Laborde (Hautes-Pyrénées)

Laborde (Era Bòrda en occitan) est une commune française située dans le département des Hautes-Pyrénées, en région Occitanie.

Pour les articles homonymes, voir Laborde.

Laborde

Vue du village.

Blason
Administration
Pays France
Région Occitanie
Département Hautes-Pyrénées
Arrondissement Bagnères-de-Bigorre
Intercommunalité Communauté de communes du Plateau de Lannemezan Neste-Baronnies-Baïses
Maire
Mandat
Geneviève Pflimlin
2020-2026
Code postal 65130
Code commune 65241
Démographie
Gentilé Labordaises, Labordais
Population
municipale
85 hab. (2018 )
Densité 47 hab./km2
Géographie
Coordonnées 43° 02′ 03″ nord, 0° 18′ 02″ est
Altitude Min. 416 m
Max. 610 m
Superficie 1,82 km2
Type Commune rurale
Aire d'attraction Lannemezan
(commune de la couronne)
Élections
Départementales Canton de Neste, Aure et Louron
Législatives Première circonscription
Localisation
Géolocalisation sur la carte : région Occitanie
Laborde
Géolocalisation sur la carte : Hautes-Pyrénées
Laborde
Géolocalisation sur la carte : France
Laborde
Géolocalisation sur la carte : France
Laborde

    Ses habitants sont appelés les Labordais.

    Géographie

    Localisation

    La commune de Laborde se trouve dans le département des Hautes-Pyrénées, en région Occitanie[1].

    Commune du piémont pyrénéen, elle se situe à 29 km à vol d'oiseau de Tarbes[2], préfecture du département, à 13 km de Bagnères-de-Bigorre[3], sous-préfecture, et à km de Capvern[4], bureau centralisateur du canton de Neste, Aure et Louron dont dépend la commune depuis 2015 pour les élections départementales[1]. La commune fait en outre partie du bassin de vie de Lannemezan[1].

    Les communes les plus proches[Note 1] sont[5] : Lomné (1,2 km), Arrodets (1,4 km), Esparros (1,7 km), Bulan (1,9 km), Espèche (3,0 km), Batsère (3,3 km), Asque (3,8 km), Labastide (4,3 km).

    Sur le plan historique et culturel, Laborde fait partie de la région des Baronnies, dont le nom est issu d’une légende selon laquelle quatre seigneurs du MoyenAge (les barrons d’Esparros et de Lomné, le vcomte d’Asté et le sire d’Uzer) avaient pour habitude de festoyer ensemble aux sources de l’Arros, chacun d’eux gardant un pied sur sa terre et l’autre sur celle du voisin[6].

    Communes limitrophes de Laborde[7]
    Bulan Lomné Lataillade (Esparros)
    Arrodets Esparros
    Pic de Montégut (Esparros) Pic de Carroc (1020 m) (Esparros) Bioussa (Esparros)

    Paysages et relief

    Le Pic du Midi de Bigorre (2876 m) n’est qu’à 19 km à vol d’oiseau. La commune, comptant 181 hectares, est peu étendue, compte tenu de la moyenne du département qui est de 950 hectares. Elle est bordée au nord par Lomné, à l'est par Esparros, et à l'ouest par Arrodets et Bulan. Son sous-sol est formé de calcaires aptiens et de schistes albiens.

    Laborde possède plusieurs grottes :

    • la grotte du Bouchet, ou Cap det Caminaou (où furent découverts les squelettes et poteries du néolithique) ;
    • la grotte de l'Alabén ;
    • la Tuta dets Gachassans ;
    • Houn de Laborde.

    Hydrographie

    L'Arros, affluent de rive droite de l’Adour (fleuve), traverse la commune du sud au nord et forme la limite ouest avec la commune de Bulan.
    L'Aube, affluent de rive droite de l’Arros, traverse la commune du sud au nord et forme la limite ouest avec la commune d’Arrodets.
    Le ruisseau de l'Ayguette, affluent de rive droite de l’Arros, traverse la commune du sud au nord et forme une partie de la limite est avec la commune d’Esparros.

