Hermanville
Hermanville est une commune française située dans le département de la Seine-Maritime en région Normandie.
Cet article possède des paronymes, voir Fermanville et Hermeville.
Pour l’article homonyme, voir Hermanville-sur-Mer.
Hermanville | |||||
L'église Saint-Martin | |||||
Blason |
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Administration | |||||
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Pays | France | ||||
Région | Normandie | ||||
Département | Seine-Maritime | ||||
Arrondissement | Dieppe | ||||
Intercommunalité | Communauté de communes Terroir de Caux | ||||
Maire Mandat |
Myriam Delaunay 2020-2026 |
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Code postal | 76730 | ||||
Code commune | 76356 | ||||
Démographie | |||||
Gentilé | Hermanvillais | ||||
Population municipale |
116 hab. (2018 ) | ||||
Densité | 25 hab./km2 | ||||
Géographie | |||||
Coordonnées | 49° 49′ 14″ nord, 0° 59′ 21″ est | ||||
Altitude | Min. 32 m Max. 94 m |
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Superficie | 4,72 km2 | ||||
Type | Commune rurale | ||||
Aire d'attraction | Dieppe (commune de la couronne) |
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Élections | |||||
Départementales | Canton de Luneray | ||||
Législatives | Dixième circonscription | ||||
Localisation | |||||
Géolocalisation sur la carte : Normandie
Géolocalisation sur la carte : Seine-Maritime
Géolocalisation sur la carte : France
Géolocalisation sur la carte : France
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Géographie
Climat
Le climat qui caractérise la commune est qualifié, en 2010, de « climat océanique franc », selon la typologie des climats de la France qui compte alors huit grands types de climats en métropole[2]. En 2020, la commune ressort du type « climat océanique » dans la classification établie par Météo-France, qui ne compte désormais, en première approche, que cinq grands types de climats en métropole. Ce type de climat se traduit par des températures douces et une pluviométrie relativement abondante (en liaison avec les perturbations venant de l'Atlantique), répartie tout au long de l'année avec un léger maximum d'octobre à février[3].
Les paramètres climatiques qui ont permis d’établir la typologie de 2010 comportent six variables pour les températures et huit pour les précipitations, dont les valeurs correspondent aux données mensuelles sur la normale 1971-2000[4]. Les sept principales variables caractérisant la commune sont présentées dans l'encadré ci-après.
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Avec le changement climatique, ces variables ont évolué. Une étude réalisée en 2014 par la Direction générale de l'Énergie et du Climat[6] complétée par des études régionales[7] prévoit en effet que la température moyenne devrait croître et la pluviométrie moyenne baisser, avec toutefois de fortes variations régionales. Ces changements peuvent être constatés sur la station météorologique de Météo-France la plus proche, « Dieppe », sur la commune de Dieppe, mise en service en 1949[8] et qui se trouve à 13 km à vol d'oiseau[9],[Note 3], où la température moyenne annuelle est de 10,9 °C et la hauteur de précipitations de 798,2 mm pour la période 1981-2010[10]. Sur la station météorologique historique la plus proche[Note 4], « Rouen-Boos », sur la commune de Boos, mise en service en 1968 et à 50 km[11], la température moyenne annuelle évolue de 10,1 °C pour la période 1971-2000[12] à 10,5 °C pour 1981-2010[13], puis à 11 °C pour 1991-2020[14].
Urbanisme
Typologie
Hermanville est une commune rurale, car elle fait partie des communes peu ou très peu denses, au sens de la grille communale de densité de l'Insee[Note 5],[15],[16],[17].
Par ailleurs la commune fait partie de l'aire d'attraction de Dieppe, dont elle est une commune de la couronne[Note 6]. Cette aire, qui regroupe 62 communes, est catégorisée dans les aires de 50 000 à moins de 200 000 habitants[18],[19].
Occupation des sols
L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des territoires agricoles (88,6 % en 2018), une proportion identique à celle de 1990 (88,6 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : terres arables (68,9 %), prairies (19,7 %), forêts (11,3 %)[20].
