La Roque-d'Anthéron

La Roque-d'Anthéron est une commune française située dans le département des Bouches-du-Rhône, en région Provence-Alpes-Côte d'Azur.

Pour les articles homonymes, voir La Roque.

La Roque-d'Anthéron

Clinique du château de Florans
à La Roque-d'Anthéron.

Blason
Administration
Pays France
Région Provence-Alpes-Côte d’Azur
Département Bouches-du-Rhône
Arrondissement Aix-en-Provence
Intercommunalité Métropole d'Aix-Marseille-Provence
Maire
Mandat
Jean-Pierre Serrus (LREM)
2020-2026
Code postal 13640
Code commune 13084
Démographie
Gentilé Rocassiers
Population
municipale
5 441 hab. (2018 )
Densité 213 hab./km2
Géographie
Coordonnées 43° 42′ 56″ nord, 5° 18′ 41″ est
Altitude 175 m
Min. 128 m
Max. 484 m
Superficie 25,49 km2
Unité urbaine Commune rurale
Aire d'attraction Marseille - Aix-en-Provence
(commune de la couronne)
Élections
Départementales Canton de Pélissanne
Législatives Quinzième circonscription
Localisation
Géolocalisation sur la carte : Provence-Alpes-Côte d'Azur
La Roque-d'Anthéron
Géolocalisation sur la carte : Bouches-du-Rhône
La Roque-d'Anthéron
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La Roque-d'Anthéron
Géolocalisation sur la carte : France
La Roque-d'Anthéron
Liens
Site web http://www.ville-laroquedantheron.fr

    Ses habitants sont appelés les Rocassiers.

    Géographie

    Situation

    La commune est baignée par la Durance. Elle est reliée à Lambesc par le col de Sainte-Anne.

    La place la République et l'ancienne mairie.

    Climat

    Le tableau ci-dessous indique les températures et les précipitations pour la période 1971-2000 :

    Mois J F M A M J J A S O N D année
    Températures maximales (°C) 10,9 12,3 15,3 17,5 22,0 25,8 29,4 29,0 25,0 19,9 14,2 11,6 19,4
    Températures moyennes (°C) 6,1 7,2 9,7 12,0 16,1 19,8 22,9 22,7 19,2 14,7 9,6 7,0 13,9
    Températures minimales (°C) 1,2 2,0 4,0 6,4 10,1 13,7 16,4 16,3 13,3 9,5 4,9 2,4 8,4
    Précipitations (hauteur en mm) 59 47 44 63 52 31 16 37 64 98 58 54 623,4
    Source : Météo France[1] / Station de Salon-de-Provence.

    Urbanisme

    Typologie

    La Roque-d'Anthéron est une commune rurale[Note 1],[2]. Elle fait en effet partie des communes peu ou très peu denses, au sens de la grille communale de densité de l'Insee[3],[4]. Elle appartient à l'unité urbaine de La Roque-d'Anthéron, une unité urbaine monocommunale[5] de 5 455 habitants en 2017, constituant une ville isolée[6],[7].

    Par ailleurs la commune fait partie de l'aire d'attraction de Marseille - Aix-en-Provence, dont elle est une commune de la couronne[Note 2]. Cette aire, qui regroupe 115 communes, est catégorisée dans les aires de 700 000 habitants ou plus (hors Paris)[8],[9].

    Occupation des sols

    Carte de l'occupation des sols de la commune en 2018 (CLC).

    L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des forêts et milieux semi-naturels (48,5 % en 2018), une proportion identique à celle de 1990 (48,7 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : forêts (38,2 %), zones agricoles hétérogènes (33,4 %), zones urbanisées (8,5 %), milieux à végétation arbustive et/ou herbacée (5,9 %), espaces ouverts, sans ou avec peu de végétation (4,4 %), terres arables (4,1 %), prairies (2,3 %), zones industrielles ou commerciales et réseaux de communication (1,5 %), eaux continentales[Note 3] (1,1 %), cultures permanentes (0,6 %)[10].

    L'IGN met par ailleurs à disposition un outil en ligne permettant de comparer l’évolution dans le temps de l’occupation des sols de la commune (ou de territoires à des échelles différentes). Plusieurs époques sont accessibles sous forme de cartes ou photos aériennes : la carte de Cassini (XVIIIe siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[11].

