La Limouzinière

La Limouzinière est une commune de l'Ouest de la France, située dans le département de la Loire-Atlantique, en région Pays de la Loire.

Ne doit pas être confondu avec La Limouzinière (Vendée).

La Limouzinière

L'église Notre-Dame.

Blason
Administration
Pays France
Région Pays de la Loire
Département Loire-Atlantique
Arrondissement Nantes
Intercommunalité Communauté de communes de Grand Lieu
Maire
Mandat
Frédéric Launay
2020-2026
Code postal 44310
Code commune 44083
Démographie
Gentilé Limouzins
Population
municipale
2 442 hab. (2018 )
Densité 83 hab./km2
Géographie
Coordonnées 46° 59′ 38″ nord, 1° 35′ 42″ ouest
Altitude Min. 8 m
Max. 50 m
Superficie 29,54 km2
Type Commune rurale
Unité urbaine Saint-Colomban
(banlieue)
Aire d'attraction Nantes
(commune de la couronne)
Élections
Départementales Canton de Saint-Philbert-de-Grand-Lieu
Législatives Neuvième circonscription
Localisation
Géolocalisation sur la carte : Pays de la Loire
La Limouzinière
Géolocalisation sur la carte : Loire-Atlantique
La Limouzinière
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La Limouzinière
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La Limouzinière
Liens
Site web http://www.mairie-la-limouziniere.com/

    La commune fait partie de la Bretagne historique, dans le pays traditionnel du Pays de Retz et dans le pays historique du Pays nantais.

    Ses habitants s'appellent les Limouzins et les Limouzines.

    La Limouzinière comptait 2 373 habitants au recensement de 2014.

    Géographie

    Situation de la commune de la Limouzinière dans le département de la Loire-Atlantique

    La Limouzinière est une commune située à une vingtaine de kilomètres au sud de Nantes et km au sud-est de Saint-Philbert-de-Grand-Lieu. Elle est baignée à l'est par la Logne.

    Les communes limitrophes sont Saint-Philbert-de-Grand-Lieu, Saint-Colomban, Corcoué-sur-Logne, Saint-Etienne-de-Mer-Morte et La Marne.

    Représentations cartographiques de la commune
    Carte OpenStreetMap
    Carte topographique

    Climat

    Le climat qui caractérise la commune est qualifié, en 2010, de « climat océanique franc », selon la typologie des climats de la France qui compte alors huit grands types de climats en métropole[1]. En 2020, la commune ressort du type « climat océanique » dans la classification établie par Météo-France, qui ne compte désormais, en première approche, que cinq grands types de climats en métropole. Ce type de climat se traduit par des températures douces et une pluviométrie relativement abondante (en liaison avec les perturbations venant de l'Atlantique), répartie tout au long de l'année avec un léger maximum d'octobre à février[2].

    Les paramètres climatiques qui ont permis d’établir la typologie de 2010 comportent six variables pour les températures et huit pour les précipitations, dont les valeurs correspondent aux données mensuelles sur la normale 1971-2000[3]. Les sept principales variables caractérisant la commune sont présentées dans l'encadré ci-après.

    Paramètres climatiques communaux sur la période 1971-2000[1]

    • Moyenne annuelle de température : 12,1 °C
    • Nombre de jours avec une température inférieure à −5 °C : 1,4 j
    • Nombre de jours avec une température supérieure à 30 °C : 4,9 j
    • Amplitude thermique annuelle[Note 1] : 13,6 °C
    • Cumuls annuels de précipitation[Note 2] : 794 mm
    • Nombre de jours de précipitation en janvier : 12,3 j
    • Nombre de jours de précipitation en juillet : 6,5 j