L'IGN met par ailleurs à disposition un outil en ligne permettant de comparer l’évolution dans le temps de l’occupation des sols de la commune (ou de territoires à des échelles différentes). Plusieurs époques sont accessibles sous forme de cartes ou photos aériennes : la carte de Cassini (XVIIIe siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[21].
Toponymie
Le nom de la localité est attesté pour la première fois dans un manuscrit sous la forme latinisée Hermodivilla du XIIe siècle, avant 1115, puis successivement sous les formes Hermetvilla en 1155 - 1178, Hermevilla en 1189, Hermenvilla au XIIe siècle, Hermanvilla vers 1385[22],[23].
Il s'agit d'une formation toponymique médiévale en -ville au sens ancien de « domaine rural »[23]. C'était souvent en milieu rural une ferme ou un hameau avec ses terres d'exploitation. Et il était d'usage de rattacher un nom de lieu à celui du maître du lieu.
Le premier élément Herman- représente un anthroponyme comme c'est le cas dans la grande majorité des composés en -ville. Les formes les plus anciennes permettent de rejeter le nom de personne issu du germanique occidental Herman déjà rencontré dans Hermanville (Calvados, Hermanvilla 1138), mais de suggérer l'anthroponyme germanique occidental Hermodus[23] ou scandinave Hærmóðr issu du vieux haut allemand Herimot / Harimot, basé sur heri / hari « armée » (allemand Heer « armée ») et mot « esprit, âme, courage » (allemand Mut « courage »)[24].
Homonymie avec Hermeville (Seine-Maritime, pays de Caux, Hermodi villa fin XIIe siècle).
Histoire
L'histoire d'Hermanville s'inscrit dans l'histoire du pays de Caux, le Caux étant d'origine le pays des Calètes - en latin caleti, ancêtres des Cauchois - une des peuplades gauloises qui seraient issues de l'invasion des celtes via le nord-est au second âge du fer (période dite de la Tène, à partir de 400 av. J.-C.).
Mais à quand remonte l'existence d'un lieu de vie, précisément à Hermanville, on ne saurait le dire. De l'époque pré-romaine à l'époque gallo-romaine, les données manquent pour une étude historique du peuplement local de cette région du Caux (cf. : Lucien Musset, « Essai sur le peuplement de la Normandie », Actes du deuxième congrès international d'archéologie médiévale (Caen, 1987).
César, dans ses Commentaires sur la Guerre des Gaules - de Bello Gallico, livre VII, 75 - rapporte que parmi les peuples que les Gaulois ont l'habitude d'appeler Armoricains, on compte les Calètes. Faut-il dès lors les rattacher à l'Armorique ou au Belgium, difficile de trancher, d'autant que Hermanville est à la limite nord-est du pays de Caux, et que les territoires n'ont cessé de bouger dans leurs découpages.
Au fil des invasions ultérieures, on a toutes les raisons de penser qu'il y a eu, après les Romains puis les Francs, envahissement de la région par les anglo-scandinaves, ces north men (hommes du nord = normands) que l'on appelle couramment "Vikings".
En fait, il faudra attendre les recherches de Jean Benoît Désiré Cochet (1850) sur les églises rurales pour en apprendre davantage sur le Moyen Âge d'Hermanville, notamment à travers son église Saint-Martin. Voici ce qu'il en écrit : Le corps-carré du clocher, placé entre chœur et nef, ressemble à tous ces clochers romands dont la Haute-Normandie s'est couverte au XIe et au XIIe siècle... [mais s'agissant du chœur] ce sanctuaire semble appartenir plutôt au XIIIe qu'au XIIe siècle. C'est dans ce chœur que fut découvert tardivement, en 1859, un carrelage émaillé qui recouvrait la tombe d'un chevalier du XIIIe siècle, identifié comme étant de la lignée des Masquerel. Leur litre seigneuriale - c'est-à-dire une ceinture de deuil autour du monument - entourait l'église au-dedans et au-dehors. Le sépulcre de ces grands seigneurs était au milieu du chœur. Leurs pierres tombales pavent les marches de l'autel, mais inscriptions et personnages sont effacés. Notons, d'après Cochet, que ce n'est qu'au XVIe siècle que la seigneurie des Masquerel reçut finalement le patronage de la cure de l'église d'Hermanville, mais on sait que l'apanage en avait été réclamé bien avant par la famille, et que Jean Masquerel en avait été débouté en 1334 au profit de l'archevêché de Rouen.