    Climat

    Le climat qui caractérise la commune est qualifié, en 2010, de « climat océanique altéré », selon la typologie des climats de la France qui compte alors huit grands types de climats en métropole[8]. En 2020, la commune ressort du même type de climat dans la classification établie par Météo-France, qui ne compte désormais, en première approche, que cinq grands types de climats en métropole. Il s’agit d’une zone de transition entre le climat océanique et les climats de montagne et le climat semi-continental. Les écarts de température entre hiver et été augmentent avec l'éloignement de la mer. La pluviométrie est plus faible qu'en bord de mer, sauf aux abords des reliefs[9].

    Les paramètres climatiques qui ont permis d’établir la typologie de 2010 comportent six variables pour les températures et huit pour les précipitations, dont les valeurs correspondent aux données mensuelles sur la normale 1971-2000[10]. Les sept principales variables caractérisant la commune sont présentées dans l'encadré ci-après.

    Paramètres climatiques communaux sur la période 1971-2000[8]

    • Moyenne annuelle de température : 11,6 °C
    • Nombre de jours avec une température inférieure à −5 °C : 3,9 j
    • Nombre de jours avec une température supérieure à 30 °C : 5,6 j
    • Amplitude thermique annuelle[Note 2] : 14,3 °C
    • Cumuls annuels de précipitation : 1 118 mm
    • Nombre de jours de précipitation en janvier : 10,1 j
    • Nombre de jours de précipitation en juillet : 8,1 j

    Avec le changement climatique, ces variables ont évolué. Une étude réalisée en 2014 par la Direction générale de l'Énergie et du Climat[11] complétée par des études régionales[12] prévoit en effet que la température moyenne devrait croître et la pluviométrie moyenne baisser, avec toutefois de fortes variations régionales. Ces changements peuvent être constatés sur la station météorologique de Météo-France la plus proche, « Artigues », sur la commune de Campan, mise en service en 1959[13]et qui se trouve à 10 km à vol d'oiseau[14],[Note 3], où la température moyenne annuelle est de 7,7 °C et la hauteur de précipitations de 1 220,8 mm pour la période 1981-2010[15]. Sur la station météorologique historique la plus proche, « Tarbes-Lourdes-Pyrénées », sur la commune d'Ossun, mise en service en 1946 et à 31 km[16], la température moyenne annuelle évolue de 12,2 °C pour la période 1971-2000[17], à 12,6 °C pour 1981-2010[18], puis à 12,9 °C pour 1991-2020[19].

    Milieux naturels et biodiversité

    L’inventaire des zones naturelles d'intérêt écologique, faunistique et floristique (ZNIEFF) a pour objectif de réaliser une couverture des zones les plus intéressantes sur le plan écologique, essentiellement dans la perspective d’améliorer la connaissance du patrimoine naturel national et de fournir aux différents décideurs un outil d’aide à la prise en compte de l’environnement dans l’aménagement du territoire. Une ZNIEFF de type 1[Note 4] est recensée sur la commune[20] : le « réseau hydrographique des Baronnies » (390 ha), couvrant 35 communes du département[21] et une ZNIEFF de type 2[Note 5],[20] : les « Baronnies » (20 367 ha), couvrant 43 communes du département[22].

    Urbanisme

    Typologie

    Laborde est une commune rurale, car elle fait partie des communes peu ou très peu denses, au sens de la grille communale de densité de l'Insee[Note 6],[23],[24],[25].

    Par ailleurs la commune fait partie de l'aire d'attraction de Lannemezan, dont elle est une commune de la couronne[Note 7]. Cette aire, qui regroupe 65 communes, est catégorisée dans les aires de moins de 50 000 habitants[26],[27].

    Occupation des sols

    L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des territoires agricoles (86 % en 2018), une proportion identique à celle de 1990 (86 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : prairies (86 %), forêts (14 %)[28].

    L'IGN met par ailleurs à disposition un outil en ligne permettant de comparer l’évolution dans le temps de l’occupation des sols de la commune (ou de territoires à des échelles différentes). Plusieurs époques sont accessibles sous forme de cartes ou photos aériennes : la carte de Cassini (XVIIIe siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[Carte 1].