    Avec le changement climatique, ces variables ont évolué. Une étude réalisée en 2014 par la Direction générale de l'Énergie et du Climat[5] complétée par des études régionales[6] prévoit en effet que la température moyenne devrait croître et la pluviométrie moyenne baisser, avec toutefois de fortes variations régionales. Ces changements peuvent être constatés sur la station météorologique de Météo-France la plus proche, « Rocheservière », sur la commune de Rocheservière, mise en service en 1985[7] et qui se trouve à km à vol d'oiseau[8],[Note 3], où la température moyenne annuelle est de 12,2 °C et la hauteur de précipitations de 822,1 mm pour la période 1981-2010[9]. Sur la station météorologique historique la plus proche, « Nantes-Bouguenais », sur la commune de Bouguenais, mise en service en 1945 et à 21 km[10], la température moyenne annuelle évolue de 12,2 °C pour la période 1971-2000[11], à 12,5 °C pour 1981-2010[12], puis à 12,7 °C pour 1991-2020[13].

    Urbanisme

    Typologie

    La Limouzinière est une commune rurale, car elle fait partie des communes peu ou très peu denses, au sens de la grille communale de densité de l'Insee[Note 4],[14],[15],[16]. Elle appartient à l'unité urbaine de Saint-Colomban, une agglomération intra-départementale regroupant 2 communes[17] et 5 769 habitants en 2017, dont elle est une commune de la banlieue[18],[19].

    Par ailleurs la commune fait partie de l'aire d'attraction de Nantes dont elle est une commune de la couronne[Note 5]. Cette aire, qui regroupe 116 communes, est catégorisée dans les aires de 700 000 habitants ou plus (hors Paris)[20],[21].

    Occupation des sols

    Carte des infrastructures et de l'occupation des sols de la commune en 2018 (CLC).

    L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des territoires agricoles (95,7 % en 2018), néanmoins en diminution par rapport à 1990 (97,7 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : terres arables (42,1 %), zones agricoles hétérogènes (31,5 %), prairies (15,2 %), cultures permanentes (6,9 %), zones urbanisées (3 %), forêts (1,3 %)[22].

    L'IGN met par ailleurs à disposition un outil en ligne permettant de comparer l’évolution dans le temps de l’occupation des sols de la commune (ou de territoires à des échelles différentes). Plusieurs époques sont accessibles sous forme de cartes ou photos aériennes : la carte de Cassini (XVIIIe siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[23].

    Toponymie

    Le nom de la localité est attesté sous les formes écrites Lemovicina en 1059, Limozineria en 1119[24]. Etablir son étymologie est malaisé, tout comme celle de ses homonymes des régions voisines, pour lesquels on suppose des origine diverses (tous ne désignent pas des charges religieuses et ne sont pas des paroisses). Les suffixes latins, puis romans, -ina- et -in-eria (au féminin) étaient sans doute d'usage instable dans la langue parlée, avant la fixation administrative.

    1) Une hypothèse est que le nom de la commune proviendrait d'un *alemosinaria bas-latin (qui n'est pas attesté dans les rares formes écrites anciennes) signifiant « aumônerie », un type d'institution religieuse (souvent eleemosina dans les pouillés). (La paroisse figurera plus tard dans les possessions des Hospitaliers[25].)

    2) La forme de 1119 Limozineria semble une latinisation de scribe. Faut-il supposer une composition assez récente : le suffixe -ère ajouté à Lemouzin ? Cependant, la base de la forme écrite de 1059 Lemovici- est latine et classique : c'est le nom des Lemovici avec le suffixe de nom de lieu -aria.

    A défaut du nom d'éventuels Lemovices limousins, n'aurions-nous pas ici, suivant Ph. Jouët, un descriptif toponymique sur un vieux-celtique lemo- "orme" (lemo- explique aussi le nom de Limoges et le premier élément de celui du Limousin) ? Il y aurait eu confusion entre des mots d'époques différentes, sans rapport initial, et appartenant à des registres différents (*lemo-[26] descriptif gallo-romain, rural ; eleemosina innovation du haut Moyen Âge, administratif ; limousin ethnonyme). Cette hypothèse pourrait éclairer la question assez complexe des toponymes Limousinière).