Notons aussi que l'orthographe des Masquerel est par ailleurs attestée sous la forme Mascherel, ou Maskarel, ou même Makarel. Ainsi, dans l'histoire des chevaliers hospitaliers de Saint-Jean de Jerusalem, par l'abbé de Rollin (1726) on trouve cette description du blason seigneurial de Jean Maskarel de Hermanville ; d'argent à la face d'azur diaprée d'or de trois pièces, celle du milieu chargée d'un aigle à deux têtes aussi d'or, & les deux autres, chacune d'un lion affronté de même, le tout accompagné de trois roses de gueule.
Pour la généalogie des Masquerel, on peut se référer au Dictionnaire de la Noblesse, contenant les généalogies, l'histoire et la chronologie des familles nobles de France, par François-Alexandre Aubert de La Chenaye des Bois (1775).
On en apprend un peu plus sur les Masquerel et leur demeure seigneuriale d'Hermanville en lisant « Notice sur l'ancien château d'Hermanville » dans le Bulletin de la Commission des Antiquités de la Seine-Inférieure (1879)[25] :
J'ai visité dans le village d'Hermanville-en-Caux une ferme qui occupe l'emplacement de l'antique manoir des Masquerel, seigneurs et barons d'Hermanville.../... on remarque vers le sommet de chacun des piliers de la barrière, qui donne accès dans la cour de la ferme, une pierre de dimension moyenne, ornée d'un écusson présentant un lion rampant; l'écu est sommé d'une couronne; au-dessous de l'écu on lit sur une des pierres la date de 1419, sur l'autre 1420. Contre le pilier de gauche de la barrière on aperçoit encore deux autres pierres : l'une portant la rose de l'écu des Masquerel, l'autre présentant une fleur de lis accostée de deux roses. À quelques pas du pilier de droite, au bout d'une grange, se trouve encastrée dans la muraille une pierre d'environ 0m70 de hauteur sur 0m40 de largeur. Elle présente un écusson sommé d'une couronne de comte et soutenu par deux palmes; dans la partie supérieure de l'écusson, en chef, se voient deux personnages à mi-corps, de profil et se regardant. Ce sont : Louis et Marye de Mascherel, 1659 . Du côté de la vallée arrosée par un petit cours d'eau, la Vienne, un vieux mur recouvert de lierre.../... flanqué aux extrémités de deux bastions carrés démantelés. Sur la façade [de l'un d'eux] qui regarde le nord, est scellée dans la maçonnerie une pierre ayant environ 0,80 m de hauteur sur 0,60 m de largeur. Elle porte un écusson soutenu par deux palmes, timbré d'une couronne de comte, mi-parti de Masquerel et de Dreux. Les armes de Dreux sont : "Echiqueté d'or et d'azur" On lit au-dessous de l'écu : Mascherel Dreux, 1497. Antoine 1er du nom, de Masquerel, seigneur d'Hermanville, avait épousé le 27 juillet 1497 à Pavilly Jeanne de Dreux, fille de Jacques de Dreux, Seigneur de Morainville, vicomte de Beaussart, et d'Agnès de Mareuil. A quelques pas de là, en remontant vers la cour, occupant le milieu de la muraille, on trouve encore une pierre de mêmes dimensions que la précédente, chargée comme cette dernière d'un écusson soutenu par deux palmes et timbré d'une couronne de comte, mais portant mi-parti de Masquerel et de Chabanes : Mascherel Chabanes 1571. On distingue encore la partie supérieure du corps du lion des Chabanes qui ont pour armes : "De gueules au lion d'hermines couronné d'or"'. Messire Antoine de Masquerel, chevalier, seigneur et baron d'Hermanville, petit-fils du précédent, avait épousé en premières noces Jeanne du Crottay, et en deuxièmes noces Marguerite de Chabanes, fille de Charles, seigneur de la Palisse, et de Catherine de La Rochefoucauld. Leur fille Marie de Masquerel épousa le 1er août 1644 son cousain germain, Louis de Masquerel, marquis d'Hermanville, seigneur dudit lieu et du Castelier, fils de François, chevalier, seigneur et baron du Boscgeffroy, de Neufville, Bailly-en-rivière, Fréauville et autres lieux, et de Catherine Bargeot de La Pallu. Ce sont les deux personnages reproduits sur la pierre de la grange portant la date de 1659 et dont il a été parlé plus haut.'
