La Taillée
La Taillée est une commune française située dans le département de la Vendée en région Pays de la Loire.
La Taillée | |||||
L’église du Sacré-Cœur en . | |||||
Administration | |||||
---|---|---|---|---|---|
Pays | France | ||||
Région | Pays de la Loire | ||||
Département | Vendée | ||||
Arrondissement | Fontenay-le-Comte | ||||
Intercommunalité | Communauté de communes Sud Vendée Littoral | ||||
Maire Mandat |
Judicaël Lamy 2020-2026 |
||||
Code postal | 85450 | ||||
Code commune | 85286 | ||||
Démographie | |||||
Gentilé | Taillezais | ||||
Population municipale |
571 hab. (2018 ) | ||||
Densité | 49 hab./km2 | ||||
Géographie | |||||
Coordonnées | 46° 22′ 49″ nord, 0° 55′ 38″ ouest | ||||
Altitude | 3 m Min. 0 m Max. 7 m |
||||
Superficie | 11,55 km2 | ||||
Type | Commune rurale | ||||
Aire d'attraction | Commune hors attraction des villes | ||||
Élections | |||||
Départementales | Canton de Luçon | ||||
Législatives | Cinquième circonscription | ||||
Localisation | |||||
Géolocalisation sur la carte : Pays de la Loire
Géolocalisation sur la carte : Vendée
Géolocalisation sur la carte : France
Géolocalisation sur la carte : France
| |||||
Liens | |||||
Site web | Site officiel | ||||
Géographie
Le territoire municipal de La Taillée s’étend sur 1 155 hectares. L’altitude moyenne de la commune est de 3 mètres, avec des niveaux fluctuant entre 0 et 7 mètres[1],[2].
Communes limitrophes
Urbanisme
Typologie
La Taillée est une commune rurale, car elle fait partie des communes peu ou très peu denses, au sens de la grille communale de densité de l'Insee[Note 1],[4],[5],[6]. La commune est en outre hors attraction des villes[7],[8].
Occupation des sols
L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des territoires agricoles (94,7 % en 2018), une proportion identique à celle de 1990 (95,3 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : terres arables (75,8 %), zones agricoles hétérogènes (10,5 %), prairies (8,4 %), zones urbanisées (5,3 %)[9].
L'IGN met par ailleurs à disposition un outil en ligne permettant de comparer l’évolution dans le temps de l’occupation des sols de la commune (ou de territoires à des échelles différentes). Plusieurs époques sont accessibles sous forme de cartes ou photos aériennes : la carte de Cassini (XVIIIe siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[10].
Histoire
Première Guerre mondiale (1914-1918)
Voici 19 poilus de la Taillée morts pour la France pendant la Première Guerre mondiale (1914-1918)
Durant Benjamin Abel Auguste, né le 20 août 1890 à la Tardière en Vendée, mort le 20 août 1917 à Verdun. Fils de Arnaud Auguste et Marie Augustine, il a été recruté à Fontenay-le-Comte en Vendée. Il décède le 20 août 1917 à Verdun « tué a l’ennemi »[11], il avait 27 ans et était caporal. Il faisait partie du 8e bataillon de chasseurs a pieds « unité de l’infanterie de l’armée française »[12]. Il a combattu pour la France contre l’empire Allemand. La bataille de Verdun s’est déroulée du 21 février au 18 décembre 1916, « c’est la plus longue bataille de la Première Guerre mondiale et l’une des plus dévastatrices »[13]. Cette bataille fait 163 000 morts, 216 000 blessés pour la France et 143 000 morts, 196 000 blessés pour l’Allemagne. Le secteur de Verdun est choisi car il forme une avancée dans la ligne de défense allemande.
Le Soldat Chevalier Emile Emmanuel Léon, né le 15 juin 1896 à Sérigné en Vendée et mort le 26 juin 1916 dans une ambulance. Il était agriculteur avant de rejoindre l’armée. Le 9 avril 1915, âgé de 20 ans, il rejoint le 93e régiment d’infanterie « de l’armée de terre française créé en 1706 »[14] pour combattre contre l’Allemagne. Il a obtenu la croix de guerre, « une décoration militaire Française attribuée pour récompenser l’octroi d’une situation par le commandement militaire pour conduite exceptionnel au cours de la Première Guerre mondiale »[15].