    3) Un étymon bas-latin *alemosineria "aumônerie" ne peut aboutir à un moderne *alimousinère, mais aurait donné *aumonèire. (ou simplement réduit à L'Aumône, comme à Cherrueix).

    4) En tout cas, s'il y a eu confusion ou réinterprétation médiévale, c'est lemozi- (qui serait régulièrement issu du classique lemovic-) qui l'a emporté (d'où l'interprétation spontanée du nom...).

    La Limouzinière est située sur la limite entre le poitevin et le gallo. En gallo son nom est La Limózinèrr (écriture ELG, prononcé [la.li.mu.zi.ɲəʁ])[27], et est rendu par Kerlouevig en breton (ker = -aria ; / lemo- / > /louev/)[24].

    Histoire

    Au Moyen Âge, La Limouzinière était soumise à la juridiction des seigneuries du Chaffault et de la Touche qui se partageaient le bourg et ses environs.

    Durant les guerres de Vendée, le village fut le théâtre, le , d'un massacre de ses habitants par les troupes républicaines [2].

    Héraldique

    Blasonnement :
    Parti : au premier, de sinople au lion d'or couronné, lampassé et armé de gueules ; au second, d'or à trois tourteaux de gueules ; enté en pointe d'argent coupé d'azur.
    Commentaires : Le lion est du Chaffault, les tourteaux sont de La Touche-Limouzinière, l'enté est du prieuré du Guignaud. Blason conçu par l'héraldiste Michel Pressensé (délibération municipale en 1970), enregistré en 1970.

    Politique et administration

    Liste des maires successifs
    Période Identité Étiquette Qualité
    1899 1922 Georges de La Pommeraye    
    1922 1923 Théophile Baud    
    1923 1926 Pierre Padioleau    
    1926 1945 René Sellier    
    1945 1971 René Grasset    
    1971 1979 Henri Denis    
    1977 1979 Alphonse Brossard    
    1979 1989 Henri Guibert    
    1989 2008 Rémy Dugast SE Professeur
    2008 2014 Marie-Josèphe Dupont SE Conductrice
    2014 En cours Frédéric Launay DVD Chauffeur poids-lourd
    Les données manquantes sont à compléter.

    Démographie

    Selon le classement établi par l'Insee, La Limouzinière fait partie de l'aire urbaine et de la zone d'emploi de Nantes et du bassin de vie de Saint-Philbert-de-Grand-Lieu. Elle n'est intégrée dans aucune unité urbaine[28]. Toujours selon l'Insee, en 2010, la répartition de la population sur le territoire de la commune était considérée comme « peu dense » : 78 % des habitants résidaient dans des zones « peu denses » et 22 % dans des zones « très peu denses »[29].

    Évolution démographique

    Les données concernant 1793 sont perdues.

    L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1800. À partir de 2006, les populations légales des communes sont publiées annuellement par l'Insee. Le recensement repose désormais sur une collecte d'information annuelle, concernant successivement tous les territoires communaux au cours d'une période de cinq ans. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[30]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2007[31].

    En 2018, la commune comptait 2 442 habitants[Note 6], en augmentation de 3,69 % par rapport à 2013 (Loire-Atlantique : +6,31 %, France hors Mayotte : +1,78 %).

    Évolution de la population  [modifier]
    1800 1806 1821 1831 1836 1841 1846 1851 1856
    1 1169781 2051 0851 1721 1821 2281 2201 263
    1861 1866 1872 1876 1881 1886 1891 1896 1901
    1 3371 3871 3671 3841 4781 5411 5751 5411 573
    1906 1911 1921 1926 1931 1936 1946 1954 1962
    1 5901 5181 3271 3411 3281 2541 2191 2041 227
    1968 1975 1982 1990 1999 2006 2007 2012 2017
    1 2441 2331 1471 2791 4071 9682 0492 2312 414
    2018 - - - - - - - -
    2 442--------
    De 1962 à 1999 : population sans doubles comptes ; pour les dates suivantes : population municipale.
    (Sources : Ldh/EHESS/Cassini jusqu'en 1999[32] puis Insee à partir de 2006[33].)
    Histogramme de l'évolution démographique

