Ruitz

Ruitz est une commune française située dans le département du Pas-de-Calais en région Hauts-de-France.

Ruitz

La mairie.
Administration
Pays France
Région Hauts-de-France
Département Pas-de-Calais
Arrondissement Béthune
Intercommunalité Communauté d'agglomération de Béthune-Bruay, Artois-Lys Romane
Maire
Mandat
Jean-Pierre Sansen
2020-2026
Code postal 62620
Code commune 62727
Démographie
Population
municipale
1 562 hab. (2018 )
Densité 315 hab./km2
Géographie
Coordonnées 50° 28′ 06″ nord, 2° 35′ 25″ est
Altitude Min. 43 m
Max. 111 m
Superficie 4,96 km2
Type Commune urbaine
Unité urbaine Béthune
(banlieue)
Aire d'attraction Nœux-les-Mines
(commune du pôle principal)
Élections
Départementales Canton de Nœux-les-Mines
Législatives Dixième circonscription
Localisation
Géolocalisation sur la carte : Hauts-de-France
Ruitz
Géolocalisation sur la carte : Pas-de-Calais
Ruitz
Géolocalisation sur la carte : France
Ruitz
Géolocalisation sur la carte : France
Ruitz
Liens
Site web http://ville-ruitz.fr/

    Géographie

    Entrée de la commune.
    Ruitz dans son canton et dans l'arrondissement de Béthune.

    Communes limitrophes

    Communes limitrophes de Ruitz
    Haillicourt Houchin
    Houdain Maisnil-lès-Ruitz Barlin

    Urbanisme

    Typologie

    Ruitz est une commune urbaine, car elle fait partie des communes denses ou de densité intermédiaire, au sens de la grille communale de densité de l'Insee[Note 1],[1],[2],[3]. Elle appartient à l'unité urbaine de Béthune, une agglomération inter-départementale regroupant 94 communes[4] et 356 052 habitants en 2017, dont elle est une commune de la banlieue[5],[6].

    Par ailleurs la commune fait partie de l'aire d'attraction de Nœux-les-Mines, dont elle est une commune du pôle principal[Note 2]. Cette aire, qui regroupe 8 communes, est catégorisée dans les aires de moins de 50 000 habitants[7],[8].

    Occupation des sols

    Carte de l'occupation des sols de la commune en 2018 (CLC).

    L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des territoires artificialisés (53,9 % en 2018), en augmentation par rapport à 1990 (36,5 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : terres arables (46,1 %), zones industrielles ou commerciales et réseaux de communication (27,9 %), zones urbanisées (15,9 %), mines, décharges et chantiers (10,1 %)[9].

    L'IGN met par ailleurs à disposition un outil en ligne permettant de comparer l’évolution dans le temps de l’occupation des sols de la commune (ou de territoires à des échelles différentes). Plusieurs époques sont accessibles sous forme de cartes ou photos aériennes : la carte de Cassini (XVIIIe siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[10].

    Histoire

    On trouve une première mention de Ruitz dans une charte d'Eustache de Boulogne en 1070.

    Au XIVe siècle, Jean Daulle y a habité un manoir et on avance que la famille de Robespierre serait originaire de notre village.

    Les deux chapelles

    La chapelle située à côté de la mairie possède une crypte qui est en fait le tombeau où sont enterrés les descendants de la famille des châtelains Brios de Rocourt, d'Oresmieux et d'Anoux.

    La petite chapelle appartenait aux Houillères. Elle a été rachetée par la commune, démontée pierre par pierre et remontée définitivement rue de Maisnil.

    L'église

    Elle fut construite en 1787 à côté de la tour de l'église qui existait auparavant.

    En effet, la base de la tour fut bâtie au XIIIe siècle, l'étage édifié au XVe et le couronnement rajouté en 1705. À l'intérieur de l'église, on peut observer une statue de la Vierge en bois polychrome datant du XVIIe et des panneaux de bois sculpté du XVIIIe représentant quatre évangélistes.

    Le bois de Clairbois

    Il s'étend sur 16 hectares autour du château, des écoles, du foyer Saint-Jean.

    Le château

    Il fut bâti au XVIIIe siècle par Pierre Lericque. Au début du XIXe siècle, le domaine de Ruitz fut légué au marquis d'Oresmieux qui céda ensuite le château, les terres et le bois de Ruitz à la société Saint-Gabriel pour qu'elle y crée un orphelinat de garçons. Le château fut fermé en 1903 et les terres louées aux fermiers. Le château fut occupé par les troupes françaises et britanniques pendant la Première Guerre mondiale.