Gaborit Ernest Eugène Jean Louis, né le 23 mai 1897 à Beaufferé en Vendée, mort le 16 novembre 1917 en Meuse Nord-Est de la France des suites de blessures de guerre et des plaies multiples. Il était le fils de François et Moulleau Eugénie. Il était cultivateur. À l’âge de 20 ans, il intègre le 97e régiment d’infanterie en tant que canonnier pour la bataille de la Meuse contre les Allemands. La bataille de la Meuse fut « la dernière attaque de la Première Guerre mondiale »[16]. L’offensive dura du 26 septembre au 11 novembre 1918. C’est la défaite de l’armée allemande. Dans cette bataille, la France et les États-Unis sont alliés contre l’Allemagne, les pertes sont de 26 277 morts pour la France et 28 000 morts pour l’Allemagne.
Charpentier Marcel Edense Cyprien, né le 24 février 1897 à Vouillé-les-Marais en Vendée, mort le 4 janvier 1918 au centre hospitalier de Souilly près de Verdun des suites de blessures de guerre, à l’âge de 20 ans. Il a été recruté a Fontenay-le-Comte en Vendée. Il a intégré le 252e régiment d’infanterie. Il avait le grade de 2e classe « Le soldat de 2e classe constitue la base de la hiérarchie militaire française. Il se situe au-dessous du premier grade qui est caporal ou brigadier sont équivalant dans les armes à cheval. Le soldat de 2e classe est un militaire du rang sans insigne de grade »[17].
Brochet Marc François Armand, né le 9 janvier 1890 à Vouillé-les-Marais en Vendée, mort pour la France le 28 octobre 1918 à Nœux-les-Mines au nord de la France des suites de blessures de guerre. Fils de Auguste et Zélie Brochet, il était cultivateur. Il a été recruté à Fontenay-le-Comte en Vendée, il a intégré le 125e régiment d’infanterie. Il combattait contre l’empire allemand. Il a été blessé le 27 octobre 1915 à Loos au Nord-Est de la France. La bataille de Loos débute en septembre 1915. En une seule journée, 8500 Britanniques sont tués par des gaz « The big push » fut une bataille sans précédent de par l’ampleur des troupes engagées, l’objectif était de reconquérir le bassin minier en contrebas »[18]. Les Britanniques utilisent pour la première fois le gaz, ce fut un échec.
Chevalier Jules Narcisse Charles, né le 8 avril 1885 à Vouillé-les-Marais en Vendée, mort le 29 août 1918 à l’hôpital mixte de Bruyère dans les Vosges. Fils de Célestin Chevalier et de Rouhaud Maire, il était employé de commerce. Vendéen de naissance, il est recruté à Fontenay-le-Comte en Vendée et intègre le 51e régiment d’artillerie « Appartenant aux éléments organique Divisionnaire de la 1re Division, sa structure était la suivante : une batterie de commandement et des services, deux batteries de tir, équipées de canons tractés Bofors de 40 mm, Une batterie de tir équipée de blindés antiaériens AMX13 bitubes de 30 mm et une Unité d’instruction »[19]. Il était lieutenant, il a participé à la Guerre des Vosges « Durant la Grand Guerre, le massif des Vosges est le seul théâtre d’opérations de montagne sur lequel Français et allemands s’affrontent. Après la bataille de Haute-Meurthe, le front des Vosges s’immobilise. »[20]. Cette Guerre mène a la perte de 18 000 soldats en 81 jours. Le lieutenant décède le 29 août 1918 des suites d'une maladie contractée aux services aux armées.
