Houdain

Houdain est une commune française située dans le département du Pas-de-Calais en région Hauts-de-France.

Pour l’article homonyme, voir Houdain-lez-Bavay.

Houdain

Le haut d'Houdain, vu depuis Divion.

Blason
Administration
Pays France
Région Hauts-de-France
Département Pas-de-Calais
Arrondissement Béthune
Intercommunalité Communauté d'agglomération de Béthune-Bruay, Artois-Lys Romane
Maire
Mandat
Isabelle Levent-Ruckebusch
2020-2026
Code postal 62150
Code commune 62457
Démographie
Population
municipale
7 178 hab. (2018 )
Densité 1 139 hab./km2
Géographie
Coordonnées 50° 27′ 10″ nord, 2° 32′ 17″ est
Altitude Min. 45 m
Max. 121 m
Superficie 6,3 km2
Type Commune urbaine
Unité urbaine Béthune
(banlieue)
Aire d'attraction Bruay-la-Buissière
(commune de la couronne)
Élections
Départementales Canton de Bruay-la-Buissière
Législatives Dixième circonscription
Localisation
Géolocalisation sur la carte : Hauts-de-France
Houdain
Géolocalisation sur la carte : Pas-de-Calais
Houdain
Géolocalisation sur la carte : France
Houdain
Géolocalisation sur la carte : France
Houdain
Liens
Site web mairie-houdain.fr

    Elle fait partie de la communauté d'agglomération de Béthune-Bruay, Artois-Lys Romane qui regroupe 100 communes depuis le , soit près de 280 000 habitants. Au XXe siècle, la Compagnie des mines de Bruay y a exploité la fosse no 7 - 7 bis.

    Géographie

    La commune est desservie par la route départementale 341 dite chaussée Brunehaut reliant Arras à Thérouanne. Cependant l'agglomération n'est pas directement sur le tracé de la chaussée Brunehaut mais sur une dérivation.

    Houdain-Haut est constituée d'anciennes cités de vieilles constructions minières identiques qui suivent un programme de rénovation.

    Houdain-Bas comporte davantage de bâtiments ruraux, mélange de torchis, de briques et de pierres. C'est ici que l'on trouve les principaux monuments intéressants tels que l'église, les deux anciens moulins, la chapelle de la rue de Géharie ainsi que la Mairie et la fondation Henri-Durant[1].

    Communes limitrophes

    Urbanisme

    Typologie

    Houdain est une commune urbaine, car elle fait partie des communes denses ou de densité intermédiaire, au sens de la grille communale de densité de l'Insee[Note 1],[2],[3],[4]. Elle appartient à l'unité urbaine de Béthune, une agglomération inter-départementale regroupant 94 communes[5] et 356 052 habitants en 2017, dont elle est une commune de la banlieue[6],[7].

    Par ailleurs la commune fait partie de l'aire d'attraction de Bruay-la-Buissière dont elle est une commune de la couronne[Note 2]. Cette aire, qui regroupe 2 communes, est catégorisée dans les aires de moins de 50 000 habitants[8],[9].

    Occupation des sols

    Carte de l'occupation des sols de la commune en 2018 (CLC).

    L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des territoires agricoles (52,2 % en 2018), néanmoins en diminution par rapport à 1990 (54,4 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : zones urbanisées (40,9 %), terres arables (35,5 %), prairies (16,7 %), zones industrielles ou commerciales et réseaux de communication (4,1 %), forêts (2,7 %)[10].

    L'IGN met par ailleurs à disposition un outil en ligne permettant de comparer l’évolution dans le temps de l’occupation des sols de la commune (ou de territoires à des échelles différentes). Plusieurs époques sont accessibles sous forme de cartes ou photos aériennes : la carte de Cassini (XVIIIe siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[11].

    Toponymie

    Hosden et Hosdingen en flamand[12].
    On pense que Houdain vient d'un archétype germanique Husiding sur la base husi-duna, maison sur une hauteur (voir Hodenc-en-Bray, Hodeng, Houdan, Hodent, etc.)[13].

