Grillon (Vaucluse)

Grillon est une commune française située dans le département de Vaucluse, en région Provence-Alpes-Côte d'Azur.

Pour les articles homonymes, voir Grillon.

Grillon

Blason
Administration
Pays France
Région Provence-Alpes-Côte d’Azur
Département Vaucluse
Arrondissement Carpentras
Intercommunalité Communauté de communes Enclave des Papes-Pays de Grignan
Maire
Mandat
Jean-Marie Grosset
2020-2026
Code postal 84600
Code commune 84053
Démographie
Gentilé Grillonnais, Grillonnaises
Population
municipale
1 742 hab. (2018 )
Densité 117 hab./km2
Géographie
Coordonnées 44° 23′ 44″ nord, 4° 55′ 50″ est
Altitude 176 m
Min. 154 m
Max. 248 m
Superficie 14,92 km2
Type Commune rurale
Aire d'attraction Valréas
(commune de la couronne)
Élections
Départementales Canton de Valréas
Législatives Quatrième circonscription
Localisation
Géolocalisation sur la carte : Provence-Alpes-Côte d'Azur
Grillon
Géolocalisation sur la carte : Vaucluse
Grillon
Géolocalisation sur la carte : France
Grillon
Géolocalisation sur la carte : France
Grillon
Liens
Site web http://www.grillon84.fr

    Ses habitants s'appellent les Grillonnais et les Grillonnaises[1].

    Géographie

    Situation de l'Enclave des Papes dans le département Vaucluse.

    Avec les trois autres communes du canton (Richerenches, Valréas et Visan), Grillon constitue une enclave du département de Vaucluse dans celui de la Drôme et de la région Provence-Alpes-Côte d'Azur dans la région Rhône-Alpes (surnommée enclave des papes). La commune est située au nord-ouest de cette enclave.

    Accès et transport

    Le village est à km de Valréas et à 68 d'Avignon[1]. Les routes départementales 20, 64 et 941 passent sur la commune. L'accès depuis le TGV se fait depuis Avignon (gare TGV ou gare du centre-ville), Orange ou Montélimar.

    Relief

    La partie ancienne du bourg est perchée sur une petite colline. D'autres collines plus importantes au nord de la commune, alors que la partie au sud, couverte de terres agricoles, est relativement plate.

    Géologie

    La commune et en particulier le village se trouvent sur de la molasse burdigalienne appelée localement safre.

    Sismicité

    Les cantons de Bonnieux, Apt, Cadenet, Cavaillon, et Pertuis sont classés en zone Ib (risque faible). Les autres cantons du département de Vaucluse sont classés en zone Ia (risque très faible). Ce zonage correspond à une sismicité ne se traduisant qu'exceptionnellement par la destruction de bâtiments[2].

    Hydrographie

    La commune est traversée par le Lez[3]. La Gourdoulière s'écoule depuis le nord-est pour devenir l'Aulière au sud-ouest. Le Rieu sec emprunte également le territoire de la commune (à l'est et au sud du bourg). La commune est dotée de plusieurs fontaines.

    La communauté de communes Enclave des Papes-Pays de Grignan est compétente en matière de gestion d'hydraulique, c'est-à-dire des ouvrages hydrauliques, cours d'eau, etc.

    Climat

    La commune est située dans la zone d’influence du climat méditerranéen. Les étés sont chauds et secs, liés à la remontée en latitude des anticyclones subtropicaux, entrecoupés d’épisodes orageux parfois violents. Cependant, l'enclave étant située au nord de la région PACA, quasiment à la limite Nord de la culture de l'olivier, certains préfèrent parler d'un climat méditerranéen à influence continentale. Le froid de l'hiver est donc plus important qu'au sud du département. Enfin, le mistral peut y souffler[4].

