Lagrâce-Dieu

Lagrâce-Dieu est une commune française située dans le département de la Haute-Garonne en région Occitanie.

Lagrâce-Dieu

L'église Saint-Jean-Baptiste.
Administration
Pays France
Région Occitanie
Département Haute-Garonne
Arrondissement Muret
Intercommunalité Communauté de communes du Bassin Auterivain Haut-Garonnais
Maire
Mandat
Joël Cazajus
2020-2026
Code postal 31190
Code commune 31264
Démographie
Gentilé Gracieux-divins
Population
municipale
564 hab. (2018 )
Densité 66 hab./km2
Géographie
Coordonnées 43° 20′ 25″ nord, 1° 25′ 18″ est
Altitude Min. 181 m
Max. 321 m
Superficie 8,52 km2
Type Commune rurale
Aire d'attraction Toulouse
(commune de la couronne)
Élections
Départementales Canton d'Auterive
Législatives Septième circonscription
Localisation
Géolocalisation sur la carte : région Occitanie
Lagrâce-Dieu
Géolocalisation sur la carte : Haute-Garonne
Lagrâce-Dieu
Géolocalisation sur la carte : France
Lagrâce-Dieu
Géolocalisation sur la carte : France
Lagrâce-Dieu

    Ses habitants sont appelés les Gracieux-divins[1].

    Géographie

    Localisation

    La commune de Lagrâce-Dieu se trouve dans le département de la Haute-Garonne, en région Occitanie[2].

    Elle se situe à 29 km à vol d'oiseau de Toulouse[3], préfecture du département, à 15 km de Muret[4], sous-préfecture, et à km d'Auterive[5], bureau centralisateur du canton d'Auterive dont dépend la commune depuis 2015 pour les élections départementales[2]. La commune fait en outre partie du bassin de vie d'Auterive[2].

    Les communes les plus proches[Note 1] sont[6] : Puydaniel (1,0 km), Mauressac (2,1 km), Auribail (3,4 km), Miremont (3,4 km), Grazac (4,2 km), Auterive (4,5 km), Esperce (5,0 km), Caujac (5,9 km).

    Sur le plan historique et culturel, Lagrâce-Dieu fait partie du Lauragais, occupant une vaste zone, autour de l’axe central que constitue le canal du Midi, entre les agglomérations de Toulouse au nord-ouest et Carcassonne au sud-est et celles de Castres au nord-est et Pamiers au sud-ouest. C'est l'ancien « Pays de Cocagne », lié à la fois à la culture du pastel et à l’abondance des productions, et de « grenier à blé du Languedoc »[7].

    Lagrâce-Dieu est limitrophe de cinq autres communes[8].

    Carte de la commune de Lagrâce-Dieu et de ses proches communes.
    Communes limitrophes de Lagrâce-Dieu
    Auribail Miremont
    Saint-Sulpice-sur-Lèze Auterive
    Esperce Puydaniel

    Hydrographie

    Les cours d'eau de Lagrâce-Dieu sont: le Besset, le Rauzé, le Mercé, le Magrens, le Boutahère, Le Carlou, le Boulsa, l'Arnaoutou appelé aussi le Rivet à Miremont et La Mouillonne affluents et sous affluents de l'Ariège.

    Relief et géologie

    La superficie de la commune est de 852 hectares. Elle est située dans la vallée de la Mouillonne et sur des coteaux boisés du Volvestre, étagés de 181 mètres pour le lieu-dit la Pradasse à 321 mètres[9] pour Le Roussel. La commune a la forme d'un parallélogramme de 6 400 mètres de long sur 2 000 mètres de large.

    Transports et communications

    Accès par la route départementale D 622, et le réseau Arc-en-ciel.

    Climat

    Le climat qui caractérise la commune est qualifié, en 2010, de « climat du Bassin du Sud-Ouest », selon la typologie des climats de la France qui compte alors huit grands types de climats en métropole[10]. En 2020, la commune ressort du type « climat océanique altéré » dans la classification établie par Météo-France, qui ne compte désormais, en première approche, que cinq grands types de climats en métropole. Il s’agit d’une zone de transition entre le climat océanique et les climats de montagne et semi-continental. Les écarts de température entre hiver et été augmentent avec l'éloignement de la mer. La pluviométrie est plus faible qu'en bord de mer, sauf aux abords des reliefs[11].