    Hosdenc (1070), Hosden (1104), Husdenc (1177), Hosdainc (1190)[14].

    Histoire

    Histoire de la commune[15].

    Houdain a des origines très anciennes. Au début c’est un village celtique. Donc Houdain existait déjà au temps des romains et était située sur l'axe reliant la capitale des Atrébates à celle des Morins (Arras à Thérouanne).

    L'endroit a certainement été choisi pour sa situation géographique dominante. Les romains avaient, pour cette raison, installé un camp fortifié sur la butte d'Houdain à proximité de l'église pour surveiller l'actuelle « Chaussée Brunehaut ».

    Ce camp fortifié romain date de 50 à 60 avant Jésus-Christ et est devenu vers 450 un domaine privilégié des Mérovingiens.

    En 882, le village est incendié par les Normands (Vikings) et vers 912, il est reconstruit par la population et entouré de murailles sous l'impulsion du roi Charles le Chauve.

    Le , Anselme de Houdain, présent à Saint-Omer lorsque le comte de Flandre Guillaume Cliton confirme les lois et coutumes de la ville, jure d'observer celles-ci[16].

    Houdain sera encore partiellement détruite par les troupes du comte Ferrand de Portugal en 1212 et les troupes flamandes qui l'achèveront en 1303. D'autres destructions ont lieu en 1374, 1380 ainsi qu'au XVIIIe siècle, sous Louis XIV, par les Anglais du Duc de Marlborough.

    Le , Yolande de Flandre héritière de Robert de Cassel, seigneur de toute la Flandre maritime, nomme Jacques de Houdain châtelain de Nieppe[17].

    Il faut attendre la Renaissance pour qu'Houdain soit érigée en commune, dirigée par les échevins. Elle possède alors sa charte particulière, une abbaye et un couvent de Dominicaines. C'est également sous la Renaissance que François Ier ravage la région qui est alors sous la domination espagnole. En effet, celui-ci, à la tête de ses armées, affronte celles de Charles Quint.

    Plus tard, en 1790, Houdain reçoit l'appellation de chef-lieu de canton. 22 communes constituent alors ce canton et il faudra attendre 1801 pour qu'il atteigne 31 communes.

    Après la période révolutionnaire, la vie est dure tant la nourriture est pauvre et réduite. L'espérance de vie ne dépasse guère la cinquantaine et les journées de travail sont longues et ardues. C'est dans ces conditions que naît en 1825, au 36 de l'actuelle rue Roger-Salengro, celui qui deviendra plus tard l'inventeur de l'opérette : Florimond Ronger dit Hervé.

    Près d'un siècle plus tard, en 1914, la première guerre mondiale bouleverse la vie communale et de violents bombardements ont lieu en 1918. La ville d'Houdain reçoit d'ailleurs la Croix de Guerre avec citation à l'ordre de l'Armée en hommage aux sacrifices et au courage de la population. Pour faire face à la situation désastreuse de l'après-guerre, il faut faire appel à la main d'œuvre étrangère, notamment polonaise. On débute alors en 1919 le creusement de l'unique fosse d'Houdain (la Fosse no 7) qui sera mise en service 10 ans plus tard en 1929.

    En 1939 la seconde guerre mondiale est déclarée et les atrocités ressurgissent, comme partout ailleurs, à Houdain. Il faut attendre le pour célébrer la victoire et la paix.

    Au sortir de la guerre, tout est à refaire, en particulier dans les mines. Le gouvernement provisoire décide à l'époque la nationalisation des compagnies minières et crée les Houillères Nationales du Nord-Pas-de-Calais.