    Mois
    JanvFévMarsAvrMaiJuinJuilAoûtSeptOctNovDécAnnée
    Températures maximales moyennes (°C) 8 10 15 17 22 26 29 29 24 19 12 9 17,3
    Températures minimales moyennes (°C) 2 3 5 7 11 15 17 17 14 11 6 3 9,3
    Températures moyennes (°C) 4 6,5 10 12 16,5 20,5 23 23 19 15 9 5,5 13,3
    Moyennes mensuelles de précipitations (mm) 41,8 27,5 27,2 60,9 49,9 33,2 33,3 29,1 68,5 92,3 68,7 40,9 573,3
    Source : Données climatologiques de Valréas (Vaucluse) 2000-2007

    Urbanisme

    Typologie

    Grillon est une commune rurale, car elle fait partie des communes peu ou très peu denses, au sens de la grille communale de densité de l'Insee[Note 1],[5],[6],[7].

    Par ailleurs la commune fait partie de l'aire d'attraction de Valréas, dont elle est une commune de la couronne[Note 2]. Cette aire, qui regroupe 12 communes, est catégorisée dans les aires de moins de 50 000 habitants[8],[9].

    Occupation des sols

    Carte de l'occupation des sols de la commune en 2018 (CLC).

    L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des territoires agricoles (81,3 % en 2018), néanmoins en diminution par rapport à 1990 (84,7 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : cultures permanentes (52,5 %), zones agricoles hétérogènes (28,8 %), forêts (9,7 %), zones urbanisées (8,2 %), espaces ouverts, sans ou avec peu de végétation (0,8 %)[10].

    L'IGN met par ailleurs à disposition un outil en ligne permettant de comparer l’évolution dans le temps de l’occupation des sols de la commune (ou de territoires à des échelles différentes). Plusieurs époques sont accessibles sous forme de cartes ou photos aériennes : la carte de Cassini (XVIIIe siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[11].

    Histoire

    Préhistoire et Antiquité

    L'Hypogée du Capitaine, daté du Néolithique, est l'un des plus vastes de France. Fouillé sur près de 100 m2, il contenait plusieurs squelettes en position fœtale et un très important mobilier funéraire composé de perles (27 000 en stéatite, 335 à ailettes, 610 rondes en calcaire, 840 rondes en test de coquillage), de 250 dentales, de pendeloques (102 en forme de griffe ou à pointes en os, 40 en calcaire), de flèches perçantes ou tranchantes et de couteaux ayant servi de faucilles. Les pics ayant servi à creuser l'hypogée (16 m sur m) ont été retrouvés sur place[12].

    Moyen Âge

    Raymond de Turenne, Capitaine pontifical, fresque de l’Ospedale Santa-Maria della Scala à Sienne, par Girolamo di Benvenuto.

    Pons de Crillon (1134-1136), évêque du Tricastin, favorisa l'implantation de l'ordre du Temple auquel son frère Guillaume donna des terres. Le dernier seigneur connu de cette famille fut Nicolas de Grillon, qui en 1172, accorda des franchises aux Grillonais. Trois ans plus tard, ce fief des Dauphins du Viennois était passé en paréage entre les Montauban et les Taulignan[1].

    Le pape fit remettre en état les remparts, après l'inspection qu'il avait ordonnée et pour laquelle il avait mandaté Jean de Cordojan, trésorier pontifical, et Jean d'Arpadelle, recteur du Comtat Venaissin[13].

    Les revenus de ce fief furent alors attribués à des membres de la famille du pape. Ce fut le cas en 1376, quand Grégoire XI les accorda à son demi-frère Marquis de Canillac. Ils lui furent versés jusqu'en 1390, date à laquelle Clément VII décida de les récupérer. Ce ne fut pas du goût de Raimond de Turenne, dont le marquis était l'oncle, et le capitaine pontifical décida de régler cette spoliation les armes à la main. Ce fut le début des guerres raimondines contre la papauté d'Avignon à laquelle il mêla un autre de ses oncles Tristan, le Bâtard de Beaufort[13]. Il faut dire qu'entre temps, le , Clément VII avait échangé la moitié de Montélimar, fief pontifical, contre la cessation de toutes revendications de la couronne de France sur Grillon[3].

    Ce fief revint aux Adhémar de Monteil qui en conservèrent les revenus jusqu'en 1429. Son dernier seigneur, Géraud d'Adhémar accorda le droit aux Grillonais de s'imposer[3].