    Logement

    En 2012, le nombre total de logements dans la commune est de 116[29].
    Parmi ces logements, 41,7 % sont des résidences principales, 56,5 % des résidences secondaires et 1,8 % des logements vacants.

    Voies de communication et transports

    Cette commune est desservie par les routes départementales D17 et D26.

    Toponymie

    Extrait de la carte de Cassini (entre 1756 et 1789) situant Laborde.

    On trouvera les principales informations dans le Dictionnaire toponymique des communes des Hautes Pyrénées de Michel Grosclaude et Jean-François Le Nail[30] qui rapporte les dénominations historiques du village :

    Dénominations historiques :

    Étymologie : occitan bòrda (mot germanique signifiant à l'origine une cabane en planche).
    Nom occitan : Era Bòrda.

    Histoire[31]

    Étymologiquement, le nom du village vient de borde qui signifie grange. Cela semble indiquer que le village se développa autour d'une métairie, propriété du baron. Pour trouver l'origine de la vie dans ce village, il faut remonter dans des temps plus reculés. En effet, dans la grotte du Bouchet furent découverts en 1968 des restes de plusieurs squelettes, et des poteries du néolithique (datant d'environ 3 000 ans avant notre ère).

    Laborde appartenait à la baronnie d’Esparros s'étendant sur quatre paroisses (Esparros, Labastide, Laborde et Arrodets) mentionnées au XIIe siècle. C'est de la baronnie d'Esparros que vient le nom des Baronnies des Pyrénées, attribué récemment aux 27 communes du bassin du Haut Arros ; les seigneurs d'Esparros sont cités au XIe siècle.

    Dans le village, on est parfois étonné par la grande dispersion des maisons. Une légende affirme que le village, du temps où les maisons étaient couvertes de chaume, fut détruit par un incendie qui n'épargna que deux maisons. Et c'est depuis cet incident que les maisons furent construites éloignées, afin d'éviter qu'un tel désastre ne se reproduise. D’ailleurs, l'étymologie populaire prétend que lorsque le village avait été brûlé, il n'en était resté qu'une borde, une grange.

    Cadastre napoléonien de Laborde

    Le plan cadastral napoléonien de Laborde est consultable sur le site des archives départementales des Hautes-Pyrénées[32].

    Politique et administration

    Liste des maires

    La mairie en 2020.
    Le monument aux morts municipal.
    MandatNomQualité
    2020-Geneviève Pflimlin
    1995-2020Hélène DuthuÉleveuse
    1971-1995André Duplan
    1965-1971Pierre Gaidon
    1947-1965Jean Pailhé
    1925-1947Jules Duplan
    1919-1925Jean Claverie
    1908-1919Paul Lafforgue

    Historique administratif

    Sénéchaussée de Toulouse, élection d'Astarac, baronnie d'Esparros, canton de La Barthe-de-Neste (1790-2014)[33].

    Intercommunalité

    Laborde appartient à la communauté de communes du Plateau de Lannemezan Neste-Baronnies-Baïses créée en janvier 2017 et qui réunit 57 communes.

    Services publics

    Population et société

    Démographie

    L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. À partir de 2006, les populations légales des communes sont publiées annuellement par l'Insee. Le recensement repose désormais sur une collecte d'information annuelle, concernant successivement tous les territoires communaux au cours d'une période de cinq ans. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[35]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2005[36].

    En 2018, la commune comptait 85 habitants[Note 8], en diminution de 10,53 % par rapport à 2013 (Hautes-Pyrénées : +0,14 %, France hors Mayotte : +1,78 %).

    Évolution de la population  [modifier]
    1793 1800 1806 1821 1831 1836 1841 1846 1851
    372438431477579595585574586
    1856 1861 1866 1872 1876 1881 1886 1891 1896
    590578590607530500509506517
    1901 1906 1911 1921 1926 1931 1936 1946 1954
    446464402313305309303234192
    1962 1968 1975 1982 1990 1999 2005 2010 2015
    177157146138951091009688
    2018 - - - - - - - -
    85--------
    De 1962 à 1999 : population sans doubles comptes ; pour les dates suivantes : population municipale.
    (Sources : Ldh/EHESS/Cassini jusqu'en 1999[37] puis Insee à partir de 2006[38].)
    Histogramme de l'évolution démographique

    Enseignement

    L’école primaire en 2020.