    La bataille du charbon s'engage pour redresser le pays. À Houdain, la fosse no 7 tourne à son plein et sa production se renforce de 1944 à 1954 (1 800 tonnes de charbon par jour en 1946). C'est pourtant en 1954 que son exploitation est abandonnée, cela est vécu comme un drame pour la commune et ses habitants car la fosse no 7 est alors leur seule richesse. Le premier , elle est rattachée à la fosse no 6 et sera utilisée comme fosse de service pour le matériel et le personnel. Elle fonctionnera ainsi jusqu'à la fermeture de la fosse no 6 en 1979 et servira à la remontée du matériel de cette dernière. Elle sera finalement remblayée en 1980 et son chevalement datant de 1907 sera abattu le après une extraction totale de 10 349 000 tonnes de charbon.

    • 882 : les Vikings détruisent le bourg.
    • 1150 à 1200 : construction de la petite nef
    • 1300 : construction des voûtes du chœurs
    • XVe siècle : l'église, partiellement détruite, est reconstruite.
    • 1497 : achèvement des travaux de l'église
    • 1668 : construction du clocher
    • 1789 : à la Révolution l'église est laissée à l'abandon et tombe en ruine
    • 1790 : Houdain devient chef-lieu de canton
    • 1793 : l'abbaye en contrebas de l'église est détruite.
    • 1893 : frappé par la foudre, le clocher en bois brûle.
    • 1894 : une tour carrée remplace le clocher pyramidal.
    • 1918 : Houdain est bombardée les , 21, 22, 30 et .
    • 1919 : début du creusement de l'unique fosse de Houdain, la fosse 7.
    • 1929 : ouverture de la fosse 7.
    • 1954 : fermeture de la fosse 7 après avoir produit plus de 10 millions de tonnes de charbon. Elle est rattachée à la fosse no 6 d'Haillicourt et sera utilisée comme fosse de service pour le matériel et le personnel.
    • 1965 : inauguration de la Route du Patois.
    • 1970 : Houdain devient chef-lieu de l'un des plus grands cantons de France.

    Politique et administration

    Houdain dans son canton et dans l'arrondissement de Béthune.

    Tendances politiques et résultats

    Le premier tour des élections municipales de 2020 se déroule le . Le confinement lié à la pandémie de Covid-19 retarde de trois mois la tenue du second tour, qui a lieu le . La maire sortante Isabelle Levent affronte ses deux prédécesseurs Daniel Dewalle et Marc Kopaczyk[18].

    Liste des maires

    Liste des maires successifs
    Période Identité Étiquette Qualité
    Les données manquantes sont à compléter.
    1975 1997 Victor Fleuret PCF  
    1997 avril 2010 Daniel Dewalle PCF Conseiller régional (1986→2010),
    conseiller général (2010→2015)
    avril 2010 avril 2014[19],[20] Marc Kopaczyk PCF Militant syndical et associatif, cheminot
    avril 2014[21],[22],[23] En cours Isabelle Levent-Ruckebusch PS Conseillère départementale (2015→en cours)

    Démographie

    Évolution démographique

    L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. À partir de 2006, les populations légales des communes sont publiées annuellement par l'Insee. Le recensement repose désormais sur une collecte d'information annuelle, concernant successivement tous les territoires communaux au cours d'une période de cinq ans. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[24]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2004[25].

    En 2018, la commune comptait 7 178 habitants[Note 3], en diminution de 3,95 % par rapport à 2013 (Pas-de-Calais : +0,1 %, France hors Mayotte : +1,78 %).

    Évolution de la population  [modifier]
    1793 1800 1806 1821 1831 1836 1841 1846 1851
    917962909943930893915902960
    1856 1861 1866 1872 1876 1881 1886 1891 1896
    1 0071 0681 0481 1661 2401 3091 4041 4921 589
    1901 1906 1911 1921 1926 1931 1936 1946 1954
    1 7521 8062 0342 7856 5696 7306 4566 9648 626
    1962 1968 1975 1982 1990 1999 2004 2009 2014
    8 8698 8078 4837 7467 9307 7717 6367 6517 386
    2018 - - - - - - - -
    7 178--------
    De 1962 à 1999 : population sans doubles comptes ; pour les dates suivantes : population municipale.
    (Sources : Ldh/EHESS/Cassini jusqu'en 1999[26] puis Insee à partir de 2006[27].)
    Histogramme de l'évolution démographique