Politique et administration
Démographie
L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. À partir de 2006, les populations légales des communes sont publiées annuellement par l'Insee. Le recensement repose désormais sur une collecte d'information annuelle, concernant successivement tous les territoires communaux au cours d'une période de cinq ans. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[30]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2004[31].
En 2018, la commune comptait 116 habitants[Note 7], en augmentation de 4,5 % par rapport à 2013 (Seine-Maritime : +0,1 %, France hors Mayotte : +1,78 %).
Culture locale et patrimoine
Lieux et monuments
- Croix de cimetière : marche sur deux degrés en grès sur une base carrée – socle monolithe en grès sur une base carrée, biseauté - fût noué en grès de forme carrée, chanfreiné sur toute l’arête – croix en grès, de forme octogonale.
- Église Saint-Martin.
Héraldique
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Les armes de la commune de Hermanville se blasonnent ainsi : |
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Ce blason, à l'origine, n'était bien sûr pas celui d'une commune, les communes n'existaient pas encore. C'était celui de la seigneurie de Hermanville dont une lignée de Mascarel, ou Masquerel, a eu le titre pendant de nombreuses générations. On notera selon les variantes du blason qu'il peut être surmonté d'un heaume de chevalier, on notera aussi que l'un des lions peut être contourné ou non selon les représentations qui ont été faites de ces armoiries.
Notes et références
Notes
- L'amplitude thermique annuelle mesure la différence entre la température moyenne de juillet et celle de janvier. Cette variable est généralement reconnue comme critère de discrimination entre climats océaniques et continentaux.
- Une précipitation, en météorologie, est un ensemble organisé de particules d'eau liquide ou solide tombant en chute libre au sein de l'atmosphère. La quantité de précipitation atteignant une portion de surface terrestre donnée en un intervalle de temps donné est évaluée par la hauteur de précipitation, que mesurent les pluviomètres[5].
- La distance est calculée à vol d'oiseau entre la station météorologique proprement dite et le chef-lieu de commune.
- Par station météorologique historique, il convient d'entendre la station météorologique qui a été mise en service avant 1970 et qui est la plus proche de la commune. Les données s'étendent ainsi au minimum sur trois périodes de trente ans (1971-2000, 1981-2010 et 1991-2020).
- Selon le zonage des communes rurales et urbaines publié en novembre 2020, en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le en comité interministériel des ruralités.
- La notion d'aire d'attraction des villes a remplacé en octobre 2020 l'ancienne notion d'aire urbaine, pour permettre des comparaisons cohérentes avec les autres pays de l'Union européenne.
- Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2021, millésimée 2018, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2020, date de référence statistique : 1er janvier 2018.
Références
- Sandre, « Fiche cours d'eau - La Vienne (G4100600) » (consulté le ).
- Daniel Joly, Thierry Brossard, Hervé Cardot, Jean Cavailhes, Mohamed Hilal et Pierre Wavresky, « Les types de climats en France, une construction spatiale », Cybergéo, revue européenne de géographie - European Journal of Geography, no 501, (DOI https://doi.org/10.4000/cybergeo.23155, lire en ligne, consulté le )
- « Le climat en France métropolitaine », sur http://www.meteofrance.fr/, (consulté le )
- « Définition d’une normale climatologique », sur http://www.meteofrance.fr/ (consulté le )
- Glossaire – Précipitation, Météo-France
- « Le climat de la France au XXIe siècle - Volume 4 - Scénarios régionalisés : édition 2014 pour la métropole et les régions d’outre-mer », sur https://www.ecologie.gouv.fr/ (consulté le ).