    Pyramide des âges

    Les données suivantes concernent l'année 2013. La population de la commune est relativement jeune. Le taux de personnes d'un âge supérieur à 60 ans (15,7 %) est en effet inférieur au taux national (22,6 %) et au taux départemental (22,5 %)[34],[35],[36]. À l'instar des répartitions nationale et départementale, la population féminine de la commune est supérieure à la population masculine. Le taux (50,8 %) est du même ordre de grandeur que le taux national (51,6 %)[34],[35],[36].

    Pyramide des âges à La Limouzinière en 2013 en pourcentage[34]
    HommesClasse d’âgeFemmes
    0,3 
    90 ans ou +
    1,6 
    4,7 
    75 à 89 ans
    7,8 
    8,2 
    60 à 74 ans
    8,6 
    18,3 
    45 à 59 ans
    16,3 
    26,8 
    30 à 44 ans
    24,9 
    13,7 
    15 à 29 ans
    14,8 
    28,1 
    0 à 14 ans
    25,9 
    Pyramide des âges de la Loire-Atlantique en 2013 en pourcentage[35]
    HommesClasse d’âgeFemmes
    0,4 
    90 ans ou +
    1,3 
    5,8 
    75 à 89 ans
    9,1 
    13,5 
    60 à 74 ans
    14,6 
    19,6 
    45 à 59 ans
    19,2 
    20,8 
    30 à 44 ans
    19,6 
    19,4 
    15 à 29 ans
    17,7 
    20,5 
    0 à 14 ans
    18,5 

    Lieux et monuments

    • Vestiges du château de la Touche : le « logis-porte », de style gothique, offre aux passants l’ogive d’un portail avec deux fenêtres à meneaux en croix. Le rez-de-chaussée avec ses arcades lui donne un air ajouré de cloître, complété par une tourelle datant du XVIe siècle.

    Personnalités liées à la commune

    Voir aussi

    Articles connexes

    Liens externes

    Notes et références

    Notes

    1. L'amplitude thermique annuelle mesure la différence entre la température moyenne de juillet et celle de janvier. Cette variable est généralement reconnue comme critère de discrimination entre climats océaniques et continentaux.
    2. Une précipitation, en météorologie, est un ensemble organisé de particules d'eau liquide ou solide tombant en chute libre au sein de l'atmosphère. La quantité de précipitation atteignant une portion de surface terrestre donnée en un intervalle de temps donné est évaluée par la hauteur de précipitation, que mesurent les pluviomètres[4].
    3. La distance est calculée à vol d'oiseau entre la station météorologique proprement dite et le chef-lieu de commune.
    4. Selon le zonage des communes rurales et urbaines publié en novembre 2020, en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le en comité interministériel des ruralités.
    5. La notion d'aire d'attraction des villes a remplacé, en , celle d'aire urbaine afin de permettre des comparaisons cohérentes avec les autres pays de l'Union européenne.
    6. Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2021, millésimée 2018, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2020, date de référence statistique : 1er janvier 2018.