    Dans les années 1930, les pères du Saint-Esprit y installèrent une école de missions jusqu'en 1952. La terre et la seigneurie de Ruitz furent vendues par le marquis de Mailly en 1725 à Pierre Ignace Le Ricque de Surgeon. De son mariage avec Mademoiselle Charlotte Roberty, il eut deux enfants ; un fils Charles Procope Le Ricque seigneur de Ruitz, lieutenant au régiment d'Auxerrois, mort sans alliance, et une fille Marie-Thérèse Le Ricque qui épousa en 1728 à Ruitz, Charles Joseph de Briois, écuyer seigneur d'Angres et Neulette, officier du régiment de Bourbon Infanterie et qui mourut en 1774. C'est ce dernier qui bâtit le château actuel. Son arrière-petite-fille Marie-Joseph de Briois, née à Lille le 18 ventôse de l'an I, décédée à Arras le , épousa Fortuné Le Ricque de Rocourt, chevalier de Saint Louis et de la Légion d'honneur.

    La vicomtesse de Rocourt ne laissant pas d'héritier direct, son fils Octave de Rocourt étant mort après avoir perdu ses deux fils en bas âge, enfants nés de son mariage avec Mademoiselle de Beaumetz, légua son domaine de Ruitz à son cousin le marquis d'Oresmieux de Fouquières par testament en date du .

    Dans le but de conserver le souvenir de sa famille et en mémoire de ses petits-enfants, Madame de Rocourt posa comme condition à Monsieur d'Oresmieux de fonder un orphelinat de garçons. À sa mort en 1880, ce dernier accepta cette lourde charge et mis en possession du legs, il proposa le domaine à une œuvre religieuse et en l'année 1890 Monsieur d'Oresmieux céda le château de Ruitz, terres, bois et constructions, à la société Saint-Gabriel dont le but était de créer à Ruitz un orphelinat de garçons dirigé par les pères salésiens de Don Bosco.

    L'orphelinat fut fondé le par l'arrivée des pères salésiens venus de Lille et il portait le nom de Saint-Joseph. Les enfants suivaient les cours de l'école primaire et se consacraient à l'exploitation agricole et au jardinage. La maison étant trop petite une aile fut ajoutée au château ainsi qu'un vaste préau couvert. L'orphelinat prospérait et comprenait une soixantaine d'enfants quand a été promulguée la loi contre les congrégations ; celle des pères salésiens n'ayant pas été autorisée par le Sénat, les pères furent obligés de partir et les enfants furent disséminés les uns dans leur famille ; les autres en Belgique en 1903.

    Puis le château fut fermé et les terres louées aux fermiers du village. Pendant la guerre de 1914, le château fut occupé par les troupes françaises et britanniques qui y causèrent de graves dégâts. Après la guerre, les salésiens ne jugèrent pas possible de réinstaller un orphelinat malgré les insistances de monsieur d'Oresmieux. En 1929, les pères du Saint-Esprit prenaient possession de Ruitz pour y installer une école des missions qui fonctionna jusqu'en 1952, date à laquelle le révérend père provincial déclara à la société Ruitz Fouquières qu'il renonçait à son bail.

    C'est à cette date que Monsieur Perrin, évêque d'Arras, demanda à Monsieur le comte d'Annoux, gendre de Monsieur d'Oresmieux et président de la société Ruitz Fouquières, l'autorisation de reprendre le château et le domaine de Ruitz pour y installer les Aumôniers du Travail, dans le but d'évangéliser la région des mines. Sur le parc s'ouvre la chapelle possédant une crypte, tombeau de la famille Le Ricque de Rocourt, ancienne famille d'Artois éteinte aujourd'hui.

    Cette chapelle a été construite en 1866 et elle porte les armes des Le Ricque et des Du Fresne de Beaumetz.

    Politique et administration

    Liste des maires successifs[11],[12]
    Période Identité Étiquette Qualité
    Les données manquantes sont à compléter.
    1946 1965 Charles Pecqueur   Mineur
    avant 1995 2008 Jacques Brévart PS  
    mars 2008 juillet 2015[13] Jean-Louis Adancourt[14],[15]   Militant syndical
    Vice-Président de la CA de l'Artois (2014 → 2016)
    Décédé en fonction
    octobre 2015[16] En cours
    (au 13 janvier 2016[17])
    Jean-Pierre Sansen   Enseignant

    Population et société

    Évolution démographique

    L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. À partir de 2006, les populations légales des communes sont publiées annuellement par l'Insee. Le recensement repose désormais sur une collecte d'information annuelle, concernant successivement tous les territoires communaux au cours d'une période de cinq ans. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[18]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2005[19].