    Les Templiers et les Hospitaliers

    Après le concile de Vienne et la dévolution des biens de l'ordre du Temple, les Hospitaliers de l'ordre de Saint-Jean de Jérusalem, récupérèrent la commanderie templière en 1313. Puis en 1342, Clément VI rattacha ce bien du dernier dauphin Humbert II au Comtat Venaissin.

    Renaissance

    Le , sur acceptation de Calixte III, Pierre de Foix, le cardinal-légat d'Avignon, vendit et bailla à Jean et Louis Le Meingre, fils de Geoffroy Boucicaut, le lieu et son château[3] afin qu'ils puissent récupérer les 4 000 livres que la papauté devait à la famille Boucicaut[13].

    En 1562, le village fut mis à feu et à sang par le baron des Adrets qui venait de perdre Orange[14].

    Période moderne

    Possessions pontificales, Avignon et le Comtat Venaissin furent rattachés à la France le . Le , ces territoires formèrent deux nouveaux districts, Avignon dans les Bouches-du-Rhône et Carpentras dans la Drôme.

    Le fut créé le département de Vaucluse, constitué des districts d'Avignon et de Carpentras, mais aussi de ceux d'Apt et d'Orange, qui appartenaient aux Bouches-du-Rhône, ainsi que du canton de Sault, qui appartenait aux Basses-Alpes.

    En 1800, il y eut modification des limites départementales, Suze-la-Rousse étant rattachée à la Drôme, ce qui eut pour conséquence l'enclavement du canton vauclusien de Valréas, devenu dès lors l'Enclave des papes.

    Entre 1867 et 1872 fut édifiée, au bas du vieux Grillon, une nouvelle église dans un emplacement creusé dans le safre[13].

    Période contemporaine

    Le Vialle, abandonné à la fin de la Première Guerre mondiale, est réhabilité dès 1973, sous la direction de l’architecte Georges-Henri Pingusson, et avec l’Office public d’habitations à loyer modéré du Vaucluse. À partir de 1990, des ruines ont été transformées sur un projet des architectes Sainte-Olive et Poissonnier, qui abritent l’Institut des polymères, au lieu des activités ancestrales connues par des textes du XVIe et XIXe siècles (moulins à huile, à papier, et à foulon)[15]. En 1981, l'OPHLM de Vaucluse a participé à la réhabilitation d'un certain nombre de maisons troglodytiques dans le vieux village[13].

    Toponymie

    Les plus anciennes graphies attestées sont Grillone (1186), Grilione (1138), Grillonis (1214), Grillione (1268) et Grilhon (1363)[1]. L'origine se trouve dans le nom d'un homme gréco-latin Gryllus auquel s'est ajouté le suffixe -onem[16].

    Héraldique

    Les armes peuvent se blasonner ainsi :

    D'azur au lion d'or tenant une grille du même, au chef cousu de gueules chargé d'une clef d'or et d'une clef d'argent passées en sautoir[17].

    Politique et administration

    Mairie de Grillon.
    Liste des maires successifs
    Période Identité Étiquette Qualité
    mars 2001 mars 2008 Daniel Magnin    
    mars 2008 En cours Jean-Marie Grosset    
    Les données manquantes sont à compléter.

    Fiscalité

    L'imposition des ménages et des entreprises à Grillon en 2009[18]
    TaxePart communalePart intercommunalePart départementalePart régionale
    Taxe d'habitation (TH)7,13 %0,00 %7,55 %0,00 %
    Taxe foncière sur les propriétés bâties (TFPB)22,90 %0,00 %10,20 %2,36 %
    Taxe foncière sur les propriétés non bâties (TFPNB)43,45 %0,00 %28,96 %8,85 %
    Taxe professionnelle (TP)00,00 %15,03 %13,00 %3,84 %

    La part régionale de la taxe d'habitation n'est pas applicable.

    La taxe professionnelle est remplacée en 2010 par la cotisation foncière des entreprises (CFE) portant sur la valeur locative des biens immobiliers et par la cotisation sur la valeur ajoutée des entreprises (CVAE) (les deux formant la contribution économique territoriale (CET), qui est un impôt local instauré par la loi de finances pour 2010[19]).