    Les paramètres climatiques qui ont permis d’établir la typologie de 2010 comportent six variables pour les températures et huit pour les précipitations, dont les valeurs correspondent aux données mensuelles sur la normale 1971-2000[12]. Les sept principales variables caractérisant la commune sont présentées dans l'encadré ci-après.

    Paramètres climatiques communaux sur la période 1971-2000[10]

    • Moyenne annuelle de température : 13,1 °C
    • Nombre de jours avec une température inférieure à −5 °C : 2 j
    • Nombre de jours avec une température supérieure à 30 °C : 9,8 j
    • Amplitude thermique annuelle[Note 2] : 15,7 °C
    • Cumuls annuels de précipitation : 750 mm
    • Nombre de jours de précipitation en janvier : 9,8 j
    • Nombre de jours de précipitation en juillet : 5,8 j

    Avec le changement climatique, ces variables ont évolué. Une étude réalisée en 2014 par la Direction générale de l'Énergie et du Climat[13] complétée par des études régionales[14] prévoit en effet que la température moyenne devrait croître et la pluviométrie moyenne baisser, avec toutefois de fortes variations régionales. Ces changements peuvent être constatés sur la station météorologique de Météo-France la plus proche, « Saint-Ybars », sur la commune de Saint-Ybars, mise en service en 1987[15] et qui se trouve à 12 km à vol d'oiseau[16],[Note 3], où la température moyenne annuelle est de 13,5 °C et la hauteur de précipitations de 790,3 mm pour la période 1981-2010[17]. Sur la station météorologique historique la plus proche, « Toulouse-Francazal », sur la commune de Cugnaux, mise en service en 1922 et à 23 km[18], la température moyenne annuelle évolue de 14,1 °C pour la période 1971-2000[19], à 14,1 °C pour 1981-2010[20], puis à 14,3 °C pour 1991-2020[21].

    Milieux naturels et biodiversité

    Aucun espace naturel présentant un intérêt patrimonial n'est recensé sur la commune dans l'inventaire national du patrimoine naturel[22],[23],[24].

    Urbanisme

    Typologie

    Lagrâce-Dieu est une commune rurale, car elle fait partie des communes peu ou très peu denses, au sens de la grille communale de densité de l'Insee[Note 4],[25],[26],[27].

    Par ailleurs la commune fait partie de l'aire d'attraction de Toulouse, dont elle est une commune de la couronne[Note 5]. Cette aire, qui regroupe 527 communes, est catégorisée dans les aires de 700 000 habitants ou plus (hors Paris)[28],[29].

    Occupation des sols

    Carte des infrastructures et de l'occupation des sols de la commune en 2018 (CLC).

    L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des territoires agricoles (69,1 % en 2018), néanmoins en diminution par rapport à 1990 (73,4 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : terres arables (65,6 %), forêts (26,5 %), zones urbanisées (4,4 %), zones agricoles hétérogènes (3,5 %)[30].

    L'IGN met par ailleurs à disposition un outil en ligne permettant de comparer l’évolution dans le temps de l’occupation des sols de la commune (ou de territoires à des échelles différentes). Plusieurs époques sont accessibles sous forme de cartes ou photos aériennes : la carte de Cassini (XVIIIe siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[Carte 1].

    Histoire

    C'est vers le XIIIe siècle que l'on a donné le nom de « Lagrâce-Dieu ». L'abbaye de la localité avait une relique de saint Jean nommée Grâce de Dieu. La commune était formée anciennement de deux territoires entièrement distincts: Lagrâce-Dieu et Magrens. À la fin de la Révolution de 1789 Lagrâce-Dieu et Magrens ne forment qu'un seul village: Rozé rebaptisé Lagrâce-Dieu en 1791.

    À partir du Moyen Âge jusqu'à sa disparition en 1790 pendant la révolution française, Lagrâce-Dieu faisait partie du diocèse de Rieux

    Politique et administration

    Administration municipale

    Le nombre d'habitants au recensement de 2011 étant compris entre 100 et 499, le nombre de membres du conseil municipal pour l'élection de 2014 est de onze[31],[32].

    Rattachements administratifs et électoraux

    Commune faisant partie de la septième circonscription de la Haute-Garonne, de la communauté de communes du Bassin Auterivain et du canton d'Auterive.