    Pyramide des âges

    La population de la commune est relativement âgée. Le taux de personnes d'un âge supérieur à 60 ans (23,2 %) est en effet supérieur au taux national (21,6 %) et au taux départemental (19,8 %). À l'instar des répartitions nationale et départementale, la population féminine de la commune est supérieure à la population masculine. Le taux (52,6 %) est du même ordre de grandeur que le taux national (51,6 %).

    La répartition de la population de la commune par tranches d'âge est, en 2007, la suivante :

    • 47,4 % d'hommes (0 à 14 ans = 21,7 %, 15 à 29 ans = 18,9 %, 30 à 44 ans = 19,4 %, 45 à 59 ans = 20,5 %, plus de 60 ans = 19,7 %) ;
    • 52,6 % de femmes (0 à 14 ans = 19,6 %, 15 à 29 ans = 16,6 %, 30 à 44 ans = 17,8 %, 45 à 59 ans = 19,6 %, plus de 60 ans = 26,3 %).
    Pyramide des âges à Houdain en 2007 en pourcentage[28]
    HommesClasse d’âgeFemmes
    0,2 
    90 ans ou +
    0,6 
    6,3 
    75 à 89 ans
    10,7 
    13,2 
    60 à 74 ans
    15,0 
    20,5 
    45 à 59 ans
    19,6 
    19,4 
    30 à 44 ans
    17,8 
    18,9 
    15 à 29 ans
    16,6 
    21,7 
    0 à 14 ans
    19,6 
    Pyramide des âges du département du Pas-de-Calais en 2007 en pourcentage[29]
    HommesClasse d’âgeFemmes
    0,2 
    90 ans ou +
    0,8 
    5,1 
    75 à 89 ans
    9,1 
    11,1 
    60 à 74 ans
    12,9 
    21,0 
    45 à 59 ans
    20,1 
    20,9 
    30 à 44 ans
    19,6 
    20,4 
    15 à 29 ans
    18,5 
    21,3 
    0 à 14 ans
    18,9 

    Économie

    Houdain a connu la prospérité au temps des mines de charbon.

    Culture locale et patrimoine

    Lieux et monuments

    Houdain l'église Saint-Jean-Baptiste
    • Houdain est surplombée par la remarquable église Saint-Jean-Baptiste à l'architecture originale. Elle est formée d'une tour carrée. Partiellement détruite lors des guerres des XIVe et XVe siècles, l'église sera reconstruite et agrandie à la fin du XVe siècle. Il y a une légende à sa construction. Les habitants d'Houdain ont décidé de reconstruire leur église au pied de la colline pour que les personnes âgées ou handicapées puissent y venir. Alors qu'ils faisaient les travaux le jour, la nuit les pierres installées étaient enlevées et remontées en haut de la colline par le diable. Il était donc impossible de faire avancer les travaux et ils ont donc dû engager une concertation entre le diable et le bon Dieu et un arrangement a été trouvé : construire l'église au milieu de la pente. Lorsqu'on regarde l'église d'Houdain, on constate que le chœur et la grande nef ne sont pas dans le même alignement, ce qui est inhabituel pour une église. Les bâtisseurs de la petite nef (vers 1150-1200) avaient peut-être le projet d'une petite église. Quand, trois siècles plus tard, des personnes ont voulu reconstruire ou agrandir l'église, ils ont dû constater que s'ils construisaient la grande nef dans le prolongement de la petite nef, l'extrémité sud-ouest de la grande nef se trouverait au-delà de la colline... Nos bâtisseurs avaient donc le choix entre deux solutions: construire dans le prolongement de la vieille église en renforçant la colline ou construire au pied de la colline... Il a dû y avoir une concertation entre partisans de la vallée et partisans de la colline pour aboutir à une solution : agrandir et reconstruire en utilisant la petite nef existante, mais en déviant l'axe de la grande nef pour que celle-ci soit bien stable sur la colline, sans remonter des tonnes de blocs de craie pour conforter la colline[30].
    • Le prieuré d'Houdain dépendait de 1606 de 1779 de l'abbaye de Lobbes[31].