    Démographie

    L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. À partir de 2006, les populations légales des communes sont publiées annuellement par l'Insee. Le recensement repose désormais sur une collecte d'information annuelle, concernant successivement tous les territoires communaux au cours d'une période de cinq ans. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[20]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2008[21].

    En 2018, la commune comptait 1 742 habitants[Note 3], en diminution de 0,29 % par rapport à 2013 (Vaucluse : +1,79 %, France hors Mayotte : +1,78 %).

    Évolution de la population  [modifier]
    1793 1800 1806 1821 1831 1836 1841 1846 1851
    9559251 0441 1931 3031 3111 3121 3651 397
    1856 1861 1866 1872 1876 1881 1886 1891 1896
    1 4201 3571 3641 2891 2351 2801 1801 1251 121
    1901 1906 1911 1921 1926 1931 1936 1946 1954
    1 0801 1361 050912884834814772760
    1962 1968 1975 1982 1990 1999 2006 2007 2008
    8289841 1291 3891 5801 6861 7001 7021 704
    2013 2018 - - - - - - -
    1 7471 742-------
    De 1962 à 1999 : population sans doubles comptes ; pour les dates suivantes : population municipale.
    (Sources : Ldh/EHESS/Cassini jusqu'en 1999[22] puis Insee à partir de 2006[23].)
    Histogramme de l'évolution démographique

    Économie

    Industrie et artisanat

    Au XVIIIe siècle, les Grillonais s'étaient fait une spécialité de la fabrication de la poudre. Cette petite industrie était installée dans les galeries creusées sous le village. Le XIXe siècle, vit s'installer des manufactures de brique[3], et le XXe siècle, une importante industrie pour les revêtements de sol.

    Agriculture

    Au cours du XIXe siècle, la commune cultivait vignes et mûriers pour l'élevage des vers à soie[3]. L'agriculture tient toujours une place importante dans son économie, avec le vignoble dont les vins sont classés en côtes-du-rhône (AOC) ainsi que la production et l'échange de truffes. Il y a des cultures maraîchères et fruitières dans la plaine.

    Les vins qui ne sont pas en appellation d'origine contrôlée peuvent revendiquer, après agrément, le label Vin de pays de la Principauté d'Orange.

    Tourisme

    Plusieurs parcours à vélo permettent de visiter les communes et leur patrimoine[24].

    Équipements ou Services

    Enseignement

    La commune possède une école maternelle et une école primaire[25], ensuite les élèves sont affectés au collège Vallis-Aeria à Valréas[26], puis vers le lycée Lucie-Aubrac à Bollène.

    Sports

    Plusieurs parcours à vélo permettent de visiter les communes de l'Enclave des Papes et leur patrimoine[24].

    Un club de football (U.S. Grillonnaise), un de pétanque et plan d'eau pour la pêche.

    Santé

    Un médecin, un dentiste, une pharmacie, un cabinet d’infirmières et une « Maison de la Santé » (comprenant un médecin, un orthophoniste, un sophrologue, un ostéopathe, un masseur-kinésithérapeute, un psychiatre psychothérapeute, une sage-femme et un cardiologue[27]) sur la commune[28]. Un centre hospitalier et service des urgences sur la commune voisine de Valréas.

    Vie locale

    Cultes

    Chrétien (église paroissiale Sainte-Agathe).

    Écologie et recyclage

    La collecte et traitement des déchets des ménages et déchets assimilés et la protection et mise en valeur de l'environnement se font dans le cadre de la communauté de communes de l'Enclave des Papes.

    Patrimoine

    L'une des portes de la partie médiévale du bourg.

    Patrimoine civil

    • Le Vialle de Grillon, partie historique du bourg, au sommet d'une butte de safre (sable jaune à grésification irrégulière d'âge helvien).
    • Anciennes portes (dont une devenue beffroi) et restes de fortifications (remparts du XIIe siècle).
    • Les bornes papales à Autèze.
    • Hôtel de Tourville, style Renaissance.
    • Maison Milon, style Renaissance.
    • Maison des Trois-Arcs, style Renaissance.