    Liste des maires

    Liste des maires successifs
    Période Identité Étiquette Qualité
    1977 1989 Célestin Dussol ...  
    1989 1992 Roger Dejean ...  
    1992 2014 Claire Gilabert ...  
    2014 En cours Joël Cazajus SE Cadre

    Population et société

    Démographie

    L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. À partir de 2006, les populations légales des communes sont publiées annuellement par l'Insee. Le recensement repose désormais sur une collecte d'information annuelle, concernant successivement tous les territoires communaux au cours d'une période de cinq ans. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[33]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2004[34].

    En 2018, la commune comptait 564 habitants[Note 6], en augmentation de 4,44 % par rapport à 2013 (Haute-Garonne : +6,32 %, France hors Mayotte : +1,78 %).

    Évolution de la population  [modifier]
    1793 1800 1806 1821 1831 1836 1841 1846 1851
    272355389397443462468520515
    1856 1861 1866 1872 1876 1881 1886 1891 1896
    531514501504456437436430336
    1901 1906 1911 1921 1926 1931 1936 1946 1954
    350349310309344350345249262
    1962 1968 1975 1982 1990 1999 2004 2009 2014
    212205207201247269326433562
    2018 - - - - - - - -
    564--------
    De 1962 à 1999 : population sans doubles comptes ; pour les dates suivantes : population municipale.
    (Sources : Ldh/EHESS/Cassini jusqu'en 1999[35] puis Insee à partir de 2006[36].)
    Histogramme de l'évolution démographique
    Évolution du rang de la commune
    selon la population municipale des années : 1968[37] 1975[37] 1982[37] 1990[37] 1999[37] 2006[38] 2009[39] 2013[40]
    Rang de la commune dans le département 365 378 338 294 305 276 255 229
    Nombre de communes du département 592 582 586 588 588 588 589 589

    Économie

    L'agriculture basée sur la culture de céréales (maïs, blé…) a encore une place importante mais tend à diminuer en faveur de zones résidentielles liées à la proximité de l'agglomération toulousaine.

    Enseignement

    Lagrâce-Dieu fait partie de l'académie de Toulouse.

    1826 : Les registres de délibération du conseil municipal de Lagrâce-Dieu portent témoignage de l’existence d’une école déjà présente en 1826. Au budget, voté le , il est noté dans le registre des comptes au titre de dépenses que le logement et le traitement d’un instituteur s’élèvent à 80 F. (archives municipales de Lagrâce-Dieu).

    1839 : Monsieur le maire explique qu’en exécution de l’ordonnance royale du , le conseil municipal doit délibérer, chaque année, au mois de mai, sur l’entretien de l’école primaire communale, sur le taux de rétribution mensuelle et le traitement fixe à accorder à l’instituteur. La somme allouée à l’instituteur est de 132 francs et 90 centimes par les fonds de la commune. Les parents doivent rétribuer mensuellement l’instituteur, seuls les parents indigents ne payent pas de rétribution.

    1989 : La classe unique de Lagrâce-Dieu compte 9 élèves. L’école de Puydaniel est fermée déjà depuis quelques années.

    1995 : Une classe enfantine (classe maternelle à plusieurs cours) est ouverte à Lagrâce-Dieu. Les locaux sont celui de l’ancien presbytère. 1997 : Une deuxième classe primaire est ouverte à Lagrâce-Dieu.

    1999 : Une deuxième classe maternelle est ouverte à Lagrâce-Dieu. 2001 : L’école de Puydaniel est rouverte.

    2003 : L’école de Puydaniel compte 20 élèves. L’école de Lagrâce-Dieu compte 72 élèves. Ces deux écoles sont gérées par le SIVOM regroupant les mairies de Lagrâce-Dieu, Mauressac et Puydaniel.

    2005 : L’école de Puydaniel compte 23 élèves. L’école de Lagrâce-Dieu compte 92 élèves. Le conseil municipal de Mauressac envisage la construction et l’ouverture d’une école maternelle sur sa commune en 2007.

    2009 : le RPI de Lagrâce-Dieu/Puydaniel/Mauressac compte 160 enfants. Il y a maintenant 7 classes: 3 classes à Lagrâce-Dieu, 3 classes à Mauressac et 1 classe à Puydaniel directrice du RPI : L’école de Lagrâce-Dieu : 65 élèves, l’école de Puydaniel : 21 élèves et l’école de Mauressac : 74 élèves.