    Histoire

    Moyen Âge

    Citée en 1037 sous le toponyme de Roca, elle a ensuite une étymologie controversée : La Rocca d'An Tarron (en 1200), Roccha Tarroni (en 1274), Rocca d'en Tarron[12].[réf. incomplète]

    Au début du XIVe siècle, le chevalier Boniface de La Fare, docteur en droit, juge mage et maitre-rational de 1320 à 1341, est coseigneur de La Roque-d'Anthéron. Son fils André de La Fare fut pourvu par le roi Robert d'un quelconque office. En 1357, André abandonna ses droits sur La Roque-d'Anthéron, en faveur de l'abbaye de Silvacane[13]. En 1359, il acheta plusieurs terres situées à Gardanne pour 100 florins d'or. Il fut condamné à mort et ses biens furent confisqués.

    En 1336, Albert de Affuvello (Fuveau), coseigneur de La Roque-d'Anthéron, est molesté à Aix par le noble Pons de Auronis[14].

    Jean II, seigneur de La Barben et d'Autan dont est issue la branche des Forbin la Barben continuée à ce jour. Il épouse le Marthe Delli Pazzi. Leur fils Jean de Forbin signe avec 70 familles de colons un « acte d'habitation » : La Roque-d'Anthéron renaît. Parmi ces colons, un grand nombre sont des fils des colons vaudois implantés depuis une génération sur le piémont du Luberon. Trente ans plus tard dans ce village de La Roque, Adam de Craponne, ingénieur du Roy, ouvre un canal révolutionnaire transportant l'eau de la Durance depuis La Roque-d'Anthéron jusqu'à Salon-de-Provence. Ce canal éloigne le spectre de la soif dans la ville de Nostradamus et permet la construction de moulins sur son cours[15].

    Un bac à traille traversait la Durance dès le milieu du Moyen Âge (il est cité en 1037), à Gontard et face à Cadenet[16]. Au XIIe siècle, l’abbaye Saint-André de Villeneuve-lès-Avignon y possédait l’église du podii Sanguinetti, un village fortifié aujourd’hui disparu[17].

    Période moderne

    Le monument aux morts.

    En avril 1545, une persécution est organisée contre les vaudois du Luberon. Les troupes de Paulin de La Garde, de Joseph d'Agoult et de Redortier, sous la direction du premier président du Parlement d’Aix, Maynier, seigneur d'Oppède, pillent le village. Les terres sont confisquées, les hommes massacrés, les femmes violées avant d’être tuées[18].

    Avec la promulgation de l’édit de Nantes, La Roque-d’Anthéron est une des dernières places fortes de sûreté des protestants en Provence, qu’ils tiennent encore en 1620[19].

    En 1889 est créée une ligne de chemin de fer d'Eyguières à Meyrargues, passant par la ville qui se dote d'une gare. La ligne est finalement abandonnée et déferrée en 1950 et la gare disparaît également. Le tracé subsiste toujours, repris par l'actuelle Avenue de l'Europe Unie et le Boulevard de le Paix ; la gare se situait à l'intersection de ces deux routes, près du rond-point de l'actuelle Poste[20],[21].

    Seconde Guerre mondiale

    La Roque-d'Anthéron est notamment connue pour un événement dramatique survenu lors de la Seconde Guerre mondiale. Le , la Gestapo arrête un résistant, Aldéric Chave. Le lendemain, 8 juin, elle arrête devant la maison située au no 1 de la rue Hoche des policiers en civil ainsi que huit résistants qui se sont réunis chez l'un d'eux, Robert Daugey. Le , un convoi de vingt-huit prisonniers est amené dans la clairière du vallon de Fenouillet, entre Charleval et La Roque-d'Anthéron. Dix d’entre eux avaient été arrêtés la veille lors de la chasse à l’homme de la chaîne des Côtes (voir ci-dessous). Les dix-huit autres viennent des prisons de la Gestapo à Marseille et sont amenés au Fenouillet pour y être exécutés. Ces 28 hommes sont fusillés sur place sans autre forme de procès. Leurs corps (dont celui d'Arthur Favaro de Miramas) seront retrouvés en . Un monument aux morts a été érigé sur le lieu de leur exécution.