    Personnalités liées à la commune

    Héraldique

    Les armes de la ville se blasonnent ainsi :

    d'azur semé de fleurs de lys d'or et brisé en chef d'un lambel de gueules de trois pendants chargés chacun de trois petits châteaux aussi d'or rangés en pal, à l'écusson d'or en cœur chargé d'un créquier de sinople surmonté d'un lambel d'azur.

    Pour approfondir

    Bibliographie

    • Charles d'Héricourt, Notice sur le canton d'Houdain, Arras : Impr. H. Schoutheer, 1878, 162 pages.
    • Léopold Foulon, Notes sur la distillerie agricole comparée aux bouilleurs de cru présentées aux cultivateurs du canton d'Houdain, Arras : Rohard-Courtin, 1895, 20 pages.
    • C. Liétard, Bruay-en-Artois et ses seigneurs. Chronologie des seigneurs de Houdain, Hesdigneul et Ourton, Avesnes-sur-Helpe : Editions de l'Observateur, 1939, 57 pages.
    • André Fortin, Le canton d'Houdain à travers les siècles, Lens : impr. Ouvrière, 1942, 57 pages.
    • Jacques-H. Renaud, « Les tramways de l'Artois », dans Revue bimestrielle de la Fédération des Amis des chemins de fer secondaires, no 77, 1966, pages 2–42.
    • Jean-Pierre Roger, « Un célèbre Houdinois, "Hervé" [pseudonyme de Louis-Auguste-Joseph-Florimond Ronger] », dans Plein-Nord, no 30, 1977, pages 40–41.
    • Victor Louchart, Houdain et Houdinois dans la tourmente, 1914-1918, 1978, 59 pages[32].

    Articles connexes

    Liens externes

    Notes et références

    Notes

    1. Selon le zonage des communes rurales et urbaines publié en novembre 2020, en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le en comité interministériel des ruralités.
    2. La notion d'aire d'attraction des villes a remplacé, en , celle d'aire urbaine afin de permettre des comparaisons cohérentes avec les autres pays de l'Union européenne.
    3. Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2021, millésimée 2018, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2020, date de référence statistique : 1er janvier 2018.