    La commune dépend de l'académie de Toulouse. Elle dispose d’une école maternelle et primaire en 2017[39] (14 élèves), en regroupement avec la commune d’Esparros.

    Pratique de la quille de neuf

    Le village comporte un plantier où l'on joue aux quilles de neuf, jeu inventé au XVe siecle dont le but consiste à projeter par rebond une quille dans une direction avec une boule lancée dans une autre direction, afin de faire tomber les quilles annoncées et d’effectuer une des douze figures prédéfinies.

    Économie

    L'économie de la commune est essentiellement basée sur l'agriculture et l'élevage.

    Artisanat et commerces

    Laborde possède un bar–tabac–épicerie-café, un hôtel restaurant et un tourneur sur bois (buis, hêtre, chêne, châtaignier, merisier), fondé en 1920 par François Lafforgue, repris par son fils Paul, puis son arrière petit-fils Cyril Larrouy. Création d’une scierie en propre, pour auto approvisionnement en bois. Production de tous objets en bois, de l’utilitaire à la décoration. Cyril Larrouy crée aussi des flacons de parfum, des bouteilles (vin, champagne, armagnac) en bois pour l’industrie du luxe[40].

    Culture locale et patrimoine

    Sobriquets

    • Eths dera pasta borida : "ceux de la pâte bouillie". Il s'agissait d'une "pâte que l'on préparait à Noël avec de la farine de millet; on la faisait bouillir deux ou trois jours, jusqu'à ce qu'elle ait pris ce qu’il faut d’aigreur, et on la dégustait au réveillon" (Enq. A.L.G.).
    • Eths palèrs : "les fabricants de pelles de bois" (Rosapelly, vers 1910) .
    • Eths deras arrabas : "ceux des navets. La fête locale se tient à la Saint-Martin, saison des navets pour faire la fête !" (Enq. A.L.G.).

    L'usine de marbre

    À Laborde se trouvaient une carrière et une usine de marbre. Cette dernière était située sur les bords de l'Arros mais il n'en reste aujourd'hui que des ruines.
    Pour son fonctionnement :.
    les blocs étaient acheminés en chars à bœufs, par un sentier aboutissant à une tranchée creusée dans la pierre. Ils étaient ensuite amenés sur le site de l'usine. Après, ces blocs pouvant atteindre 70 cm de largeur étaient découpés par trois scies circulaires en diamant. L'énergie nécessaire au fonctionnement était fournie par l'Arros, et un système de poulies. Une dynamo permettait aux ouvriers de travailler jour et nuit. Une fois le marbre découpé, il était placé sur des wagonnets qui l'acheminaient jusqu'à Batsère où s'effectuaient les finitions, puis repartait en char à bœufs jusqu'à la gare de Tournay.

    L'usine de marbre, avant qu'elle ne tombe en ruine.

    En utilisant un système innovant pour leur époque, le système de sciage au fil hélicoïdal, les établissements Michaux espéraient dynamiser l'industrie de la pierre des Pyrénées.
    Mais l'usine s'arrêta de fonctionner lors de la Première Guerre mondiale, car les ouvriers partirent au combat. Mais à ce moment les affaires ne marchaient plus très bien car le marbre revenait trop cher et se faisait détrôner par celui de Belgique. Le marbre de Laborde servit par exemple à construire : le pont de pierre de Bordeaux, la cathédrale d'Anglet, et de nombreux ponts dans la vallée d'Aure.

    Les églises

    À Laborde, il y a deux églises. L'une très ancienne et l'autre beaucoup plus récente :

    La vieille église

    La vieille église est très ancienne, comme en témoigne l'architecture de la charpente, en vaisseau renversé.
    Elle est aujourd'hui désaffectée. On peut encore y trouver le corbillard du village, le bénitier, l'autel, et de nombreuses fresques sur les murs.

