Guernes

Guernes est une commune française située dans le département des Yvelines en région Île-de-France. Située à dix kilomètres par la route environ à l'ouest de Mantes-la-Jolie dans une boucle de la Seine ; la commune se situe à vol d'oiseau à environ sept kilomètres de Mantes. Cette petite commune rurale et résidentielle appartient au parc naturel régional du Vexin français.

Guernes

La mairie.
Administration
Pays France
Région Île-de-France
Département Yvelines
Arrondissement Mantes-la-Jolie
Intercommunalité Grand Paris Seine et Oise
Maire
Mandat
Pascal Brusseaux
2020-2026
Code postal 78520
Code commune 78290
Démographie
Population
municipale
1 078 hab. (2018 )
Densité 126 hab./km2
Géographie
Coordonnées 49° 00′ 42″ nord, 1° 38′ 12″ est
Altitude Min. 15 m
Max. 71 m
Superficie 8,54 km2
Type Commune urbaine
Aire d'attraction Paris
(commune de la couronne)
Élections
Départementales Canton de Limay
Législatives Huitième circonscription
Localisation
Géolocalisation sur la carte : Île-de-France
Guernes
Géolocalisation sur la carte : Yvelines
Guernes
Géolocalisation sur la carte : France
Guernes
Géolocalisation sur la carte : France
Guernes

    Ses habitants sont appelés les Guernois(ses)[1].

    Géographie

    Position de Guernes dans les Yvelines.

    La commune de Guernes se situe dans la convexité d'une boucle de la Seine, sur la rive droite du fleuve, dans le nord-ouest des Yvelines, à environ dix kilomètres à l'ouest de Mantes-la-Jolie et 54 kilomètres au nord-ouest de Versailles, chef-lieu du département.

    Elle est limitrophe de Saint-Martin-la-Garenne au nord, de Follainville-Dennemont à l'est. À l'ouest et au sud, elle est bordée par la Seine qui la sépare de Mantes-la-Jolie, Rosny-sur-Seine vers le sud, Rolleboise vers l'ouest, et Méricourt vers le nord-ouest.

    Territoire

    Le territoire communal s'étend sur environ km d'est en ouest et 2,5 km du nord au sud. C'est avec 854 hectares une commune relativement petite, sensiblement dans la moyenne des communes yvelinoises (872 hectares).

    Le relief, peu marqué, est en pente légère de l'est vers l'ouest, marquant toutefois un talus assez net qui délimité le lit de la Seine à sa lisière sud.

    La commune englobe vers le sud plusieurs îles de la Seine, dont l'île de Dennemont (partagée avec Follainville-Dennemenont), l'île de Guernes, l'île des Genouchets, l'île de Rosny et l'île d'Herville (partagée avec Rolleboise). Ces îles séparées par des bras relativement étroits, sont quasiment rattachées à la rive droite, laissant au sud et à l'ouest le chenal principal, navigable, de la Seine.

    Vers l'ouest, sur le site du bois de Flicourt, d'anciennes sablières aménagées hébergent, sur 36 hectares, une faune diversifiée d'oiseaux aquatiques.

    Par sa situation, la commune est en partie exposée aux risques d'inondation, particulièrement les zones situées au sud (îles) et à l'ouest (secteur de Flicourt)[2]. Ces zones ont déjà été inondées, notamment lors de la grande crue de 1910.

    Ce risque a motivé la mise en place d'un plan de prévention contre les risques d'inondation (PPRI), mis en vigueur par arrêté préfectoral du . Il concerne dans le Yvelines 57 communes riveraines de la Seine et de l'Oise[3]. Ce plan détermine plusieurs zones, prioritaires sur les plans locaux d’urbanisme (PLU) des communes concernées : une zone rouge, concernant les zones les plus exposées (rouge clair, inondations de 1 à 2 mètres, rouge sombre, inondations supérieures à 2 mètres, où les nouvelles constructions sont interdites et le renouvellement urbain strictement réglementé, une zone bleue où le risque d'inondation est modéré qui permet le maintien d'activités économiques importantes, une zone verte, non bâtie et devant le rester et une zone marron concernant une bande d'environ 25 mètres le long des rives, qui a pour objectif de reconquérir une capacité d'écoulement en contrôlant l'urbanisation.

    La commune est par ailleurs confrontée à la nécessité d'entretenir les berges qui souffrent d'érosion, aggravée par l'intensité du trafic fluvial, et menacent de s'effondre par endroits. De ce fait l'accès au chemin de halage longeant le fleuve a été limité. Une partie des berges a été renforcée en 2005 avec l'aide du syndicat mixte d’aménagement des berges de la Seine dans l’arrondissement de Mantes-la-Jolie (SMABS)[4].