Trichet Eugène Jules Octave, né le 11 octobre 1876 à Vouillé-les-Marais en Vendée, mort le 11 mars 1918 en Marne, il est décédé des suites de blessures de guerre. Il était cultivateur. Il est recruté à Fontenay-le-Comte en Vendée et intègre le 61e régiment d’infanterie pour aller combattre en Marne contre les Allemands. La bataille de la Marne débute du 6 au samedi 12 septembre 1914 « La période la plus brutale se déroule au cours de la bataille de la Marne qui a vu les armées allemandes dévaster une grande partie des villages du canton de Revigny »[21]. Les soldats sont restés six jours dans la fournaise, « Les armées Française s’étendaient sur un front de près de 300 km de Senlis à Verdun »[21]. Durant cette Bataille, les pertes sont de « 21 000 morts, 84 000 disparues et 122 000 blessés pour la France. Côté allemand, 43 000 morts, 40 000 disparus et 173 000 blessés. ». Le soldat a obtenu le certificat de bonne conduite, il est passé dans l’armée territoriale le 1er octobre 1910. Il a combattu contre l’Allemagne du 3 août 1914 au 11 mars 1918.
Simonneau Felix Jean André, né le 10 août 1893 au Gué-de-Velluire en Vendée, mort le 26 octobre 1914 en Belgique. Fils de Jean Simonneau et de Chaigneau Marie, il était cultivateur. Il est recruté à Fontenay-le-Comte en Vendée pour intégrer le 114e régiment d’infanterie de l’Armée française. Il a participé à la bataille de Belgique du 4 août 1914 au 10 octobre 1914 contre l’Allemagne, c’était la date de l’entrée des Allemands sur le territoire français. Cette bataille fait également partie de la Guerre des frontières qui comprenait la France, le Royaume-Uni et la Belgique contre l’Allemagne. Il est mort à l’âge de 21 ans des suites de blessures de guerre. Il était caporal.
Arcelin Gustave André Eugène, né le 27 décembre 1895 au Gué-de-Velluire en Vendée, mort le 11 juin 1918. Il était cultivateur. Il est recruté à Fontenay-le-Comte en Vendée pour ensuite intégrer le 141e régiment d’infanterie de l’armée de terre française en tant que soldat pour aller combattre. Le soldat Arcelin Gustave André Eugène est décédé des suites d'une maladie au l’hôpital 130bis de Marseille. Il a combattu contre l’Allemagne du 8 septembre 1915 au 11 juin 1918. : « Le 30 août 1917, bien que malade au point de ne pouvoir assurer sont service, normal est venu pendant une attaque ennemie prendre position dans la tranchée complètement démolie ou le bombardement violent et est resté pendant toute l’opération complètement a découvert faisant preuve d’un mépris absolu au danger »[22]. Le soldat a obtenu la croix de guerre « La croix de guerre est une décoration militaire Française attribuée pour récompenser l’octroi d’une situation par le commandement militaire pour conduite exceptionnel au cours de la Première Guerre mondiale » avec l’étoile de vermeil.
Angibaud Gilbert Maurice, né le 28 septembre 1893 à Vouillé-les-Marais en Vendée, mort pour la France le 9 décembre 1916 à Vlaklar en Serbie. Fils de Amédée François Angibaud et Babin Marie Eugénie Mélanie, il a 8 frères (Abraham Amédée François, Émilien Constant Pierre, Hébert Jean Joseph, Élie François Léopold, Robert Maixent, François Amédée, Émile Louis, Émile Henri Frédéric) et une sœur (Marie Louise Antoinette)[23]. Il commence la guerre le 15 décembre 1914 contre les Allemands. Il est 2e Classe RIC du 3e régiment d’infanterie coloniale, c’est « une unité militaire française qui regroupe des troupes coloniales pendant les deux guerres mondiales et la guerre d’Indochine ». Il meurt « tué à l’ennemi » le 9 décembre 1916 à 2 189 km de chez lui en Serbie à l’âge de 23 ans.
Bastard Marie Alexandre Julien, né le 1er septembre 1882 à Vouillé-les-Marais, mort pour la France le 28 février 1915 à Beauséjour dans la Marne. Fils de Alexandre Bastard et Gratton Marie. Marié à Marie Adrienne Marthe Maingueneau, il est mobilisé le 1er août et arrivé au corps le 13 août 1914 pour commencer la guerre contre les Allemands. Il est 2e classe au 3e régiment infanterie coloniale. Il meurt « tué à l’ennemi[24] » ou « disparu[25] » le 28 février 1915 à Beauséjour dans la Marne à l’âge de 32 ans.