    Références

    1. « Maire d'Houdain », sur mairie d'Houdain (consulté le ).
    2. « Typologie urbain / rural », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
    3. « Commune urbaine - définition », sur le site de l’Insee (consulté le ).
    4. « Comprendre la grille de densité », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
    5. « Unité urbaine 2020 de Béthune », sur https://www.insee.fr/ (consulté le ).
    6. « Base des unités urbaines 2020 », sur www.insee.fr, (consulté le ).
    7. Vianney Costemalle, « Toujours plus d’habitants dans les unités urbaines », sur le site de l'Institut national de la statistique et des études économiques, (consulté le ).
    8. « Liste des communes composant l'aire d'attraction d'Bruay-la-Buissière », sur le site de l'Institut national de la statistique et des études économiques (consulté le ).
    9. Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier Pégaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans l’aire d’attraction d’une ville », sur le site de l'Institut national de la statistique et des études économiques, (consulté le ).
    10. « CORINE Land Cover (CLC) - Répartition des superficies en 15 postes d'occupation des sols (métropole). », sur le site des données et études statistiques du ministère de la Transition écologique. (consulté le )
    11. IGN, « Évolution de l'occupation des sols de la commune sur cartes et photos aériennes anciennes. », sur remonterletemps.ign.fr (consulté le ). Pour comparer l'évolution entre deux dates, cliquer sur le bas de la ligne séparative verticale et la déplacer à droite ou à gauche. Pour comparer deux autres cartes, choisir les cartes dans les fenêtres en haut à gauche de l'écran.
    12. Centre de Recherche généalogique Flandre-Artois
    13. Albert Dauzat et Charles Rostaing, Dictionnaire étymologique des noms de lieu en France, librairie Guénégaud, Paris 1989 ou éditions Larousse 1968.
    14. Toponymie générale de la France: Tome 2, Formations non-romanes - Ernest Nègre
    15. Sources : Route du patois, Mairie de Houdain
    16. André Du Chesne, Histoire généalogique des maisons de Guines, d'Ardres, de Gand et de Coucy et de quelques autres familles illustres, Paris, 1632, p. 52, lire en ligne
    17. J.-J. Carlier, « Henri d'Oisy, fragment d'études historiques », dans Mémoire de la Société dunkerquoise pour l'encouragement des sciences, des lettres et des arts, 1857 publié en 1858, Dunkerque, p. 98, lire en ligne
    18. « Municipales : le casting est finalisé, c'est reparti pour un tour », La Voix du Nord, édition Hainaut-Douaisis, no 24244, , p. 3.
    19. Sophie Diers, « Un budget primitif qui pose question : Mardi 24 avril, la salle d'honneur de l'hôtel de ville accueillait le conseil municipal de la commune. À l'ordre du jour, l'examen et le vote du budget primitif 2014. Budget qui a soulevé quelques questions de la part de Marc Kopaczyk, maire battu aux dernières municipales... », L'Abeille de la Ternoise, no 8465, , p. 30.
    20. Cécile Rubichon, « Houdain : Marc Kopaczyk «ne se remettra jamais» de la défaite aux municipales : Élu maire en 2010, Marc Kopaczyk se montrait sûr de la victoire. Mais le 30 mars, Isabelle Levent a pris sa place. Presque six mois après la défaite, il ressent toujours de l’amertume et un grand vide. Il se livre sans pudeur », La Voix du Nord, (lire en ligne, consulté le ).
    21. Cécile Rubichon, « Houdain: Isabelle Levent prend le fauteuil de Marc Kopaczyk pour sept voix : « Isabelle Levent l’emporte pour dix-sept voix. » C’est ce qui a été annoncé dimanche soir, ce qui apparaissait sur les premiers tableaux de résultats. En réalité, seules sept voix séparent les communistes des socialistes. Dix avaient été oubliées pour Marc Kopaczyk. », La Voix du Nord, (lire en ligne, consulté le ).
    22. Sarah Binet, « Houdain : premier conseil sous l’ère Levent, et premières escarmouches : Vendredi soir, les élus ont dû voter pour désigner leur maire. La salle était comble pour cette séance qui a parfois tourné au règlement de comptes. Isabelle Levent, désormais maire, va devoir composer avec une opposition qui ne la ratera pas. », La Voix du Nord, (lire en ligne, consulté le ).
    23. « Liste des communes et des maires » [xls], Préfecture du Pas-de-Calais, (consulté le ).
    24. L'organisation du recensement, sur insee.fr.
    25. Calendrier départemental des recensements, sur insee.fr.
    26. Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes études en sciences sociales.
    27. Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017 et 2018.
    28. « Évolution et structure de la population à Houdain en 2007 », sur le site de l'Insee (consulté le ).
    29. « Résultats du recensement de la population du Pas-de-Calais en 2007 » [archive du ], sur le site de l'Insee (consulté le ).
    30. « Livret d'église d'Houdain », sur www.mairie-houdain.fr (consulté le ).
    31. Tableau général numérique par fonds des archives départementales antérieures à 1790,Impr. Nationale, 1848,
    32. « Wikipédia » (consulté le ).
    • Portail du Nord-Pas-de-Calais
    • Portail des communes de France
    Cet article est issu de Wikipedia. Le texte est sous licence Creative Commons - Attribution - Partage dans les Mêmes. Des conditions supplémentaires peuvent s'appliquer aux fichiers multimédias.