    Patrimoine religieux

    • Église Sainte-Agathe : c'est en 1861 que fut décidée la construction de l'église Sainte-Agathe de style gothique et à trois nefs, au pied de la précédente qui menaçait de tomber en ruines. Les travaux de construction de la nouvelle église néo-gothique commencèrent en 1869 et sa bénédiction eut lieu un an plus tard. Le clocher dressé sur le Vialle à l'ouest de l'église proprement dite a été conservé. Il fut construit en 1892. Au-delà de sa valeur architecturale l'église renferme diverses richesses artistiques, on y trouve notamment trois tableaux anciens tels que "Une Vierge entre Saint Sébastien et Saint Roch", "une Donation du Rosaire", "Une Vierge à l'Enfant".
    • Oratoire Notre-Dame-du-Sacré-Cœur, d'architecture gothique a été construit en 1946.

    Notes et références

    Notes

    1. Selon le zonage des communes rurales et urbaines publié en novembre 2020, en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le en comité interministériel des ruralités.
    2. La notion d'aire d'attraction des villes a remplacé en octobre 2020 l'ancienne notion d'aire urbaine, pour permettre des comparaisons cohérentes avec les autres pays de l'Union européenne.
    3. Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2021, millésimée 2018, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2020, date de référence statistique : 1er janvier 2018.

    Notes

      Références

      1. Robert Bailly, op. cit., p. 104.
      2. Zonage sismique réglementaire de la France, classement des cantons (découpage fin 1989) de la région PACA, p. 48.
      3. Jules Courtet, op. cit., p. 171.
      4. La climatologie du Vaucluse
      5. « Typologie urbain / rural », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
      6. « Commune rurale - définition », sur le site de l’Insee (consulté le ).
      7. « Comprendre la grille de densité », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
      8. « Liste des communes composant l'aire d'attraction de Valréas », sur insee.fr (consulté le ).
      9. Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier Pégaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans l’aire d’attraction d’une ville », sur insee.fr, (consulté le ).
      10. « CORINE Land Cover (CLC) - Répartition des superficies en 15 postes d'occupation des sols (métropole). », sur le site des données et études statistiques du ministère de la Transition écologique. (consulté le )
      11. IGN, « Évolution de l'occupation des sols de la commune sur cartes et photos aériennes anciennes. », sur remonterletemps.ign.fr (consulté le ). Pour comparer l'évolution entre deux dates, cliquer sur le bas de la ligne séparative verticale et la déplacer à droite ou à gauche. Pour comparer deux autres cartes, choisir les cartes dans les fenêtres en haut à gauche de l'écran.
      12. Jean Guilaine, La France d'avant la France, Paris, Hachette, , 349 p. (ISBN 978-2-01-011134-1), p. 158-159.
      13. Robert Bailly, op. cit., p. 205.
      14. Jules Courtet, op. cit., p.. 173.
      15. Cf. Inventaire général du patrimoine culturel de Grillon (Vaucluse) et « Liste des notices pour le village de Grillon », base Mérimée, ministère français de la Culture.
      16. Albert Dauzat et Charles Rostaing, Dictionnaire étymologique des noms de lieux en France, Éd. Larousse, 1968, p. 1804.
      17. Armorial du Comtat Venaissin
      18. « Impôts locaux à Grillon », taxes.com.
      19. Loi n° 2009-1673 du 30 décembre 2009 de finances pour 2010 (Légifrance)
      20. L'organisation du recensement, sur insee.fr.
      21. Calendrier départemental des recensements, sur insee.fr.
      22. Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes études en sciences sociales.
      23. Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017 et 2018.
      24. (fr) L'Enclave des papes est encore plus sympa à vélo ! article www.laprovence.com du mercredi 30 avril 2008
      25. Enseignement publique primaire en Vaucluse
      26. Carte scolaire du Vaucluse
      27. « Grillon - Site officiel de la commune - Maison de Santé », sur www.grillon84.fr (consulté le ).
      28. Santé

      Bibliographie

      • Jules Courtet, Dictionnaire géographique, géologique, historique, archéologique et biographique des communes du département de Vaucluse, Avignon, Seguin Ainé, , 400 p. (lire en ligne)
      • Robert Bailly, Dictionnaire des communes du Vaucluse, Éd. A. Barthélemy, Avignon, 1986. (ISBN 2903044279)

      Pour approfondir

      Articles connexes

      Liens externes

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