    Climat

    Le climat à Guernes est un climat tempéré de type océanique dégradé caractéristique de celui de l'Île-de-France. Les températures moyennes s'échelonnent entre 2 et 5 °C en hiver (janvier) et 14 et 25 °C en été (juillet)[5]. La pluviométrie moyenne, relativement basse, s'établit à environ 600 mm par an. Les mois les plus pluvieux vont d'octobre à janvier.

    Communications

    La commune est desservie par un chemin départemental en impasse (D 148) qui rejoint la route départementale D 147 à Dennemont desservant Limay.

    Un bac permettait autrefois de rejoindre la rive gauche face à Rosny-sur-Seine. Actuellement le pont le plus proche permettant le franchissement de la Seine est celui qui relie Limay à Mantes-la-Jolie.

    La gare la plus proche est celle de Mantes-la-Jolie sur la ligne Paris-Rouen.

    Urbanisme

    Typologie

    Guernes est une commune urbaine, car elle fait partie des communes denses ou de densité intermédiaire, au sens de la grille communale de densité de l'Insee[Note 1],[6],[7],[8].

    Par ailleurs la commune fait partie de l'aire d'attraction de Paris, dont elle est une commune de la couronne[Note 2]. Cette aire regroupe 1 929 communes[9],[10].

    Héraldique

    Les armes de Guernes se blasonnent ainsi :
    de gueules à la croix ondée d'or remplie d'azur, chargée d'une barque d'or et cantonnée en 1 et 4 de deux roses du même.

    La barque symbolise l'ancien bac de Guernes. Les fleurs évoquent les cultures fruitières qui caractérisaient la commune autrefois[11]

    Toponymie

    Le nom de la localité est attesté sous les formes Warnas en 1141[12], Garnes aux XIIIe et XIVe siècles[13].

    Ce toponyme aurait subi l'influence de /w/ germanique.

    Son nom signifierait des Aulnes, il aurait la même origine que celui de Vernon dans l'Eure.

    Histoire

    Stèle commémorant le franchissement de la Seine par l'armée Patton en 1944.

    Des outils préhistoriques ont été retrouvés sur le territoire de Guernes, ce qui ne prouve néanmoins pas l'implantation d'un habitat préhistorique.

    L'existence de la paroisse est attestée depuis le XIIIe siècle.

    En 1870, un bac fut mis en service entre Rosny-sur-Seine et Guernes. Il fut supprimé en 1964 à la suite de la surélévation du barrage de Méricourt.

    Le , effondrement du clocher de l'ancienne église, qui est démolie par la suite, en 1948. L'édifice actuel est construit en 1953[11].

    Le , l'armée du général Patton franchit la Seine sur un pont de bateaux reliant Guernes à Rosny et établit la première tête de pont sur la rive droite du fleuve.

    En 2014 un bac fut remis en service entre Rosny-sur-Seine et Guernes.

    Démographie

    Évolution démographique

    L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. À partir de 2006, les populations légales des communes sont publiées annuellement par l'Insee. Le recensement repose désormais sur une collecte d'information annuelle, concernant successivement tous les territoires communaux au cours d'une période de cinq ans. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[14]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2004[15].

    En 2018, la commune comptait 1 078 habitants[Note 3], en augmentation de 1,99 % par rapport à 2013 (Yvelines : +1,62 %, France hors Mayotte : +1,78 %).

    Évolution de la population  [modifier]
    1793 1800 1806 1821 1831 1836 1841 1846 1851
    519521438555542567547566541
    1856 1861 1866 1872 1876 1881 1886 1891 1896
    522530513478478498486507515
    1901 1906 1911 1921 1926 1931 1936 1946 1954
    509483481383349384381411416
    1962 1968 1975 1982 1990 1999 2004 2009 2014
    4505025186137458278701 0121 082
    2018 - - - - - - - -
    1 078--------
    De 1962 à 1999 : population sans doubles comptes ; pour les dates suivantes : population municipale.
    (Sources : Ldh/EHESS/Cassini jusqu'en 1999[16] puis Insee à partir de 2006[17].)
    Histogramme de l'évolution démographique

    Pyramide des âges

    La population de la commune est relativement jeune. Le taux de personnes d'un âge supérieur à 60 ans (15,7 %) est en effet inférieur au taux national (21,6 %) et au taux départemental (17,5 %). À l'instar des répartitions nationale et départementale, la population féminine de la commune est supérieure à la population masculine. Le taux (50,1 %) est du même ordre de grandeur que le taux national (51,6 %).