    L'exploitation du buis[41]

    Bien avant le XXe siècle, on exploita le buis des Baronnies pour l'envoyer au Jura. En 1907, un projet de ligne de chemin de fer Tournay-Bulan manqua de peu d'aboutir. Après 1918, les expéditions de buis pour le Jura atteignirent le chiffre de soixante wagons par an. En montagne, des tâcherons abattaient et dégrossissaient le buis, puis le descendaient à Arrodets. Là, il était chargé sur des chars tirés par des bœufs, et on l’embarquait à la gare de Tournay, distante de 25 kilomètres.
    Pendant ce temps-là, l'industrie locale essayait tant bien que mal de subsister.

    Festivités

    Saint patron : Saint-Martin, fêté le 11 novembre

    Personnalités liées à la commune

    André Claverie[42]

    André Claverie était l'un des tout derniers représentants de ces tourneurs sur bois qui proliféraient aux XVIIIe et XIXe siècles. Il avait une prédilection pour le buis, le bois sacré. Le petit arbre à feuilles vernissées pousse à foison dans la végétation dantesque des Baronnies. Paysan, artisan, André Claverie travaillait le buis depuis l'âge de 12 ans. Aujourd’hui, en quelque sorte, c’est le tourneur Cyril Larrouy qui a pris la relève au village[43].

    Héraldique

    Blasonnement :
    D'or à une tige arrachée de chardon au naturel, fleurie de 3 pièces et feuillée de 2 ; au chef d'azur chargé d'un roc d'échiquier accosté de 2 bêches, celle de dextre en bande et celle de senestre en barre, le tout d'or.
    Commentaires : Blason officiel vérifié auprès de la mairie.

    Voir aussi

    Articles connexes

    Liens externes

    Notes et références

    Notes et cartes

    • Notes
    1. Les distances sont mesurées entre chefs-lieux de communes à vol d'oiseau.
    2. L'amplitude thermique annuelle mesure la différence entre la température moyenne de juillet et celle de janvier. Cette variable est généralement reconnue comme critère de discrimination entre climats océaniques et continentaux.
    3. La distance est calculée à vol d'oiseau entre la station météorologique proprement dite et le chef-lieu de commune.
    4. Les ZNIEFF de type 1 sont des secteurs d’une superficie en général limitée, caractérisés par la présence d’espèces, d’association d’espèces ou de milieux rares, remarquables, ou caractéristiques du milieu du patrimoine naturel régional ou national.
    5. Les ZNIEFF de type 2 sont de grands ensembles naturels riches, ou peu modifiés, qui offrent des potentialités biologiques importantes.
    6. Selon le zonage des communes rurales et urbaines publié en novembre 2020, en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le en comité interministériel des ruralités.
    7. La notion d'aire d'attraction des villes a remplacé en octobre 2020 l'ancienne notion d'aire urbaine, pour permettre des comparaisons cohérentes avec les autres pays de l'Union européenne.
    8. Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2021, millésimée 2018, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2020, date de référence statistique : 1er janvier 2018.
    • Cartes
    1. IGN, « Évolution de l'occupation des sols de la commune sur cartes et photos aériennes anciennes. », sur remonterletemps.ign.fr (consulté le ). Pour comparer l'évolution entre deux dates, cliquer sur le bas de la ligne séparative verticale et la déplacer à droite ou à gauche. Pour comparer deux autres cartes, choisir les cartes dans les fenêtres en haut à gauche de l'écran.