    Le , 3 000 hommes de l’armée allemande encerclent le plateau de Manivert dans la colline de Sainte-Anne, où sont retranchés environ 400 maquisards. Toute la journée du , les combats font rage. Les résistants se battent avec acharnement, et infligent de sévères pertes à un ennemi supérieur en nombre et en armement. Mais les munitions s’épuisent. Pour les obliger à se rendre, les Allemands mettent le feu au maquis. Les chefs résistants sont obligés de donner l’ordre de dispersion. Les Allemands se livrent alors à une chasse à l’homme. Ils font de nombreux prisonniers, notamment parmi les blessés. La plupart sont interrogés, torturés puis fusillés. Au soir du , le maquis des Côtes compte 62 morts.

    Politique et administration

    Budget et fiscalité 2016

    Église paroissiale.

    En 2016, le budget de la commune était constitué ainsi[22] :

    • total des produits de fonctionnement : 6 543 000 , soit 1 187  par habitant ;
    • total des charges de fonctionnement : 6 337 000 , soit 1 149  par habitant ;
    • total des ressources d’investissement : 3 771 000 , soit 684  par habitant ;
    • total des emplois d’investissement : 2 182 000 , soit 396  par habitant ;
    • endettement : 2 744 000 , soit 499  par habitant.

    Avec les taux de fiscalité suivants :

    • taxe d’habitation : 14,18 % ;
    • taxe foncière sur les propriétés bâties : 22,32 % ;
    • taxe foncière sur les propriétés non bâties : 43,90 % ;
    • taxe additionnelle à la taxe foncière sur les propriétés non bâties : 0,00 % ;
    • cotisation foncière des entreprises : 0,00 %.

    Chiffres clés Revenus et pauvreté des ménages en 2014 : Médiane en 2014 du revenu disponible, par unité de consommation : 19 154 [23].

    Liste des maires

    Liste des maires successifs
    Période Identité Étiquette Qualité
    mai 1945 octobre 1947 Auguste Fouquet    
    octobre 1947 mars 1959 Marie Giraud    
    mars 1959 mars 1989 Paul Onoratini DVD Commerçant
    Conseiller général du canton de Lambesc (1961 → 1964)
    mars 1989 juin 1995 Pierre Serre    
    juin 1995 mars 2011[25]
    (décès)
    Jean-Louis Turcan UMP Médecin
    Suppléant du député Bernard Reynès (2007 → 2011)
    avril 2011 mars 2014 Robert Villevieille DVG Retraité de l'enseignement
    mars 2014 en cours Jean-Pierre Serrus LR puis LREM[26] Chef d'entreprise
    18e vice-président de la Métropole d'Aix-Marseille-Provence (2016 → 2018)[27]
    Les données manquantes sont à compléter.

    Population et société

    Démographie

    L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. À partir de 2006, les populations légales des communes sont publiées annuellement par l'Insee. Le recensement repose désormais sur une collecte d'information annuelle, concernant successivement tous les territoires communaux au cours d'une période de cinq ans. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[28]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2004[29].

    En 2018, la commune comptait 5 441 habitants[Note 4], en augmentation de 0,29 % par rapport à 2013 (Bouches-du-Rhône : +2,07 %, France hors Mayotte : +1,78 %).

    Évolution de la population  [modifier]
    1793 1800 1806 1821 1831 1836 1841 1846 1851
    1 2281 3191 2781 3811 5061 4171 4981 5441 474
    1856 1861 1866 1872 1876 1881 1886 1891 1896
    1 4951 5841 5431 4941 6031 5171 5031 4281 522
    1901 1906 1911 1921 1926 1931 1936 1946 1954
    1 4521 5551 5171 3081 2771 1881 1591 1211 075
    1962 1968 1975 1982 1990 1999 2004 2009 2014
    1 4152 2822 8763 6923 9234 4464 7225 1435 461
    2018 - - - - - - - -
    5 441--------
    De 1962 à 1999 : population sans doubles comptes ; pour les dates suivantes : population municipale.
    (Sources : Ldh/EHESS/Cassini jusqu'en 1999[30] puis Insee à partir de 2006[31].)
    Histogramme de l'évolution démographique

    Distinctions culturelles

    La Roque-d'Anthéron fait partie des communes ayant reçu l’étoile verte espérantiste, distinction remise aux maires de communes recensant des locuteurs de la langue construite espéranto.