    La répartition de la population de la commune par tranches d'âge est, en 2007, la suivante :

    • 49,9 % d’hommes (0 à 14 ans = 21,4 %, 15 à 29 ans = 16,8 %, 30 à 44 ans = 25 %, 45 à 59 ans = 22 %, plus de 60 ans = 14,9 %) ;
    • 50,1 % de femmes (0 à 14 ans = 20,3 %, 15 à 29 ans = 17,8 %, 30 à 44 ans = 26,2 %, 45 à 59 ans = 19,1 %, plus de 60 ans = 16,6 %).
    Pyramide des âges à Guernes en 2007 en pourcentage[18]
    HommesClasse d’âgeFemmes
    0,4 
    90  ans ou +
    0,2 
    2,6 
    75 à 89 ans
    6,5 
    11,9 
    60 à 74 ans
    9,9 
    22,0 
    45 à 59 ans
    19,1 
    25,0 
    30 à 44 ans
    26,2 
    16,8 
    15 à 29 ans
    17,8 
    21,4 
    0 à 14 ans
    20,3 
    Pyramide des âges du département des Yvelines en 2007 en pourcentage[19]
    HommesClasse d’âgeFemmes
    0,3 
    90  ans ou +
    0,9 
    4,3 
    75 à 89 ans
    6,6 
    11,2 
    60 à 74 ans
    11,6 
    20,3 
    45 à 59 ans
    20,7 
    22,1 
    30 à 44 ans
    21,5 
    19,9 
    15 à 29 ans
    18,9 
    21,9 
    0 à 14 ans
    19,8 

    Politique et administration

    Liste des maires

    Liste des maires successifs
    Période Identité Étiquette Qualité
    Les données manquantes sont à compléter.
    mars 1995 2001 Jean-Pierre Messin    
    mars 2001 2008 Alain Enault[20]    
    mars 2008 2014 Bernard Bourget[1] SE retraité
    2014 En cours Pascal Brusseaux    

    Instances administratives et judiciaires

    La commune de Guernes appartient au canton de Limay et est rattachée à la communauté de communes GPS&O à la suite de la dissolution de la CAMY.

    Sur le plan électoral, la commune est rattachée à la huitième circonscription des Yvelines, circonscription mi-rurale, mi-urbaine du nord-ouest des Yvelines centrée autour de la ville de Mantes-la-Jolie.

    Sur le plan judiciaire, Guernes fait partie de la juridiction d’instance de Mantes-la-Jolie et, comme toutes les communes des Yvelines, dépend du tribunal de grande instance ainsi que de tribunal de commerce sis à Versailles[21],[22].

    Économie

    La commune de Guernes est une commune rurale et résidentielle.

    En dehors de l'agriculture, la seule activité économique notable est l'exploitation de sablières dans le lit majeur de la Seine, mais Guernes en profite très peu fiscalement car l'usine qui traite les granulats est située sur le territoire d'une commune voisine.

    Emploi et activités

    Au recensement de 1999, la commune comptait 125 emplois dont environ 74 % de salariés et 26 % de non salariés. Ces emplois se répartissaient principalement (48,8 %) dans le secteur tertiaire (dont 3,2 % dans le commerce), et secondairement dans l'industrie (22,4 %) et la construction (25,6 %). Le secteur agricole représentait seulement 3,2 % des emplois totaux[23].

    Le taux d'activité, relativement élevé, s'établissait à 85,1 %. La population active comptait 409 personnes. Parmi celles-ci, 377 avaient un emploi et 32 étaient en chômage, soit un taux de chômage de 7,8 %[24], inférieur au taux national (12,8 %) et proche de la moyenne départementale égale à 8,9 %. Dans la tranche 15-24 ans, le taux de chômage atteignait toutefois le chiffre de 25 % contre 18,9 % au niveau départemental. Cette population active est en forte croissance : + 23 % de 1982 à 1980 et + 19 % de 1990 à 1999.

    Parmi les personnes ayant un emploi, seulement 13,5 % travaillaient dans la commune tandis que près de 50 % travaillaient dans d'autres communes du département ou dans les départements voisins. Les transports domicile-travail se faisaient très majoritairement (77 %) en voitures particulières.

    Culture

    Patrimoine architectural

    Église Notre-Dame.

    L'église Notre-Dame est une église en béton armé construite entre 1948 et 1953 et consacrée le sous le vocable de Notre-Dame. Elle remplace une ancienne église datant du XVIe siècle, consacrée en 1521 sous le vocable de Notre-Dame, qui fut démolie en 1948.