Durand Eugene Joseph Hisidore, né le 18 mai 1897 à La Mothe-Achard, mort pour la France le 9 mars 1919 à Beauséjour dans la Marne. Fils de Aimé Joseph Adolfeche et Gauvrit Marie Eugèmise, il est « Maintenu sous les drapeaux » le 1er août 1914. Il est 2e sapeur du 11e régiment du génie. Il meurt de « Maladie contracté en service » le 9 mars 1919 à l’âge de 21 ans.
Jeanneau Gaston Georges Pacifique, né 20 juillet 1893 à Vouillé-les-Marais, mort pour la France le 5 mai 1917 à Vauxaillon à Aisne. Fils de Pacifique et Bouet Marie, il part en campagne en Algérie en décembre 1912 puis est mobilisé le 1er août 1914. Il est Sergent au « 28e bataillon tirailleurs sénégalais », et meurt « tué à l’ennemi » le 5 mai 1917 à Vauxaillon à Aisne à l’âge de 23 ans.
Mercier André Pierre Gustave, né le 1er décembre 1893 à Vouillé-les-Marais, mort pour la France le 16 avril 1917 à Ailles dans l’Aisne. Fils de René Gustave (1860-) et Marie Julie Magdelaine Mocquais (1961-), il a 1 frère (René Frédéric Lucien Mercier). Il commence la guerre le 2 août 1914, il devient caporal le 1er mars 1915, sergent le 24 décembre 1915 et adjudant le 16 mars 1917 du 52e régiment d’infanterie coloniale, « une unité de l'armée de terre française qui appartient aux troupes coloniales créées en 1915 » . Il meurt le 16 avril 1917 « tué à l’ennemi » à Paissy dans l’Aisne à l’âge de 23 ans.
Taupeau Jules Pierre Clément, né le 30 décembre 1894 à Vouillé-les-Marais, mort pour la France le 10 juin 1915 dans le Pas-de-Calais à Neuville-Saint-Vaast. Fils de Clément Taupeau et Gaignet Marie, il commence la guerre le 1er ou le 7 septembre 1914, il est soldat du 125e régiment d’infanterie, c’est « un régiment d'infanterie de l'Armée de terre française créé par le Premier Consul à partir de deux régiments d'infanterie hollandais en 1810 » . Il meurt le 10 juin 1915 « tué à l’ennemi » dans le Pas-de-Calais à neuville-Saint-Vaast à l’âge de 20 ans.
Casseron Pascal Alexandre, né le 14 septembre 1888 à Marans en Charente-Maritime, mort pour la France le 2 août 1916 à Vadelaincourt dans la Meuse à l’hôpital 12. Fils de Olivier Casseron et Gobin Julie. Il commence la guerre le 3 août 1914, il est 2e canonnier servant du 51e régiment d’artillerie c’est « un ancien régiment d’artillerie de l’armée française » aux armes. Il meurt le 2 août de « blessures de guerre » à Vadelaincourt dans la Meuse, à l’hôpital 12 à l’âge de 27 ans.
Guilbot Benjamin Achille, né le 17 juillet 1890 au Gué-de-Velluire, mort pour la France le 26 février 1916 à bord de la Provence. Il commence la guerre le 3 août 1914, il est soldat du 3e régiment d’infanterie coloniale. Il meurt « disparu en mer » le 26 février 1916 à bord de la Provence à l’âge de 24 ans.
Ancelin Athanase Marie Xavier, né le 7 août 1882 au Gué-de-Velluire, mort pour la France le 25 septembre 1915 à Ville-sur-Tourbe dans la Marne. Fils de Louis Pierre et Marie Véronique Pouvreau, il a 3 frères (Pierre Louis, Victor Gaston, Louis Pierre) et une sœur (Fernande), il commence la guerre le 19 août 1914, il est 2e classe du 3e régiment d’infanterie coloniale. Il meurt « tué à l’ennemi » le 25 septembre 1915 à la Ville-sur-Tourbe à l’âge de 33 ans.