    En 2018, la commune comptait 1 562 habitants[Note 3], en augmentation de 0,51 % par rapport à 2013 (Pas-de-Calais : +0,1 %, France hors Mayotte : +1,78 %).

    Évolution de la population  [modifier]
    1793 1800 1806 1821 1831 1836 1841 1846 1851
    365373370390416430461513508
    1856 1861 1866 1872 1876 1881 1886 1891 1896
    496461444448455530565561638
    1901 1906 1911 1921 1926 1931 1936 1946 1954
    679664762828838819826834918
    1962 1968 1975 1982 1990 1999 2005 2010 2015
    9481 0161 0351 4261 5941 5821 5231 5321 624
    2018 - - - - - - - -
    1 562--------
    De 1962 à 1999 : population sans doubles comptes ; pour les dates suivantes : population municipale.
    (Sources : Ldh/EHESS/Cassini jusqu'en 1999[20] puis Insee à partir de 2006[21].)
    Histogramme de l'évolution démographique

    Pyramide des âges

    La population de la commune est relativement jeune. Le taux de personnes d'un âge supérieur à 60 ans (18,1 %) est en effet inférieur au taux national (21,6 %) et au taux départemental (19,8 %). À l'instar des répartitions nationale et départementale, la population féminine de la commune est supérieure à la population masculine. Le taux (52,3 %) est du même ordre de grandeur que le taux national (51,6 %).

    La répartition de la population de la commune par tranches d'âge est, en 2007, la suivante :

    • 47,7 % d’hommes (0 à 14 ans = 19,8 %, 15 à 29 ans = 14,5 %, 30 à 44 ans = 23 %, 45 à 59 ans = 28,2 %, plus de 60 ans = 14,4 %) ;
    • 52,3 % de femmes (0 à 14 ans = 18,1 %, 15 à 29 ans = 15,9 %, 30 à 44 ans = 18,6 %, 45 à 59 ans = 26,1 %, plus de 60 ans = 21,3 %).
    Pyramide des âges à Ruitz en 2007 en pourcentage[22]
    HommesClasse d’âgeFemmes
    0,1 
    90 ans ou +
    1,5 
    2,9 
    75 à 89 ans
    7,4 
    11,4 
    60 à 74 ans
    12,4 
    28,2 
    45 à 59 ans
    26,1 
    23,0 
    30 à 44 ans
    18,6 
    14,5 
    15 à 29 ans
    15,9 
    19,8 
    0 à 14 ans
    18,1 
    Pyramide des âges du département du Pas-de-Calais en 2007 en pourcentage[23]
    HommesClasse d’âgeFemmes
    0,2 
    90 ans ou +
    0,8 
    5,1 
    75 à 89 ans
    9,1 
    11,1 
    60 à 74 ans
    12,9 
    21,0 
    45 à 59 ans
    20,1 
    20,9 
    30 à 44 ans
    19,6 
    20,4 
    15 à 29 ans
    18,5 
    21,3 
    0 à 14 ans
    18,9 

    Manifestations culturelles et festivités

    Les « 10 km de Ruitz » est une course pédestre créée en 1990 par La Maison des Jeunes de Ruitz. C'est une course très appréciée des athlètes[24], notamment pour sa difficulté dans la montée de la Renardière. Elle est inscrite au calendrier des courses hors-stades de la Fédération Française d'Athlétisme (FFA).

    Cette course est composée de 4 courses[25]: km, 2,4 km, km, 10 km. Il est possible de s'inscrire en mairie ou le jour même.

    Un tee-shirt est offert à chaque coureur. Pour les 3 premiers ou premières un cadeau est offert.

    Économie

    Connu pour sa zone industrielle où sont implantés des grands noms tels que Ripolin, la Sta (groupe Renault), Lenze, Huwer, Plastic Omnium, etc.

    En termes d'équipements, le village arbore deux écoles (maternelle et primaire), une cantine, une salle des sports, une salle des associations, une salle polyvalente.

    De nombreuses associations apportent le divertissement nécessaire à la bourgade (basket-ball, pétanque, football, maison des jeunes, etc.).

    Culture locale et patrimoine

    Lieux et monuments

    L'église.
    • Ruitz est connue dans la région pour sa course pédestre : "Les 10 km de Ruitz"
    • Ruitz est également connue dans la région pour son jardin de plantes aromatiques et médicinales. Celui-ci est situé autour de la mairie.
    • L'église.

    Le village a obtenu en 2019, une troisième fleur au label national de la qualité de vie, villes et villages fleuris. Ruitz est la deuxième plus petite ville du Pas de Calais a obtenir cette 3ème fleur.

