : +4,83 %, France hors Mayotte : +1,78 %).

    Évolution de la population  [modifier]
    1793 1800 1806 1821 1831 1836 1841 1846 1851
    1 1078191 0051 0601 0841 0651 0021 1051 167
    1856 1861 1866 1872 1876 1881 1886 1891 1896
    1 1941 0019201 1051 1141 2291 3501 3451 369
    1901 1906 1911 1921 1926 1931 1936 1946 1954
    1 7021 8651 9931 8741 9662 0281 8842 036506
    1962 1968 1975 1982 1990 1999 2006 2007 2008
    518479601641727789853862871
    2013 2018 - - - - - - -
    1 1351 166-------
    De 1962 à 1999 : population sans doubles comptes ; pour les dates suivantes : population municipale.
    (Sources : Ldh/EHESS/Cassini jusqu'en 1999[29] puis Insee à partir de 2006[30].)
    Histogramme de l'évolution démographique

    Économie

    Avec la nouvelle rocade Est, des entreprises se sont installées sur la zone d'activités de la Massonnais (garage, expertise comptable, station de lavage, ambulancier, ...).

    Lieux et monuments

    La commune ne compte aucun monument historique. Parmi les éléments notables du patrimoine communal, on peut noter :

    • l'église Saint-Martin, construite en 1888 par Louis Hérault à l'emplacement d'une ancienne église priorale datant du XIe[31] ;
    • la forêt de Fougères qui couvre environ 600 ha, soit 35 % du territoire de la commune.

    Jumelages

    Notes et références

    Notes

    1. Population municipale 2018, légale en 2021.
    2. L'amplitude thermique annuelle mesure la différence entre la température moyenne de juillet et celle de janvier. Cette variable est généralement reconnue comme critère de discrimination entre climats océaniques et continentaux.
    3. Une précipitation, en météorologie, est un ensemble organisé de particules d'eau liquide ou solide tombant en chute libre au sein de l'atmosphère. La quantité de précipitation atteignant une portion de surface terrestre donnée en un intervalle de temps donné est évaluée par la hauteur de précipitation, que mesurent les pluviomètres[6].
    4. La distance est calculée à vol d'oiseau entre la station météorologique proprement dite et le chef-lieu de commune.
    5. Selon le zonage des communes rurales et urbaines publié en novembre 2020, en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le en comité interministériel des ruralités.
    6. La notion d'aire d'attraction des villes a remplacé en octobre 2020 l'ancienne notion d'aire urbaine, pour permettre des comparaisons cohérentes avec les autres pays de l'Union européenne.
    7. Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2021, millésimée 2018, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2020, date de référence statistique : 1er janvier 2018.

    Références

    1. INSEE : évolution de la population de l'aire urbaine de Fougères.
    2. « Association Anne Boivent - Résidence Sainte-Anne à Laignelet » (consulté le ).
    3. Daniel Joly, Thierry Brossard, Hervé Cardot, Jean Cavailhes, Mohamed Hilal et Pierre Wavresky, « Les types de climats en France, une construction spatiale », Cybergéo, revue européenne de géographie - European Journal of Geography, no 501, (DOI https://doi.org/10.4000/cybergeo.23155, lire en ligne, consulté le )
    4. « Le climat en France métropolitaine », sur http://www.meteofrance.fr/, (consulté le )
    5. « Définition d’une normale climatologique », sur http://www.meteofrance.fr/ (consulté le )
    6. Glossaire – Précipitation, Météo-France
    7. « Le climat de la France au XXIe siècle - Volume 4 - Scénarios régionalisés : édition 2014 pour la métropole et les régions d’outre-mer », sur https://www.ecologie.gouv.fr/ (consulté le ).
    8. « Observatoire régional sur l'agriculture et le changement climatique (Oracle) - Bretagne », sur www.chambres-agriculture-bretagne.fr, (consulté le )
    9. « Station Météo-France Fougeres - métadonnées », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le )
    10. « Orthodromie entre Laignelet et Fougères », sur fr.distance.to (consulté le ).
    11. « Station Météo-France Fougeres - fiche climatologique - statistiques 1981-2010 et records », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le ).
    12. « Orthodromie entre Laignelet et Saint-Jacques-de-la-Lande », sur fr.distance.to (consulté le ).
    13. « Station météorologique de Rennes-Saint-Jacques - Normales pour la période 1971-2000 », sur https://www.infoclimat.fr/ (consulté le )
    14. « Station météorologique de Rennes-Saint-Jacques - Normales pour la période 1981-2010 », sur https://www.infoclimat.fr/ (consulté le )
    15. « Station météorologique de Rennes-Saint-Jacques - Normales pour la période 1991-2020 », sur https://www.infoclimat.fr/ (consulté le )
    16. « Typologie urbain / rural », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
    17. « Commune rurale - définition », sur le site de l’Insee (consulté le ).
    18. « Comprendre la grille de densité », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
    19. « Base des aires d'attraction des villes 2020. », sur insee.fr, (consulté le ).
    20. Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier Pégaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans l’aire d’attraction d’une ville », sur insee.fr, (consulté le ).
    21. « CORINE Land Cover (CLC) - Répartition des superficies en 15 postes d'occupation des sols (métropole). », sur le site des données et études statistiques du ministère de la Transition écologique. (consulté le )
    22. IGN, « Évolution de l'occupation des sols de la commune sur cartes et photos aériennes anciennes. », sur remonterletemps.ign.fr (consulté le ). Pour comparer l'évolution entre deux dates, cliquer sur le bas de la ligne séparative verticale et la déplacer à droite ou à gauche. Pour comparer deux autres cartes, choisir les cartes dans les fenêtres en haut à gauche de l'écran.
    23. « Etymologie et Histoire de Laignelet », infobretagne (consulté le ).
    24. Jean-Yves Le Moing, Noms de lieux de Bretagne, Bonneton, , p. 154.
    25. « GASO, la banque du blason - Laignelet Ille-et-Vilaine » (consulté le ).
    26. « André Philipot réélu maire pour son troisième mandat », Ouest-France, 1er avril 2014.
    27. L'organisation du recensement, sur insee.fr.
    28. Calendrier départemental des recensements, sur insee.fr.
    29. Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes études en sciences sociales.
    30. Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017 et 2018.
    31. Notice no IA00130916, base Mérimée, ministère français de la Culture.

    Voir aussi

    Liens externes

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