    Références

    1. Daniel Joly, Thierry Brossard, Hervé Cardot, Jean Cavailhes, Mohamed Hilal et Pierre Wavresky, « Les types de climats en France, une construction spatiale », Cybergéo, revue européenne de géographie - European Journal of Geography, no 501, (DOI https://doi.org/10.4000/cybergeo.23155, lire en ligne, consulté le )
    2. « Le climat en France métropolitaine », sur http://www.meteofrance.fr/, (consulté le )
    3. « Définition d’une normale climatologique », sur http://www.meteofrance.fr/ (consulté le )
    4. Glossaire – Précipitation, Météo-France
    5. « Le climat de la France au XXIe siècle - Volume 4 - Scénarios régionalisés : édition 2014 pour la métropole et les régions d’outre-mer », sur https://www.ecologie.gouv.fr/ (consulté le ).
    6. [PDF]« Observatoire régional sur l'agriculture et le changement climatique (Oracle) - Pays de la Loire », sur pays-de-la-loire.chambres-agriculture.fr, (consulté le )
    7. « Station Météo-France Rocheservière - métadonnées », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le )
    8. « Orthodromie entre La Limouzinière et Rocheservière », sur fr.distance.to (consulté le ).
    9. « Station Météo-France Rocheservière - fiche climatologique - statistiques 1981-2010 et records », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le ).
    10. « Orthodromie entre La Limouzinière et Bouguenais », sur fr.distance.to (consulté le ).
    11. « Station météorologique de Nantes-Bouguenais - Normales pour la période 1971-2000 », sur https://www.infoclimat.fr/ (consulté le )
    12. « Station météorologique de Nantes-Bouguenais - Normales pour la période 1981-2010 », sur https://www.infoclimat.fr/ (consulté le )
    13. « Station météorologique de Nantes-Bouguenais - Normales pour la période 1991-2020 », sur https://www.infoclimat.fr/ (consulté le )
    14. « Typologie urbain / rural », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
    15. « Commune rurale - définition », sur le site de l’Insee (consulté le ).
    16. « Comprendre la grille de densité », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
    17. « Unité urbaine 2020 de Saint-Colomban », sur https://www.insee.fr/ (consulté le ).
    18. « Base des unités urbaines 2020 », sur www.insee.fr, (consulté le ).
    19. Vianney Costemalle, « Toujours plus d’habitants dans les unités urbaines », sur le site de l'Institut national de la statistique et des études économiques, (consulté le ).
    20. « Base des aires d'attraction des villes 2020. », sur le site de l'Institut national de la statistique et des études économiques, (consulté le ).
    21. Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier Pégaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans l’aire d’attraction d’une ville », sur le site de l'Institut national de la statistique et des études économiques, (consulté le ).
    22. « CORINE Land Cover (CLC) - Répartition des superficies en 15 postes d'occupation des sols (métropole). », sur le site des données et études statistiques du ministère de la Transition écologique. (consulté le )
    23. IGN, « Évolution de l'occupation des sols de la commune sur cartes et photos aériennes anciennes. », sur remonterletemps.ign.fr (consulté le ). Pour comparer l'évolution entre deux dates, cliquer sur le bas de la ligne séparative verticale et la déplacer à droite ou à gauche. Pour comparer deux autres cartes, choisir les cartes dans les fenêtres en haut à gauche de l'écran.
    24. Office Public de la Langue Bretonne, « Kerofis ».
    25. Jean-Yves Le Moing, Noms de lieux de Bretagne : plus de 1200 noms expliqués, Paris, Christine Bonneton Éditeur, , 231 p. (ISBN 2-86253-283-5), p. 162.
    26. « 4.1.2. Estimation du nombre de consultations par médecin, 2009 (ou année la plus proche) », sur dx.doi.org (consulté le )
    27. « Villes bretonnes, noms gallo », Geobreizh (consulté le ).
    28. « Commune de La Limouzinière (44083) », Insee (consulté le ).
    29. « La grille communale de densité », Insee (consulté le ), données récupérées dans un fichier téléchargeable sous format Excel.
    30. L'organisation du recensement, sur insee.fr.
    31. Calendrier départemental des recensements, sur insee.fr.
    32. Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes études en sciences sociales.
    33. Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017 et 2018.
    34. « Chiffres clés Évolution et structure de la population - La Limouzinière - POP T0-T3 - Population par sexe et âge en 2013 », sur insee.fr, Insee (consulté le ).
    35. « Résultats du recensement de la population de la Loire-Atlantique - POP T0-T3 - Population par grandes tranches d'âges », sur le site de l'Institut national de la statistique et des études économiques, Insee (consulté le ).
    36. « Résultats du recensement de la population française - POP T0-T3 - Population par grandes tranches d'âges », sur le site de l'Institut national de la statistique et des études économiques, Insee (consulté le ).
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