    Références

    1. « Métadonnées de la commune de Laborde », sur le site de l'Insee (consulté le ).
    2. Stephan Georg, « Distance entre Laborde et Tarbes », sur https://fr.distance.to (consulté le ).
    3. Stephan Georg, « Distance entre Laborde et Bagnères-de-Bigorre », sur https://fr.distance.to (consulté le ).
    4. Stephan Georg, « Distance entre Laborde et Capvern », sur https://fr.distance.to (consulté le ).
    5. « Communes les plus proches de Laborde », sur www.villorama.com (consulté le ).
    6. Frédéric Zégierman, Le guide des pays de France - Sud, Paris, Fayard, (ISBN 2-213-59961-0), p. 283-284.
    7. Carte IGN sous Géoportail
    8. Daniel Joly, Thierry Brossard, Hervé Cardot, Jean Cavailhes, Mohamed Hilal et Pierre Wavresky, « Les types de climats en France, une construction spatiale », Cybergéo, revue européenne de géographie - European Journal of Geography, no 501, (DOI https://doi.org/10.4000/cybergeo.23155, lire en ligne, consulté le )
    9. « Le climat en France métropolitaine », sur http://www.meteofrance.fr/, (consulté le )
    10. « Définition d’une normale climatologique », sur http://www.meteofrance.fr/ (consulté le )
    11. « Le climat de la France au XXIe siècle - Volume 4 - Scénarios régionalisés : édition 2014 pour la métropole et les régions d’outre-mer », sur https://www.ecologie.gouv.fr/ (consulté le ).
    12. « Observatoire régional sur l'agriculture et le changement climatique (oracle) Occitanie », sur occitanie.chambre-agriculture.fr, (consulté le )
    13. « Station Météo-France Artigues - métadonnées », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le )
    14. « Orthodromie entre Laborde et Campan », sur fr.distance.to (consulté le ).
    15. « Station Météo-France Artigues - fiche climatologique - statistiques 1981-2010 et records », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le ).
    16. « Orthodromie entre Laborde et Ossun », sur fr.distance.to (consulté le ).
    17. « Station météorologique de Tarbes-Lourdes-Pyrénées - Normales pour la période 1971-2000 », sur https://www.infoclimat.fr/ (consulté le )
    18. « Station météorologique de Tarbes-Lourdes-Pyrénées - Normales pour la période 1981-2010 », sur https://www.infoclimat.fr/ (consulté le )
    19. « Station météorologique de Tarbes-Lourdes-Pyrénées - Normales pour la période 1991-2020 », sur https://www.infoclimat.fr/ (consulté le )
    20. « Liste des ZNIEFF de la commune de Laborde », sur le site de l'Inventaire national du patrimoine naturel (consulté le ).
    21. « ZNIEFF le « réseau hydrographique des Baronnies » - fiche descriptive », sur le site de l'inventaire national du patrimoine naturel (consulté le ).
    22. « ZNIEFF les « Baronnies » - fiche descriptive », sur le site de l'inventaire national du patrimoine naturel (consulté le ).
    23. « Typologie urbain / rural », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
    24. « Commune rurale - définition », sur le site de l’Insee (consulté le ).
    25. « Comprendre la grille de densité », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
    26. « Liste des communes composant l'aire d'attraction de Lannemezan », sur insee.fr (consulté le ).
    27. Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier Pégaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans l’aire d’attraction d’une ville », sur insee.fr, (consulté le ).
    28. « CORINE Land Cover (CLC) - Répartition des superficies en 15 postes d'occupation des sols (métropole). », sur le site des données et études statistiques du ministère de la Transition écologique. (consulté le )
    29. Insee : Rapport statistique communal pour la commune de Laborde
    30. Michel Grosclaude et Jean-François Le Nail, Dictionnaire toponymique des communes des Hautes Pyrénées intégrant les travaux de Jacques Boisgontier, Conseil Général des Hautes Pyrénées, 2000.
    31. d'après la monographie de Cazenave, instituteur, 1887
    32. Archives départementales des Hautes-Pyrénées : Plan cadastral de Laborde en 1825
    33. Archives départementales des Hautes-Pyrénées
    34. « Liste des juridictions compétentes pour Laborde (Hautes-Pyrénées) », sur le site du ministère de la Justice (consulté le )
    35. L'organisation du recensement, sur insee.fr.
    36. Calendrier départemental des recensements, sur insee.fr.
    37. Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes études en sciences sociales.
    38. Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017 et 2018.
    39. « Annuaire : Résultats de recherche », sur le site du ministère de l'Éducation nationale (consulté le ).
    40. « Laborde. Le luxe made in Baronnies », sur ladepeche.fr (consulté le ).
    41. Régionale Une, 8 décembre 1958
    42. La nouvelle République des Pyrénées, 7 août 2001
    43. « Le compagnon du tour à bois », sur ladepeche.fr (consulté le ).
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