Arnaud Emile Jules Athanase, né le 18 février 1882 aux Sables-d'Olonne, mort pour la France le 18 septembre 1914 à la « Ferme de la pêcherire près de Pontavert » dans l’Aisne. Fils de Louis Pierre et Marie Adèle, il est marié avec Emilienne Angele Eleonore Penaud et ils ont une fille Emilia Charlotte Angèle (1910-1983) Arnaud. Il commence la guerre le 1er août 1914, il est soldat 2e classe du 123e régiment d’infanterie. Il meurt de « blessures de guerre » sur le champ de bataille, le 18 septembre à la Ferme de la Pêcherie près de Pontavert dans l’Aisne à l’âge de 32 ans.
Liste des maires
Démographie
Évolution démographique
L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1906. À partir de 2006, les populations légales des communes sont publiées annuellement par l'Insee. Le recensement repose désormais sur une collecte d'information annuelle, concernant successivement tous les territoires communaux au cours d'une période de cinq ans. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[27]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2005[28].
En 2018, la commune comptait 571 habitants[Note 4], en augmentation de 2,7 % par rapport à 2013 (Vendée : +3,74 %, France hors Mayotte : +1,78 %).
Pyramide des âges
La population de la commune est relativement âgée. Le taux de personnes d'un âge supérieur à 60 ans (29,1 %) est en effet supérieur au taux national (21,6 %) et au taux départemental (25,1 %). À l'instar des répartitions nationale et départementale, la population féminine de la commune est supérieure à la population masculine. Le taux (51 %) est du même ordre de grandeur que le taux national (51,6 %).
La répartition de la population de la commune par tranches d'âge est, en 2007, la suivante :
- 49 % d’hommes (0 à 14 ans = 18,4 %, 15 à 29 ans = 13,8 %, 30 à 44 ans = 22,6 %, 45 à 59 ans = 18 %, plus de 60 ans = 27,2 %) ;
- 51 % de femmes (0 à 14 ans = 17,3 %, 15 à 29 ans = 13,3 %, 30 à 44 ans = 20,5 %, 45 à 59 ans = 18,1 %, plus de 60 ans = 30,9 %).
Lieux et monuments
- Ouvrage hydraulique de la Boule d'or
- Église du Sacré-Cœur
Pour approfondir
Articles connexes
Notes et références
Notes
- Selon le zonage des communes rurales et urbaines publié en novembre 2020, en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le en comité interministériel des ruralités.
- Réélu en 1977, 1983 et 1989.
- Réélue en 2008.
- Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2021, millésimée 2018, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2020, date de référence statistique : 1er janvier 2018.
Références
- « Commune 31312 », Géofla, version 2.2, base de données de l’Institut national de l’information géographique et forestière (IGN) sur les communes de la France métropolitaine, 2016 [lire en ligne].
- « La Taillée », Répertoire géographique des communes, fichier de l’Institut national de l’information géographique et forestière (IGN) sur les communes de la Métropole, 2015.
- Carte IGN sous Géoportail
- « Typologie urbain / rural », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
- « Commune rurale - définition », sur le site de l’Insee (consulté le ).
- « Comprendre la grille de densité », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
- « Base des aires d'attraction des villes 2020. », sur insee.fr, (consulté le ).
- Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier Pégaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans l’aire d’attraction d’une ville », sur insee.fr, (consulté le ).
- « CORINE Land Cover (CLC) - Répartition des superficies en 15 postes d'occupation des sols (métropole). », sur le site des données et études statistiques du ministère de la Transition écologique. (consulté le )
- IGN, « Évolution de l'occupation des sols de la commune sur cartes et photos aériennes anciennes. », sur remonterletemps.ign.fr (consulté le ). Pour comparer l'évolution entre deux dates, cliquer sur le bas de la ligne séparative verticale et la déplacer à droite ou à gauche. Pour comparer deux autres cartes, choisir les cartes dans les fenêtres en haut à gauche de l'écran.
- A. B. Makar, K. E. McMartin, M. Palese et T. R. Tephly, « Formate assay in body fluids: application in methanol poisoning », Biochemical Medicine, vol. 13, no 2, , p. 117–126 (ISSN 0006-2944, PMID 1, DOI 10.1016/0006-2944(75)90147-7, lire en ligne, consulté le ).