    Personnalités liées à la commune

    • Pierre de Robespierre, homme de fief à Ruitz, vers 1460, ancêtre (à la 10e génération) de Maximilien de Robespierre (1758-1794), avocat et homme politique, mort guillotiné.
    • Marcel Legay (1851-1915), doyen des chansonniers de Montmartre et auteur de écoute, ô mon cœur, chanson du pays d'Artois.
    • Alexis Demailly (1980), trompettiste et cornettiste, né à Ruitz.

    Pour approfondir

    Articles connexes

    Liens externes

    Notes et références

    Notes

    1. Selon le zonage des communes rurales et urbaines publié en novembre 2020, en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le en comité interministériel des ruralités.
    2. La notion d'aire d'attraction des villes a remplacé, en , celle d'aire urbaine afin de permettre des comparaisons cohérentes avec les autres pays de l'Union européenne.
    3. Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2021, millésimée 2018, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2020, date de référence statistique : 1er janvier 2018.

    Références

    1. « Typologie urbain / rural », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
    2. « Commune urbaine - définition », sur le site de l’Insee (consulté le ).
    3. « Comprendre la grille de densité », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
    4. « Unité urbaine 2020 de Béthune », sur https://www.insee.fr/ (consulté le ).
    5. « Base des unités urbaines 2020 », sur www.insee.fr, (consulté le ).
    6. Vianney Costemalle, « Toujours plus d’habitants dans les unités urbaines », sur le site de l'Institut national de la statistique et des études économiques, (consulté le ).
    7. « Liste des communes composant l'aire d'attraction de Noeux-les-Mines », sur le site de l'Institut national de la statistique et des études économiques (consulté le ).
    8. Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier Pégaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans l’aire d’attraction d’une ville », sur le site de l'Institut national de la statistique et des études économiques, (consulté le ).
    9. « CORINE Land Cover (CLC) - Répartition des superficies en 15 postes d'occupation des sols (métropole). », sur le site des données et études statistiques du ministère de la Transition écologique. (consulté le )
    10. IGN, « Évolution de l'occupation des sols de la commune sur cartes et photos aériennes anciennes. », sur remonterletemps.ign.fr (consulté le ). Pour comparer l'évolution entre deux dates, cliquer sur le bas de la ligne séparative verticale et la déplacer à droite ou à gauche. Pour comparer deux autres cartes, choisir les cartes dans les fenêtres en haut à gauche de l'écran.
    11. « Les maires de Ruitz », sur http://www.francegenweb.org (consulté le ).
    12. « Jardin de Charles Pecqueur ».
    13. « Jean-Louis Adancourt, le maire de Ruitz, emporté par la maladie : Jean-Louis Adancourt, 67 ans, est décédé mercredi. Les Ruitelots ont perdu leur maire. Après un premier mandat riche, il avait entamé le second avec la même énergie mais la maladie a eu raison de lui », La Voix du Nord, (lire en ligne).
    14. « Ruitz : un deuxième mandat pour Jean-Louis Adancourt », La Voix du Nord, (lire en ligne, consulté le ).
    15. Cécile Rubichon, « Les projets des maires - Ruitz : le bien-vivre au village, principale préoccupation de Jean-Louis Adancourt : Les investissements, « c’est la partie la plus facile » pour Jean-Louis Adancourt, maire de Ruitz. Financièrement, la commune se porte bien. Mais « il faut que petits et grands se sentent bien. » Ce sera la priorité de son deuxième mandat », La Voix du Nord, (lire en ligne, consulté le ).
    16. S.C.C., « Ruitz : Jean-Pierre Sansen, le « fidèle compagnon », enfile l’écharpe de maire : Depuis dimanche matin, la commune de Ruitz a un nouveau maire : Jean-Pierre Sansen, 62 ans. Un homme bien connu des habitants du village qui s’inscrira dans les pas de Jean-Louis Adancourt, son prédécesseur, décédé cet été », La Voix du Nord, (lire en ligne).
    17. « Ruitz : première cérémonie de vœux pour Jean-Pierre Sansen, non sans hommage à Jean-Louis Adancourt », La Voix du Nord, (lire en ligne).
    18. L'organisation du recensement, sur insee.fr.
    19. Calendrier départemental des recensements, sur insee.fr.
    20. Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes études en sciences sociales.
    21. Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017 et 2018.
    22. « Évolution et structure de la population à Ruitz en 2007 », sur le site de l'Insee (consulté le ).
    23. « Résultats du recensement de la population du Pas-de-Calais en 2007 » [archive du ], sur le site de l'Insee (consulté le ).
    24. « Compte Rendu de course les 10km de Ruitz 2018 », sur www.je-vais-courir.com (consulté le ).
    25. « Les 10 km de Ruitz ».
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