    Cette église contient un retable en bois polychrome du XVIe siècle, classé monument historique au titre objet le [25]. Ce retable, en bas-reliefs sculptés, représente les sept scènes de la passion du Christ et comprend 83 personnages. Probablement d'origine flamande ou brabançonne, il présente de grandes analogies avec le retable de Vétheuil, commune du Val-d'Oise proche de Guernes[26]. Le Christ en croix qui figurait au centre de la composition a été volé. L'église abrite également trois statues en bois représentant le Christ en croix, la Sainte-Vierge et saint Jean, classées au titre objet le [27].

    La nef est ornée d'une série de vingt-quatre vitraux dédiée à la Vierge Marie et évoquant les sanctuaires de France consacrés à la Vierge. Ces vitraux en noir et blanc sur un fond de formes géométriques en couleurs sont l'œuvre de Maurice Rocher et ont été réalisés par le maître verrier Jacques Degusseau d'Orléans[11],[28].

    Patrimoine naturel

    • Domaine régional de Flicourt : il s'agit d'un conservatoire des milieux naturels créé par l'agence des espaces verts de la région d'Île-de-France sur d'anciennes sablières rétrocédées gratuitement en fin d'exploitation par la Compagnie des sablières de la Seine. On peut y observer notamment beaucoup d'espèces d'oiseaux aquatiques : canards souchets, grands cormorans, grèbes huppés, hérons cendrés, sarcelles, etc.

    Cultes

    Curés

    Voir aussi

    Articles connexes

    Liens externes

    Notes et références

    Notes

    1. Selon le zonage des communes rurales et urbaines publié en novembre 2020, en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le en comité interministériel des ruralités.
    2. La notion d'aire d'attraction des villes a remplacé en octobre 2020 l'ancienne notion d'aire urbaine, pour permettre des comparaisons cohérentes avec les autres pays de l'Union européenne.
    3. Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2021, millésimée 2018, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2020, date de référence statistique : 1er janvier 2018.

    Références

    1. « Guernes », Union des maires des Yvelines (consulté le ).
    2. Guernes, Dossier communal d’informations à destination des acquéreurs et des locataires de biens immobiliers sur les risques majeurs et technologiques, Préfecture des Yvelines [PDF].
    3. Plan de prévention des Risques d’inondation de la vallée de la Seine et de l'Oise, Préfecture des Yvelines, sur le site de l'association Qualité de vie de La Borde à Montesson [PDF].
    4. Au fil de la Seine, journal de l'association « La seine en partage », n° 18 - novembre-décembre 2005, p. 10.
    5. Climat des Yvelines sur le site de Météo-France.
    6. « Typologie urbain / rural », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
    7. « Commune urbaine - définition », sur le site de l’Insee (consulté le ).
    8. « Comprendre la grille de densité », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
    9. « Liste des communes composant l'aire d'attraction de Paris », sur insee.fr (consulté le ).
    10. Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier Pégaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans l’aire d’attraction d’une ville », sur insee.fr, (consulté le ).
    11. Le patrimoine des communes des Yvelines, éditions Flohic, 2000, tome I, p. 373.
    12. Armand CASSAN, Statistique de l'arrondissement de Mantes, Seine-et-Oise, page 534.
    13. Marianne Mulon, Noms de lieu d'Île-de-France, 1997[réf. incomplète].
    14. L'organisation du recensement, sur insee.fr.
    15. Calendrier départemental des recensements, sur insee.fr.
    16. Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes études en sciences sociales.
    17. Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017 et 2018.
    18. « Évolution et structure de la population à Guernes en 2007 », sur le site de l'Insee (consulté le ).
    19. « Résultats du recensement de la population des Yvelines en 2007 », sur le site de l'Insee (consulté le ).
    20. « La liste des maires - "Troisième tour" des municipales », Le Courrier de Mantes, .
    21. « Tribunal d'instance de Mantes la Jolie - Liste des communes et cantons », Cour d'appel de Versailles (consulté le ).
    22. « Tribunal de grande instance de Versailles - », Cour d'appel de Versailles (consulté le ).
    23. INSEE - Emplois au lieu de travail selon le sexe, le statut et l’activité économique des individus à Guernes
    24. INSEE - activité - formes d'emploi à Guernes
    25. Retable de Guernes sur la base Palissy, ministère de la Culture
    26. Retable de la passion de l'église de Vétheuil, ministère de la Culture [PDF].
    27. Statues de l'église de Guernes sur la base Palissy, ministère de la Culture
    28. Vierges à l'Enfant, église de Guernes, Topic-Topos, le patrimoine de France
    29. Paul Lieutier, Bourg-la-Reine, essai d'histoire locale, 1913 ; réédition Le Livre d'histoire, Paris, 2003, p. 244 (ISBN 2-84373-320-0).
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