- K. S. Bose et R. H. Sarma, « Delineation of the intimate details of the backbone conformation of pyridine nucleotide coenzymes in aqueous solution », Biochemical and Biophysical Research Communications, vol. 66, no 4, , p. 1173–1179 (ISSN 1090-2104, PMID 2, DOI 10.1016/0006-291x(75)90482-9, lire en ligne, consulté le ).
- R. J. Smith et R. G. Bryant, « Metal substitutions incarbonic anhydrase: a halide ion probe study », Biochemical and Biophysical Research Communications, vol. 66, no 4, , p. 1281–1286 (ISSN 0006-291X, PMID 3, DOI 10.1016/0006-291x(75)90498-2, lire en ligne, consulté le ).
- W. A. Hendrickson et K. B. Ward, « Atomic models for the polypeptide backbones of myohemerythrin and hemerythrin », Biochemical and Biophysical Research Communications, vol. 66, no 4, , p. 1349–1356 (ISSN 1090-2104, PMID 5, DOI 10.1016/0006-291x(75)90508-2, lire en ligne, consulté le ).
- Y. W. Chow, R. Pietranico et A. Mukerji, « Studies of oxygen binding energy to hemoglobin molecule », Biochemical and Biophysical Research Communications, vol. 66, no 4, , p. 1424–1431 (ISSN 0006-291X, PMID 6, DOI 10.1016/0006-291x(75)90518-5, lire en ligne, consulté le ).
- T. R. Anderson et T. A. Slotkin, « Maturation of the adrenal medulla--IV. Effects of morphine », Biochemical Pharmacology, vol. 24, no 16, , p. 1469–1474 (ISSN 1873-2968, PMID 7, DOI 10.1016/0006-2952(75)90020-9, lire en ligne, consulté le ).
- K. Moroi et T. Sato, « Comparison between procaine and isocarboxazid metabolism in vitro by a liver microsomal amidase-esterase », Biochemical Pharmacology, vol. 24, no 16, , p. 1517–1521 (ISSN 1873-2968, PMID 8, DOI 10.1016/0006-2952(75)90029-5, lire en ligne, consulté le ).
- « <sc>Jean-Nicolas Corvisier</sc>. <italic>AUX origines du miracle grec: Peuplement et population en Grèce du Nord</italic>. (Histoires.) Paris: Presses Universitaires de France. 1991. Pp. viii, 315.268 fr », The American Historical Review, (ISSN 1937-5239, DOI 10.1086/ahr/98.2.476-a, lire en ligne, consulté le ).
- A. Schmoldt, H. F. Benthe et G. Haberland, « Digitoxin metabolism by rat liver microsomes », Biochemical Pharmacology, vol. 24, no 17, , p. 1639–1641 (ISSN 1873-2968, PMID 10, lire en ligne, consulté le ).
- Archives départementales du Haut-Rhin ; Archives départementales des Vosges, « Guerre des Vosges et guerres de montagne, 1914-1918, actes du colloque international des 21, 22 et 23 mai 2015 », sur FranceArchives (consulté le ).
- Nathalie Philippe, « La Nouvelle-Zélande dans la Grande Guerre : de la région coloniale à la nation », dans Petites patries dans la grande guerre, Presses universitaires de Rennes, (ISBN 9782753527591, lire en ligne), p. 211–225.
- « Soldats de Vendée - 1914-1918 - Relevés de registres matricules de Vendée », sur www.soldatsdevendee.fr (consulté le ).
- « Généalogie de Gilbert Maurice ANGIBAUD », sur Geneanet (consulté le ).
- Mémoire des hommes, Ministère des armées
- « Archives numérisées / Consulter / Archives de la Vendée | Archives de la vendée », sur www.archives.vendee.fr (consulté le ).
- Site officiel de la préfecture de la Vendée - liste des maires(doc pdf)
- L'organisation du recensement, sur insee.fr.
- Calendrier départemental des recensements, sur insee.fr.
- Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes études en sciences sociales.
- Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017 et 2018.
- « Évolution et structure de la population », sur insee.fr (consulté le )
- « Résultats du recensement de la population de la Vendée en 2007 » [archive du ], sur insee.fr (consulté le ).
- Portail de la Vendée
- Portail des communes de France