    2011 : le RPI de Lagrâce-Dieu/Puydaniel/Mauressac compte 180 enfants. Il y a 8 classes: 4 classes à Lagrâce-Dieu, 3 classes à Mauressac et 1 classe à Puydaniel. L’école de Lagrâce-Dieu : 89 élèves, l’école de Puydaniel : 15 élèves et l’école de Mauressac : 76 élèves.

    2013 : le RPI de Lagrâce-Dieu/Puydaniel/Mauressac compte 194 enfants Il y a 8 classes : 4 classes à Lagrâce-Dieu, 3 classes à Mauressac et 1 classe à Puydaniel. L’école de Lagrâce-Dieu : 94 élèves, l’école de Puydaniel : 24 élèves et l’école de Mauressac : 76 élèves.

    Culture et festivité

    Foyer rural, comité des fêtes

    Activités sportives

    Chasse, pétanque, randonnée pédestre,

    Écologie et recyclage

    La collecte et le traitement des déchets des ménages et des déchets assimilés ainsi que la protection et la mise en valeur de l'environnement se font dans le cadre du Smivom de la Mouillonne[41].

    Culture locale et patrimoine

    Lieux et monuments

    Tombeau de Sicard de Miremont

    Description : Une série de quadrilobes dans le goût du XIIIe siècle se développe sur les flancs du tombeau renfermant chacun un écusson chargé d'une pièce héraldique alternativement répétée. C'est tantôt une croix péronée tantôt un lion rampant. L'écusson du milieu est seul chargé de pal. Sicard de Miremont (Sicardus de Miremonte) probablement fils de Bernard un des témoins nommés dans le traité de paix entre Saint Louis et Raymond VII de Toulouse (1229) joua un certain rôle dans les événements qui suivirent la croisade contre les Albigeois. Il figure dans un hommage au dernier Raymond et fut un des commissaires chargés de recueillir les serments de fidélité dans le Toulousain l'Albigeois le Rouergue le Quercy et l'Agenais (1243). On le trouve l'année suivante comme témoin des hommages des comtes d'Astarac et de Comminges. Il rend au comte Raymond Totum jus et dominumin castro sanctoe gvelloe. En 1261 Roger-Bernard II de Foix jure paréage et fidélité : Dominus castri de Saverduns et nobilis véris éjus Dum Castro penéluit et de Sicardus de Miramonte.

    On voit à Miremont, peu distant de Lagrâce-Dieu le tombeau d'Honor de Durfort, femme de Sicard de Miremont.

    Personnalités liées à la commune

    Pour approfondir

    Articles connexes

    Liens externes

    Notes et références

    Notes et cartes

    • Notes
    1. Les distances sont mesurées entre chefs-lieux de communes à vol d'oiseau.
    2. L'amplitude thermique annuelle mesure la différence entre la température moyenne de juillet et celle de janvier. Cette variable est généralement reconnue comme critère de discrimination entre climats océaniques et continentaux.
    3. La distance est calculée à vol d'oiseau entre la station météorologique proprement dite et le chef-lieu de commune.
    4. Selon le zonage des communes rurales et urbaines publié en novembre 2020, en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le en comité interministériel des ruralités.
    5. La notion d'aire d'attraction des villes a remplacé en octobre 2020 l'ancienne notion d'aire urbaine, pour permettre des comparaisons cohérentes avec les autres pays de l'Union européenne.
    6. Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2021, millésimée 2018, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2020, date de référence statistique : 1er janvier 2018.
    • Cartes
    1. IGN, « Évolution de l'occupation des sols de la commune sur cartes et photos aériennes anciennes. », sur remonterletemps.ign.fr (consulté le ). Pour comparer l'évolution entre deux dates, cliquer sur le bas de la ligne séparative verticale et la déplacer à droite ou à gauche. Pour comparer deux autres cartes, choisir les cartes dans les fenêtres en haut à gauche de l'écran.