- [PDF]« Observatoire régional sur l'agriculture et le changement climatique (Oracle) - Normandie », sur normandie.chambres-agriculture.fr, (consulté le )
- « Station Météo-France Dieppe - métadonnées », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le )
- « Orthodromie entre Hermanville et Dieppe », sur fr.distance.to (consulté le ).
- « Station Météo-France Dieppe - fiche climatologique - statistiques 1981-2010 et records », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le ).
- « Orthodromie entre Hermanville et Boos », sur fr.distance.to (consulté le ).
- « Station météorologique de Rouen-Boos - Normales pour la période 1971-2000 », sur https://www.infoclimat.fr/ (consulté le )
- « Station météorologique de Rouen-Boos - Normales pour la période 1981-2010 », sur https://www.infoclimat.fr/ (consulté le )
- « Station météorologique de Rouen-Boos - Normales pour la période 1991-2020 », sur https://www.infoclimat.fr/ (consulté le )
- « Typologie urbain / rural », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
- « Commune rurale - définition », sur le site de l’Insee (consulté le ).
- « Comprendre la grille de densité », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
- « Liste des communes composant l'aire d'attraction d'Dieppe », sur insee.fr (consulté le ).
- Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier Pégaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans l’aire d’attraction d’une ville », sur insee.fr, (consulté le ).
- « CORINE Land Cover (CLC) - Répartition des superficies en 15 postes d'occupation des sols (métropole). », sur le site des données et études statistiques du ministère de la Transition écologique. (consulté le )
- IGN, « Évolution de l'occupation des sols de la commune sur cartes et photos aériennes anciennes. », sur remonterletemps.ign.fr (consulté le ). Pour comparer l'évolution entre deux dates, cliquer sur le bas de la ligne séparative verticale et la déplacer à droite ou à gauche. Pour comparer deux autres cartes, choisir les cartes dans les fenêtres en haut à gauche de l'écran.
- Charles de Beaurepaire, dom Jean Laporte, Dictionnaire topographique du département de la Seine-Maritime, Paris, 1982-1984 (réédition), p. 510
- François de Beaurepaire (préf. Marianne Mulon), Les Noms des communes et anciennes paroisses de la Seine-Maritime, Paris, A. et J. Picard, , 180 p. (ISBN 2-7084-0040-1, OCLC 6403150), p. 94.
- Site de Nordic Names : origine et étymologie de l'anthroponyme Hermóðr (lire en anglais) Hermóðr
- Bulletin de la Commission des antiquités de la Seine-Maritime, tome 5, 1879
- « Les maires de Hermanville », sur http://www.francegenweb.org (consulté le ).
- « Hermanville : le maire démissionne », Paris-Normandie, (lire en ligne, consulté le ).
- « Myriam Delaunay, élue maire de Hermanville : Suite à la démission de Vincent Guérillon, le conseil municipal s’est réuni pour élire le maire et les adjoints », Paris-Normandie, (lire en ligne, consulté le ) « Myriam Delaunay s’est présentée et a été élue avec 9 voix (1 vote blanc) (...) Myriam Delaunay est une jeune maman de 36 ans. Elle est assistante juridique à Dieppe et vit depuis 2006 à Hermanville. Elle fait partie du conseil municipal depuis 2008, avec un premier mandat en tant que troisième adjointe et dernièrement, de première adjointe ».
- « Liste des maires » [PDF], Listes des élus, Préfecture de la Seine-Maritime, (consulté le ).
- L'organisation du recensement, sur insee.fr.
- Calendrier départemental des recensements, sur insee.fr.
- Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes études en sciences sociales.
- Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017 et 2018.
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