    Manifestations culturelles et festivités

    Depuis 1981, a lieu tous les ans en été (juillet-août) le Festival international de piano de La Roque-d'Anthéron dans ce bourg devenu «  la Mecque du piano »[32],[33],[34],[35],[36].

    De nombreuses manifestations se déroulent chaque année à La Roque-d'Anthéron, comme la Fête de la Cerise le 1er juin, le Country Roque Festival en juillet, ou encore le Festival de Théâtre Amateur "Les Rocatines" (organisé par le Théâtre du Vide) en mai.

    Personnalités liées à la commune

    Économie

    • Coopérative vinicole[37].
    • Coopérative agricole (coopérative fruitière) Provence Fruidor[38].

    Culture locale et patrimoine

    • Église paroissiale et ses cloches des XVIe et XVIIe siècles[39],[40].
    • Le temple et son orgue[41].
    • Mémorial de guerre.
    • L’abbaye de Silvacane[42] est une abbaye cistercienne, une des plus prospères de Provence sous l’Ancien Régime.
    • Chapelle romane Sainte-Anne-de-Goiron du XIe siècle (également sur commune de Lambesc)[43].
    • Musée de géologie et d'ethnographie.
    • Château de Florans et son parc[44]. Propriété des Forbin jusqu'en 1818, le château et ses terres furent vendus à Louis Raphaël de Cordoue dont une descendante épousa le marquis de Florans dont la propriété garde le nom. En 1937, la marquise Marie de Florans, lègue la propriété à l'archevêché d'Aix-en-Provence. En 1948, Paul Onoratini loue le château qu'il transforme en centre médical. Il en devient propriétaire neuf ans après. Désormais, le château abrite la clinique du Château de Florans, et son parc le festival international de musique[45].
    • Grottes de Sainte-Anne-de-Goiron (également sur commune de Lambesc)[46].

    Voir aussi

    Bibliographie

    Articles connexes

    Liens externes

    Notes et références

    Notes

    1. Selon le zonage publié en novembre 2020, en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le en comité interministériel des ruralités.
    2. La notion d'aire d'attraction des villes a remplacé en octobre 2020 l'ancienne notion d'aire urbaine, pour permettre des comparaisons cohérentes avec les autres pays de l'Union européenne.
    3. Les eaux continentales désignent toutes les eaux de surface, en général des eaux douces issues d'eau de pluie, qui se trouvent à l'intérieur des terres.
    4. Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2021, millésimée 2018, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2020, date de référence statistique : 1er janvier 2018.