    Références

    1. Nom des habitants des communes françaises sur le site Habitants.fr, consulté le 8 octobre 2013.
    2. « Métadonnées de la commune de Lagrâce-Dieu », sur le site de l'Insee (consulté le ).
    3. Stephan Georg, « Distance entre Lagrâce-Dieu et Toulouse », sur https://fr.distance.to (consulté le ).
    4. Stephan Georg, « Distance entre Lagrâce-Dieu et Muret », sur https://fr.distance.to (consulté le ).
    5. Stephan Georg, « Distance entre Lagrâce-Dieu et Auterive », sur https://fr.distance.to (consulté le ).
    6. « Communes les plus proches de Lagrâce-Dieu », sur www.villorama.com (consulté le ).
    7. Frédéric Zégierman, Le guide des pays de France - Sud, Paris, Fayard, (ISBN 2-213-59961-0), p. 327-328.
    8. Carte IGN sous Géoportail
    9. Répertoire géographique des communes, publié par l'Institut national de l'information géographique et forestière, [lire en ligne].
    10. Daniel Joly, Thierry Brossard, Hervé Cardot, Jean Cavailhes, Mohamed Hilal et Pierre Wavresky, « Les types de climats en France, une construction spatiale », Cybergéo, revue européenne de géographie - European Journal of Geography, no 501, (DOI https://doi.org/10.4000/cybergeo.23155, lire en ligne, consulté le )
    11. « Le climat en France métropolitaine », sur http://www.meteofrance.fr/, (consulté le )
    12. « Définition d’une normale climatologique », sur http://www.meteofrance.fr/ (consulté le )
    13. « Le climat de la France au XXIe siècle - Volume 4 - Scénarios régionalisés : édition 2014 pour la métropole et les régions d’outre-mer », sur https://www.ecologie.gouv.fr/ (consulté le ).
    14. « Observatoire régional sur l'agriculture et le changement climatique (oracle) Occitanie », sur occitanie.chambre-agriculture.fr, (consulté le )
    15. « Station Météo-France Saint-Ybars - métadonnées », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le )
    16. « Orthodromie entre Lagrâce-Dieu et Saint-Ybars », sur fr.distance.to (consulté le ).
    17. « Station Météo-France Saint-Ybars - fiche climatologique - statistiques 1981-2010 et records », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le ).
    18. « Orthodromie entre Lagrâce-Dieu et Cugnaux », sur fr.distance.to (consulté le ).
    19. « Station météorologique de Toulouse-Francazal - Normales pour la période 1971-2000 », sur https://www.infoclimat.fr/ (consulté le )
    20. « Station météorologique de Toulouse-Francazal - Normales pour la période 1981-2010 », sur https://www.infoclimat.fr/ (consulté le )
    21. « Station météorologique de Toulouse-Francazal - Normales pour la période 1991-2020 », sur https://www.infoclimat.fr/ (consulté le )
    22. « Liste des zones Natura 2000 de la commune de Lagrâce-Dieu », sur le site de l'Inventaire national du patrimoine naturel (consulté le ).
    23. « Liste des ZNIEFF de la commune de Lagrâce-Dieu », sur le site de l'Inventaire national du patrimoine naturel (consulté le ).
    24. « Liste des espaces protégés sur la commune de Lagrâce-Dieu », sur le site de l'Inventaire national du patrimoine naturel (consulté le ).
    25. « Typologie urbain / rural », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
    26. « Commune rurale - définition », sur le site de l’Insee (consulté le ).
    27. « Comprendre la grille de densité », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
    28. « Base des aires d'attraction des villes 2020. », sur insee.fr, (consulté le ).
    29. Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier Pégaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans l’aire d’attraction d’une ville », sur insee.fr, (consulté le ).
    30. « CORINE Land Cover (CLC) - Répartition des superficies en 15 postes d'occupation des sols (métropole). », sur le site des données et études statistiques du ministère de la Transition écologique. (consulté le )
    31. art L. 2121-2 du code général des collectivités territoriales.
    32. « Résultats des élections municipales et communautaires 2014 », sur interieur.gouv.fr (consulté le ).
    33. L'organisation du recensement, sur insee.fr.
    34. Calendrier départemental des recensements, sur insee.fr.
    35. Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes études en sciences sociales.
    36. Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017 et 2018.
    37. INSEE, « Population selon le sexe et l'âge quinquennal de 1968 à 2012 (1990 à 2012 pour les DOM) », sur insee.fr, (consulté le ).
    38. INSEE, « Populations légales 2006 des départements et des collectivités d'outre-mer », sur insee.fr, (consulté le ).
    39. INSEE, « Populations légales 2009 des départements et des collectivités d'outre-mer », sur insee.fr, (consulté le ).
    40. INSEE, « Populations légales 2013 des départements et des collectivités d'outre-mer », sur insee.fr, (consulté le ).
    41. http://www.smivom-mouillonne.fr/fr/index.html
    42. « Clocher d'une église de France : 31264 - Lagrâce-Dieu », sur clochers.org (consulté le ).
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