    Références

    1. Météo France
    2. « Zonage rural », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
    3. « Commune urbaine-définition », sur le site de l’Insee (consulté le ).
    4. « Comprendre la grille de densité », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
    5. « Unité urbaine 2020 de La Roque-d'Anthéron », sur https://www.insee.fr/ (consulté le ).
    6. « Base des unités urbaines 2020 », sur www.insee.fr, (consulté le ).
    7. Vianney Costemalle, « Toujours plus d’habitants dans les unités urbaines », sur insee.fr, (consulté le ).
    8. « Base des aires d'attraction des villes 2020. », sur insee.fr, (consulté le ).
    9. Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier Pégaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans l’aire d’attraction d’une ville », sur insee.fr, (consulté le ).
    10. « CORINE Land Cover (CLC) - Répartition des superficies en 15 postes d'occupation des sols (métropole). », sur le site des données et études statistiques du ministère de la Transition écologique. (consulté le )
    11. IGN, « Évolution de l'occupation des sols de la commune sur cartes et photos aériennes anciennes. », sur remonterletemps.ign.fr (consulté le ). Pour comparer l'évolution entre deux dates, cliquer sur le bas de la ligne séparative verticale et la déplacer à droite ou à gauche. Pour comparer deux autres cartes, choisir les cartes dans les fenêtres en haut à gauche de l'écran.
    12. A Dauzat, Ch. Rostaing, 1963, p 570
    13. Coulet, Aix, p. 287
    14. Mabilly, inventaire, p. 126
    15. Bienvenue chez Victoria - Le village
    16. Philippe Auran, Guy Barruol, Jacqueline Ursch, D'une rive à l'autre: les ponts de Haute-Provence de l'Antiquité à nos jours, Forcalquier : les Alpes de lumière, 2006. Collection Les Alpes de lumière, ISSN 0182-4643 no 153. (ISBN 2-906162-81-7), p. 48
    17. Guy Barruol, Michèle Bois, Yann Codou, Marie-Pierre Estienne, Élizabeth Sauze, « Liste des établissements religieux relevant de l’abbaye Saint-André du Xe au XIIIe siècle », in Guy Barruol, Roseline Bacon et Alain Gérard (directeurs de publication), L’abbaye de Saint-André de Villeneuve-lès-Avignon, histoire, archéologie, rayonnement, Actes du colloque interrégional tenu en 1999 à l'occasion du millénaire de la fondation de l'abbaye Saint-André de Villeneuve-lès-Avignon, Éd. Alpes de Lumières, Cahiers de Salagon no 4, Mane, 2001, 448 p. (ISSN 1254-9371), (ISBN 2-906162-54-X), p. 227
    18. Pierre Miquel, Les Guerres de Religion, Paris, Fayard, , 596 p. (ISBN 978-2-21300-826-4, OCLC 299354152, lire en ligne)., p. 131-133
    19. François de Dainville, « Cartes des places protestantes en 1620, dessinées à la fin du règne de Louis XIII », Journal des savants, 1968, No 4. p. 239.
    20. Marc-André Dubout, « Eyguières-Meyrargues » (consulté le )
    21. « Géoportail », sur geoportail.gouv.fr (consulté le )
    22. Les comptes de la commune
    23. Chiffres clés Évolution et structure de la population. Dossier complet
    24. Notice TERTIAN Louis, Léon, Roger , version mise en ligne le 30 novembre 2010, dernière modification le 30 novembre 2010
    25. « L'adieu des Rocassiers à Jean-Louis Turcan, leur maire », La Provence, (lire en ligne)
    26. « Jean-Pierre Serrus quitte Les Républicains pour rejoindre LREM », sur France Bleu Provence,
    27. « Métropole : Jean-Pierre Serrus (LREM) perd son poste de vice-président aux transports », La Provence, (lire en ligne)
    28. L'organisation du recensement, sur insee.fr.
    29. Calendrier départemental des recensements, sur insee.fr.
    30. Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes études en sciences sociales.
    31. Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017 et 2018.
    32. L'express : La Mecque du piano, Erikson Franck, publié le 12/08/1999
    33. Le Parisien : Ils se pressent à La Mecque du piano, Publié le 19.08.2004
    34. Libération, La Mecque du piano mondial, 27 juillet 2001
    35. L'humanité, La Roque-d'Anthéron, la Mecque du piano, Le 27 juillet 2002
    36. Le Figaro, Le piano roi à La Roque-d'Anthéron Jean-Louis Validire, publié le 21/07/2008
    37. « coopérative vinicole », notice no IA13001100, base Mérimée, ministère français de la Culture
    38. « coopérative agricole (coopérative fruitière) Provence Fruidor », notice no IA13001126, base Mérimée, ministère français de la Culture
    39. Notice no PM13001408, base Palissy, ministère français de la Culture cloche du XVIe siècle.
    40. Notice no PM13000851, base Palissy, ministère français de la Culture cloche de 1662
    41. La Roque d'Anthéron : le temple et son orgue
    42. « Ancienne abbaye de Silvacane », notice no PA00081416, base Mérimée, ministère français de la Culture
    43. « Chapelle Sainte-Anne-de-Goiron (également sur commune de Lambesc) », notice no PA00081417, base Mérimée, ministère français de la Culture
    44. « Parc du château de Florans », notice no IA13001028, base Mérimée, ministère français de la Culture
    45. Présentation... La Grande Histoire sur http://www.festival-piano.com consulté le 25/02/2013
    46. « Grottes de Sainte-Anne-de-Goiron (également sur commune de Lambesc) », notice no PA00081418, base Mérimée, ministère français de la Culture
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